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Soirée arrosée, la tentation de trop

Chapitre 1

Erotique
Ce soir, Gilou nous invite chez lui pour passer une soirée arrosée et détendue. Comme à mon habitude, je ramène une bouteille de whisky et du coca.Mon nom est Nathan, j’ai 20 ans. De nature sportive, mon corps s’est sculpté au fil des années pour laisser apparaître une fine musculature. Pas de quoi rentrer dans une mêlée au rugby mais on peut quand même voir se dessiner mes abdos et pectoraux. Je ne suis pas dragueur dans l’âme mais j’arrive toujours à me débrouiller pour décrocher un baiser à une fille lorsque j’en ai envie. Enfin, plus depuis quelque temps. Je tiens à rester fidèle à ma copine même si cela me pèse de temps en temps. En fait, elle me manque quand elle n’est pas là mais j’ai tendance à penser à une vie de célibat quand je la vois trop souvent. Et puis, les soirées n’aident pas vraiment. Plus elles avancent, plus ça picole et plus la tentation de toucher une autre fille grandit. D’autant plus lorsqu’elle n’est pas là, comme ce soir.C’est donc dans cet état d’esprit que j’arrive chez Gilou. Nous sommes un groupe d’amis qui se rejoint les week-ends chez les uns et les autres, profitant de l’absence de nos parents. Paul est déjà là avec sa copine, Jessica. Je ne la trouve pas vraiment superbe mais je dois bien reconnaître qu’elle a un sacré cul !Thomas est là aussi, ainsi que Juliette, une amie d’enfance magnifique que je ne toucherai jamais : j’aurai l’impression de coucher avec ma sœur ! Justine et Clara arrivent en même temps que moi, deux filles très mignonnes mais sans les formes voluptueuses que j’affectionne particulièrement.Nous commençons à boire quand Marion arrive. J’ai toujours été admiratif de son corps. Blonde vénitienne, des yeux bleus et un nez mutin un peu relevé, j’aime son visage mais ce n’est pas ce qui m’attire le plus. Marion n’est pas mince mais pas non plus assez grosse pour qu’on puisse la qualifier comme telle. Elle a de gros seins bien ronds, naturels et un cul de rêve que je n’hésite pas à toucher après avoir bu quelques verres. Je sais qu’elle apprécie. En fait, cela fait déjà un moment que nous jouons l’un l’autre sans aller plus loin que ça. On apprécie simplement notre jeu de séduction. Savoir qu’on plait à l’autre est gratifiant. On se chamaille, on discute de choses plus sérieuses, on se fait confiance. Je dois bien avouer que même si je trouve ma copine splendide, elle n’a pas les courbes de Marion. Des courbes sur lesquelles je fantasme depuis un moment déjà.— Salut Nathan ! je sors de ma semi-transe pour lui faire la bise.— Coucou Marion ! On allait commencer à jouer t’es de la partie ?— Allez !Nous jouons aux cartes et distribuons des gorgées aux uns et aux autres. Rapidement, Marion et moi nous retrouvons en alliance, lorsqu’on me distribue à boire, elle prend aussi. Nous nous défendons bien mais je ne peux empêcher mon esprit de s’embrumer un peu. Visiblement, c’est aussi le cas pour Marion puisque sa main gauche glisse lentement sur ma cuisse. Un frisson que j’arrive à dissimuler me parcourt le dos. Le paquet de cartes s’épuise enfin.— Bon alors. Qui pour un de Beer-Pong ? demande Gilou.— Je te prends !J’avais quelques parties de retard à rattraper contre lui. Il était bon le salaud !— Clara, on fait équipe ? suggère Gilou.— Moi je me mets avec Nathan ! ajoute Marion en se levant.Nous préparons le jeu, six gobelets en pyramide de part et d’autre et commençons. Gilou et Clara contre Marion et moi. Nous prenons d’abord de l’avance, je parviens à viser deux verres tandis que Marion envoie la balle dans un troisième.— Bien joué ça !— Yeah !On se serre dans les bras et je sens sa poitrine contre mon torse.Comme bien souvent, la partie s’équilibre vers la fin. Il ne nous reste plus qu’un verre à viser quand Gilou prend pour cible notre avant-dernier gobelet et fait mouche.— Bam ! On dirait que c’est pas ce soir que tu gagneras !Je ne dis rien et me charge de boire le verre. La tête me tourne un peu mais ça reste encore supportable.— Allez Nathan ! Cette fois c’est la bonne ! me crie Marion.Je me concentre et lance. La balle prend la direction du verre mais ne rentre pas directement dedans. Elle tourne à l’intérieur avant de se faire éjecter à l’extérieur.— Raah, t’as une espèce de chatte !Clara rate son lancer et c’est au tour de Marion. Son jet part, il est parfait. Plouf !
