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Sonia mon amour

Chapitre 6

Erotique
Deux heures et demie après, nous sommes arrivés. Mes parents sont étonnés en nous voyant débarquer dans leur magasin vendredi en fin de matinée. Ils nous attendaient le lendemain dans l’après-midi. Sonia avance timidement, elle n’est pas très à l’aise. Ma mère me saute au cou, et je vois au regard de mon père que Sonia, sans dire un mot ou faire quoi que ce soit, a déjà gagné la partie. -Sonia, je te présente ma mère Clémence et mon père Etienne.Elle se dirige vers mon père et l’embrasse à la manière du sud-ouest, trois fois. Il fond. Ma mère vient vers elle, la prend par les épaules, la regarde dans les yeux et l’attire à elle pour l’embrasser.-Très heureuse de faire votre connaissance Sonia. -Moi de même madame.-Jean n’avait pas parlé de votre beauté à son père, vous êtes ravissante.-Merci madame.-Que de madame, moi c’est Clémence, lui c’est Etienne d’accord ?-D’accord Clémence.-Voilà c’est bien.
Ma mère est très heureuse de nous voir si tôt, et me demande de l’amener à la maison pour compléter le repas. C’est une femme de quarante-deux ans, d’un mètre soixante-huit, jolie, mince, yeux bleus, bouche fine, ancienne sportive qui s’entretien. Elle a une poitrine moyenne, encore haute, un ventre plat, des hanches fuselées et des jambes qui selon elle, manquent de galbe, c’est son défaut dit-elle. C’est une très belle femme qui ne passe pas inaperçue dans la rue. Mon père, un mètre quatre-vingt, la gueule d’un cow-boy des westerns américains, yeux bleus, ancien pilote de bombardier pendant la guerre de quarante, très sportif, bien dans sa peau, très érudit, il parle le grec et le latin, sans aucuns complexes vis-à-vis de personne, pour lui un homme n’est qu’un homme, rien de plus ou de moins, quelle que soit sa position sociale. Il apprécie beaucoup les jolies femmes.
La maison est très grande sur deux niveaux plus les combles, sur un terrain de mille huit cent mètres carrés, elle est entourée de cyprès assez hauts qui protège des vis à vis. Au rez-de-chaussée, un immense salon-salle à manger d’un seul tenant, la cuisine, la chambre de mes parents avec sa salle de bain privative, des WC et une douche individuelle, avec en plus une terrasse qui coure sur deux côté avec accès par le salon ou la chambre de mes parents et longeant la piscine. Au premier étage, quatre chambres divisées en deux groupes de chaque côté de l’escalier avec chacun une grande salle de bain et un WC. En haut, sous les combles, ma chambre, c’est la plus grande chambre de la maison, avec un WC particulier. C’est moi-même qui l’ai aménagé, cela m’a pris plus d’un an de travail. Elle a la particularité d’intégrer une salle de bain avec douche dans un angle, ouverte sur la chambre, mais surtout une baignoire ancienne en fonte entre la salle de bain et le lit. C’est une de mes idées. J’ai aménagé un coin pour faire mes maquettes en bois, je suis modéliste depuis mon enfance. La chambre dispose aussi de deux grandes baies vitrées donnant sur deux terrasses en opposition, avec vue sur la campagne environnante. Elle est décorée de meubles rustiques, et a des poutres apparentes. Il y a un étage qui nous sépare de mes parents, et c’est souvent bien pratique quand je ne suis pas seul. Je suis le seul à l’utiliser, mes frères la trouvant trop grande et trop de marches à monter. Sonia se rafraîchie un peu et nous descendons aider ma mère.
Quand mon père arrive, nous déjeunons, ils doivent retourner au magasin pour quatorze heures, et c’est juste comme temps. Je lui demande de téléphoner à son ami pour trouver un travail pour Sonia sous réserve que ses parents acceptent. Il me dit qu’il s’en occupe. L’après-midi, mes parents partis, nous décidons de faire une petite sieste. Sonia est heureuse, elle a été très bien reçue par mes parents, qui l’on tout de suite adopté, surtout mon père qui est très sensible à la beauté et à l’intelligence des femmes, et Sonia ne peut que lui plaire. Elle se déshabille et tourne autour de la baignoire.-C’est extra, je n’ai jamais vu une baignoire au milieu d’une chambre. D’où vient cette idée ?-De moi, un jour, j’avais vu une baignoire trôner au milieu d’une pièce dans une maison en démolition, j’ai trouvé ça génial et insolite cette baignoire au milieu d’une pièce.-Super, Je pourrai prendre un bain ?-Evidemment elle n’est pas là que pour la décoration, c’est une vraie baignoire. Mais pour l’instant vient dans le lit.-Un lit à deux places, on va être loin l’un de l’autre, on ne va pas pouvoir se toucher.-Viens, je vais te prouver le contraire.Sonia vient vers moi avec sa démarche chaloupée en me souriant. Elle se jette sur le lit à côté de moi. Nous nous embrassons en nous caressant, Sonia va de plus en plus loin, elle se découvre petit à petit. Elle se blotti contre moi, je la caresse, elle se laisse faire en somnolant les yeux fermés, le visage serein. Un peu fatigués par le trajet en Simca 1000 sur cette nationale tortillarde de 1969, nous finissons par nous endormir dans les bras l’un de l’autre. Vers dix-sept heures, j’entends un bruit à l’étage en dessous. C’est mon plus jeune frère qui arrive du lycée. Je préviens Sonia, nous nous habillons et descendons au salon. Il nous rejoint quelques secondes plus tard.-Déjà là, j’ai vu ta voiture dehors on ne vous attendez que demain.
