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Sonia mon amour

Chapitre 2

Erotique
Nous nous voyons presque tous les jours pendant plusieurs semaines. Je suis de plus en plus accroc, mes pensées ne sont que pour elle, je ne vis que pour la rejoindre quelque part et discuter, juste pour passer un moment avec elle, entendre sa voix. Je remarque qu’elle est de plus en plus décontractée, qu’elle s’habille plus mode. Jusqu’à ce jour, un vendredi, ou en pleine discussion, elle se penche vers moi, m’immobilise la tête avec ses deux mains et pose ses lèvre sur les miennes. Elle passe un bras derrière mon cou et me plaque sur sa bouche pendant que sa langue force le passage, que j’ouvre volontiers, pour venir papillonner dans ma bouche dans un long baiser aussi voluptueux qu’inattendu. Elle finit par se détacher de moi, elle pose sa tête sur mon épaule.-J’en avais envie depuis tellement longtemps.-Moi depuis qu’on s’est vu pour la première fois, mais vu ce qui t’es arrivé je n’osais pas prendre l’initiative.Elle me reprend la tête entre ses mains, me regarde intensément.-Est-ce qu’on peut se voir ce soir après les cours, je sors à dix-neuf heures ?-Bien sûr, en plus je sors en même temps, tu veux que je te prenne quelque part pour aller manger au resto de l’école des mines ?-Attends-moi devant ma section.-Ok, mais il va y avoir du monde, on va me voir.-Rien à faire, avant de retourner en cours, tu peux m’arrêter chez moi, j’ai besoin de me changer ?-Bien sûr.Je la laisse devant chez elle, je n’ai pas le temps de l’attendre, je dois retourner en cours, je suis à la bourre. Heureusement, elle n’habite pas loin de l’IUT. En arrivant, je me gare juste devant l’entrée de sa section. L’après-midi me semble durer une éternité.
Le soir, j’arrive à la voiture quelques secondes avant elle. Elle sort avec deux copines, leur fait la bise et se dirige vers moi. Elle s’est changée, elle a remis la jupe de la première fois avec le même corsage. Elle entre dans la voiture en souriant et se penche pour déposer un baiser sur mes lèvres. Une de ses copines nous regarde avec le pouce levé. Elle lui sourit.
Nous mangeons au resto de la maison des élèves, c’est rapide, c’est le début du week-end et il n’y a que très peu de monde. Ensuite, nous allons boire un café au bar au rez-de-chaussée. Nous discutons de tout et de n’importe quoi, pourvu qu’on soit ensemble. Elle me regarde droit dans les yeux.-Tu as bien une chambre dans cette maison des élèves ?-Oui, au dernier étage.-Je peux la voir ?Je la regarde interloqué. Je ne m’attendais pas à ce genre de question. Après un moment d’étonnement je me ressaisi.-Bien sûr, quand veux-tu la voir ?-Tout de suite.-Ok, allons-y.Nous prenons l’ascenseur, elle me tient par la main en se serrant à moi. En moi-même, je bouillonne, que ce passe-t-il ? Que veut-elle faire ? Je ne sais pas très bien où elle en est de sa reconstruction, je me pose plein de question quand nous arrivons devant la porte de ma chambre. Je reste là, immobile, les bras ballants, j’hésite.-Jean, tu ouvres ?Sa voix me fait réagir, j’ouvre la porte et nous entrons dans ma chambre. Il y a un lit en quatre-vingt-dix, ce qui est très rare dans des chambres d’étudiant, un cabinet de toilette, un bureau, une chaise et c’est tout. Sonia s’assoie sur le lit et me fait signe de venir à côté d’elle en tapant du plat de la main sur le drap. Je viens m’assoir à côté d’elle, je ne sais pas ce qu’elle veut et je ne veux surtout pas précipiter les choses. Elle pose sa tête sur mon épaule.
