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sonia

Chapitre 8

SM / Fétichisme
Ce que Nieil n’avait pas encore montré à Virginie, c’était l’étendue de notre docilité. Bien sûr, elle se doutait du degré de servilité de ses tantes mais mon époux a souhaité lui démontrer. Nues, les poitrines liées par des pinces crocodiles reliées à des chaines, nous nous sommes battues. Objectif : arracher du plafond la cravache qui y était suspendue. Lorsqu’une pince cessait de mordre la chair d’une participante (ou des deux), il arrêtait le combat et Virginie venait la replacer sans ménagement sur le téton boursouflé. C’est finalement Flore qui a emporté la partie en me projetant le visage sur le sol d’un coup de main assez violent. Virginie m’a alors attaché le poignet droit à l’extrémité gauche de la bibliothèque, et le poignet gauche à son opposé. Le nez sur les rayonnages, j’ai reçu une terrible correction de la part de ma soeur qui souffrait encore de la morsure des pinces arrachées lors de ma chute. Habituellement, Nieil arrête rapidement mais là, la punition durait au point que je ne puisse plus me contrôler. Larmes et supplications furent abattues comme dernières cartes. Mais Flore a poursuivi son oeuvre, j’ai senti la chair de mon postérieur se déchirer et me suis mise à crier. Virginie aussi demandant à Nieil de la faire s’arrêter. “Tu veux prendre sa place ?” Elle ne répondit pas, Flore attendait pour poursuivre. Un nouveau coup cingla ma fesse droite particulièrement enflammée. “Oui…” Flore me détacha et me renoua à la bibliothèque cul contre les bouquins. Virginie fut attachée contre moi et nos bijoux liés par une chaine munie de pinces. Je lisais la pitié sur son visage, l’amour dans ses yeux. La première morsure se rua sur ses fesses comme un cheval au galop et elle serra ses paupières. Sensation nouvelle qu’elle recevait pour moi… afin de m’épargner. Nieil s’approcha et caressa ses cheveux, son visage puis le mien. “— Nous ne sommes pas des sauvages… Je voulais juste voir ce que tu ferais. Détache les…”. J’ai alors reconnu celui que j’aime puis celui que j’adore. “Sauf la chaine… Qu’elles passent leur soirée unies.” Debouts, assises ou couchées, l’absence de longueur nous gêna considérablement et nous enleva toute autonomie. Le cul beurré de crème apaisante par Flore, j’ai dormi dans les bras de ma nièce sensée se reposer chez une amie pendant que Nieil la baisait sur le sofa.Virginie m’a déjà demandé comment je supportais qu’il me trompe. J’ai eu ces paroles pesées et justes : “Il baise les autres par rapport à moi, pour moi parce que cela m’apporte quelque chose.” Elle comprend. Je suis étonnée. Elle se demande à quel moment elle connaitra la pénétration. Nieil veut la garder vierge mais je suis persuadée qu’il est prêt à éduquer ses autres orifices au sacrifice du phallus auquel je prépare psychiquement Virginie.Ma nièce a fait connaissance avec Madame qui lui a fait visiter son donjon en n’omettant pas d’expliquer ce que j’y avais subi à plusieurs reprises. Beaucoup s’effraieraient. Au contraire, elle s’étonne et se plait à imaginer ce qu’elle ressentirait. J’ai connu cette curiosité. Ce raisonnement mental qui pousse parfois très loin. Mais à son âge, je m’interroge sur la suite…Seize ans… en six mois Virginie n’a fait qu’entrevoir le monde qui lui tend les bras. Elle possède un panel de souvenirs varié : doux, cruels, sensuels, érotiques, durs, torrides, humiliants, sales… Mais ce sont des amuse-bouche que Nieil lui a présentés. Afin de goûter le repas en intégralité, Virginie doit demander l’émancipation afin de quitter l’influence puéricultrice de sa mère et se placer sous la nôtre plus… directrice. Demain c’est aussi l’anniversaire de Julien. Je l’ai invité à goûter chez Madame, il s’occupera de dresser la table et m’attendra avec une bougie enfoncée dans l’anus. Je ne le vois que rarement mais veille à ce qu’il soit torturé mentalement. Sa garde-robe évolue et les porte-jarretelles associés aux bas et aux culottes sont désormais quotidiens pour entretenir son état frustrant d’anti-jouissance. J’ai désormais trouvé un moyen de vérifier sa sagesse : je le fais se masturber sous ma direction et éjaculer dans une éprouvette gradée. Ensuite, lorsqu’il est sage, j’étale sa semence sur son visage ou lorsqu’il me déplait la déverse jusqu’à sa