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Six "sions" pour une scission.

Chapitre 4

Travesti / Trans
CHAPITRE 4 : La passion.Les deux jours qui suivirent cette folle soirée au club furent très délicats. J’avais vraiment très mal à l’anus, qui n’avait pas vraiment supporté l’enchaînement des sodomies. En outre, j’avais encore manqué les cours du vendredi, m’étant couchée à 7h du matin. À ce rythme, mon semestre ne serait probablement pas validé.Pourtant, cela ne remettait pas en question ma conviction : je me plaisais en petite coquine au service de Monsieur, et je retournerais chez lui le mercredi suivant.L’attente fut longue, une nouvelle fois, mais j’étais comblée de bonheur le mercredi midi, lorsqu’il était temps pour moi d’entamer ma préparation. Cette fois-ci, je fus beaucoup plus rapide et prête en moins d’une heure. Il était 15h et je ne savais pas comment tuer le temps jusqu’au coucher du soleil, seule dans mon petit studio, au sein de la résidence universitaire.Finalement, je fis des activités de tous les jours, habillée en femme. Je relus mes cours sans vraiment me concentrer, je regardai quelques séries, puis à 18h, quand l’obscurité progressait fortement, je sortis afin de gagner ma voiture.Mais le trajet jusqu’à mon véhicule ne fut pas de tout repos. À peine sortie de mon studio, j’aperçus un jeune homme, au fond du couloir. Il était trop loin pour me reconnaître et je pris la direction opposée, imprimant au claquement de mes talons une cadence relativement élevée, afin d’aller le plus vite possible.L’homme en question n’avait peut-être pas vu de quelle chambre j’étais sortie, mais son attention ne pouvait être passée outre le passage d’une femme culminant à plus de deux mètres, perchée sur ses talons. Mes longues jambes en bas coutures étaient tout ce qu’il pouvait voir de moi, jusqu’au bas de mon manteau.Comment un homme pourrait-il ne pas se poser de question face à d’aussi longues jambes dépassant d’un manteau d’homme ? Car oui, si ma garde-robe était déjà assez garnie, je n’avais pas de manteau féminin.Comment un homme pourrait-il ne pas être émoustillé par cette vue qui laissait deviner que ma jupe devait être très courte, voire inexistante ?Mais heureusement, j’atteins vite ma voiture et démarrai sans même me retourner, de peur qu’il reconnaisse mon visage.Quelle frayeur ! Mais mes pensées étaient déjà à Monsieur, chez qui j’arrivai 30 minutes plus tard.Je sonnai à la porte, et Monsieur m’ouvrit, souriant :« Jessica ! Tu tombes à pic, j’ai une surprise pour toi. »Quelle surprise pouvait-il avoir pour moi ? Encore un porc qui veut me défoncer le cul pendant qu’il livre sa femme à Monsieur ?…J’entrai dans le salon et effectivement, surprise !…« Lucille ? m’étonnai-je, mais que fais-tu ici ?— Je suis arrivée il y a quelques minutes, ma belle, j’avais envie de te voir et je savais que je te trouverais ici. »Elle était venue pour moi, si elle savait à quel point cela me faisait plaisir. Elle était toujours aussi ravissante, cette fois-ci vêtue d’un tailleur beige et de bas noirs. Toujours aussi classe. Un décolleté serré faisait ressortir sa belle poitrine et son cul était parfaitement dessiné par sa jupe. La secrétaire sérieuse et sexy par excellence.Mais il y en avait un autre que la présence de Lucille ravissait :« Je crois que cette petite coquine de Lucille a besoin de ma queue, lança Monsieur, sûr de lui.— Pas du tout Robert, tu peux toujours rêver, répondit sèchement Lucille. Je t’emmène avec moi Jess, j’ai bien vu que tu subissais les désirs de Robert lors des précédentes soirées, et je veux te sortir de là.— Es-tu sûr qu’il n’y a rien d’autre ? enchaîna Monsieur.— C’est tout.— Vraiment ?… et en quoi le sort de cette pouf de Jessica te concerne-t-il autant ?— Jessica, tu vas me prendre pour une folle, s’adressa Lucille directement à moi. Tu vas trouver ça fou mais je crois que je suis tombée follement amoureuse de toi. Je sais, c’est débile, mais tu m’as vraiment touchée avec ta recherche de féminité que j’ai trouvée sincère, et j’aime ton regard, j’aime ton corps. J’aime tout chez toi, j’aime tout ce que tu es. Je te connais à peine mais je n’arrête pas de penser à toi, j’ai…
— En gros elle a besoin d’être à tes côtés, l’interrompit Monsieur. Ça tombe bien, car à tes côtés, c’est à mes côtés. Je ne vais plus te lâcher.— Jessica, m’interpela Lucille, tu peux lui dire non, tu ne lui dois rien. Viens avec moi ! »J’étais un objet de convoitise. Tout ce que j’avais voulu lors de mon premier travestissement. Je ne savais pas vraiment gérer ce genre de situation, mais mon choix était de toute façon clair : j’avais des sentiments certains pour Lucille, et j’allais m’enfuir avec elle.
