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Six "sions" pour une scission.

Chapitre 1

Travesti / Trans
Voici mon histoire, ou comment six mots en « sion » ont pu conduire à ma scission avec la société…
CHAPITRE 1 : La révélation.Cela s’est passé alors que j’avais 22 ans. J’avais peu d’expérience en matière de sexe, et je pensais tout connaître en regardant du porno plusieurs heures par jour, presque tous les jours.Mais les rares fois où j’ai eu la chance de coucher avec une fille, j’éjaculais souvent beaucoup trop tôt. Et la taille assez réduite de mon sexe (12 x 3 cm en érection) n’aidait pas non-plus. Bref ! Les filles avaient plutôt tendance à se moquer de moi, et ne prenaient pas leur pied. Cela contrastait fortement avec ce que je voyais dans mes vidéos pornos.Je fantasmais donc sur presque toutes les filles que je croisais, mais je n’en faisais pas fantasmer la moindre. Non pas que je ne leur plaisais pas. Allure sportive, 1m92, cheveux châtains, de beaux yeux bleus, un beau visage… je leur plaisais, mais mon manque d’assurance au lit se traduisait par un manque d’assurance, y-compris dans mes relations sociales avec la gent féminine, que je ne savais pas aborder. Je n’étais donc pas un objet de fantasme.Mais justement, j’avais envie d’en devenir un. Et je comptais sur internet et ses relations virtuelles pour pallier mon manque de prestance naturel. Je me connectai donc un soir sur un site de rencontre, où je fus vite déçu par l’absence de réponse des femmes visées. Pas le moindre contact.Je me dis alors qu’il est bien plus facile d’être une femme pour séduire, et je voulus voir combien de réponses je recevrais si je postais une annonce sous l’identité d’une femme.Pas même une photo. Juste un basique « Femme de 22 ans cherche homme pour moment torride ».En une demi-heure, je reçus près d’une vingtaine de réponses. Je dus immédiatement supprimer mon annonce pour ne pas trop en recevoir, puis j’allai ouvrir mes mails. Il y avait grosso modo deux types de réponse :Celles du type « Homme beau gosse bien monté endurant prêt à te baiser ». Franchement, ces gens espèrent-ils avoir une réponse ainsi ? Si j’étais une femme, je ne répondrais pas à cela.Et celles un peu plus développées et élaborées, du genre « Bonjour mademoiselle, votre annonce a attiré mon attention. Je suis un homme de 41 ans, raffiné et très à l’écoute. J’espère pouvoir faire votre connaissance, et pourquoi pas, un jour, nous rencontrer pour un plaisir partagé, dans le respect de chacun. Brun aux yeux bleus, on me dit plutôt bel homme. J’aime les caresses, la tendresse et les longs préliminaires. »Mon expérience touchait à sa fin. Je savais que si j’étais une femme, j’aurais beaucoup plus de réponses. Mais je n’étais pas plus avancé pour autant. Je décidai donc de répondre à l’un d’eux qui attira mon attention. L’une des réponses plus raffinées et développées, allez-vous me dire ?…Eh bien non ! Je me suis trouvé étrangement excité par l’un de ces hommes qui écrivit simplement :« Grosse queue pour ton cul de salope, quand tu veux. »Annonce à laquelle l’expéditeur joignit une photo de sa queue. Effectivement, elle était énorme. Rien à voir en tout cas avec la mienne. Elle devait faire environ 18 x 5 cm, même s’il est difficile d’estimer précisément sa taille en photo.Inconsciemment très investi dans mon personnage féminin, je répondis simplement :« Waow, quelle belle queue !— Tu as l’air d’aimer ça, me rétorqua-t-il deux minutes plus tard.— Oui, et je parle en connaisseuse, renchéris-je. Pouvez-vous m’en dire plus sur vous ?— J’ai 36 ans, je vis seul, et j’aime les femmes qui savent ce qu’elles veulent. Et toi ?— 22 ans, j’adore sucer et avaler, et j’aime la sodomie.— Envoie-moi une photo de toi, petite coquine ! »Oups ! Je me suis laissé prendre au jeu, et je n’avais pas pensé à ça. Vite, un prétexte bidon !« Je n’en ai pas sur mon PC.