gorge. Je suis très cruelle avec lui et comprend la difficulté qu’éprouve Nieil à ne pas aller trop loin. Le mois dernier, je l’ai trainé à l’opéra alors que j’avais comblé son cul avec un plug d’imposante stature. Il me suppliait et je riais en le menaçant de le laisser choir. Il a résisté. Il tient à moi plus que je ne tiens à lui et pourtant je l’autorise maintenant à me téter. J’adore cette impression d’interdit lorsque je le ramène au domicile de sa mère et que sa bouche s’active sur mon sein extrait d’un chemisier qui l’empêche de respirer l’air chaud de la voiture.Depuis plusieurs semaines, un professeur de Virginie lui causait nombre de soucis. Elle ne voulait plus se rendre en cours persuadée que son bonheur est avec nous. Pourtant, nous ne l’encourageons pas à se fier à cette relation et le travail est une vertu indispensable à posséder lorsque l’on veut bien se courber. Je suis pourtant allée rencontrer ce jeune titulaire afin de pêcher sa pensée. J’ai recueilli ses songes les plus sombres qu’il n’osera jamais exprimé. Le tailleur noir en crêpe de chine a attiré son regard dès que j’eus ôté mon manteau ; la troublante position de mes seins libres et dont le décolleté mal fermé dévoilait la cime l’ont déstabilisé. J’aime jouer avec ces faibles hommes. Je les trouve pathétiques. Comme Julien qui se traîne à mes pieds en me suppliant d’ôter les pinces que je place au bout de ses seins. Ce minable professeur n’agacera plus la nièce d’une si charmante femelle…Ma nièce est depuis cette semaine autonome. Émancipée, elle abandonne sa mère vexée pour emménager dans mon ancienne chambre que Nieil à fait aménager à ses goûts de plus en plus chic. Afin de congédier ces tendances snobs, mon époux éduque ce qui pourrait être notre fille de manière à ce que s’équilibre classe et vulgarité. Hier soir, Nieil nous avait promis un diner au sein d’une grande salle parisienne pour fêter l’événement. Virginie s’était parée de ses plus belles étoffes lorsque Nieil lui a signifié un changement de tenue. Adieu la jupe en laine vierge et le gilet en angora, bienvenue au fuseau de couleur vive et matière affreusement brillante. Shampooing et séchage sans les coiffer ensuite, chemise d’homme en soie privée de la moitié du boutonnage et laissant entrevoir une poitrine nue. “Parfaitement déplacé…” Les mollets gainés par des bottes blanches en cuir s’arrêtant au genou, ma nièce me semblait différente. Je la reconnaissais à peine et elle eut les pires difficultés pour se faire accepter au restaurant. Durant tout le repas, les conversations des tables voisines portaient sur “l’as de pique à côté”. Pour combler le tableau vulgarité, Nieil a tenu a rajouté un élément qui a trotté dans la tête de Virginie durant toute la soirée. Elle connaissait depuis notre trajet au restaurant la sensation d’un sexe chaud gorgé de désir allant et venant dans sa bouche, répondant au contrôle de ses lèvres et se cambrant sous la caresse de sa langue. Nieil l’avait faite patienter pour découvrir le sexe et elle avait connu le plus difficile lorsque l’on est une jeune fille voire même une jeune femme. La pipe. “Pomper une queue” est nouveau pour elle et d’y repenser devant cette assiette de crudités à la crème devait être terrible. Encore plus lorsque l’odeur du sperme séché vous enivre les narines et que la peau de votre visage tire sous l’effet déshydratant de ce masque éjaculé peu avant notre arrivée sur la banquette arrière de la voiture que je conduisais. Elle s’était essuyée avec ses mains puisque ni moi ni Nieil n’avons daigné lui fournir un kleenex et lorsqu’elle fut attablée, la serviette qui lui servirait durant le repas ne pouvait enlever ce qui restait et avait séché. Trois fois elle fut envoyée aux toilettes en devant traverser une salle comble se retournant sur le passage de la jeune poitrine étalée au jour voilé et lorsqu’elle revenait ce sont ses fesses moulées que les gens détaillaient. “Fais moi plaisir ma chérie, vas-y une dernière fois et sers-toi de ceci” Nieil posa une lame de rasoir devant son assiette. Elle le regarda et lui demanda que faire, excitée et apeurée. Elle prit l’objet et quitta la salle. Lorsqu’elle revint, elle marchait comme une petite fille modèle. La tête baissée et les mains jointes devant son bas-ventre. En s’asseyant, elle disposa sa serviette sur ses