« Je suis désolée, Monsieur, j’ai adoré tout ce que vous m’avez fait découvrir sur moi-même, mais j’éprouve quelque chose d’unique pour Lucille.— Je comprends, répondit étonnamment Monsieur. »Lucille et moi nous regardions, incrédules face à si peu de résistance de la part de Monsieur. Il acceptait donc de me perdre, sans résistance. Je n’étais donc rien pour lui.« Tu peux aller chercher tes affaires dans la chambre, Jessica. Puisque tu m’abandonnées, je préfère ne pas garder de vieux souvenirs de toi.— Mes affaires ? Mes quelles affaires ? Je ne me souviens pas d’avoir oublié la moindre chose chez vous ?— Tes sous-vêtements de la semaine dernière, voyons. Ils sont sur le lit, reprit Monsieur. Quant à toi Lucille, arrête de me narguer et sors tout de suite d’ici !— D’accord Robert, répondit Lucille, je vais attendre Jess dans la voiture pendant qu’elle part récupérer ses vêtements. »Je me rendis donc dans la chambre de Monsieur, où je ne trouvai rien sur le lit. J’allais faire demi-tour pour redescendre et rejoindre Lucille, lorsque je vis Monsieur sur le pas de la porte de la chambre, me faisant face.« Je tenais à te dire convenablement au revoir, Jessica, et en privé.— Eh bien au revoir Monsieur, et merci pour tout.— Merci pour quoi exactement ? Peux-tu me le rappeler ?— Vous le savez bien, tout.— Je veux t’entendre me le dire, fais-moi au moins ce dernier plaisir. »Je trouvais cela étrange, mais bon, j’allais le laisser seul, je lui devais bien cela.« Alors merci, pour m’avoir fait prêté les sous-vêtements de votre femme, le premier soir où je vous ai rencontré. Merci de m’avoir fait découvrir le plaisir sexuel en tant que femme. Merci de m’avoir fait découvrir que je serais plus heureuse dans la peau d’une femme…— Continue… me dit-il de sa voix toujours aussi assurée.— Merci de m’avoir fait découvrir le plaisir d’être soumise, le plaisir de vous appartenir…— Tout le plaisir était pour moi, vous allez bien vous entendre avec Lucille, je n’en doute pas. Toi, la soumise, et elle… la soumise également.— Comment cela, lui demandai-je ?— Enfin petite sotte, tu sais très bien que Lucille a été ma soumise durant de nombreuses années, et qu’elle est toujours soumise avec ses amants.— Non, je…— Et qu’elle ne couche quasiment qu’avec des hommes, m’interrompit-il, qui plus est des hommes bien virils et dominateurs. Mais je ne me fais pas de soucis pour toi. Si tu arrives progressivement à lui plaire en tant qu’homme, au moins au lit, tu pourras la contenter. Tu as une queue, tu lui plairas. »Le silence s’empare de la pièce alors que je suis en pleine réflexion… Et s’il disait vrai ? Et si Lucille voulait que je la domine ? Que je la fasse jouir avec ma queue ? Que je sois son amant viril, et non son amante ?« Non, je n’y crois pas une seconde, répondis-je à Monsieur, d’une voix pour le moins hésitante.— Tant mieux ! En admettant que j’aie tort, tu seras heureuse avec elle. Il te suffira simplement de prendre ton pied sans sucer de queue et sans te faire sodomiser. Je sais que tu y arriveras. Après tout, tu ne fais pas partie de ces salopes, dignes de ce nom, qui se jetteraient sur la moindre queue qui leur ferait face… Une queue comme celle-ci, par exemple, ne t’attire pas spécialement. »Et il déboutonna son pantalon qu’il descend jusqu’à ses chevilles, découvrant ainsi sa queue déjà droite comme un « i ».Je restai figée, le regard ciblant ce membre que je ne verrais plus. Ma respiration devenant de plus en plus saccadée, mon souffle irrégulier et de plus en plus audible n’échappait pas Monsieur, dont j’entrevoyais un rictus satisfait. Il me tenait, et le savais.