— Encore un mytho !— Non pas du tout, je peux venir vous le prouver en réel. »Mince alors, il faudrait que je réfléchisse avant d’écrire des choses que je ne peux assumer.« Ok, voici mon adresse. Viens dans une heure ! »Il vivait à 20km de chez moi. Poussé par la curiosité, je me décidai à y aller. Avec ma taille et ma carrure, je ne risquais rien. J’irais juste le voir, bien rigoler, et rentrer. Et surtout, j’avoue que ce rôle de femme m’excitait beaucoup, et je n’avais pas envie de le quitter aussi subitement.Vers 22h, j’arrivai chez lui. Je m’apprêtais à sonner à la porte d’un homme dont j’ignorais même le prénom. Tout juste savais-je qu’il avait 36 ans, et était super bien monté. Je sonne, trop tard pour reculer.« Bonsoir jeune homme, commence l’homme. Je suis navré, mais j’attends quelqu’un d’une minute à l’autre.— Mais vous n’avez pas 36 ans ?!? »Face à moi, en effet, se dressait un homme d’au moins 50 ans, cheveux poivre et sel, mais cela dit très bien bâti. Il faisait environ ma taille, et semblait bien plus musclé que moi. Il valait mieux ne pas prendre de risque et partir sur le champ.« J’ai 56 ans en réalité, mais si j’ai menti sur mon âge, toi tu m’as menti sur toute la ligne et tu m’as fait perdre mon temps espèce de mytho fantasmeur !— Ecoutez, je suis vraiment navré. Je voulais voir ce que ça faisait de faire fantasmer quelqu’un, et je n’y suis parvenu qu’en me faisant passer pour une femme.— Bon, entre.— Je ferais mieux de partir, lui dis-je en tournant les talons, encore désolé pour le dérangement.— ENTRE, j’ai dit ! »Cette injonction, sur un ton très sec, me glaça le sang. Il insista en m’attrapant par l’épaule avec sa grosse main, et j’entrai.Il me fit prendre place dans son salon, et me servit un verre de martini.« Bien, mon garçon. Tu veux être un objet de fantasme, je peux t’aider, j’en fais fantasmer plus d’une. Il ne faut pas hésiter à leur montrer ta queue, pour commencer. Internet permet bien des choses de nos jours, quand on est bien monté.— Mais justement, ce n’est pas mon cas. »C’est incroyable comme l’assurance de cet homme installa très vite un climat de confiance, et je lui dévoilai mon sexe.« Pas très gros, en effet. Alors il faudra que tu aies la tchatche, les femmes aiment les hommes qui assurent dans la vie de tous les jours. Après, une fois au lit, elles se sauvent rarement, et tu peux baiser tranquille.— Premièrement, je n’ai pas la tchatche, et deuxièmement, je veux qu’elles prennent leur pied.— Les préliminaires, les caresses bien placées, tu connais ? Il n’y a pas que la bite dans le sexe.— A vrai dire, m’inquiétai-je, dans les pornos, on ne voit pas tout ça.— D’accord, tu espères apprendre à baiser avec le X. Tu fais fausse route. Mais comme tu m’as l’air bien sympathique, je vais essayer de te montrer quelques trucs. Suis-moi. »Il me conduisit dans sa chambre, ouvrit le dressing, et me tendit un string, un soutien-gorge, un porte-jarretelles et des bas.« Tiens ! Enfile ça, ce sont les affaires de ma femme. Elle est en déplacement tous les mercredi et jeudi soirs.— Ça ne va pas la tête ? Je suis un mec, moi !— Ouai, eh bah si tu veux apprendre à faire jouir une femme, commence par te mettre dans leur peau. »Encore son assurance écrasante. Je n’osai pas dire non, et m’activai. Je commençai par le soutien-gorge. La représentation même de la féminité selon moi à l’époque. J’aime la sensation de la dentelle, de la pression exercée par les bretelles sur mes épaules, ainsi que sur mon torse.« Dis-donc, tu t’épiles le torse ?— Non, je suis naturellement peu poilu. Juste un peu sur les jambes, et sur le pubis bien sûr. »J’enfilai ensuite le porte-jarretelles, suivi des bas. Brrr… Un frisson me parcourut lorsque le nylon glissa lentement sur ma peau, pour remonter jusqu’à mi-cuisses. Quel délice ! Puis finalement, le string. Là encore, un plaisir intense lorsque la ficelle se glissa entre mes fesses. Particulier, mais intense.« Tu sais que tu es bandante, ainsi vêtue ? »Il faut dire que si mes attributs masculins ne sont pas très développés, j’ai par contre de très belles hanches, relativement larges, ainsi que de jolies fesses rebondies. Cela me donne un cul d’enfer, et une silhouette très féminine.« Merci, répondis-je à mon ‘enseignant’, la respiration soudainement très saccadée.