-Jean, je me sens vraiment bien avec toi, en sécurité. Je sais que je peux te faire confiance. Je voudrais sentir tes mains sur ma peau, j’en ai envie, mon corps me le demande, avec insistance même, mais je ne sais pas si je vais pouvoir le supporter. Est-ce que ma tête va supporter qu’une main se promène sur ma peau. Tu veux bien être avec moi ?-Bien sûr, comment peux-tu en douter ?-Je n’en ai jamais douté, je voulais que tu me le dises, en avoir la certitude. Embrasses moi.Nos bouches se soudent pour un long baiser. Elle prend ma main droite et la pose sur son flan. Je sens sa peau ferme au travers du tissu de son corsage. Je n’ose pas trop bouger ma main, mais elle s’en saisi et la fait monter le long de ses côtes. Je m’enhardi et passe ma main sur son dos, elle parcoure des épaules au bas du dos, jusque sur le haut des fesses. En passant dans son dos, je n’ai pas senti de bretelles de soutien-gorge. Ma main vient sur le devant, passe sur le ventre et remonte doucement. Soudain, je sens le bas de son sein gauche, j’arrête ma main. Elle libère ma bouche.-Continu.Ma main remonte et fini par englober son sein libre de toutes contraintes. Il remplit entièrement ma main. Je le malaxe doucement, elle a un léger soupir, elle ferme les yeux. Je vais vers l’autre sein, le soupèse, le caresse. Ses seins sont fermes et souples, ils pointent avec orgueil leurs mamelons durs. Je me penche un peu pour poser mes lèvres sur les siennes. Elle m’embrasse avec fougue. Ma main est toujours sur ses seins, elle s’en saisi pour la poser sur son ventre et pousse un peu vers le bas. Elle se laisse aller en arrière et se retrouve sur le dos avec moi sur le côté. Son ventre est libéré, ma main peut descendre vers sa ceinture. J’évolue doucement, je ne veux pas qu’elle réagisse mal à une de mes initiatives. Je suis au niveau du pubis quand elle se redresse. Je me redresse aussi.-Enlève-moi mon corsage s’il te plait.Je la regarde étonné.-Tu es sûre que c’est ce que tu veux.-Oui, enlève-le.Je déboutonne tous les boutons, écarte les pan du vêtement et le lui enlève. Elle est là, devant moi, torse nu offrant deux magnifiques seins hauts et ronds à ma vue. Je me penche pour déposer un baiser sur chacun de ses mamelons érigés. Elle me sourit et se lève.-Enlève-moi ma jupe.-Sonia tu es vraiment sûre ?-Enlève-la s’il te plait.Là, je n’hésite plus, je défais le bouton de la ceinture, baisse le zip et laisse tomber la jupe par terre. Elle apparait en petite culotte de dentelle fine blanche.-La culotte aussi.Je lève la tête et la regarde. Elle me regarde avec un air serein et déterminé.-Vas-y, enlève la moi.Je pose mes mains de chaque côté de sa culotte et descend doucement pour la faire glisser le long de ses cuisses. Une fois la culotte par terre, elle se dégage et s’allonge sur le lit, sur le dos. Elle est là, nue devant moi, sa peau sombre luit sous la lumière de la lampe de chevet. Ses seins ronds pointent vers le ciel, son ventre plat monte et descend doucement au rythme de sa respiration, son pubis rebondi est couvert d’un léger duvet assez clairsemé et bouclé, ses superbes jambes n’en finissent pas. Elle prend ma main et la pose sur son ventre, met ses bras au-dessus de sa tête et ferme les yeux.-Je suis à toi.-Comment ça tu es à moi ?-Caresse-moi s’il te plait, mais avant, j’aimerais bien que tu te déshabille aussi pour venir te mettre à côté de moi, fait le toi-même s’il te plait, je ne pourrais pas.Je m’exécute prestement et viens m’allonger à côté d’elle. Je pose ma main sur son ventre. Sa peau est d’une douceur extraordinaire, je n’ai jamais touché un grain de peau si fin. Je la caresse lentement, ma main parcoure son corps des cuisses aux épaules sans appuyer ni passer par son sexe ni ses seins. Je survole son corps d’une main légère. C’est elle qui me prend la main et la pose sur son sein gauche.