Tout d’abord, veuillez m’excuser cher lecteur pour l’orthographe, mais ce n’a jamais été mon fort. Bonjour, je me prénomme Stéphane, j’ai 28 ans et je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée il y a dix ans. A l’époque j’habitais un petit village de campagne.Un matin, au début des vacances d’été, je décidais d’aller me promener en ville à plus de 40 Km de chez moi, car je me faisais un plaisir de regarder les filles et je n’avais rien d’autre à faire en ce début de vacances. Je vagabondais dans les rues, quand tout à coup au détour d’une rue, j’aperçois au loin une jeune femme qui était superbe, je ne la voyais que de dos, mais sa silhouette ne me laissais pas indifférent. Elle avait des cheveux blonds et longs jusqu’au bas des reins, elle portait un top blanc avec un jean moulant un superbe petit cul rebondi et des bottes en cuir à haut talon aiguille. Je ne pouvais pas décrocher mon regard de cette fille, j’étais complètement sous le charme. Je la suivais discrètement lorsqu’elle est entrée dans un magasin de vêtement. Ne voulant pas la perdre de vue et profiter de la vision de cette silhouette le plus possible, je me suis installé à la terrasse d’un café juste en face du magasin afin d’attendre sa sortie et enfin voir son visage. Au bout d’une demi-heure elle sorti du magasin, mais quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’il s’agissait en fait de ma soeur ainée, Adeline. Je l’avais toujours trouvé craquante et même que de tant en tant elle occupait mes pensées lors de mes plaisirs solitaires, mais dans cette tenue, je la trouvais irrésistible. Je voyais rarement ma soeur, elle avait quitté le domicile parental il y a deux ans suite à une mauvaise entente avec nos parents. En sortant du magasin, elle m’aperçut et vint vers moi. Après les modalités d’usage, elle me demanda ce que je faisais dans le coin. Après lui avoir expliqué que je n’avais rien de précis à faire, elle m’invita à me joindre à elle pour poursuivre son shopping, comme ça nous pourrons passer du temps ensemble. Ce fut une proposition que je ne pouvais pas refuser. Nous voilà partie faire les magasins. Je ne pouvais pas décrocher mon regard de son petit cul moulé dans ce jean. Je me demande si elle ne l’avait pas vue car elle prenait de plus en plus de position me permettant de l’admirer. Mais comme toute bonne chose à une fin, il était temps que chacun rentre chez soit. Je ne vous cacherais pas que lorsque je suis arrivé chez moi, je n’ai pas pu tenir longtemps à me masturber en pensant à Adeline.Plus les jours passaient et plus mes pensées vagabondaient sur ma sour, je n’arrivais plus à oublier ce corps qui me faisait tant envie. Il fallait à tout prix que je la revois. Donc je pris le téléphone pour l’appeler afin que l’on puisse repasser une après-midi ensemble à ce moment, je n’avais aucune arrière pensée, je voulais juste la voir pour le plaisir des yeux.Malheureusement pour moi, son travail lui prenait pas mal de son temps et elle ne pouvait pas me consacrer d’après-midi en ce moment, mais elle me proposa de passer une soirée ensemble vendredi prochain. Je n’en demandais pas tant, mais ce fut pour moi une joie. Le rendez-vous fut fixé à 19 h à son appartement. Le reste de la semaine fut très long. Enfin la soirée arriva, et c’est avec 5 minutes d’avance que je sonnais à sa porte. Lorsqu’elle m’a ouvert le porte, je suis resté sur le cul tellement elle était bandante. Elle portait un petit haut sans bretelle, une mini jupe volante et ses bottes en cuir à talon aiguille. Adeline se mit à rire en voyant ma tête et me dit de rentrer, qu’elle serait prête dans quelques minutes et de m’installer dans le salon en l’attendant. Je ne vous raconte pas la bosse dans mon pantalon, je ne crois pas avoir déjà bandé autant que maintenant. Deux petites minutes après elle est arrivée et me dit que ce soir elle m’invite au cinéma, puis on se fera une bouffe quelque part en chemin. Nous sommes donc sortis, j’étais très fier de me promener dans la rue avec une si jolie fille, même s’il s’agissait de ma sour. Dans le cinéma, je jetais quelques coups d’oil sur ses cuisses. La bosse de mon pantalon me faisait de plus en plus mal. A un moment, je me suis risqué à lui poser la main sur sa cuisse et là, elle me remit à ma place en me disant j’étais son frère et que je ne devais pas faire de geste de cette façon envers elle. Je lui présentais mes excuses et ne voulant pas casser le charme de cette soirée, je ne me suis plus risqué à autre chose. Pendant tout le reste de la soirée, nous nous sommes bien amusés. Au moment de se dire au revoir, elle me fit une bise appuyée au coin des lèvres et rentra chez elle. Je pense que mon erreur du cinéma ne l’a pas laissé indifférente. Je restais quelques secondes devant sa porte à reprendre mes esprits, mais avant que je tourne les talons, la porte se rouvrit et Adeline m’attrapa la bras, me fit signe silence avec son doigt sur la bouche et me tira à l’intérieur de son appart. Elle me regarda droit dans les yeux, son regard avait changé, ses yeux pétillaient et là elle m’a embrassée. Nos deux bouches se sont soudées l’une à l’autre dans un baiser passionné. Sa main droite me caressait la bite à travers de mon jean. Je me mis moi aussi à la caresser dans le dos, puis mes mains ont commencé à descendre jusqu’à son cul, que je me suis mis à malaxer sans retenu.Ma sour arrêta tout à coup son baiser pour me dire : " Nous allons faire une grosse bêtise, mais je n’en peux plus, viens, fais moi l’amour tout de suite ".Sur ses derniers mots, elle s’est retournée, s’est appuyée sur la table de séjour en bombant son petit cul. Il m’en a pas fallu plus, je me suis approché d’elle, j’ai baissé mon pantalon avec mon caleçon, j’ai soulevé sa jupe sur ses reins, écarté son string, je l’ai attrapé par les hanches et l’ai pénétré jusqu’à la garde tellement qu’elle était mouillée, ce qui la fit gémir. Jamais en début de soirée, j’aurais pensé que je finirais la bite au chaud dans la chatte de ma sour. J’étais bien au fond de sa chatte,j’en rêvais depuis longtemps. Je me mis en mouvement et commençais mes va et viens. J’étais comme fou, j’accélérais le mouvement et d’entendre Adeline gémir de plus en plus fort me faisait perdre la tête. Mais toute la tension accumulée toute la soirée ne m’a pas permis de tenir très longtemps, donc après 5 minutes de besogne, je me répandais avec de grosses giclées de semence au fond de son vagin. Nous nous sommes allongés dans le canapé l’un contre l’autre en s’embrassant et se caressant nos corps. Je ne voulais plus partir, je me sentais trop bien avec elle. Je me suis endormi. Suite prochainement...
