Le lendemain,au reveil,ma sœur n’etait plus là,ma femme ne n’a meme pas demandé a quelle heure suis-je rentré.la vie continu,on dirait qu’il ne sait rien passé,et qu’aucun acte contre nature n’a eu lieu hier soir a l’aube. je voulais demander a ma femme,ou est passée Rose-marie,mais le courage m’a manqué. restant sur mes gardes,guettant le moindre geste,et le moindre mot prononcé par ma femme. ma lacheté m’a obligé a garder la tete baissée,je n’ai pas osé regarder ma femme en face. les minutes, les heures passent,rien de particulier,c’est la monotonie et la vie.j’etais soulagé,malgre qu’au fond de moi meme,je regrette mon geste,et ma trahison de ma femme et ma sœur aussi. la lacheté pure et simple. je vivais avec ce remord pendant plus d’un mois,plusieurs fois,j’allais avouer a ma femme,puis je me retiens au dernier moment. aucun signe de Rose-marie,ce qui revient a dire,que vraiment elle etait out pour ne savoir rien de ce que lui ai arrivé ce soir là; j’ai fini par oublier.puis un beau soir,en rentrant du boulot,je trouve Rose-marie chez moi.la bise sur la joue,ma femme l’a invité pour le diner. je me demandé si je n’ai pas revé,et qu’il ne sait jamais rien passé entre moi et ma sœur Rose-marie,ni sa conduite,ni celle de ma femme,ne presager que ce vous savez.enfin le diner terminé,et apres un petit verre; Rose-marie s’inquieta,c’est difficile pour elle de trouver un taxi a cette heure-çi. Et ma femme l’a rassure en disant de pas s’en faire que moi je la conduirais ou elle voulait aller et elle lui sourit à nouveau en hochant la tête pour dire d’accord.Quelque temps apres,on est tous les deux sur la route, nous roulons tranquillement dans une ruelle mal éclairée. Les vitres sont légèrement ouvertes. le vent caresse les cheveux de Rose-marie et glisse subtilement dans son décolleté. sa poitrine n’est recouverte que d’une légère robe courte presque transparente,car on mentant dans le vehicule,elle a jetée son manteau sur le siege arriere. Je ne suis pas certain,mais je penses qu’elle ne portes pas de soutien-gorge, la douce brise fait durcir ses tétons. Tu es assise; Je la regarde furtivement,mes yeux parcourent son corps de haut en bas. Pendant qu’elle regarde par la vitre. Elle ignore que je la contemple. Je ralentis la vitesse au fur et à mesure que je te matte; tout en me rememorant l’autre soir. Quand elle posa sa main sur ma jambe droite,j’ai perdu un peu le controle du vehicule. — attention,a ce que tu fais,me dit ’elle,sans me regarder et sans bouger.Je reprend conscience de chauffeur,et laisse mes yeux rivés sur la route droit devant moi,et mon visage est devenu rouge de honte. Mais je n’ai pas pu m’empecher une nouvelle fois de jeter un coup d’œil. sa courte robe tombe à peine sur ses cuisses. quand nous passons sous un reverbere,Je peux apercevoir qu’elle ne porte pas de slip non plus. Je suis agréablement surpris. J’adore çà m’excite trop. La bosse commence à remplir mon pantalon et me faire mal. Elle tourne la tête vers moi. Je fais semblant de rien. Mon sourire et la couleur de mon visage. Et puis elle peut voir le reflet de mon visage dans la vitre. Quand elle pose sa main sur la mienne qui se trouve sur le pommeau de vitesses,je perds le controle du vehicule.- Regardes devant toi quand tu roules?.Je ne dis rien et m’exécute. je suis dans une situation inconfortable,j’avais hate d’arrivé sur les lieux. et je pousse un ouf de soulagement quand,je suis arrivé devant son immeuble. elle descend,et je m’appretais a lui souhaité bonne nuit.-mais qu’est ce que tu attends pour descendre? — excuses moi Rose,elle doit s’impatienter de mon retard.— descends,je te dis,tu ne partiras pas sans prendre un verre,elle sait ou tu es. et c’est a contre cœur,que je la suis dans l’ascenseur qui doit nous conduire a son studio au 14 emme etage.son studio est formé d’un grand hall qui lui sert de salon,une petite chambre,ainsi qu’une petite salle de bain.c’est peu spacieux chez moi,mais tu peux te mettre a l’aise; sers toi un verre,je viens,me disait Rose-marie,pendant qu’elle se rend dans sa chambre.trop stressé et coupable au fond de moi,je voulais quitté au plus vite ce lieu. et c’est d’un trait que j’avale le verre.Rose marie,reapparait de nouveau,elle porte une robe de chambre et sur son epaule,une serviette de bain.-mais qu’est ce que tu attends pour prendre un verre?