« Je dois y aller, Lucille m’attend.— Je ne te retiens pas, dit-il, tout en se caressant la verge. »Je me dirigeai vers la sortie, lorsqu’en passant à côté de Monsieur, il m’empoigna les fesses de ses deux mains. Je me stoppai net. Je pensais à Lucille, que je voulais rejoindre, mais impossible de bouger. Mon corps agissait à l’encontre de mes paroles.« Non, lâchez-moi, c’est Lucille que je veux voir, dis-je d’une voix tremblante, alors que je commençai à cambrer sans même m’en rendre compte. »Je sentis alors son corps se coller au mien. Sa main droite empoigna alors mon sein gauche. Il s’agissait certes de faux seins, mais la virilité de cette poigne se fit sentir dans tout mon corps, et lorsque je sentis sa queue entrer en contact avec mes fesses, je perdis définitivement tout contrôle, et me jetai sur mes genoux, face à cette queue que j’engloutis à pleine bouche.J’étouffais, je pleurais presque, mais je ne lâchais cette queue inondée de salive, que pour reprendre brièvement ma respiration. Ce n’était pas une fellation que je qualifierais de sexy. Je ne cherchais pas à croiser le regard de Monsieur, je ne m’attardais pas à la parcourir avec ma langue. Non. C’était une vraie pipe d’affamée.Monsieur me porta alors jusque sur le lit, où il me plaça à quatre pattes, et introduisit sa queue dans mon cul, sans ménagement, d’un coup sec. Je hurlai de plaisir.De la douleur ? Probablement, mais je n’en ai pas le souvenir, tant prédominait le plaisir d’être défoncée par un homme viril, par mon homme, par mon maître.« Aaaaah hum… oui ! oui !— Chienne ! Tu es à moi ! Rien qu’à moi !— Ouiiii ! Je suis votre chienne. »Quand soudain :‘Tuuut !… Tuuut !’Deux coups de klaxon retentirent à l’extérieur.Mon Dieu ! Lucille, je l’avais complètement oubliée.« Prends ça salope ! Han ! Han ! Tu aimes te faire défoncer !— Oui j’aime ça ! Encore !— Tu veux voir ta future conjointe platonique, me dit-il, tout en continuant ses coups de boutoir ?— Hum… Ouiii ! euh… non !… je ne sais pas ! oooh ouiii !! »Contrairement aux apparences, aucune indécision dans ma réponse. Je ne souhaitais qu’une chose : que la queue de Monsieur ne quittât jamais mes entrailles.Monsieur se leva et me jeta la face contre la fenêtre de sa chambre. Il s’appuya de tout son poids sur moi, et j’étais là, debout, littéralement écrasée face à la fenêtre, lorsqu’il me pénétra de nouveau, debout derrière moi. Sa main droite me serrant la gorge, tandis que l’autre appuyait sur mon ventre, comme pour mieux assurer la redescente de mon bassin sur sa queue après chaque coup que celle-ci m’assénait.Lucille apparut alors, dehors, adossée à la voiture, qui m’attendait. Elle nous aperçut, à la fenêtre, en pleine action. Je la vis se décomposer, puis aussitôt courir vers la maison.Elle fit immédiatement irruption dans la chambre et s’écria :« Lâche-la, Robert, c’est du viol !