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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Solange

Chapitre 1

Hétéro
La fête commençait à s’animer au rez-de -chaussé, le volume de la musique avait été sensiblement augmenté. Bientôt la fin de l’année, la fin de cette première année aprés le bac où toute la classe s’était un peu dispersée. Jacques avait demandé à ses parents s’il pouvait organiser une ’petite boom préparatoire’, avait-il dit. Les copains voulaient se retrouver avant leurs examens respectifs ’comme avant’ ! Presque toute la classe de terminale était là, même Julien, le petit nouveau. En effet ils se connaissaient tous depuis le collège et même depuis la primaire pour Cédric et Jacques. Julien, lui, avait débarqué en seconde dans le groupe. Un peu perdu au début, il avait vite été adopté grace à sa gentillesse, sa timidité et sa jeunesse (il avait presque deux ans de moins que les autres). Il avait rapidement fait craquer tout le monde, même les plus moqueurs. On l’appelait encore parfois ’Bébé’. En ce jour, il avait dix huit ans depuis la veille et il craignait quand même un peu quelques surprises ou quelques blagues... Solange se préparait dans sa chambre, au premier étage de cette vaste demeure. C’était son anniversaire, quarante-cinq ans, et ce soir elle sortait au restaurant avec Jean son mari. Cela faisait longtemps qu’ils n’étaient pas sortis ensemble seuls, l’entreprise de Jean lui prenant tout son temps. Pendant un moment Solange avait pensé que Jean avait une maîtresse. La cinquantaine dynamique, il avait su rester svelte. Mais la seule maîtresse qu’il ait jamais eu, c’était l’informatique, et surtout une ambition dévorante d’être le premier. Aussi tous les jours, c’était la guerre pour décrocher un nouveau contrat, trouver de nouveaux clients. Cela leur donnait certes une certaine aisance financière, mais jour aprés jour Solange avait l’impression d’un grand vide dans sa vie. Mais ce soir Solange avait décidé que Jean serait tout à elle. Se sentant délaissée, la boom de son fils l’avait inspirée. Pas d’anniversaire ’plan-plan’ à la maison, pas de sortie du dimanche en famille à la campagne. Non elle voulait son mari pour elle seule et pour ses quarante-cinq, elle voulait même retrouver celui qui la faisait réver il y a... vingt ans, celui qui lui avait fait découvrir la douceur de l’amour, les plaisirs des étreintes. Et pour se faire, se sentant moins sûre de son corps, Solange avait mis le paquet. Longues séances chez l’esthéticienne, qu’elle avait un peu mise dans la confidence : soins de peau, épilation même au niveau de sa toison intime mais pas totale ( Solange n’avait pas voulu malgré toutes les affirmations de l’esthéticienne ), maquillage délicieusement sophistiqué l’aprés midi même. Et une coiffure vaporeuse pour ses cheveux bruns mi-longs pour lesquels elle avait fait des reflets auburn. D’ailleurs, à son retour, son fils l’avait un peu chambrée en lui disant qu’il ne voulait pas de petit frère ! Cédric, qui était là pour les préparatifs de la fête, était resté bouche bée à son entrée, ce qu’elle prit pour un compliment, Jacques avait du lui donner un coup de coude dans les côtes pour le faire revenir à la réalité et lui rappeler que c’était sa mère. — S’ils savaient ce que j’ai dans mon sac ! avait-elle pensé. En effet, toujours sur les conseils de l’esthéticienne soutenue par la coiffeuse, elle s’était offert des dessous affriolants pour finir de subjuguer son travailleur de mari. Elle avait choisi une guépière gris perle satinée avec de la dentelle qui laissait deviner la chair par transparence. Ses seins étaient merveilleusement mis en valeur par les bonnets qui les soutenaient et les propulsaient vers l’avant mais les laissaient à demi dévoilés. La culotte était de la même dentelle fine sous laquelle transparaissait sa toison soigneusement dessinée. Solange n’avait pas osé prendre un string, mais la culotte laissait voir une bonne partie de ses fesses rebondies et la dentelle était divinement tendue par ses deux globes fessiers. Des bas gris fumée complétaient la parure. Solange les avait fixés aux jaretelles de la guépière en les tendant au maximum, en faisant glisser ses mains sur ses jambes et ses cuisses, en mimant inconsciemment des caresses voluptueuses. Assise sur son lit, Solange se regardait dans le miroir. Elle croisait les jambes, les décroisait, les croisait à nouveau remontant haut la jambe du dessus, faisait crisser ses bas l’un contre l’autre. Elle se remit bien assise, les jambes bien parallèles, les écarta légèrement