cuisses que je m’empressai de lui retirer. Nieil se pencha au-dessus de la table et la félicita. Je l’ai regardée, admirée et passé un doigt sur l’entrejambe qu’elle avait déchirée juste auparavant. J’ai encore en mémoire la vision de sa chair rose exhibée durant la suite du dîner et dois avouer que son aplomb m’a impressionnée.En rentrant ce vendredi soir du siège, j’ai trouvé Flore et Virginie en mauvaise posture. L’adolescente, paumes des mains et genoux au sol, maintenait en équilibre une surface vitrée de forme sphérique reposant sur trois appuis : la tête droite, les omoplates et les fesses. Cambrée, la jeune fille restait parfaitement immobile afin d’éviter la chute d’une carafe remplie d’eau posée au centre du verre. Je me suis sentie troublée par l’aspect inhumain de sa tâche : sa respiration était à peine visible et de paroles il n’était question. Sa main droite trempait sur un ovale humide traduisant un précédent essai infructueux, et la marque rouge zébrant son flanc gauche en apportait la preuve. Ma soeur, quant à elle, subissait les affres de l’immobilisation : debout devant la fenêtre dont simplement les rideaux étaient clos, intégralement nue, ses chevilles étaient maintenues éloignées par une barre d’écartement qui devait être aussi douloureuse à long terme que la paire de menottes maintenant les poignets dans son dos. La chair emprisonnée rougissait sous le poids d’un haltère pendant entre ses genoux. Cette masse qu’elle ne parvenait à remonter l’empêchait de se pencher en avant tandis que l’écartement de la barre lui interdisait de poser genoux à terre. Piégée, elle me regardait l’admirer souffrir avec dans son champ de vision sa nièce immobilisée elle aussi. Nieil m’apprit qu’il m’emmenait diner et laissait ces esclaves à leur triste sort. Flore ne pouvait bouger et Virginie n’aurait jamais osé protester. À la sortie du restaurant, Nieil m’a mise à l’épreuve. Je suis allée voir le voiturier certainement marié qui avait regardé mon entrejambe à mon arrivée et lui ai faite la proposition suivante : m’enculer devant mon mari et sur le capot de sa propre berline de luxe. Nous avons attendu au moins dix minutes dans un coin sombre du parc avant qu’il ne se décide à arriver. À la lueur de l’éclairage de l’allée, je suis sortie suivie de Nieil qui m’a demandé de chauffer l’homme ému mais excité. J’ai entamé un effeuillage en règle, de la jupe au chemisier. En bas, slip et porte-jarretelles, j’ai ôté mon soutien-gorge sous l’oeil attentif du porteur d’une queue dont je n’allais pas tarder à faire la connaissance. Nieil lui tendit une capote et me saisit violemment par les cheveux. En trottinant sur mes talons, j’arrivai face à la calandre de la berline sur l’avant de laquelle Nieil me plaqua. La joue contre le métal chauffé par le moteur, les seins fréquentant la peinture vernie couverte de poussière, pollution et moustiques divers, le slip descendu à mi-cuisses, j’attendais qu’il me prenne comme une chienne obéissante. “Tiens, cravache-là d’abord, elle aime ça.” Ce “ça” avait un goût amer dans ma bouche, plus amer encore lorsque ce gringalet trop séduit par l’idée l’appliqua à la lettre mais mal et souhaitant toucher mes fesses abattit l’extrémité de la badine en plein sur mon sexe dont la parure ne souleva aucun commentaire de l’homme ravi de tirer un coup gratos avec une salope embourgeoisée. J’ai conspué ce mâle à chaque fois que sa queue heurtait le tréfond de mon orifice et bizarrement ne pouvait m’empêcher d’aduler alors celui qui le regardait pratiquer sa besogne. Lorsque je commençai à crier, l’homme bloqua ma bouche avec sa main de peur que l’entende travailler de manière inappropriée. J’ai reconnu entre mes lèvres le goût d’une alliance en or qui disparut avec lui. Je ne me rhabillai pas et retournai dans la voiture pendant que Nieil fumait une cigarette à la lumière des phares en examinant les traces de mouille sur son capot. Mon cul enflammé et mes jambes tremblantes me rappelaient la vigueur des assauts répétés et mes mains avaient l’odeur du sperme déversé de la capote sur mes fesses sabotant la sellerie cuir de la Mercedes. À notre retour, Nieil eut le désagrément de retrouver Virginie couchée aux pieds de Flore, elle, encore soumise à la contrainte de la terrible épreuve. Sur le parquet trônaient deux morceaux de verre rompu à