-Caresses les, ils en ont besoin, j’en ai besoin.Je lui caresse les seins, me redresse un peu pour pouvoir les prendre entre mes lèvres. Ma langue excite les mamelons, je vois son ventre monter et descendre de plus en plus vite. Elle laisse échapper des petits soupirs, les yeux fermés. Sa respiration est de plus en plus saccadée. Pendant que je lui suce les seins, ma main descend vers son pubis. Arrivé à destination, je la sens se raidir.-OOOOOHHHHH oui, oui.Elle jouit presque en silence. J’arrête ma main, je sais que pendant l’excitation on devient très permissif, c’est le corps qui dirige, plus le cerveau, mais une fois la tension tombée, le corps apaisé, la réaction peut être plus violente. Elle se détend petit à petit. Je suis à côté d’elle et je bande comme un âne. Je m’écarte un peu pour la laisser libre de ses mouvements. Elle se redresse, se lève et me regarde.-Merci d’avoir été si patient, merci de m’avoir donné ce plaisir sans contreparties, merci de n’avoir pas profité de moi, j’étais à ta merci, tu n’en as pas profité, je sais maintenant que se sera toi, et seulement toi.En constatant mon état et sourit.-C’est moi qui te met dans cet état ?-Je vois que tu as le sens de l’humour. -Excuses moi, mais je ne suis pas encore prête, ce que je viens de faire avec toi était impossible il y a encore deux jours. Tu peux me laisser le temps ?Je me redresse, m’assoie sur le lit et la fait s’assoir à côté de moi.-Je t’attendrais le temps qu’il faudra. Je ne te l’ai encore pas dit, mais je t’aime Sonia, je t’aime, tu occupes toutes mes pensées, tu ne sors pas un instant de mon esprit.Elle se penche sur moi et m’embrasse passionnément. Mes mains parcourent son corps, quand je sens pour la première fois une de ses mains sur ma peau nue. Elle monte et descend timidement le long de mes côtes. Elle arrive au niveau de mes fesses et s’arrête. Les miennes lui parcourent tout le corps, et finissent par lui malaxer les fesses. Elle se détache un peu de moi.-Tu crois qu’on peut dormir tous les deux dans ton lit.-On va être serrés, mais j’avoue que je vais adorer sentir ton corps contre le mien. Et toi, tu pourras supporter un corps d’homme nu contre le tien ? Nous allons être très serrés.-Si c’est toi, j’en suis sûre.-Ok, mais tu sais, je ne pourrais pas m’empêcher de te caresser, tu ne m’en voudras pas ?-Bien sûr que non, pourquoi crois-tu que je veuille rester là.-Ok, au lit.Nous nous couchons enlacés. Sonia a sa tête au creux de mon épaule, elle m’enlace la poitrine. Mes mains parcourent son dos en insistant un peu sur ses fesses rondes et fermes. Nous sommes un peu serrés, mais je suis aux anges, j’ai entre mes bras le magnifique corps de la femme que j’aime, chaud, serré contre moi, complètement abandonné. Contre toute attente, nous nous endormons assez rapidement dans les bras l’un de l’autre. Ca deviendra une des caractéristiques de notre relation.
Je me réveille assez tôt le samedi matin. Pour une fois, nous n’avons pas cours, il y a un colloque à l’IUT et les amphis sont fermés. Je sors du lit, Sonia bouge un peu mais se rendort. Elle est là, allongée sur le dos, les jambes légèrement écartées, les bras au-dessus de sa tête, ce qui fait ressortir sa sublime poitrine. Je peux admirer son sexe entrouvert. Son clitoris dépasse à peine de ses lèvres qui me paraissent bien humides. J’arrive tout juste à me retenir de me jeter sur elle pour embrasser ces seins et ce sexe offerts, les lécher, les titiller avec ma langue. Le visage de Sonia est détendu, sa respiration est lente et régulière. Elle dort en toute confiance. J’enfile un pantalon et une chemise et vais acheter des croissants au boulanger d’à côté. A mon retour, Sonia dort toujours. Je fais chauffer de l’eau avec une résistance et fait du café. L’odeur réveille Sonia qui en me voyant me tend les bras. Je me penche pour l’embrasser, elle me tire brusquement ce qui me fais tomber sur elle. Nos bouches se soudent pour un long baiser.
A suivre
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