jusqu’à ce qu’apparaise la dentelle qui masquait son entrejambe, les ressera et se pencha en avant pour découvrir ce que laissait voir son décolleté.Elle se leva et mit ses escarpins à talons. Bien sûr ils n’étaient pas très hauts, mais ils allongeaient magnifiquement ses jambes dont le galbe la faisait rosir d’orgueil. De plus, ils l’obligeaient à se cambrer un peu, ce qui faisait ressortir son derrière qu’elle ne trouvait plus si volumineux. Finalement, Solange se trouvait fort belle et désirable, et les rondeurs qu’elle redoutait étaient juste là où il faut pour exprimer l’épanouissement de sa féminité, son mètre soixante-dix lui conférant beaucoup de prestance. Devant son miroir, elle s’admirait, se tournait, se retournait, tendait une jambe, se caressait une cuisse, lissait le haut d’un bas... Elle était toute à sa contemplation quand le téléphone de la chambre sonna. Elle s’assit sur le lit, décrocha le combiné, croisa à nouveau les jambes, et en même temps qu’elle disait allo, elle s’admira encore alors qu’elle faisait balancer négligemment la jambe du dessus. Elle imaginait l’effet qu’elle allait produire sur son mari, et peut-être sur d’autres, elle se faisait plaisir ! Et là, tout bascula ou presque ! C’était Jean. Il serait en retard. Un dossier à finir, un contrat à finaliser ! Cela ne serait pas long, une petite demi-heure, trois quart d’heure tout au plus. Pas plus d’une heure en tout cas... Il avait prévenu le restaurant, il n’y avait pas de problème, il se dépéchait... La contrariété avait empéché Solange de dire quoi que ce soit. Ce coup de téléphone avait brisé le charme, elle ne se voyait même plus dans le miroir. Lui faire çà le jour de son anniversaire, alors que tout était prévu depuis plusieurs semaines ! Elle avait attendu ce moment depuis si longtemps, elle se l’était tellement imaginé, l’avait tellement révé, tellement fantasmé... Elle allait sûrement casser quelque chose, jeter un objet par terre, quand elle entendit du bruit dans le couloir.C’était pourtant clair avec Jacques : personne au premier étage. Solange allait pouvoir passer sa rage sur quelqu’un ! Sans réfléchir, elle se précipita sur la porte de sa chambre, en guépière à dentelle, bas et jaretelles, chaussures à talons. C’est en posant la main sur la poignée qu’elle pris conscience de sa tenue ! C’est à cet instant qu’elle entendit une voix de l’autre coté de la porte.— Vanessa ! Qu’est-ce que tu fais ? Vanessa était la petite amie de Jacques. Ils sortaient ensemble depuis le premier de l’an. Solange ne l’aimais pas trop, elle faisait mauvais genre ; blonde allumeuse, toujours des habits moulants qui étaient sensés mettre ses formes en valeur, mais Solange trouvait cela de mauvais goût. Et surtout Vanessa manquait de classe, contrairement à sa mère Catherine, qui était une ancienne amie de Solange au pensionnat. Et puis, il y avait eu cette histoire bizarre avec Rémy, un ’mauvais garçon’, un ’motard loulou’ en marge de la bande de copains parce que plus vieux et pas vraiment du même millieu. — Vanessa, arrète !!! Vanessa était la petite amie de Jacques, mais ce n’était pas la voix de Jacques. Solange voulait savoir qui pouvait bien être avec Vanessa et surtout que pouvait bien faire cette pimbèche pour affoler ainsi un garçon ! Solange tourna doucement la poignée, entrouvrit la porte et là elle n’en crut pas ses yeux ni ses oreilles. — Alors, Bébé, laisse-moi te faire un petit cadeau pour tes dix-huit ans ! Vanessa etait à genoux devant Julien, lui avait ouvert le pantalon, et tenait dans sa main le sexe à demi rigide du jeune homme. Décidément cette gamine était une vraie vicieuse, elle allait faire une fellation au plus jeune et au plus gentil garçon de la bande, sous le toit de son petit ami. — Laisse-toi faire, Julien, tu vas voir comme s’est bon de se faire sucer par une bouche experte. C’est ton anniversaire et moi je t’offre une pipe comme cadeau ! Vanessa avait descendu un peu plus le pantalon et le slip de Julien, lui dévoilant presque complètement les fesses qu’elle fit semblant de caresser. Elle avait repris le sexe de Julien en main, et commençait d’en rapprocher son visage. — Tu sens mon souffle chaud sur ta bite ? Tu vas voir tout à l’heure, quand je te l’aurais couverte de ma bave ! Julien n’en pouvait plus. Jamais on ne lui avait parlé ainsi, jamais on ne lui avait caresser le sexe. Il était tétanisé contre le mur, Vanessa à ses pieds mais surtout son organe sexuel bandé comme arc, prés être englouti par la bouche chaude de cette fille à ses genoux. Et tous ces mots l’excitaient térriblement.