l’épicentre et une trace d’eau imbibée. Ma nièce avait pleurniché tandis que Flore contenait sa colère. L’adolescente s’excusait, “c’était trop dur…” alors que la jeune femme critiquait la durée et non la dureté de l’épreuve. Nous étions habituées à plus intense mais rarement à une telle longueur. Nieil regarda Flore droit dans les yeux la clef libératrice au creux de la main. “Elle t’a demandé de la libérer ?” Ma nièce ne dit mot. “Si c’est oui et que tu n’oses le dire, sache que je lui enlève son harnachement mais que tu en hérites ensuite…” Elle répondit affirmativement en n’osant soutenir le regard de Flore. Alors qu’il décrétait une heure supplémentaire pour ma soeur, je lui fis respectueusement remarquer qu’elle n’en pouvait plus. Il m’autorisa à la libérer puis à enduire ses poignets d’une crème riche en lait. Nieil fit du thé et posa le plateau sur la croupe de notre nièce remise en position par mon époux. Assis autour d’elle, nous n’avons pu résister à la tentation de caresser ses seins soumis à la pesanteur ou de passer et repasser la cuillère sur ses lèvres charnues et lisses. Nieil lui a même introduit un sucre entre les fesses puis un deuxième, un troisième et enfin un dernier. Il ôta le plateau de son dos et versa du thé dans une soucoupe qu’il plaça devant elle. “Fais nous rire, lape…” Elle me regarda puis baissa la tête, sortit la langue et l’actionna en répandant le liquide ailleurs que vers son gosier. “Elle a besoin d’entrainement” ricana Flore. “Elle a besoin de connaître beaucoup de choses” conclut Nieil en s’absentant avant de revenir avec une longue seringue d’apothicaire. Il aspira le thé tiède restant dans la théière puis introduisit le tube métallique entre les fesses de l’adolescente gémissante. Nos visages s’éclairèrent lorsque le liquide se mit à flatter ses chairs et combler les intestins. J’allai chercher une bassine, lorsque je revins, le sphincter de Virginie luttait pour retenir le lavement improvisé. Nieil caressait son visage avec amour, Flore disposait le réceptacle. Très rapidement, elle relâcha ses efforts et déchargea une épaisse mixture dégoûtante. Nieil l’envoya se doucher et lorsqu’elle revint, son visage avait retrouvé apparence humaine. “Approche-toi…” Elle s’agenouilla comme on lui avait appris. “Après avoir entamé ton dressage, je vais éduquer ton corps… Je te veux vierge mais ouverte, et c’est ton cul qui va remplacer ta chatte que je déclare inutile. Acceptes-tu ?” Lorsqu’elle répondit oui, Virginie ne pesait sans doute pas tout ce que ce sacrifice impliquait. Je tendis alors à ma nièce le premier plug que Nieil avait su m’imposer en des temps révolus. Fin, de longueur raisonnable, son évasement le bloquait parfaitement au creux d’un anus novice à la dilatation anale étalée sur plusieurs heures. Je le glissai ensuite entre les fesses de ma nièce à quatre pattes et lui prodiguai ces conseils : “Pense-y le moins possible, laisse tes muscles travailler seuls, ne marche pas trop vite et méfie toi des flatulences…” Avec ça, elle était parée à affronter sa plus difficile nuit. Elle dormit avec moi et mit un temps fou à trouver le sommeil. Cette présence l’excitait plus qu’elle ne la gênait mais le résultat fut le même : moins de sommeil, plus de fatigue et un agacement accrue. C’est très difficile au début d’accepter que son orifice agisse sans qu’on le commande et que chaque mouvement, chaque situation nouvelle coupe le souffle en électrisant l’anus.Au fur et à mesure, Virginie tolère le plug de plus en plus longtemps. Je suis chargée d’améliorer sa résistance et ce n’est guère facile. Dès que le latex comble son cul, mon élève est incapable de faire abstraction de ce corps inerte qui vit en elle. Au bout de trois heures, elle pleurniche… Je la beurre de vaseline, lui laisse un peu de repos avant que le travail ne reprenne. Je l’ai envoyée en cours avec le plug, elle est revenue avec l’objet dans son sac. Je lui ai alors conté comment j’avais été contrainte par cuir et cadenas à accepter cette dilatation. Maintenant, je pense qu’elle ne le retirera plus sans me consulter.Boum pour l’anniversaire d’une de ses camarades. Nous avons autorisé Virginie à s’y rendre mais avons choisi sa tenue : robe moulante en coton de couleur noire sous laquelle un oeil averti remarquerait la base d’un plug épousant la séparation des