-Oui, mais les profs ont eu la bonne idée de faire grève. Georges, je te présente Sonia. Sonia, mon petit frère Georges, le petit génie de la famille.Sonia vient vers lui et lui fait trois bises. Il est un peu gêné et rougit, il n’a que treize ans et est impressionné par elle, d’autant qu’elle est plus grande que lui. Elle lui sourit en passant une main sur sa joue gauche, et comme mon père, il fond. Sonia a maintenant un deuxième fan dans la famille. Il faut dire que sa tenue lui va à ravir, elle laisse deviner ses formes et surtout voir ses merveilleuses jambes. Nous passons le reste de l’après-midi à discuter et à préparer le repas du soir, mes parents arrivant vers dix-neuf heures trente. A leur arrivée, nous prenons l’apéritif, Sonia est bombardée de questions, elle se prête volontiers au jeu, en toute décontraction. Mon père me dit avoir téléphoné à son ami qui ne voit pas de problème majeur à donner un boulot à Sonia pendant le mois de juillet, il lui faut simplement une réponse dans la semaine qui suit. Sonia est folle de joie, à peine assombrie par la perspective de devoir demander l’autorisation à son père.
Nous dinons, discutons encore une bonne heure, mais mes parents doivent se coucher car ils travaillent demain. Nous montons dans ma chambre, je rempli la baignoire pour Sonia, elle se plonge avec délice dans cette eau chaude. Je m’agenouille à côté de la baignoire et entreprends de la laver. Elle se laisse faire, elle profite du moment en fermant les yeux. Ma main parcoure tout son corps, elle la caresse plutôt que ne la lave, elle n’oublie pas un millimètre carré de sa peau. Sonia est au bord de la plénitude, son visage est détendu, serein. Si je continu, elle s’endort dans le bain, c’est sûr.-Chérie, tu vas t’endormir.-Je suis si bien avec toi, sous tes caresses, continu, je ne vais pas m’endormir, je veux profiter de ce moment au maximum, je veux m’imprégner de tes mains sur mon corps.Je continu mes caresses pendant un bon quart d’heure, jusqu’à ce qu’elle ouvre les yeux, me sourit et se lève. La vue de ce corps couleur chocolat, ruisselant, brillant sous la lumière des lampes de chevet me donne le frisson. Elle sort du bain, je l’enveloppe dans une grande serviette de bain et l’amène vers le lit. Elle est dans un état que je qualifierais de second. Elle se laisse faire sans broncher. Je l’allonge sur la serviette pour la sécher. Elle me regarde tendrement la sécher. Une fois que j’ai fini, elle me tend ses bras pour que je vienne l’embrasser. Je m’allonge à côté d’elle et nous nous embrassons fougueusement, elle a repris de l’énergie.