Il n’y avait pas que lui d’excité, Solange de sa cachette voyait tout, entendait tout, et cette situation lui avait fait oublier sa colère. Cela déclenchait même une sensation bizarre qui partait du fond de son ventre pour irradier vers son entre-cuisse et lui dessécher légèrement la gorge. Sa main droite avait insidieusement glissé vers son pubis et commençait à prendre possession de sa vulve, la dentelle de sa culotte n’étant qu’un semblant de protection. Solange n’attendait plus que Vanessa embouche le sexe de Julien pour faire pénétrer deux ou trois doigts dans son sexe à elle qu’elle sentait se liquéfier comme jamais. Julien aussi n’attendait plus que la bouche de Vanessa l’emprisonne entre ses lèvres pour découvrir la libération de la tension qui tenait son membre viril bandé.— Bébé... dit Vanessa. Puis tout se précipita à nouveau. Vanessa se releva brusquement et partit d’un gros éclat de rire. — Alors, Bébé, tu croyais quand même pas que j’allais sucer ta bite de puceau ! Même pas en rève !!! Et elle partit en rigolant et se moquant du pauvre Julien qui ne comprennait plus ce qui se passait. Ce qu’il n’avait pas révé se transformait en cauchemar ! Il était seul au premier étage d’une maison qui n’était pas la sienne, le pantalon et le slip à mi cuisses, son sexe tendu à lui faire mal et une grande claque à sa sensibilité qui le laissait prostré contre le mur du couloir. Solange non plus ne comprennait pas ce qui venait de se passer. C’était une nouvelle douche froide dans son esprit mais la chaleur et la moiteur qui avaient envahi son ventre et son sexe eurent tôt fait de prendre possession de sa volonté. Elle ouvrit la porte en grand et appela Julien d’une voix chaude et sensuelle qu’elle ne se connaissait pas. Julien tourna doucement la tête, toujours grogui par ce qu’il venait de subir, et vit une femme à moitié vétue ou à moitié dévétue qui se tenait dans l’ouverture de la porte. Une femme soldat, une reine guerrière ! Elle portait une sorte de ’plastron cuirasse’ qui recouvrait tout son buste mais laissait voir la douceur de la peau à travers des dessins de fleurs et autres fioritudes tranparentes. Le bas-ventre de cette vision de rève n’était pas mieux masqué bien que couvert d’une magnifique toile d’araignée gris cendré à peine assombri par la toison que l’on faisait plus que deviner. Les longues jambes prolongées d’adorables chaussures étaient gainées de bas soyeux qui brillaient à contre jour, mais surtout dénudaient une bande de chair laiteuse en haut des cuisses, et cette vision eu pour effet de redonner de la vigueur à son menbre tendu, comme si cela était nécessaire dans son état ! Cette déesse guerrière à la chevelure flamboyante se tenait debout un bras relevé comme la Statue de la Liberté et appuyée contre le chambranle de la porte, l’autre bras tendu vers lui en signe d’invite et la tête nonchalament penchée sur le bras levé. Les jambes légèrement croisées dans une attitude divinement érotique, cette apparition l’appelait de sa bouche sensuelle aux lèvres si finement dessinées. Il était attiré par cette bouche sensuelle au sourire aguicheur, et aussi par ce regard farouche où les yeux brillaient de désir. Julien, hypnotisé par ce qu’il voyait, se décolla du mur et commença à s’avancer vers Solange. Ses habits baissés le bloquèrent et il s’arréta mi géné mi décontenancé de sa niaiserie ! Solange qui ne voulait pas essuyer une nouvelle déconvenue, s’approcha de Julien, lui remonta maternellement ses habits, mais ne les remit pas vraiment en place et surtout ne recouvrit pas ce qui était devenu le seul objet de sa convoitise. Elle prit délicatement une main du jeune homme qu’elle porta à son visage pour se caresser la joue. Dans le même mouvement, son autre main s’était saisie de cette tige rigide qui