globes fessiers. Sans sac à main ni poches, elle fut obligée de danser avec cette chose en elle sans jamais oublier qu’une fausse manoeuvre le ferait chuter aux yeux de tous et toutes. L’angoisse qu’elle a parfaitement maitrisée lui permet de devenir plus forte chaque jour. Elle commence à ne plus rien avoir d’une petite fille dans son comportement et Nieil en est satisfait. D’ailleurs il a choisi un changement de look pour notre jeune disciple. Je n’aime habituellement pas les tenues tout cuir (blouson sur mini et bustier) mais j’avoue que ça lui sied à merveille. Les cheveux attachés par un lien de cuir et les mollets gainés de bottes courtes à hauts-talons lui permettent d’afficher un âge plus flatteur que ses seize ans et demi.Les résultats scolaires de Virginie sont en chute libre. L’avis de passage en classe de première est défavorable et Nieil a décidé de sévir : pas de dépaysement cette année, vacances en villa côtière pour des révisions sévères. Comme c’était prévisible, Flore ne désire pas se joindre à nous et prend de plus en plus le large. Nieil l’abandonne le coeur léger conscient qu’il ne peut raisonnablement pas assurer des plaisirs de qualité à toutes trois. Ma nièce ne redoublera pas sa section mais ne réintègrera pas le lycée. Nous l’avons inscrite auprès d’un institut stricte et religieux où elle sera interne la semaine. Ses sorties le week-end lui permettront d’apprécier plus encore la saveur de sa soumission permanente. Lorsque je la vois travailler à son bureau, le plug déformant son unique orifice exploitable, je nourris un sentiment de puissance : elle lutte pour son bien mais ignore que son avenir est tracé par notre volonté. Elle sera interne, sage et pudique la semaine ; esclave perverse et dépravée le reste du temps.Dès notre arrivée, Virginie a voulu profité de la piscine mais nous avons bien défini les choses : loisirs après vérification du travail effectué. Nieil se charge des sciences et moi des langues. Matin et début d’après-midi sont consacrés à ces révisions indispensables. Qu’elle travaille à l’intérieur ou bien sur la terrasse en partie protégée par les conifères, Virginie est dépourvue de tout vêtement et liée à son fauteuil par une fine chainette cadenassée à une extrémité au bras de chêne, et de l’autre à son bijou de sexe. Lorsque nous nous absentons pour des courses ou nous balader dans les forêts (Nieil m’a encore cravachée puis baisée contre un tronc d’arbre hier auquel il m’avait attachée), nous laissons l’adolescente soumise à l’impossibilité de se déplacer ou même de se dissimuler. De la colline voisine, nous avons fait de superbes clichés noir et blanc de la jeune femme entravée à sa table de travail. Même en pleine concentration, elle dégage une sensualité hors du commun qui me rend amoureuse d’elle. J’aime Virginie autant que j’aime mon époux. Et mon époux m’aime plus encore qu’elle.Ce matin Virginie a trouvé dans notre lit un homme assez jeune suffisamment beau pour être mon amant et assez pervers pour m’avoir partagée avec mon époux en sa présence. Son intrusion m’a réveillée et je l’ai invitée à s’approcher. Elle restait muette, contemplative, innocente face à une situation nouvelle. Nieil s’est éveillé alors qu’elle se retirait et l’a sifflée. Virginie s’est retournée et a vu son mouvement de la main. Son corps svelte s’est approché du matelas et sa poitrine s’est penchée en direction de mon époux. “Suce-le…” Elle mordilla sa lèvre inférieur — signe de réflexion — me regarda puis contourna le sommier et s’approcha du bord où celui dont je ne me souviens plus le nom dormait. Ses genoux se sont enfoncés dans le matelas et son buste s’est mis à l’horizontale, sa bouche s’approchant du sexe mou et sa langue lapa le gland circoncis. Il se réveilla dès qu’elle le prit totalement en bouche et qu’il se mit à gonfler le volume de sa joue droite sur lequel il butait. Virginie pipe bien aux dires de Nieil mais avec trop de vigueur. Elle n’apprécie pas encore suffisamment la chose pour la faire durer. Elle se fit surprendre par la rapidité de l’homme qui éjacula directement dans sa bouche. Elle eut un mouvement de recul mais sa main la retint. Ses autres doigts s’échappèrent vers son sexe et ressentirent l’infranchissable barrière métallique. Rodé par mes prestations, il ne se démonta pas et entama de faire grimper