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sonia

Chapitre 5

SM / Fétichisme
En allant à Saint Mandé, elle m’a parlé de ce garçon qui lui plait beaucoup. Mais elle est jeune et si instable que je n’ai su la conseiller avec certitude. Théophile ne m’a pas fait sortir du cabinet pour l’examiner et elle n’a rien osé dire. Comme c’est mignon de sentir une vierge se dévêtir dans votre dos en redoutant que vous ne vous retourniez. Je voyais son reflet déformé dans l’argent de la lampe du bureau médical et imaginait sa crainte. Elle était impressionnée mais contente au final. C’est à moi que Théophile a confié l’ordonnance en lui expliquant qu’il ne fallait pas prendre de décision à la légère. Nieil m’a fait dire à ma nièce que je garderai ses pilules et qu’elle viendra les chercher au besoin.Nouveau jeu de mon propriétaire que je sois cul nu sous ma jupe ou moulée par une culotte fendue par ses soins au rasoir : lorsque nous quittons le siège, une soirée ou toute autre circonstance tardive où nous pouvons néanmoins être surpris, il attache à mon cadenas une laisse en cuir qui se glisse entre la fente de ma jupe et me demande de le précéder d’un pas de chienne promenée par son maître. Hier, à la sortie de l’ascenseur du parking souterrain du siège, j’ai senti la laisse se rabattre sur mes mollets alors que les portes s’ouvraient sur un collègue du même étage. Pour limiter les risques et multiplier les situations embarrassantes de ce type, Nieil me demande de porter des jupes longues, en dessous du genou que le tissu cintré à cette hauteur entrave à merveille au point de rendre mes cuisses divinement longues et mon pas ralenti chaloupé à la perfection.Désormais Nieil fait systématiquement fendre par une couturière à son compte les culottes et slips qu’il m’achète et chez laquelle je vais retirer peu fière les effets stoppés. La femme au regard lourd se trompe rarement en ce qui concerne l’emplacement et l’espace requis pour que ma parure dorée apparaisse fièrement sans constituer comme c’était le cas auparavant une bosse disgracieuse sous les fines étoffes.J’ai invité Virginie à dîner avec nous samedi soir malgré le retour attendu parmi nous de Flore enfin disponible.Nieil a apprécié la compagnie rafraichissante de notre nièce qu’il découvre sous un jour nouveau. Elle se comporte avec nous comme avec des amis et c’est agréable. Autant que de passer une soirée en couple, en famille sans que nos désirs nous submergent. Bien sûr, Virginie ne pouvait soupçonner l’existence d’un habile piège de soie sous les vêtements sages de son autre tante. D’ailleurs, lorsque je suis arrivée avec Virginie à mon bras, Nieil avait à peine achevé et Flore terminait de se vêtir avec hâte. Durant le diner, je l’ai vue grimacer sans doute taquinée par le réseau concocté par notre maître. Il l’a verbalement fait exposer par Flore pendant une absence urinaire de Virginie : “Monsieur a noué un bas à la base de chacun de mes seins le comprimant à l’extrême puis a ceint ma taille d’un autre lien de soie serré très fort qui sert de port d’attache à un autre attaché sur mon nombril. Celui-là passe entre mes cuisses, mes fesses, remonte le long du dos et est étiré jusqu’à mon cou où un dernier est enroulé.” Imaginer ce réseau qui l’étouffait tout en la pourfendant m’excitait et lorsque Virginie se joignit de nouveau à la discussion, je ne parvins plus à quitter du regard ses seins gonflés, congestionnés et maltraités sous un pull qu’ils bombaient avec impudence. C’est après avoir glissé notre nièce dans un taxi que notre maître nous a expliqué, à nous, ses deux soumises réunies au creux de l’immense lit nuptial, ce qu’il attendaient de nous, et plus particulièrement de moi. C’est en libérant Flore de sa douce morsure qu’il a exposé son plan ou plutôt ses grandes lignes directrices. Il ne s’agissait pas d’une séance comme tant d’autres mais d’un objectif à long terme nous investissant d’un nouveau rôle et pouvoir. Alors que Nieil reconvertissait les bas en attachant les poignets de ma soeur aux barreaux de tête de lit, il m’a fixé pour objectif de prendre contrôle de Virginie et de décider pour elle ce qui était bon ou pas. Et ce qui est bon est ce que Nieil souhaite. L’esprit nébuleux, je me suis livrée à une torture à base de chatouilles et de caresses buccales sur le bas ventre de la rousse soulagée de savoir le regard compatissant de son maître posée sur elle.
