Nous arrivons joyeusement chez nos nouveaux amis, l’intérieur de style oriental est superbe, le dépaysement quasi-total. Samir met de la musique arabe, une mélopée, et prépare la chicha. Les filles nous sommes sur des poufs en cuir, confortablement assises, devant une table basse. Fatiha se lève et nous prépare un thé à la menthe. L’ambiance est chaleureuse et détendue. Sarah me fait remarquer que sur ce pouf, j’ai les jambes écartées et la jupe relevée, en précisant que l’on voit ma culotte. Ok je comprends le message, je me lève et enlève cette dernière. Elle éclate de rire. Fatiha nous entend et demande pour quelles raisons nous rions comme ça. « Tu verras bien, même très très bien » lui répond Sarah. Samir arrive avec la chicha et se penche sur la table basse, sourit et confirme les dire de Sarah. Enfin Fatiha arrive, sert le thé, et, interloquée par ce qu’elle voit, râle en disant qu’on aurait pu l’attendre. Sarah propose que nous soyons tous à l’aise sur ces délicieux poufs.Sans aucune hésitation, nous nous retrouvons tous les quatre en tenue d’Ève ou d’Adam. Nous sommes tous conscients que cette soirée va finir en partie, mais on ne veut pas aller trop vite, Samir gère la chicha, Fatiha, Sarah et moi discutons de choses et d’autres, enfin surtout de la chance qu’elle a d’avoir un compagnon si bien doté. Au bout de quelques minutes, une demi-heure tout au plus, je m’aperçois que la main de Sarah semble occupée sur celle de Fatiha, et réciproquement. Avec Samir nous les observons, avec envie et douceur, Samir me prend la main et me demande de le branler doucement, je ne refuse surtout pas. Je suis encore surprise par la douceur, la dureté et la taille de son appendice. Je le complimente à ce sujet. Je commence à l’embrasser, il répond langoureusement à mon baiser. Sarah et Fatiha ne sont pas en reste, elles se positionnent pour un soixante-neuf. Avec Samir, nous nous rapprochons, je le tiens toujours par le sexe et nous jouons les voyeurs, le spectacle est beau. On voit leur langue jouer avec leur clitoris, leur coquillage s’ouvre, elles sont belles. J’approche mes lèvres de la hampe masculine que je tiens toujours, et je commence à titiller le gland.Soudain une clef entre et tourne dans la serrure de la porte d’entrée et celle-ci s’ouvre sans que nous n’ayons le temps de réagir. Un jeune couple entre et reste là cloué sur place, la fille pousse un cri en mettant sa main devant la bouche. On se recroqueville toute quand Samir hurle « mais ferme la porte; merde ».« Allez dans la cuisine on se rhabille », ils y vont penaud, Samir en profite pour nous dire que c’est son jeune frère qui vient de rentrer, il a les clefs, mais ne devait pas venir ce soir, quant à nous, nous nous rhabillons aussi un peu refroidies. Samir, va chercher son frère et sa copine dans la cuisine, ils semblent s’engueuler un peu les deux tourtereaux, Samir s’excuse et leur propose de nous rejoindre devant la chicha. Samir nous présente Karim son frère, il est mignon et beau gosse. Karim nous présente sa copine Sophie, petite rousse, avec des taches de rousseur qui lui donnent un air angélique. Même si l’ambiance est un peu retombée la soirée reprend de façon normale et détendue, Samir fait même quelques allusions sur nos activités précédentes, sur le ton de l’humour, mais Sophie en profite pour nous poser des questions. Elle semble à la fois curieuse et gênée par ce qu’elle a vu. Sarah y va avec sa délicatesse légendaire et lui demande si c’est la première fois qu’elle voit une « partie ». Sophie devient écarlate, mais répond que oui, et s’excuse du dérangement. Sarah sourit, se rapproche d’elle et lance la discussion sur la bi sexualité. Karim et Samir se regardent ne sachant pas trop comment ça va évoluer. Sophie écoute Sarah et lui répond avec une franchise déconcertante, sur son manque d’expérience, Sarah lui prend la main et commence à l’embrasser dans le cou, Sophie se laisse faire tout en regardant Karim comme si elle voulait son accord. Ce dernier sourit et fait oui de la tête, Sophie alors ferme les yeux et se laisse faire. Sarah lui ouvre le chemisier, qui laisse apparaitre alors un joli soutient gorge noir en dentelle, elle le lui enlève