Virginie à califourchon sur ses cuisses. Nieil la tira par le bras droit et l’allongea sur lui. “Pas touche…” Je me plaçai au-dessus du visiteur pour lui donner satisfaction : mon anus le comblerait de plaisir tandis que mon époux doigtait celui de ma nièce. Alors que je me faisais défoncer, j’ai aperçu ma puce tourner le dos à celui qui dilatait avec douceur son orifice de sa queue chaude et vigoureuse. Préparée, elle l’accueillait sans cri, sans gémissement, poussée par un soupir permanent de plaisir, son corps demandait un rythme accru qui jamais ne fut. Il la baisa longuement, délicieusement, profondément, complètement. Lorsque l’autre fut partie, mes lèvres caressaient les siennes au rythme des coups sourds et espacés, des glissements discrets mais répétés. Je quittai le lit un instant et lorsque je revins m’allonger, Nieil se retira et caressa dans son intégralité le corps de ma nièce frissonnante. Elle se retourna pour embrasser mon mari, je suivis le mouvement et me retrouva face au verso encore luisant des assauts de longue haleine réalisés par Nieil. Le latex du gode ceinture n’eut aucune difficulté à glisser le long de cet orifice humide et sensible à la douleur qui naquit doucement. Dès les premières salves, ma nièce laissa échapper un râle de surprise. Je ne manie pas adroitement cet objet, mes mouvements du bassin sont encore mal synchronisés mais Nieil m’a donné l’occasion de m’entrainer. “Maintenant, c’est ta tante qui va te limer jusqu’à épuisement petite chienne…” Et pendant qu’elle put comparer la différence entre une queue et un gode, Nieil changea de camp, caressant ma nièce puis ma chatte pour revenir à l’autre fente lisse en sa possession.Virginie qui est dorénavant réglée comme une horloge subit les caprices de Nieil. Il profite de la location de cette résidence entièrement carrelée pour interdire à ma nièce le port de serviettes hygiéniques puisque l’utilisation de tampon est prohibée. Peu ragoutante au début, j’avoue que la vue de ma nièce vivant sans aucune protection m’amuse peu à peu… Je la regarde déambuler ou travailler dans le plus simple appareil et prendre conscience des traces qu’elle laisse derrière elle. Et qu’elle nettoie à la serpillière ou à la brosse… en semant de nouvelles gouttes sur son parcours. C’est très humiliant mais Virginie s’en amuse, sauf lorsque la fatigue rend pénible ces travaux ménagers ou quand elle s’asseoit sur une serviette éponge déjà tachée du sang de la veille.J’ai envoyé à Julien une carte postale sans enveloppe où sont inscrits ces mots : “travaille avec un plug plus gros entre les fesses et rase-toi les jambes histoire de préparer tes vacances à la mer…” Pour ma part, je me suis arrêtée de raser mon pubis après autorisation de Nieil. Ma chair est si irritée que son apparence devient parfois disgracieuse.Les règles terminées, les douleurs de l’interminable sodomie envolée, ce sont les vacances qui vont s’achever. Quelques heures de bonheur à trois nous séparent d’une rentrée anticipée pour Virginie. Nous devons lui annoncer ce soir quelle sera sa prochaine année scolaire.Nous sommes sortis en boite de nuit hier soir… Jusqu’à tard dans la nuit, Nieil nous a regardés danser comme des possédées sur des rythmes mécaniques. La rousse et la blonde agitant leur longue chevelure libre de se mouvoir, les deux généreuses paires de seins débordant du vinyl des balconnets et nos anus condamnés par de lourds plugs dissimulés pour l’une par un short moulant, pour l’autre par une micro-jupe en vinyl. Nous étions les stars de la piste hier : intouchables, nous nous éclations entre filles, jonchées sur nos talons aiguilles, nous rendions jalouses les bécasses qui tiennent à peine debout sur ces douze centimètres. En filles, nous excitions les garçons de nos tenues accentuant notre sensuelle sudation. Entre filles, nous choquions lorsque j’embrassais ma compagne ou que celle-ci remontait sa main sous ma jupe. De retour à notre table, notre maître savoura le spectacle de ses soumises se gouinant sans prendre en compte l’environnement et les voyeurs, voyeuses plus ou moins discrets ou anonymes les observant. Virginie se plaisait à extraire puis replacer le plug entre mes fesses à moitié voilées par le latex tandis que je prenais un malin plaisir à ouvrir la fermeture éclair de son short vinyl pour venir