Nieil nous a annoncé au petit-déjeuner que nous partirions ensemble en vacances et que Madame nous suivraient “ce qui est rare” en égard à ses fonctions.Début de semaine comme je les aime… j’ai mes règles et je n’arrive toujours pas à me faire à ces slips fendus qui laissent s’écouler quelques gouttes inopportunes. Nieil avoue ne pas aimer non plus voir son cadenas souillé par le sang qui échappe parfois à la vigilance des tampons.Virginie m’a téléphoné afin de l’assister dans un shopping infernal qui m’a entrainée aux galeries une bonne partie de l’après-midi. Elle voulait une robe “mode”, je l’ai aiguillée sur une jupe moderne, très courte et d’un blanc uniforme et dépareillé au chemisier noir que je pressentais pour son buste de femme. Des sandales et des socquettes blanches, la panoplie est parfaite et complétée après des moments difficiles. Que Virginie est têtue mais elle m’écoute comme une soeur — si elle savait ce que je fais à Flore — et me ménage afin d’hériter des pilules miracles en temps et en heures. Nieil m’a jointe sur le portable pendant que nous fouinions parmi les travées et m’a demandé d’en profiter pour l’éduquer. Première leçon : lui apprendre à ne pas cacher son corps mais à le mettre en valeur dans un savoureux mélange de honte et d’exhibitionnisme. “Tu connais mes goûts et ton esprit peut dominer ceux que je t’autorise à dresser pour moi…” Le message était clair. Je me suis mise à chercher des vêtements avec elle et les essayages se sont multipliés… Alors qu’elle m’appelait pour s’enquérir de mon avis — qui n’était jamais concluant puisque je prenais maintenant un malin plaisir à la faire se languir et hésiter —, j’ai fait irruption dans sa cabine et refermé le rideau. “Ça ne te dérange pas si j’essaie ici plutôt que de faire trente allers-et-venues… Pour une fois qu’on en trouve une qui n’est pas trop exigüe… Très joli ça. Ça te va très bien. — Tu trouves ?” Non. Mais j’avais noyé le poisson et elle n’osa revenir sur la question. Et c’est ainsi que je ne la voyais plus se dévêtir dans un reflet mais sous mes yeux attentifs. Elle laissa tomber son tee-shirt orange pour un sweat s’ouvrant à mi-hauteur. Elle avait hérité de la poitrine généreuse de sa mère et de la pilosité de son père. Heureusement, sa blondeur paradoxale restituait une image gracieuse malgré des aisselles en bataille et un pubis à la toison débordant par poils épars mais vigoureux le coton de ses sous-vêtements de gamine. L’extrémité de mon index courut le long de l’élastique de son slip, croisant une peau tendre et un poil hirsute. Elle me regardait de son oeil tendre “— Tu sais, un garçon, ça aime les belles choses et je pense qu’il faut songer à que je t’offre le dessous pendant que tu paies le dessus” Elle secoua la tête d’approbation, trop contente de mes conseils qui la conduiront tout autre part que dans le lit du garçon qu’elle veut séduire. “Je reviens, continue…” Et je revins, surveillée par la surveillante de cabines, le bras droit chargé de lingerie. “Essaie ça ma puce” Elle ne disait mot puis elle osa “Devant toi ?”. Je la regardai et déboutonnais mon chemisier. “Moi, ça ne me gêne pas” assurais-je d’un large sourire comme je dégrafai mon soutien-gorge pigeonnant pour essayer un autre balconnet, Virginie fit de même me dévoilant tout en cherchant vainement à les dissimuler deux adorables mamelons roses. “Le balconnet offre de multiples avantages à la femme : il ne trahira jamais, mettant toujours en valeur ta poitrine, de plus, il est très agréable au toucher puisque ta gorge débouche sur un large décolleté que ton petit ami adorera…” Elle buvait mes paroles comme on écoute un messie. Ses yeux pétillaient et ses seins qui seront devenus à sa majorité de véritables globes terrestres baignaient dans un confort d’armatures calfeutrées sous le satin. Elle échangea sa culotte pour le string assorti s’attendant à ce que je fasse de même. Virginie ne me fit aucun reproche de la regarder en demeurant inactive. Ses fesses plairaient à Nieil tant leur fermeté et leur séparation centrale me donnaient envie de les embrasser; elle ajusta sur ses hanches l’élastique, ses doigts suivirent l’échancrure afin de mieux visualiser son tracé sur le corps. “— Ça ne me va pas. — Ça ne te plait pas ? — Non, ce n’est