et, par pudeur Sophie protège sa poitrine de ses mains, Sarah la rassure, lui chuchote à l’oreille, elle enlève ses mains, Dieu qu’elle a de beaux seins. Le silence règne dans la pièce, nous sommes tous subjugués par ce qui se passa. Sarah, suce ses seins, et demande à Sophie de la déshabiller. Surprise, Sophie se lève et obéit, Sarah est nue, et à son tour déshabille Sophie. Sarah lui demande de s’assoir sur le pouf et de se laisser faire. La petite obéit encore et Sarah commence par sentir, titiller le sexe déjà humide de sa compagne, celle-ci, pousse de petits soupirs, la tension sexuelle est à son comble. Enfin Sarah lèche l’abricot gonflé de sa partenaire, Fatiha n’en peut plus et, alors que Samir a sorti son sexe, saute sur celui-ci en me disant qu’elle ne peut moralement pas sucer son beau-frère et que donc, il est pour moi. Karim est comme pétrifié, je me mets nue, m’approche de lui et lui demande si je lui fais envie. Il me répond par un timide oui, mais il ne veut pas tromper Sophie. Je lui propose de lui demander la permission. Il s’approche alors du couple de filles, Sophie gémit, son souffle est court, Karim lui demande si je peux le sucer, et entre deux soupirs elle dit oui, mais à côté d’elle. Karim me regarde, j’approche un pouf, et me voilà suçant une belle queue à côté de Sarah qui dévore l’abricot roux à côté de moi. Sarah lèche, pénètre, doigte ce jeune sexe pendant que je suce, aspire, engouffre ce sexe de mâle, et il est aussi bien fourni que son frère. D’un coup Sophie se tend, pousse un cri et jouit longuement, Sarah bois à sa source, mais la jouissance de Sophie fait jouir Karim qui me remplit la bouche, et j’avale tout ce jus d’homme. Nos deux victimes, affalées sur leur pouf respectif se regardent, se sourient et s’embrassent. À mon tour j’embrasse Sarah pour que chacune nous profitions de notre fin de « repas ». Des gémissements et claquements nous rappellent que Samir et Fatiha sont là. On se retourne et ils sont là, Samir prenant Fatiha en levrette, par le « petit trou » tout en lui claquant de temps en temps les fesses. Sophie est hypnotisée par le spectacle, Karim aussi, je demande à Sophie si elle a déjà été sodomisée, elle me répond un timide non, Sarah lui demande alors si elle voudrait tenter, elle ne répond pas, mais fait oui de la tête, Karim est surpris, mais à voir son sexe il prend bien la chose. On va donc jouer les maitresses de maison. Sarah demande à Samir et Fatiha de faire une pause pour éduquer Sophie. Samir grogne, mais Fatiha, se « décroche » et lui dit clairement que c’est son devoir de frère que d’aider Sophie à faire plaisir à Karim. Samir accepte de montrer à Sophie et son frère comment se préparer à une sodo, mais voilà Fatiha est déjà bien ouverte il faut donc trouver un petit cul serré pour la leçon. Je me dévoue. Fatiha va chercher le gel lubrifiant, Sarah propose de guider Karim pour qu’il me le mette. Je suis à quatre pattes, cul relevé et bien cambré, Sarah explique à Sophie l’intérêt de cette position puis met le gel sur l’index de Karim en lui disant de m’en mettre bien sur l’œillet et d’appuyer pour que le doigt entre et lubrifie. Il est assez doué pour un jeune premier, il me met un doigt, et Sarah lui demande d’y mettre un deuxième pour bien me détendre. Savoir que Sophie regarde son copain me doigter pour apprendre à se faire sodomiser me fait quasiment couler. Sarah s’en aperçoit et dit clairement que se faire lécher pendant la sodomie, favorise la pénétration. Aussi elle se met sous moi et dit à Samir de ne commencer à me sodo que quand elle commencera, elle, à me faire du bien. Elle s’attaque à mon clitoris, gonflé, je suis aux anges et je soupire, c’est alors que Samir commence à appuyer son Gland sur mon anus. Celui-ci, malgré la dimension du gland, s’ouvre doucement. Samir y va lentement, mais fermement, Sarah poursuit son travail avec application, je n’en peux plus, je lance mon cul en arrière et enfin tout est rentré. Il me pilonne, ses couilles tapent mes fesses et le nez de Sarah, celle-ci me doigte, je suis en double pénétration et léchage en règle, l’orgasme monte, puissant, enivrant, cyclonique. Je pars comme jamais je n’ai joui je crois, les