omnubilait son esprit et elle se rapprocha de Julien pour lui souffler, lui murmurer, lui sussurer quelques mots à l’oreille : — Viens, Julien, c’est aussi mon anniversaire, nous allons nous échanger ’nos cadeaux’. Viens, cette garce de Vanessa ne vaut rien et n’est pas digne de toi. Viens, je vais te donner du plaisir et toi, tu vas m’en donner aussi ! Solange attira donc Julien dans sa chambre et referma la porte derrière eux. Elle le plaqua contre le mur et se colla langoureusement à lui, caressant tout son visage de ses lèvres, de sa bouche, de son souffle, de son nez, humant chaque parcelle de la peau du jeune garçon pour s’imprégner de son odeur, pour s’exciter encore davantage, pour aller jusqu’au bout de ce qu’elle avait entrepri. Elle n’avait pas laché le membre turgescent du jeune homme et avait même commencé un lent et délicat massage masturbatoire. Julien commençait à reprendre ses esprits. La douce caresse de Solange sur son sexe endolori, le souffle chaud de cette femme sur son visage, le poids de son corps contre le sien, tout le ramenait lentement à la réalité. Et Julien se demandait s’il voulait vraiment revenir à la réalité. Cette main douce le cajolant d’un mouvement lent et régulier lui apportait calme et réconfort et même l’insitait à propulser son bassin à la rencontre de la main de Solange pour accentuer le bien-être qu’il éprouvait au travers de son bâton d’amour. Inconsciemment, son visage rechercha le contact de la peau de cette partenaire qu’il n’avait jamais songé qu’il pourrait un jour toucher. Sa bouche cherchait celle de Solange, ses lèvres voulaient attraper celles de cette femelle qui avait entrepris de frotter son pubis sur sa cuisse et même carrément sa vulve. Il cherchait à remplir ses poumons du parfum capiteux et envoûtant de cette femme, mélange étrange de fleurs, de chair, de désir, et de passion. Dans le cerveau de Julien, un étrange combat était en train de se dérouler. Il avait toujours éprouvé pour la mère de Jacques un mèlange de respect et d’admiration. Il était très impressionné par son maintien, sa prestance, sa classe, sa douceur, et sa gentillesse à son égard. En cet instant tous ces mots étaient remplacés par d’autres : grâce, féminité, sensualité, lascivité, volupté. Bizarrement, même si Julien voyait en Solange la mère de Jacques, il ne réalisait pas vraiment la différence d’âge qui existait entre lui et sa partenaire ni même qu’elle aurait pu être sa mère. En ce moment le problème de Julien était qu’il désirait cette femme, qu’il voulait la posseder, lui donner le plaisir qu’elle réclamait de tout son corps et que lui n’était qu’un gamin, à peine sorti de l’adolescence, qu’il n’avait aucune expérience, qu’il n’était qu ’un puceau comme l’avait dit Vanessa. De plus il avait peur de jouir, d’exploser, de se répandre dans la main de Solange, d’obtenir bien egoïstement une sorte de libération sans rien donner en échange à sa libératrice. Il voulait lui expliquer tout ce qui se bousculait dans sa tête. Il posa ses mains sur les épaules dénudées de Solange et articula un début de phrase : — Madame Granger, je voudrais vous... Bien que toute à son émoi, Solange avait bien compris ce qui se passait dans la tête de Julien. Elle posa un doigt sur la bouche du jeune homme pour le faire taire. Puis sa main se posa et caressa sa joue. Son pouce se mis à glisser delicatement, sensuellement sur les lèvres de Julien. Ce pouce se fit plus pressant afin d’entrouvir les lèvres et de pénétrer dans la bouche. Mais au moment où Julien succombait à cette intromission, elle se plaqua d’avantage contre son partenaire et ce sont ses lèvres qui finirent d’ouvrir les lèvres du jeune homme, et c’est sa langue qui s’introduisit dans sa bouche. Ce fut un baiser sauvage, profond. A peine étirée sur la pointe