— Tu m’as l’air troublée, petite coquine…— Je ne m’attendais pas à ça. Je n’avais pas envie de me trouver dans ce genre de situation mais…— Mais ça te plait, me coupa-t-il. »Je ne répondis point à cette question dérangeante, dont la réponse évidente était tout aussi gênante.« Montrez-moi comment faire plaisir à une femme, qu’on en finisse. »C’est alors qu’il s’approcha de moi, me caressa la joue, glissa sa lourde main dans mes cheveux, et m’embrassa langoureusement. Etonné par cette initiative soudaine que j’avais pourtant bien vu venir, je n’opposai aucune résistance. La sensation était même très agréable. Sa langue parcourait ma bouche avec tendresse, pendant que ses mains me parcouraient le dos, puis les fesses, avant de remonter dans ma nuque et mes cheveux. Il ne laissait passer aucun détail.Je me laissais d’abord aller, puis je décidai de participer un peu plus activement à ce baiser, en agitant ma langue à mon tour, comme pour lui dire « je suis à toi ».Ce qu’il sembla comprendre immédiatement. Sa respiration s’accéléra subitement, et son étreinte se renforça. Il m’attira à lui et nos deux corps, debout près du lit, s’entremêlèrent. Je sentais sa cuisse frotter contre mon sexe. Sa main droite me serrait fortement la peau du dos, quand sa main gauche commença à me malaxer fermement les fesses.Comme si une sensation naturelle de soumission s’était imposée dans mon subconscient, je répondais à ses fermes étreintes par de douces caresses dans le dos et dans les cheveux, lorsqu’il me poussa subitement sur le lit.Allongé sur le dos, je le vis se pencher sur moi. Il commença à parcourir mon corps de baisers. Le souffle de sa respiration, mêlé à l’humidité de ses lèvres sur ma peau, continua de me donner ces frissons dont je commençais à sévèrement raffoler.Il se redressa et ôta son T-shirt. Un torse velu en jaillit, avec un ventre un peu rond, mais pas trop gros. Rien de bien attirant pour un hétéro tel que moi. Mais ce soir-là, je trouvais cela magnifique. Il me surplombait, à califourchon au-dessus de ma poitrine, et je pris un plaisir non dissimulé à parcourir son torse de caresses. Un torse d’homme, un vrai, et j’adorais ça.Il défit ensuite son pantalon et ôta son boxer. Mince ! Sa queue ! Qu’est-ce que je dois faire ? Je ne vais quand-même pas le…« Suce-moi, salope, me lança-t-il ! »Une bouffée de chaleur me parcourut le corps. Comment venait-il de m’appeler ?« Bouffe-moi la queue, sale pute ! »Et encore une bouffée de chaleur… Bon sang ! Mon corps réagissait donc à ses appellations dégradantes, comme pour dire à ma tête d’arrêter de se poser des questions inutiles. Et en effet, j’en avais envie.Je commençai donc, hésitant, par prendre son sexe encore mou en main. Il était certes encore mou, mais déjà plus gros que le mien en érection. Je lui caressai les couilles, lorsqu’il s’allongea soudain sur moi, le sexe pendant juste au-dessus de ma tête. Je me lançai finalement, et le prit en bouche.Drôle de sensation que celle d’un sexe mou dans la bouche. Il est très agréable de le faire rouler sous sa langue et le sentir durcir et prendre de plus en plus de place dans sa bouche. A mesure qu’il grossissait, il n’entrait plus entièrement dans ma bouche. Je le parcourus alors avec ma langue, n’hésitant pas à lui lécher et gober les couilles également. Son sexe était désormais dur comme de l’acier trempé. « Trempé » était d’ailleurs le mot, car ma salive le recouvrait en totalité.C’est alors qu’il me déplaça de sorte que ma tête fût penchée en arrière au bout du lit. Il se leva et fléchit les jambes devant moi, présentant ainsi son sexe à ma bouche, que j’ouvris sans hésiter, m’apprêtant à le parcourir avec ma langue.Sauf que ce n’était pas ce qu’il attendait de moi. Il se mit littéralement à me pilonner la gorge. Sa queue, qui paressait encore plus énorme en vrai qu’en photo, forçait sur ma glotte, dans un bruit étrange, entre étranglement et production intensive de salive. Il se frayait un chemin dans ma gorge pendant que moi, passivement inerte, j’étais partagé entre la sensation désagréable de l’étouffement, et celle beaucoup plus appréciée et de plus en plus assumée de la soumission à un mâle qui exploitait les moindres recoins de mon corps de femelle asservie.Ses mains m’agrippaient désormais la gorge, participant encore davantage à cette quasi-noyade que je vivais. Les noms d’oiseaux fusaient :« Sale chienne ! Trou à bites ! Tu aimes ça, te faire défoncer la gorge sans rechigner !