spasmes de mon petit cul font partir Samir, j’inonde Sarah, je tremble de tout mon corps. Quand je reprends mes esprits, Sarah est toujours sous moi, Karim dans mes fesses et se retire doucement. Je suis exténuée, Sarah est barbouillée et Samir épuisé avoue avoir pris un pied de « dingue » Fatiha nous sort de notre « petit moment de bonheur » pour dire que maintenant c’est au tour de Sophie de tenter de connaitre cette « jouissance de dingue », je crois qu’elle n’a pas apprécié…Elle met Sophie dans la même position que moi, mais ne demande à personne de se mettre sous elle. Elle se place directement dans la bonne position en disant à Samir, moi aussi je veux participer à cette expérience. Elle commence à attaquer l’abricot charnu et déjà juteux qu’elle a à portée de bouche. Sophie apprécie et commence à soupirer, Karim met le gel sur son petit trou, il force un peu, c’est moins facile qu’avec moi, mais son doigt pénètre sans trop de problèmes cet antre inviolé. Un deuxième doigt arrive, Sophie se contracte un peu malgré le travail, appliqué de Fatiha. Je la rassure, lui dit qu’ai début ça risque d’être dur, mais de ne surtout pas se contracter, de se détendre et de se concentrer sur la langue de Fatiha. Karim bande dur, et s’approche du ce fessier offert, son gland appuie sur l’ouverture, il force lentement, Sophie souffle de plus en plus fort, je la rassure, Fatiha astique son clitoris, l’aspire pour la détourner de sa future « souffrance ». Elle pousse un cri, dis qu’elle a mal, mais ça y est le gland est passé. Samir dit à son frère de faire une halte, le temps que son cul s’adapte à son sexe. Il n’ose plus bouger, Sophie s’agrippe aux jambes de Fatiha, sa tête juste au-dessus de minou de sa peut être « future belle-sœur ». Fatiha, ouvre ses cuisses et lui dit, lèche-moi pendant qu’il t’encule ça va t’aider. Sophie se rue sur ce sexe ouvert et, maladroitement, se met à lécher partout, les grandes lèvres, les petites, le clitoris, tout y passe, comme si elle était prise de frénésie, c’est à ce moment que Fatiha hurle, Karim vas-y à fond ! D’un coup de reins rapide Karim enfourne la totalité de sa bite dans le rectum de sa compagne, elle hurle, pleure, mais Karim reste en position et commence ses aller-retour. Sophie se calme, les pleurs disparaissent et laissent la place à des petits grognements sourds, Fatiha trouve de niveau un minou réceptif et vois donc que le plaisir arrive, elle monte son bassin à la rencontre de la bouche de Sophie, elle se frotte sur cette bouche qui halète, elle demande à Karim d’aller plus vite et plus loin, elle veut sentir ses couilles sur son visage. Karim pilonne alors ce jeune cul de plus en plus vite et fort, Sophie ne grogne plus, mais couine vraiment, elle se met à demander à Karim de l’enculer plus vite, plus fort, Fatiha se déchaine aussi, Karim claque les fesses de Sophie puis d’un dernier coup de reins cri sa jouissance, Sophie hurle en même temps, et Fatiha part dans une jouissance folle.Au bout d’un petit moment, tout le monde refait surface, Karim est rayonnant de bonheur, Sophie lui demande, penaude, si elle n’a pas été un peu trop salope pour lui, et pour seule réponse il l’embrasse goulument. Samir et Fatiha se tiennent tendrement par la taille seules, Sarah et moi les regardons avec tendresse.Bon, dis-je, si on finissait cette chicha et si nous buvions ce thé ? On se met à rire et, tout en restant nus, on reprend nos activités normales. Sarah demande quand même à Samir et Fatiha, ce que vont dire les voisins du bruit. Là les deux frères rigolent, le voisin de droite est un vieux sourd, et à gauche l’appartement est libre. Quant à ceux de dessous, ils sont au Maroc. Il se fait tard, nous allons rentrer, Karim ne veut pas que nous sortions seules de la cité, et se propose de nous raccompagner jusqu’à la sortie. Il en profite pour dire à son frère et à Sophie de rester dormir là, et s’ils sont sages il leur proposera de venir demain, heu non ce soir, en boite avec nous. Nous insistons pour qu’ils acceptent. On fait la bise à tout le monde et on descend avec Karim, on en profite pour lui dire pourquoi nous voulons, vraiment retourner en boite demain, et on lui explique le plan.