pas. — Alors qu’est-ce ?. Elle se retourna achevant sa minute de pudeur où elle me cachait l’essentiel. La lingerie choisie pour sa découpe exagérément échancrée révélait la négligence qu’entretenait pas ignorance Virginie. “— C’est horrible !” dit-elle vexée “— Mais ma puce ce n’est rien ça…” dis-je d’un ton rassurant en la précipitant contre mon épaule prête à la consoler. “Ta complice Sonia t’arrangera ça, allez, zou, sèche ta larme et rhabillons nous.” Elle m’a remercié et ce soir, Nieil m’a félicité pour mon audace judicieuse, respectueuse et pleine de promesse. Nieil a divinement fait l’amour à sa femme et non baisé sa chienne. Ma récompense…Virginie m’a rappelée le lendemain. Elle doit voir le garçon dont elle me parle demain soir. Je lui ai conseillé — presque ordonné — d’être sage lors de la première sortie et de se faire belle. “— Tu as dit mardi que tu m’arrangerais… — Je ne me souviens” ai-je répondu agaçante. “Arrangerais quoi ? — Tu sais bien ma tante — Non je ne sais plus. Dis moi — Sonia… — Je veux te l’entendre dire ma puce — Mes poils” susurra-t-elle timidement “— Hé bien ? — Tu as dit que tu arrangerais les poils qui dépassent de ma culotte — C’est vrai. Avoue que ça fait négligé surtout si une main étrangère s’y aventure — Oui ma tante — Viens à la maison demain après-midi, je t’aiderais à te préparer” J’ai mis Nieil au courant.Elle sonna à quinze heures, excitée comme une puce, ses affaires pliées au fond du sac à dos. Je l’ai embrassée et offert de boire un thé que je parfumai avec du rhum. C’était elle la plus pressée. “Nous avons le temps… — Pas tellement ma tante — Gagne du temps alors, déshabille-toi.” Et inconsciente elle a posé ses affaires devant moi. Elle avait mis les dessous de satin, croyait-elle échapper à un effeuillage en règle ? Je l’ai conduite jusqu’à notre salle de bains où j’ai transféré le haut tabouret en aluminium au centre du bac à douche. “Installe-toi” ses pieds se posèrent sur le dernier barreau du siège. Je m’agenouillai face à elle et lui demandai d’écarter ses cuisses. Délicatement, ses poils m’apparurent de nouveau, défiant l’absence de satin et croyant perdurer. J’ouvris le tiroir situé sous le siège l’obligeant à écarter un peu plus les jambes et en sortit une paire de ciseaux. “Tu me fais confiance” Elle m’autorisa par son plus beau sourire à tailler dans l’épaisseur encore raisonnable pour son âge. En suivant les contours de l’échancrure, je suis rapidement arrivée à niveler en deux parties son pubis. “C’est la première étape lorsque l’on souhaite faire le maillot. Repérer ce qu’il est nécessaire de supprimer.” Je posai les ciseaux et glissai une main de part en part du string afin de le glisser des hanches. Virginie s’est raidie et m’a demandé “Pourquoi ? — C’est nécessaire.” Son fessier se lève du siège en prenant appui sur ses pieds et en tirant sur les muscles des cuisses, je fais glisser la peau et met à porter de bouche le fruit encore jeune. “Le soutien-gorge aussi… — Mais ? — Virginie” dis-je excédée afin qu’elle obéisse sans plus attendre. Elle le dégrafa et me le tendit pour que je le pose hors de la douche avec son slip. Je posai une main sur chaque genou et les éloigne l’un de l’autre la forçant à m’exhiber son sexe à moitié ouvert. Je l’ai sentie affreusement gênée. Je l’ai été également. Mais j’étais excitée par ce que Nieil m’avait demandé. Je pris une spatule sur laquelle j’ai vidée une partie du tube de dépilatoire et réparti la pâte sur la zone cisaillée. “Ne bouge pas ma puce” lui ai-je dit en me relevant et en lui soulevant le bras droit, lui dirigeant sa main vers le sommet du crâne. Elle suivit mimétiquement le mouvement de son membre gauche et je pus alors répartir la crème sur ses aisselles fournies. “Il faut attendre dix minutes” durant lesquelles je la regardais en souriant et plaisantant du rebord de la baignoire sur lequel je prenais appui. “Ça me brûle ma tante — C’est normal et ce ne sera plus très long.” Je regardai la pendule et décidai d’attendre deux minutes. Ensuite je repassai le seuil du bac à douche et saisit la pomme d’où je provoquai la sortie d’un jet faible et glacial. Je positionnai la source d’eau au niveau du coude puis descendit sur son bras. La pigmentation de son épiderme changea brusquement, elle voulut se