des pieds, elle s’appuyait de tout son poids contre le corps du jeune garçon afin de donner encore plus de force à son baiser, mais sans pour autant relacher le membre raidi qu’elle continuait à cajoler de maniére plus douce pour faire une sorte de contraste entre ses deux caresses. Julien, d’abord surpris par la fougue de Solange, se ressaisit très vite et instintivement comprit ce qu’il devait faire. Dans un même mouvement, ses mains glissèrent des épaules de sa compagne pour l’enlacer et la coller encore plus fortement à lui, une main se posant sur le haut des fesses de Solange. Dans ce geste les fines bretelles de la guépières tombèrent sur les bras de Solange où le violent désir qui l’étreignait avait fait apparaitre tout à la fois transpiration et chair de poule.Ayant ainsi pris possession du corps de Solange, Julien lui rendit son sauvage baiser. Lui aussi chercha à pénétrer sa bouche, leurs lèvres s’écrasaient les unes contre les autres dans obcène bruit mouillé, leurs langues se recherchaient, se repoussaient, s’enlaçaient à nouveau. C’était à celui qui mettrait son organe le plus loin dans la gorge de l’autre ou aspirerait la langue adverse au plus profond de sa bouche. C’était un ballet violent, animal, sauvage et beau à la fois. Leur souffle, leur haleine, leur salive ne faisaient plus qu’un, c’était des années de refoulement qui disparaissaient, libérant enfin ces deux êtres pour leur permetre de s’épanouir dans cette union parfaite. Solange était au paradis dans les bras de cet homme qui l’enlassait si fortement et même lui malaxait, lui pétrissait les fesses la forçant, mais elle était consentante, à écraser sa vulve sur la cuisse qu’il avait serrée entre ses jambes . Elle en profita pour se frotter contre cette masse de chair alors qu’elle continait de masturber le membre viril de son mâle. Plus rien n’existait pour Solange, plus de Jean, plus de Jacques, plus de restaurant, plus de fête au rez-de-chaussée, ce n’était même plus un gamin dans les bras de qui elle était, mais un homme, un mâle avec lequel elle quittait les rivages du désir pour s’enfoncer dans l’océan du plaisir. Julien, lui, était aux anges. Lui qui n’avait jamais touché une fille de sa vie tenait dans ses bras, serrée contre sa poitrine, la plus belle, la plus sublime des femmes. Il commençait à comprendre ce que voulait dire l’expression ’le plaisir des sens’ : ses yeux avait été éblouis par l’apparition de Solange, ses narines s’étaient enivrées de son parfum, sa bouche s’emplissait du goût de sa peau, de ses muqueuses ses doigts courraient sur une peau douce et tendre, enfin ses oreilles étaient envahies de ses râles de désirs et de ses soupirs de plaisir. Instintivement, il fit balancer son bassin pour amplifier la caresse appaisante de la main de sa divine partenaire sur sa barre tendue parce qu’il sentait son volume augmenter du fait du baiser de cette bouche vorace. A bout de souffle, à la limite de l’asphyxie, Solange dégagea ses lèvres de la bouche de Julien. Elle planta ses yeux dans ceux du jeune homme. C’était un regard de feu, de passion, un regard de lionne en furie, de tigresse en chaleur, et c’est en feulant qu’elle lui murmura : — Je vais te sucer ta bite de puceau mais moi, je vais te faire jouir ! Je vais te sucer, te pomper ton bâton d’amour, je vais te vider les couilles mon amour. Je vais te montrer ce que sait faire une femme, une vraie ! Aprés lui avoir effleuré les lèvres et avoir exhalé un nouveau soupir pour qu’il sente son haleine de femelle en rut, Solange se laissa couler le long du corps de Julien, caressant de toute la dentelle de sa guépière ce bâton d’amour qui occupait maintenant tout son esprit. Elle n’avait pas reconnu sa voix, c’était une voix chaude, rauque, venant du plus profond de son corps, du plus