— Comme tu veux, ma jolie, lui répondit Monsieur. Je te la laisse. »Et Lucille, en pleurs, se jeta alors sur moi, me prit dans ses bras, et tenta de me rassurer :« C’est fini, Jess, je suis là. Partons d’ici.— Je suis désolée, Lucille, lui répondis-je. »Je lançai alors un regard vers Monsieur, me mis à quatre pattes à même le sol, comme si les deux secondes qu’il m’aurait fallu pour rejoindre le lit eurent été une éternité insurmontable, et il comprit immédiatement que j’étais toute à lui. Il reprit alors sa sodomie, plus lentement qu’auparavant, mais avec une puissance ravageuse dans chacun de ses coups de reins. Sans doute voulait-il se laisser le temps, entre chaque aller-retour, de faire passer un message :« Elle est à moi !— Oui, je suis à vous, repris-je, surexcitée !!— Ta gueule, sale chienne, on ne t’a pas demandé de l’ouvrir. Contente-toi d’encaisser les coups et de prendre ton pied ! »Les coups continuaient en effet de pleuvoir, je me tus et n’émis pour seuls sons que les gémissements à peine retenus d’une femelle comblée.« Elle est à moi, tu as compris, Lucille ?— Tu peux encore faire demi-tour, Jess, ne fais pas la même erreur que moi lorsque j’étais plus jeune. »Je n’eus pour seule réponse que mes gémissements, qui laissèrent progressivement place à de vrais hurlements lorsque j’eus l’orgasme le plus intense que j’avais connu jusqu’alors, avant de m’effondrer sur le lit, puis de recevoir avec joie les baisers de Monsieur sur tout mon corps.« Je ne t’abandonnerai pas, Jess, me dit Lucille, en pleurs et recroquevillée dans un coin de la chambre.— Elle ne quittera pas cette maison.— Dans ce cas, je reste aussi. Je vais vivre ici, annonce Lucille. »Un nouveau rictus pervers apparaît sur le visage de Monsieur, comme s’il venait d’obtenir ce qu’il cherchait.« Entendu, répondit Monsieur, mais tu dormiras dans ma chambre.— Mais, et votre femme, Monsieur, l’interrogeai-je ?— Sa femme ? Quelle femme ? Il n’a jamais eu de femme depuis moi, me corrigea Lucille.— Mais ? Et pourquoi, dans ce cas, m’avoir interdit de venir les jours autres que le mercredi ou le jeudi ?— Je fais cela avec tous les petits pédés que je transforme en trav. Je souhaite juste me prémunir contre les pots de colle. Mais toi, c’est différent, tu n’es pas juste un gars qui se travestit de temps en temps. Tu es une trav à plein temps. Une vraie chienne et tu vas devenir ma chienne 24h/24. »C’était donc acté. J’ignorai les dernières supplications de Lucille de m’enfuir avec elle, et je nous nous installions toutes deux chez Monsieur, chacune dans une chambre.J’aimais Lucille, mais j’avais trop besoin de Monsieur et de la magie dont il était capable avec sa queue. Si j’avais bel et bien des sentiments pour Lucille, j’éprouvais une passion folle pour Monsieur. Une passion qui me poussa à abandonner les cours, du jour au lendemain, pour enfin prendre la place qui était mienne dans cette société : aux pieds de Monsieur.
Une vie à trois allait se dessiner :Lucille éprouvait une passion amoureuse pour moi.J’éprouvais une passion sexuelle pour Monsieur.Et Monsieur ? Éprouvait-il de la passion pour Lucille, pour moi, ou pour les deux ?… Je l’ai su un peu plus tard…
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