— c’est fait,rose lui dis-je,en me levant pour prendre congé.— mais pourquoi tu es si pressé,ta femme sait que tu es içi,sers toi a boire,je n’en ai pas pour longtemps.je me suis servi un autre verre,et je l’ai bu,pendant que je j’entends chanter sous l’eau. on dirait qu’elle le fait expres de rester le plus longtemps possible sous l’eau,ayant perdu passion,tres mal dans ma peau de lache,je n’ai trouvé de mieux que boire verre sur verre. je n’ai pas senti,ni vu comment,mais la bouteille etait au 3/4 vide,quand elle est apparu. mais j’avais beaucoup plus d’assurance et plus calme qu’au moment ou j’ai mis les pieds dans ce studio.— tu vois qu’il n’y a pas lieu de s’inquiète. sers moi un verre,je reviens.je ne sais pas si son sourire ou sa demarche de mannequin ne cherchant pas a dissimuler ses parties intimes visibles a chaque mouvement de ses jambes,qui m’ont fait flechir et retarder mon depart. sans me laisser le temps de m’excuser,elle referme derriere elle la porte de la salle de bain,je me verses encore un autre verre. Elle revient en string et en débardeur. Son string brésilien lui rentre profondément dans les fesses. Ses seins lourds pendent légèrement et pointent car elle ne porte pas de soutien,essayant de cacher sous une mini-robe de chambre en soie tout cela a ma vue,dot j’ai baissé ma tete de honte.Elle s’approche de moi et tente de s’asseoir sur le bord du fauteuil, alors qu’elle est en string. Je deplace mon bras gentiment. Elle s’assoit, je la laisse faire, attiré par ses seins et par ses magnifiques cuisses galbées. Je sens ma queue se dresser dans mon pantalon.apres avoir pris un verre dans sa main,elle me dit— j’ai besoin d’un conseil et je ne sais pas si tu es la personne a qui je dois demander,je suis venue chez toi,pour demander conseil a ta femme,mais je n’ai pas pu.-tu peux compter sur moi.-J’aimerais bien me dit-elle. Je te sais moins coincé que d’autre.Ce n’est pas ça c’est juste que tu es tout pour moi et que tu dois adopter un comportement normal avec ton frere.je sens un corps chaud et nu se blottir contre le mien, dans mon dos. Je sens également une main caresser mes épaules. C’est un réveil très agréable .puis elle se leve et va directement a la fenetre son verre a la main,elle regarde a travers la vitre.Dans un moment de lucidité, je deviens tout rouge et honteux ,de par mes souvenirs et aussi je la regarde amoureusement. quand elle s’est retournée en me regardant, un peu surpris de mon comportement. puis regarde de nouveau vers l’exterieur.— je suis enceinte,dit ’elle?je suis resté silencieux,attendant la suite,comme je ne vois rien arriver,je lui dis sinceres felicitations.— tu sais mon ami,qu’il m’est impossible de le garder,je ne suis ni preparer,ni avoir les moyens et le plus grave,je ne connais pas son pere.elle se tait un moment.Je reste une bonne minute à demi inconscient, ma tête tourne, j’ai des sueurs froides dans le dos. et ce n’est que lorsqu’elle continue a parler que je me suis un peu ressaisi,pour ne pas laisser passer un mot de sa discussion.-ce dont je suis certaine,quand je suis venu chez vous le mois dernier,je ne l’etais pas.je me suis rendue compte de ce que j’avais fait. Depuis j’y pense assez souvent plus particulièrement la nuit, je suis rongé par les remords. J’ai envie de me confesser pour lui dire que plusieurs fois je voulais la contacter,mais je n’avais pas le courage de prendre la decision.-tout ce que je sais que celle nuit là,dans mon reve,j’ai fais l’amour a un beau cavalier,au prince charmant comme le disait ma mere .avant je ne croyais pas au legende,au pere noel,au reve de jeune fille. mais moi je l’ai vecue réellement. tu en crois toi?Comment lui repondre,alors que je n’arrive pas a avaler ma salive,je me sens mal dans ma peau.-Je penses que toi aussi comme tous les hommes,tu ne crois pas au pere noel?Ou veut t’elle en venir,je ne peux pas tenir plus longtemps,je dois lui avouer,puisqu’elle tourne autour du pot,je suis sur qu’elle attend de moi une repentance. je la regarde,elle me donne toujours du dos vers la vitre,dehors.-Je dois t’avouer un secret,j’ai toujours revé d’un prince charment qui te ressemble depuis l’age de mon passage a la puberté,et je penses que cette nuit là,mon reve s’est exaucé.elle finira par me rendre malade,pourquoi ne va t’elle pas droit au but?.