profond de son ventre, du plus profond de son désir de jouissance. Elle n’avait jamais employé un tel language non plus, elle ne se reconnaissait ni dans ses gestes ni dans ses paroles. Solange posa un genou sur la moquette moelleuse et vint poser ses fesses sur la jambe repliée sous elle. A demi accroupie, son visage était à la bonne hauteur pour réaliser son projet. Elle avant devant les yeux un sexe d’homme, et elle sourit intérieurement parce que c’était la première fois qu’elle en regardait un autre que celui de son mari. et c’était la première fois qu’elle allait en prendre un dans sa bouche. Son éducation et celle de Jean les avaient toujours un peu bloqués, inconsciemment, et si elle avait plusieurs fois caresser le sexe de Jean, sans jamais l’amener à l’éjaculation, elle n’avais jamais embrassé son mari plus bas que le nombril. Aucun des deux conjoints n’avaient réellement pensé à pimenter leur relation sexuelle, trouvant beaucoup de plaisir à leurs sages étreintes. Mais là devant ce membre érigé, cette tige tendue, ce bâton turgescent, devant cette bite gonflée, elle n’allait pas s’arrêter en si bon chemin et comptait bien profiter de ce sucre d’orge qui lui était offert. Elle n’avait rien vu de plus beau que le sexe de Julien. Elle ne connaissait pas grand chose aux dimensions idéales que devait avoir un ’braquemart de baiseur’ mais celui que lui présentait son futur amant lui convenait tout à fait. Elle l’avait bien en main, même si elle n’en faisait pas tout à fait le tour avec ses doigts (Solange ne pensa pas à le comparer à celui de son mari mais ce rappela que l’esthéticienne ne cessait de la complimenter sur la longueur et la finesse de ses mains), et la partie qui dépassait lui laissait entrevoir que sa luette aurait de la compagnie. Elle se mit en devoir de tenir sa promesse sans se demander si elle saurait s’y prendre, son état d’excitation et son instinct de femelle en chaleur lui inspireraient tout ce qu’elle aurait à faire. La main de Solange qui tenait le membre de Julien continuait son doux et lent massage, alors que l’autre empoignait les bourses du jeune garçon qui se crispa sous cette nouvelle attaque. Il se calma très vite constatant les nouvelles sensations que lui prodiguait cette nouvelle caresse. Mais il n’était qu’au début de ses découvertes, car déjà le souffle chaud de sa divine maîtresse se rapprochait de l’extrémité de son sexe. Solange posa d’abord ses lèvres sur le gland violacé puis le béquota délicatement. Le premier frisson de Julien l’encouragea, et du bout de sa langue elle vint effleurer la muqueuse qui donnait l’impression qu’elle allait se déchirer tellement elle était tendue. Les spames qu’elle ressentait dans sa main la stimulaient, et c’est de toute sa langue qu’elle lapa l’énorme bourgeon de Julien. Puis telle une gourmande c’est toute la colonne de chair qu’elle lécha, sur toute sa longueur et de toute la largeur de son organe buccal. Solange montait, descendait, faisait frétiller sa langue sur chaque millimètre de cette masse de chair dure qui maintenant était toute à elle. Les tréssautements, les contractions de cette verge sous sa langue et entre ses doigts l’excitaient au plus haut point. Le sexe de Julien était tout luisant de sa salive, Solange revenait au sommet du gland puis essayait d’infiltrer sa langue dans le meat, comme le mâle chercher à pénétrer sa femelle. Elle récupérait dans sa bouche les prémices de ce qui s’annonçait comme une éjaculation torrentielle, puis repartait pour emplir sa bouche du goût de ce gourdin. Sa langue était frénétique, ses mouvements devenaient totalement incontrôles. Elle descendit jusqu’aux bourses de son amant, les poils lui grattèrent la langue mais elle n’y préta pas attention. Elle pris chaque couille dans sa bouche, les suça