asticoter la barrette qui interdit l’accès au vagin dégoulinant. Un videur est intervenu pour nous prier d’arrêter ou de sortir, Nieil lui a carrément proposé une pipe en guise d’indemnité. Il a refusé en souriant mais en insistant pour notre départ. Celui-ci se fit dans l’anonymat le plus infime puisque tous les regards étaient braqués sur nous, chiennes lubriques en manque de jouissance, désireuses de sentir en nous aller et venir une queue ou un objet susceptible de nous rassasier. Au bord de la piscine, Nieil a tiré à pile ou face laquelle de nous serait comblée lors de cette fin de nuit. Virginie a remporté le droit d’être sodomisée en missionnaire au-dessus de moi, allongée, réduite à tenter de saisir entre mes dents ses tétons sans cesse en mouvement. Lorsque j’en tenais un je ne le lâchais plus, allant jusqu’à sentir mes dents de la mâchoire inférieure sentir celle de la mâchoire inférieure ce qui provoquait chez ma nièce un redoublement de ses gémissements. De mes mains en arrière, je bloquais ses poignets et de mes cuisses, j’écartais les siennes pour que le sexe en éjaculation pénètre au plus profond de son corps. C’est ce matin, au petit-déjeuner que nous avons appris à Virginie qu’elle serait internée en institut religieux dès la semaine prochaine. Sa mine s’est assombrie et je sens le doute l’envahir. Mais Nieil a prévu ce soir quelque chose qui lui redonnera la foi.Tu seras là-bas uniquement pour travailler et prendre en permanence conscience que ce que tu vis avec nous est unique… Les soeurs n’auront aucune prise morale sur toi parce que tu sais qu’elles sont comme toi. Mais elles ne le savent pas, c’est tout.” Nieil joignait le geste à sa parole. Habillée en religieuse, je me tenais à genoux près de mon maitre. Le regard de Virginie coincée au creux du canapé en osier en disait long sur ses pensées. Je l’excitais et je me plaisais déguisée de la tête au pied. “Tu vas disposer d’elle comme elles disposeront bientôt de toi en semaine… Fais ce que bon te semble avec soeur Sonia.” Ce qui avait déplu à Virginie, c’était en premier lieu l’uniforme et les restrictions vestimentaires qu’elle allait connaître. Pour se venger, ma nièce adolescente me fit relever ma robe afin que de m’enfiler un corset recouvert de latex rouge et des bas de même matière et de même couleur que le corset auquel ils se rattachaient. Elle me chaussa d’escarpins rouges montés sur talons de vingt centimètres qui attendaient au fond de la malle qu’elle puisse les supporter puis demanda à Nieil de nous conduire en plein centre ville. Je me sentais mal à l’aise à l’arrière du véhicule en pensant que Virginie me réservait un tour en serrant son sac à main tout contre sa robe blanche en coton maillé. Au loin, je voyais le clocher d’une église. “Trouve-là” m’ordonna ma nièce sévère et intuitive. Elle me suivit au bras de mon époux durant ma déambulation. Je trébuchais sur les pavés des ruelles dont le labyrinthe m’éloignait un peu plus de l’église que je trouvai enfin alors que je n’y croyais plus. Sous cette robe, j’étouffais tant le soleil cognait fort pour un début de soirée. “Rentre” me dit-elle en m’escortant du regard. L’intérieur était frais et lugubre. Ils allèrent s’asseoir au premier rang. Alors que j’allais faire de même, Virginie m’indiqua du doigt l’autel des prières. Je pris place accoudée contre la barre. Dans ma génuflexion, j’entendis la semelle des hauts-talons de ma nièce arpenter le sol puis se replacer sur le siège proche de moi. Elle murmura : “Une nonne avec des chaussures pareilles, c’est étonnant non ?” Et je sentis quelque chose remonter le bas de ma robe. Je ne sus qu’après qu’il s’agissait d’un long cierge pris près de la sacristie. Alors qu’elle découvrait mes bas, j’entendis une personne rentrer dans l’église et sentis la toile redescendre sur mes chevilles. “Suis-moi…” et je suivis ma nièce au confessionnal. Je pris place du côté gauche et Virginie du côté droit. L’obscurité mourrait par endroits grâce à la grille nous séparant et à la mauvaise étanchéité des portes mal ajustées. “Vous pêchez ma fille…” lança Virginie en roulant entre ses doigts le cierge. “Oui ma mère” trouvais-je simplement à répondre. “Vous aimez le latex et les coups plus que la prière et la quête ma fille…” je hochai la tête. Elle glissa le cierge par la grille. “Montrez-moi