relever et commençai à crier en rigolant. “L’eau chaude ne rince pas le dépilatoire…” ai-je précisé en rapprochant la pomme de l’autre aisselle, l’eau ruisselait sur son corps en suivant la géographie de ses courbes, lorsque je projetai le filet glaçant entre ses cuisses, elle laissa échapper un soupir, un spasme. Je stoppai cette torture et à l’aide d’une noix de mousse à raser et d’un rasoir acheté pour elle, je fignolai mon oeuvre et de la course de lame fit chuter les derniers récalcitrants. Pour la récompenser, je modifiai le profil calorifique et réchauffa d’une eau protectrice l’ensemble de son épiderme au point de tremper mes vêtements. Son visage rayonnait de bonheur, elle glissait un doigt sur sa chatte et sourit plus encore. “Prends cette serviette et sèche-toi, je t’attends au salon. Dernière précision, lorsque tu sentiras les poils réapparaître, mieux vaut entretenir la beauté de cette chair comme je te l’ai montré avec ce rasoir. Au fait, je te l’offre. Il te sera utile. Un sexe entretenu c’est agréable et magnifique mais requiert de la patience. Et il en faut plus que de raison pour retrouver une toison conforme à l’origine. Plusieurs mois mais rassure-toi, tu n’auras plus envie de la retrouver enlaidie.” Elle mit un moment et réapparut entourée de satin, les bonnets B révélaient des tétons encore gonflés par le froid tandis que l’échancrure soyeuse débouchait sur une chair lisse et nette tandis que ses lèvres pulpeuses avait rencontré la caresse de mon rouge. “— Je me suis permise… — Tu as bien fait ma puce, ça te plait ? — Ènormément ma tante.” Elle s’est rhabillée et je l’ai accompagnée jusqu’à la rue voisine de son rendez-vous. En rentrant chez nous, je suis allée retirer la cassette du caméscope dissimulé sous la pile de linge sale au pied de la baignoire et me suis empressée de regarder cette scène émouvante de ma nièce me regardant la préparer pour un rendez-vous qu’en m’appelant le soir même elle qualifia de fiasco “Il m’a trouvée changée, trop sophistiquée…” Je souris. J’avais réussit mon coup en la faisant devenir assurément femme et décalée par rapport à ce qu’un adolescent pouvait attendre d’elle. “— Ce garçon n’avait pas de goût. Tu étais ravissante n’est-ce-pas ? — Oui ma tante — Tu te sentais désirable, tu te sentais bien ? — Comme jamais Sonia… — Alors ? — Il n’en valait pas le coup… — Je t’apprendrais à ne plus te tromper tu veux ? — Oui ma tante.” Et pour la seconde fois cette semaine, en récompense Nieil me fit divinement l’amour tout en visionnant la vidéo amateur de notre incestueuse toilette.Nouveau jeu en fin d’après-midi. Nieil m’avait demandé de le retrouver au sortir d’un rendez-vous proche d’un jardin d’enfants où pères et mères emmènent leurs enfants. Derrière un arbre légèrement en retrait, mon propriétaire défit mon chignon et libéra mes longues mèches rousses sur la robe sombre qui moulait mon corps du cou jusqu’aux cuisses qu’elle délaissait à mi-chemin. Il me fit déboutonner les premiers boutons du double boutonnage qui courait sur l’avant mais aussi à l’arrière de l’étui en tissu, m’arrangeant de manière à ce que la dentelle du balconnet devienne visible pour un oeil sensible au décolleté offert et relevé par un foulard en soie enroulé autour du cou mais négligeant ces seins qu’ils ou elles sauraient voir. Il me déculotta en prenant son temps et me confia au creux de la main gauche une bobine de fil invisible dont il attacha l’extrémité entre mes jambes. “— Je vais m’asseoir sur ce banc. Aborde moi, demande moi du feu et rends moi la bobine avec le briquet, ensuite tu iras t’installer en face de moi et lira cette lettre” Lettre qu’il coinça entre mes seins avant de s’en aller m’en laissant seule avec le sac dont je compris qu’il fallait l’emmener dans mon périple. Je suivis ses consignes et prit place sur le banc en vis-à-vis du sien. Je cherchai du regard le fil mais ne le trouvai, ni ne le sentit. J’extirpai son message sous l’oeil amusé d’un père déclinant la surveillance de sa fille turbulente. “Décroise les jambes…” trônait en haut de la feuille. Je le regardai et m’exécutai séduite par la nouveauté de l’instant. Je sentis un étirement sensible du cadenas vers l’avant que retransmettaient fidèlement les anneaux en or. Je poursuivis ma lecture “un coup : soulève tes jambes du sol et regarde tes chaussures…” J’étais ridicule en matant comme une gamine mes souliers vernis avant de recevoir deux coups rapides “arrête et regarde-moi. “Trois coups : fais comme moi” Je le vis sortir de sa mallette un magazine économique et cherchai dans le sac en plastique : il inclina la tête d’un style assuré m’invitant à relever le défi. Le père de famille lâcha une nouvelle fois sa fille pour demeurer bouche bée devant la vision d’une jeune femme lisant un magazine homosexuel sur un banc public. Je m’amusais tout en ayant une arrière pensée de culpabilité. La jeune mère qui était assise avant moi sur le banc le quitta avant que je n’arrive au centre du mensuel et déplie les trois parties du poster central sous l’oeil contenté de mon maitre. Le cadenas se souleva six fois avant de se recoucher sur mes lèvres. “déguste la banane par les deux bouts…” Et le spectacle attira un autre père qui se rapprocha du premier spectateur. “Ouvre la boîte en carton et expose au grand jour son contenu.” J’en sortis un soutien-gorge et une culotte en latex et les posai sur mes genoux tandis que mes mains examinait la face interne truffée de picots en latex souple. Une série de coups brefs… trop pour compter “Mieux que ça” Je rougis, souris et pris la culotte à pleine main et la porta au visage pour mieux la découvrir du regard. Là, les deux pères entamèrent une conversation. “deux coups : deuxième feuillet” “un coup : prends les deux cachets dans l’enveloppe et bois le contenu de la bouteille de Vittel. Tout le contenu d’une traite. Tu peux souffler mais dois ingurgiter en moins de cinq minutes.” Je frôlai l’étouffement puis l’explosion sentant mon ventre gavé d’eau. “Reprends ta lecture” Le silence… Nieil lisait, je m’ennuyais : la lecture des récits homos m’excitaient mais bien vite je m’étais prise à agir de manière à ne pas penser à ma vessie en proie à l’alerte. Et l’excitation accentuait l’envie de me soulager… Je cherchais à croiser le regard de Nieil mais il ne quittait pas son journal. Un des pères s’en était allé tandis que l’autre me regardait en soutenant mon regard. Je baissai les yeux et reçu un nouvel ordre. “Mets les écouteurs et appuie sur la touche play du walkman” La voix de Nieil me lisait à haute-voix certains passages de ce carnet de bord et son montage incluait entre les extraits des séquences sonores extraites de nos soirées : je m’entendais jouir et parler par son biais. Je fermais les yeux et avait envie de me masturber ici, devant les enfants dont les cris rejoignaient les miens. La nuit tombait, je ne voyais plus clair et le père était encore là, sa femme avait emmené la petite et lui demeurait là, pour moi. Je regardais son visage et l’imaginait penser à moi. Je n’en pouvais plus, ma vessie voulait exploser, mon sexe se soulager et mon désir s’atténuer. “Remue nerveusement les cuisses…” C’était pire. J’étais sur le point de me lever lorsque la voix de Nieil cessa sa lecture et me parla : “soulage-toi…” Je le regardai, je saisissais mal son regard “Ici, détends-toi et pisse comme une chienne…” Plus rien, plus de bruit, je rangeais les oreillettes et hésitais, essayant d’ordonner à ma vessie contrariée de se laisser aller. Soudain, le flot inonda mes cuisses, trempa ma robe en humidifiant mes fesses, le liquide chutait sur la terre en provoquant un bruit caractéristique et reconnaissable, l’urine glissait le long du fil tendu jusqu’à l’autre banc. Le père se leva et partit à l’opposée de sa femme afin de passer devant moi, il croisa mon regard angoissé mais enjoué et trébucha sur un obstacle inattendu et demeuré invisible à sa connaissance. Sa rencontre avait brisé une barrière que je m’étais fixée et avait rompu le fil d’ariane en étirant mes lèvres une dernière fois aujourd’hui. Dans la nuit du 18ème arrondissement, je marchais devant mon propriétaire qui ravi de l’état de ma robe protégea la sellerie cuir de son véhicule en me faisant m’enjamber le coffre destiné aux chiens et aux chiennes dans lequel je pris place afin d’être attachée par ma laisse du sexe à la roue de secours. “Tu n’as pas intérêt à pisser en chemin” me dit-il amusé tout en refermant le coffre où je demeurais à quatre pattes afin de ne pas devenir la risée des automobilistes nous suivant.