— Houhou !Je lui mets une tape au cul pour la féliciter.— C’est ça qu’on veut voir ! Ce n’est pas terminé. Gilou a droit à un contre… qu’il rate ! Cette fois Marion et moi dansons collé-serré pour fêter la victoire au rythme de la musique qui passe pendant qu’on crie de joie. Je sens ses seins se frotter contre mon torse, mes mains sur ses fesses. Ma verge se tend et je me demande si elle la sent à travers mon short. Bah ! Ça ne me dérange pas.Je souris et me rassoie à la table pour laisser la place à d’autres. Gilou en profite pour rejouer et laver cette défaite.La soirée continue, nous buvons, chantons, dansons. Paul va se coucher et Jessica profite de son absence pour se rapprocher de moi. Elle me taquine, je la pousse sur le canapé pour rigoler avant de la relever et de danser avec elle. Je remarque du coin de l’œil le regard un peu froid de Marion qui s’empresse de prendre Thomas par la main pour danser avec. Elle bouge de façon très sexy autour de lui et je sens une pointe de jalousie émerger au fond de moi.Après quelques chansons, je décide pour moi qu’il est temps d’aller se coucher. Gilou me désigne une chambre avec un lit double et je suis tout heureux de m’installer sur ce grand matelas. Je me mets en caleçon et me glisse sous les draps quand Jessica rentre, ferme la porte et saute sur le lit.— Euh, Jessica, tu te trompes de chambre, Paul est de l’autre côté.— Ah non je me suis pas trompé !Elle se colle à moi et veut m’embrasser. Je la repousse, elle insiste. Je remarque ses yeux un peu vitreux qui témoignent qu’elle a bu plus que de raison.— Non c’est hors de question, tu ne dors pas ici, va de l’autre côté !Marion entre à son tour et repousse gentiment Jessica en l’emmenant dans la chambre de Paul. Je pousse un ouf de soulagement. La copine de Paul est mignonne et son cul m’a fait tourner la tête la première fois que je l’ai regardé mais l’attirance s’arrête là. Il n’est pas question de se mettre en froid avec mon pote juste pour un cul ! J’entends des pas qui se rapprochent de ma chambre. Marion entre de nouveau et s’allonge près de moi.— Je ne sais pas ce qui lui a pris ! me dit-elle.— Ben, il n’y a qu’à me regarder…— Pff t’es con ! rigole-t-elle.— Tu vas dormir où ?— Il reste une place libre dans la chambre de Gilou.Un pincement me prend au cœur.— Tu peux rester ici sinon !— Je ne sais pas si c’est très raisonnable… Je… Mouais.— Waouh tu débordes d’envie !— Bon OK ça va ! elle se marre.Un sourire éclaire mon visage. L’instant d’après, c’est ma verge que je sens tout heureuse, électrifiée par ce que voient mes yeux qui détaillent Marion enlever son haut et son bas pour glisser dans les draps près de moi seulement vêtue de son soutien-gorge et de son string noirs. Ses seins sont en partie cachés par le fin tissu. Ce que je vois me fait frissonner mais ne me suffit pas.Elle éteint la lumière.Rendu audacieux par les vapeurs de l’alcool, je commence à caresser ses fesses. Fermes, arrondies, bombées, je les prends en main et attire Marion vers moi.— On ne devrait pas… commence-t-elle— Ça ne nous engage en rien, on se fait seulement plaisir pour une nuit…— Oui mais… Aaah !Je viens de passer ma main sous son soutien-gorge et empoigne son sein droit avec force. Le pincement de son téton la fait gémir. Je descends ma main doucement vers son entrejambe et parviens à son mont de vénus que je caresse à travers le tissu de son string.— Han !Je baisse la culotte le long de ses jambes, effleure à nouveau son abricot puis retire ma main. Je ne veux pas d’elle si elle ne me désire pas en retour. Mais Marion ne l’entend pas ainsi. Elle prend ma main avec force et la plaque contre son puits d’amour. C’est chaud, brulant même. Je titille son clitoris et la pénètre d’un doigt. Elle mouille abondamment. Depuis combien de temps elle ne l’a pas fait ?J’enlève ma main et retire le drap sous lequel nous sommes. Je dépose des bisous partout sur son cou et entreprends une longue descente en m’arrêtant sur les deux gros globes que je libère de leur prison. Je les prends en main, lèche et joue avec mes dents sur ses tétons.