comme des dragées puis les recracha pour se précipiter comme une furie sur le gland qu’elle emboucha d’un coup pour se le planter au fond de la gorge. Julien cru exploser. Pour s’être plusieurs fois masturbé et avoir éjaculé quelquefois en pleine nuit à la suite de rèves érotiques, il savait que son sexe n’allait pas tarder à cracher tout son jus. Les caresses de sa sublime maîtresse, la course suave de sa langue le long de son membre, le souffle chaud de son haleine et la moiteur torride de sa bouche sur sa tige bandée, l’avaient amené à la limite du cataclysme. Julien se contracta pour ne pas jouir immédiatement et attrapa la tête de Solange pour bloquer son mouvement de va et vient le long de son dard. Cette femme était une experte et elle était vraiment trop belle. — Madame Granger, réussit-il à exprimer aprés avoir dégluti ce qui lui restait de salive dans sa bouche désséchée par l’extase, Madame Granger, je vais jouir, je ne vais pas pouvoir me retenir ! Je ne voudrais pas... Solange dégagea sa tête des mains de Julien, enserra fortement la base du membre du jeune garçon pour bloquer la montée de la lave en fusion qui était imminente. Elle dirigea son regard vers le visage de son amant. Elle se fit chatte mais ses yeux brûlaient de passion, son regard projetait des éclairs de folie sexuelle, elle était devenue une véritable panthère perverse. — Julien, mon chéri, souffla-t-elle sa voix voluptueusement féline, appelle-moi Solange. J’ai ton bâton d’amour dans ma bouche, je ne suis peut-être plus une Madame ! Et puis, mon amour, je t’ai dit que j’allais te vider les couilles, alors je vais te pomper à fond et toi tu vas me donner toute ta sève, tu vas m’envoyer ta purée au fond de ma gorge. Julien, je veux te boire, je veux avaler toute ta semence ! Et elle engloutit de nouveau le gland énorme qui allait exploser comme un fruit mûr. Ne voulant pas être en reste, une de ses mains plongea vers sa vulve. Son vagin était aussi en ébullition et débordait de sa liqueur trempant littéralement la dentelle de sa si fine culotte. Ses doigts agacèrent violement son clitoris qui était aussi raide que la queue de Julien, l’irritant avec le tulle du sous vêtement. Ils le frattaient, le pétrissaient, le malaxaient. Solange voulait se faire jouir immédiatement, mais son excitation était telle qu’il lui en fallait encore plus. Alors comme une démente, elle s’enfonça deux, puis trois doigts dans la fournaise détrempée de sa grotte aux délices emportant avec ce qui avait été une affriolante petite culotte en dentelle et qui n’était plus qu’une merveilleuse éponge dégoulinante de sa cyprine. Dans le même mouvement frénétique et à la même cadence elle pompait le dard de son vigoureux amant accumulant sa salive pour mieux coulisser et pour se préparer au déferlement du sperme du jeune homme. Elle repensa aux sucres-d’orge de son enfance et aux sucettes à l’anis d’une certaine chanson. Et là, dans un cri...— Madame Granger !!!! Et dans des feulements, des soupirs, des ronronnements... — HUUMMM ! HUOIUMMM ! HUUUUMMMMM... Julien déchargea tout ce qu’il pouvait avoir dans ses bourses, Solange resserra ses lèvres à la base du gland pour ne rien perdre de ce nectar qu’elle espérait tant, alors qu’un terrible orgasme lui emportait tout le corps dans un océan de jouissance qu’elle n’avait encore jamais connu. A SUIVRE Merci à ceux qui m’ont supporter jusque là. J’attends vos critiques, commentaires et autres conseils avec impatience. Juste une indication, j’ai essayé plutôt de décrire une atmosphère où les mots évoluaient avec la tension des personnages.
Mon adresse : Curieux.00S@wanadoo.fr C’est un double zéro comme qui vous savez pour le ’S’ je vous laisse deviner...
E-mail: Curieux.00S@wanadoo.fr
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