Montée à Paris de Flore pour son travail. Invitée à nous rendre visite, Nieil me fit part avant son arrivée de sa volonté de la soumettre à distance afin qu’elle accepte plus aisément de progresser vers une totale docilité. J’ai été consultée mais mes suggestions n’ont pas été retenues : notre propriétaire avait prévu une belle et implacable épreuve. un collier métallique serti autour du cou supportant le poids d’une chaine flirtant avec la colonne vertébrale pour se glisser entre les fesses, cuisses et seins et mourir sur l’autre face en acier également close par un cadenas de taille raisonnable. En position assise, la chaîne caressait agréablement la peau mais lorsque Flore se releva, la chaîne se tendit pour écraser son sexe et titiller son anus au point de rapidement l’irriter par l’incessant frottement provoqué par ses lourdes fesses. Nieil lui interdit de courber le dos l’obligeant ainsi à supporter le tiraillement de cette pesante parure. Nous nous mimes à table et dinâmes agréablement oubliant l’étrangeté de nos tenues respectives. J’étrennais la caresse des sous-vêtements en latex garnis de picots souples mais pénétrants tandis que Flore mise au régime se contentait de légumes verts aussi nus qu’elle. Défi pour savoir à qui reviendrait le dessert — un superbe milk-shake avec des morceaux de fraises — et épreuve entre les deux prétendantes : assises sur la chaise, face contre le dossier, a perdu la première qui manifeste oralement, verbalement ou bruyamment la vive émotion qu’elle ressent lorsque s’abat sur ses cuisses la cravache du maître. J’ai craqué au quatrième coup et l’ai vue déglutir son milk-shake si rapidement que le contour de sa bouche en gardait trace. Je sentis sa chaine se frotter contre mon corps une partie de la nuit. Nieil la réveilla — et moi par la même occasion — pour l’accompagner à la gare. La nuit gagnait encore sur le jour et Flore demanda à être libérée de ses chaînes lorsque notre maitre lui suggéra de s’habiller. “— Tu as avalé la seule clef qui ouvre ses cadenas vilaine gourmande…” Son visage rougit de colère, elle avait été dupée et le supportait mal au réveil. D’une gifle, Nieil lui rappela qu’elle était esclave à toute heure de la journée et exigea des excuses produites en équilibre sur un pied monté sur haut-talon. “Tu la chercheras parmi tes excréments ce soir ou demain… peut-être samedi… ce serait drôle que tu te trimballes avec ça sur toi pendant ce temps” Elle gardait le masque puis sourit. “Confisque lui son pull et prête lui un chemisier. Choisis le” me demanda-t-il de manière complice. Elle agrafa sa jupe sur le Ted Lapidus en flanelle noire : le transparent dont le boutonnage commence sous la poitrine. Que ma soeur me parut fragile sous cette fine épaisseur de tissu à l’opacité défaillante dévoilant aux regards curieux la présence entre ses seins laissés libres d’une chaine émergeant du bas ventre et se noyant sous une succession de tours d’un foulard serré au plus près du collier. “Un peu juste mais ça conviendra pour le voyage” conclut Nieil en examinant l’effet qu’exigeait la situation. Et pour le coup, le chemisier souffrait d’une taille en moins par rapport à ce que la décence exigeait : ici, les seins s’écrasaient contre le tissu encore un peu plus tendu et indiscret qu’avec moi. Elle passa sur ses épaules son pardessus et commença par réflexe à le boutonner. Nieil lui tendit une paire de ciseaux et sous son commandement Flore ôta chaque bouton du dernier rempart vers le monde extérieur. Il serra la ceinture autour de sa taille mais le haut du manteau demeurait désespérément ouvert. “Parfait… en voiture !” Et je vis partir ma soeur au bras de mon mari prêt à la jeter en pâture dans une situation inédite pour elle… et pour moi.
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