— Han ! Han ! Continue !Elle gémit plus fort à présent. Je poursuis ma descente, dépose un baiser sur son nombril et sors la langue pour juste effleurer son vagin. La sensation que je lui procure la fait se cambrer. Mon envie est énorme mais je parviens à me contrôler pour l’instant. Cette fois, je rentre ma langue dans sa chatte et lui délivre un plaisir que je sais qu’elle n’a pas connu depuis un moment. Son entrejambe est en feu, ma bouche est pleine de mouille que j’avale. Je suce son clitoris puis pénètre ma langue plus en avant.— Han ! Han ! HA ! HA !Elle place ses mains sur ma tête et me plaque contre sa chatte brulante. Un orgasme la foudroie. Je reste quelques secondes ainsi, contre son puits d’amour, le temps qu’elle redescende un peu. Elle écarte ses mains, je me redresse et essuie ma bouche. Marion m’attire à elle et m’embrasse. Un baiser fougueux qui témoigne d’une envie renouvelée. Elle ne veut pas s’arrêter là. Ça tombe bien moi non plus !Elle me retourne, se met sur moi. Nos langues se cherchent et se trouvent pendant qu’elle m’enlève mon caleçon qu’elle jette je ne sais où. Elle prend énergiquement ma bite en main et entame une branlette experte. J’ai besoin de souffler plus fort, je me détache de son étreinte et elle en profite pour s’agenouiller entre mes jambes. Marion dépose plusieurs baisers le long de ma hampe et finit par prendre mon gland en bouche. Elle me suce tout en continuant à me branler. C’est divin ! J’y ai souvent droit avec ma copine mais elle n’est pas aussi experte ! La pression monte et c’est le moment qu’elle choisit pour se retirer et venir me lécher les boules. Je caresse ses cheveux. Elle remonte vers moi, m’embrasse, attrape ma queue et la plonge d’un trait dans sa chatte brulante.— HAA !J’espère que les autres dorment parce qu’ils auraient très bien pu entendre ce cri. Les seins parfaits de Marion rebondissent au gré de sa chevauchée. Ses mains sont plaquées sur mon torse. Je place les miennes sur ses nichons, les empoigne. C’est une vraie sauvage ! La tendresse a disparu de notre relation et elle se donne sans compte pour obtenir du plaisir. Une claque sur ses fesses la fait pousser un cri.— Ouiii ! Encore !Une deuxième claque plus forte succède à la première.— HAA ! Vas y j’aime les fessées !Je ne me fais pas prier. Après plusieurs minutes de ce traitement, je me redresse et la retourne pour l’embrocher à nouveau. En missionnaire, je place mes mains sur ses fesses et la besogne. Je sens son souffle et ses gémissements près de mon oreille. Je mets ses jambes sur mes épaules et continue les va-et-vient. Au bout d’un moment, elle place ses mains sur mon ventre.— Doucement. Dans cette position je vais me mettre à crier sinon !Je lui souris et attrape ses mains que je place derrière sa tête. J’augmente l’intensité. Elle jappe comme une chienne.— HAA ! HAA ! OUI ! HAN ! VAS Y VAS Y !Ses yeux se révulsent, elle tremble. Un orgasme la traverse. Elle pleure.— Oh que c’est bon ! Ha ! Ha !Je me retire mais je n’en ai pas fini avec elle. Après tout, je n’ai pas eu mon orgasme ! Je la place sur le ventre pendant qu’elle se remet juste de ses émotions. Je la lève un peu, elle se positionne en levrette et ma queue vient la cueillir. — HAN !Je la besogne ainsi en la tenant par les hanches pendant quelques minutes. Quand je sens que la pression monte à nouveau, je prends ses seins dans mes mains et plaque Marion contre moi. Là, je caresse son clito et la pénètre plus rapidement. Elle pose sa tête sur mon épaule et feule. La sève monte !Je me retire, elle tombe le dos sur le matelas. Je m’apprête à éjaculer sur ses gros seins.— Haa !Alors que je commence à pousser mes premiers râles, Marion prend ma queue en bouche et attend ma semence. Surpris, je plaque sa tête contre mon pubis et décharge de longs jets au fond de sa gorge.Une fois libéré, je m’allonge sur le lit à ses côtés et la regarde. Elle avale et me tire la langue. Avec un sourire espiègle, Marion se dirige vers mon pénis et nettoie mon gland du mieux qu’elle peut. Avec amour, elle dépose un dernier baiser sur mon membre et me rejoint. Marion pose un bras sur mon torse, je sens son sein droit tout contre mon bras.— C’était génial ! Copine ou pas t’as intérêt à m’en remettre un coup à l’occasion !Je lui souris.— T’inquiète pas j’ai bien pris mon pied aussi. Hors de question que je te laisse filer comme ça !Marion pose sa main sur ma verge et nous nous endormons ainsi.
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