comment vous pêchez ma fille !” Je coinçai ma robe entre mes dents afin de dégager mon sexe sur lequel roulait désormais le bâton de cire. “Vous aimez ça ma fille… faites le glisser en vous !” et j’obéis. Le cadenas n’empêchait pas à un objet aussi fin de me pénétrer. “Redonnez-moi ça ma fille et mettez-vous debout”. La faible hauteur m’obligeait à courber le dos mais mon sexe était suffisamment haut pour sentir le cierge dirigé par l’autre côté de la grille se glisser entre les lèvres charnues. “Tournez-vous ma soeur et expier vos fautes, répétez la prière de la fautive : Dieu pardonne moi d’être la dernière des catins sur terre et d’aimer être baisée comme une chienne en chaleur” Je murmurai. “Plus fort ma fille” Je haussai le ton. Elle violait mon cul de la cire organisée en bâton et trombonait mon anus jusqu’à sa profonde limite. Je récitai et perdant sans cesse le fil de la phrase. À chaque erreur, l’extrémité du cierge se logeait au tréfond de mon orifice provoquant en moi une vive douleur. Je me serais mise à quatre pattes si j’avais pu et me suis contentée de me pencher sur la paroi sur laquelle mes mains prenaient appui. Elle sortit le cierge puis me commanda de le reprendre en main afin de me flageller les fesses avec. Le manque d’espace m’obligeait à un difficile numéro de contorsionniste qui augmentait la douleur des coups. Le cierge se brisa net en deux parties tenues par la mèche. Elle me fit glisser la plus courte entre mes fesses puis rabaisser ma robe sur la plus longue qui pendait entre mes cuisses, accompagnant ma marche du mouvement imprécis et humiliant. Dans la rue où la nuit tombait, elle me demandait de remonter l’arrière de ma robe pour montrer à Nieil mes fesses comblées et rougies par la fessée de cire. Au détour d’une ruelle, Nieil me fit m’accroupir, robe relevée, bouche empressée de satisfaire son sexe tandis que Virginie martyrisait mes lèvres de la pointe de son escarpin droit.Comme ma nièce, j’ai trouvé la mère supérieure aussi lugubre que son bureau. L’ambiance de l’institut est d’ailleurs pour la majeure partie aussi austère qu’elle. Le règlement ne l’est pas moins. “Forger l’âme et l’esprit…” sont les maitres mots de la religieuse qui ignore notre rôle quant à façonner l’esprit de notre disciple confiée dès ce jour à son bon vouloir. Nous la retrouverons vendredi soir jusqu’à dimanche soir. Deux nuits. C’est court mais intense. Et la semaine studieuse lui permettra d’avoir l’esprit libre et le corps entravé. Le week-end, les pensionnaires sont chargées de prendre soin des affaires qui leur sont confiées : chaque jeune fille se voit octroyé et imposé un trousseau de vêtements. Tenue rigoureusement identique chaque jour : robe bleu marine sans manche à col arrondi au-dessous du genou sur un chemisier blanc en coton, souliers plats et vernis avec socquettes blanches sur jambes nues (même en hiver). La rigueur de la tenue s’impose même en dessous. Avec les cinq paires de socquettes sont fournis cinq culottes et cinq soutien-gorge en coton en épais coton blanc. La chemise de nuit descend jusqu’aux chevilles et sert de la toilette du soir (20H) à celle du lendemain matin (complète celle-ci, à 6H30). Les douches ont lieu en cabines semi-individuelles puisque l’essentiel est hors de portée de vue et l’habillement dans en vestiaire individuel. Nieil a déjà dicté un ordre à Virginie. La nuit, elle nous appartient. Même à l’institut et c’est pour cette raison qu’elle a pour obligation de glisser entre ses fesses le plug qu’elle gardera précieusement près de sa brosse à dents dans sa trousse de toilette. Elle le glissera en allant aux toilettes avant le coucher (20h30) et l’ôtera avant sa toilette (7h00 pour sa chambrée, une demi-heure d’attente interminable à n’en pas douter…). Elle partage un dortoir avec sept autres filles qui doivent tout ignorer de ce qu’elle aime mais qui ne s’endormiront pas avec une pression mentale et physique ancrée au cul. Virginie est également prévenue que les soeurs ont le droit de procéder à des châtiments corporels dont elle ignore l’entendue. Ils sont parfois sévères mais toujours justifiés et décidés en commun accord. Mais elle est habituée à notre discipline. Qui n’est pas aussi rigoureuse que celle de l’institution religieuse. Le jeu commence…
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