Elle me caresse tout le corps, y compris les fesses et passe même sa main sur mon sexe. Je commence à réagir, elle continu de m’embrasser en me caressant. Elle prend ma main pour la porter sur son ventre. -Caresse-moi, fais courir ta main sur ma peau.Je la passe sur son ventre, remonte sur ses seins, redescends vers son nombril, j’arrive sur le mont de venus, elle écarte un peu les jambes. Enhardi par ce geste, ma main se glisse entre ses lèvres pour atteindre le clitoris. Son ventre ondule, elle ferme les yeux, ses narines palpitent, c’est la première fois que je le remarque. J’apprendrais avec l’expérience que c’est le signe d’une femme très sensuelle. J’appui un peu plus sur le clitoris, son ventre se déchaine, elle écarte encore plus les jambes. Je suis sur le point de me positionner entre ses jambes quand elle me plaque sur le lit et me monte dessus. Son corps est allongé sur le mien, ses seins me collent à la poitrine, ses jambes pendent de chaque côté de mes jambes, ouvertes. Mon sexe est juste à l’entrée de sa vulve, je sens ses lèvres humides sur le bout de mon gland. Elle m’embrasse tendrement et commence à descendre sur mon vit. Je sens mon gland s’enfoncer dans cette douce gaine chaude et humide. Je ne bouge pas, je lui laisse l’initiative, c’est elle qui dirige la manœuvre. Elle s’enfonce de plus en plus sur ma bite quand je sens de plus en plus de résistance. Elle se redresse, me regarde droit dans les yeux.-Je t’aime mon amour, je te l’offre, il est à toi, je te l’avais promis.J’ai à peine le temps de comprendre qu’elle s’enfonce un peu plus et là, je sens quelque chose céder sous ma bite. Elle était vierge !!! Bien sûr qu’elle était vierge, comment en suis-je étonné. Après tout ce qu’elle m’a raconté sur sa vie, comment ne l’ai-je pas compris. Comment ai-je pu croire qu’elle avait déjà fait l’amour. Même avant son agression, c’est son éducation et tous ces interdits qu’on lui avait enseigné qui la retenait. Je dois dire que je me sens un peu con de ne pas l’avoir déduit de nos conversations.
Elle s’enfonce encore un peu et s’immobilise. Elle a fait une légère grimace, mais semble heureuse de ce qui vient d’arriver. Elle essaye de bouger, mais apparemment elle a trop mal. Je l’agrippe aux hanches et la dégage de ma bite. Elle semble un peu désappointée, mais je la met sur le dos et me jette sur sa vulve. Je pose mes lèvres sur son clitoris, elle recommence à onduler du bassin. Elle pose ses mains sur ma tête et se laisse emporter par le plaisir. Elle jouit en silence, juste un soupir de joie pour exprimer son bonheur. Je viens m’allonger à côté d’elle pour l’embrasser.-Tes lèvres sentent le sang.-Après ce qui vient de se passer, ça me paraît absolument normal. Pourquoi ne m’as-tu pas dit que tu étais vierge.-Je voulais t’en faire la surprise, tu n’as pas compris quand je t’ai dit que ce serait toi, et seulement toi ?-Non, j’ai cru que tu parlais d’être le premier à te redonner du plaisir avec mon sexe. -Non, être tout bonnement le premier à me faire l’amour, être le premier à me faire ressentir cette merveilleuse sensation de la pénétration, ce plaisir de te sentir en moi. Je suis guérie mon amour, ton amour ta patience et ta gentillesse m’ont guérie. La seule ombre au tableau, c’est que je n’ai pas joui avec ton sexe, c’est dommage.-Ne t’en fait pas, c’est normal, peu de filles jouissent la première fois à cause du mal qu’elles ressentent, mais ne t’en fais pas, je te promets que tu jouiras avec mon sexe, j’en ai autant envie que toi. Maintenant, il faudrait prendre une douche. Nous nous levons, c’est là qu’elle se rend compte qu’il y a une petite tache de sang sur la serviette. Je prends la serviette et la met au linge sale. Heureusement qu’elle était sur le lit. Je la frictionne bien sous la douche en insistant sur son sexe, la caresse et fini avec ma langue sur son clitoris, ce qui la fait jouir une nouvelle fois. Nous finissons par aller au lit et nous nous endormons comme d’habitude, dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain, elle se réveille assez tôt, avant moi, et va prendre une douche avant de me réveiller avec des baisers sur tout le corps. Comme tout homme le matin, je suis en grande forme. Sonia pose ses lèvres sur mon ventre et descend vers mon sexe en déposant de multiples baisers sur ma peau. Arrivée au niveau de mon sexe, elle se redresse. Elle avance timidement sa main et se saisi de ma bite. Je ne bouge plus, je retiens mon souffle, elle serre un peu, la soupèse et commence de léger va et viens. Petit à petit elle s’enhardi, accélère et amplifie le rythme. Très vite je réagi.-Oui, chérie, comme ça, pas plus vite.Elle maintient le rythme, mais avec son autre main se caresse la chatte. Elle s’interrompt, m’enjambe et vient placer mon sexe à l’entrée du sien. Il est très humide voire liquéfié. Elle prend appui sur mon torse et descend doucement sur mon sexe. Mon gland écarte les lèvres et s’enfonce doucement dans cette sublime grotte chaude qui le serre. Très vite, je sens ses fesses sur mes cuisses. -Oh, chéri, ton sexe dans mon sexe, ton sexe entrant doucement dans le mien, quelle sensation merveilleuse. Je peux le faire mon chéri, je peux te sentir en moi, ma tête est guérie chéri, je t’aime.
A suivre
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