— Slurp ! Mmmh Mmh grr… ! »Mes réponses étaient aussi inaudibles qu’éloquentes. Je prenais mon pied. Y-compris lorsqu’il s’arrêta un long moment au fond de ma gorge. D’interminables secondes d’apnée où je sentais le devoir de ne pas abandonner, de ne pas recracher cette matraque que ma bouche chérissait tant. Je pris également mon pied lorsqu’il sortit sa queue de ma bouche, accompagnée d’un épais filet de salive coulant depuis son gland jusque mon menton. Salive qu’il n’hésita pas à essuyer sur mes joues et mes yeux, grâce à de violentes bifles, aussi humiliantes qu’appréciées.Il me plaça finalement à quatre pattes sur le lit, et présenta son gland à mon anus. Mais son sexe aussi épais qu’une grosse courgette n’entrait pas dans ma rondelle encore vierge, bien que toute humide et dilatée par l’excitation et le plaisir que je prenais depuis de longues minutes. Il y inséra d’abord un doigt, puis deux, et enfin un troisième.« Tu risques de prendre très cher dans ton cul de petite vierge…— Baisez-moi, hurlai-je alors, d’un cri sorti droit du cœur !— Oh sale trainée tu sais ce que tu veux, toi ! »Et il força le passage de son gland sur mon anus, que je sentis se dilater lentement dans une intense douleur. Une sensation de brûlure que mon excitation ne dissimulait pas, mais suffisait à motiver de petits mouvements de bassin comme pour mieux aider ce pieu à se frayer un chemin dans mes entrailles, quand soudain :« Aie !!! Hmmm ouiii !! oui ! Défoncez-moi ! »Le coup de reins fatal qui fit entrer d’un seul coup la quasi-totalité de son sexe dans mon cul libéra chez moi un hurlement de plaisir non contrôlé. Aucune tendresse dans ce qui se passait là. Je me faisais pilonner aussi puissamment que sèchement. Chaque aller de son sexe venait frapper une zone puissamment érogène de mes entrailles et déclenchait en moi une sorte de décharge de plaisir que je ne saurais décrire. Chaque retour de sa queue me titillait le sphincter. Je m’évadais complètement.J’eus deux violents orgasmes en l’espace de 3 ou 4 minutes de cet intense traitement que mon partenaire ne semblait prêt d’arrêter.Lorsque finalement il se sentit prêt à jouir, il sortit rapidement de mon cul et vint m’éjaculer devant le visage.« Oh ouiii c’est trop bon, s’écria-t-il alors que j’ouvris grand la bouche pour récolter ses longs jets de sperme dans la bouche. Avale-moi ça maintenant espèce de sac à foutre ! »Je ne me fis pas prier. J’étais à des années lumières de l’hétéro qui était entré dans cette maison une heure auparavant. A genoux devant lui, levant les yeux pour croiser son regard dominateur, j’ouvris la bouche pour lui montrer qu’il n’en restait plus une goutte, fier de moi.Je ne m’étais pas branlé. J’avais probablement les couilles pleines à cet instant, mais je n’avais pas envie de me masturber. Ce sont les hommes qui font ça, et j’étais tout sauf un homme dans ma tête, en ce moment précis.Lorsque la tension sexuelle retomba, je me rhabillai. Un silence assez gênant régnait alors que je réunissais mes vêtements, pendant qu’il me regardait, fier de lui. Je tentai donc d’instaurer un dialogue, reprenant précisément le sujet qui nous avait mené à cette situation inattendue :« C’est donc là ce que vous faites aux femmes que vous baisez ?— En partie, pas tout fait, il y a certains trucs bien techniques que je ne peux faire qu’à de vraies femmes.— Vous pouvez me les expliquer ?— Quelque chose me dit que tu n’en auras pas besoin, répliqua-t-il, un sourire en coin, alors que je finissais de m’habiller. »Puis alors que je quittais la chambre, je lui tendis les sous-vêtements que j’avais portés :« Tenez, voici les sous-vêtements de votre femme.— Tu peux les garder. Quelque chose me dit que tu en auras besoin. »Je quittai sa chambre et sa maison, sans même connaître le nom de ce diable qui venait de me faire connaître le plus grand plaisir de ma vie. Je rentrai donc chez moi en voiture, tout déboussolé par ce qui venait de se passer, et intrigué par les sous-vêtements féminins à côté de moi, sur le siège passager…A cet instant, je l’ignorais, mais ce n’étaient pas les derniers que je porterais, loin de là.
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