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Sonia mon amour

Chapitre 12

Erotique
Sonia veut aller faire quelques courses, Marion veut venir avec nous, elle veut profiter de sa sœur le plus possible avant notre départ pour Salou. Sonia achète deux jupes, des tee-shirts et un autre maillot de bain rouge aussi petit que celui offert par mes parents.-Dis donc, tu vas faire une émeute sur la plage.-Je dois te dire que j’aime beaucoup la forme de ces maillots, en plus ils me vont très bien.-Ca tu peux le dire.Elle offre une mini-jupe, un maillot de bain blanc comme celui offert par mes parents et un tee-shirt à sa sœur. Celle-ci veut absolument essayer le maillot de bain. Elle ressort dans ce minuscule maillot deux pièces, elle tourne sur elle-même en sautillant. Je suis subjugué, cette gamine dans ce maillot, c’est Sonia à onze ans. Certes, elle est pratiquement formée, mais c’est toujours une gamine. Elle est très jolie là-dedans.-Je pense que je vois Sonia à onze ans, n’est-ce pas ?-Tu as parfaitement raison, j’étais comme elle à son âge.-Ok, je paye le maillot de Marion, et je prends le même pour Mélodie, comme ça, il y aura Sonia à onze, dix-sept et vingt ans sous le même toit. Elles rigolent et choisissent un maillot blanc pour Mélodie.Sonia lui achète en plus deux mini-jupes et deux corsages.-Tu ne crois pas qu’elles sont un peu courtes ces jupes pour tes parents ?-Il faudra bien qu’ils s’y fassent, c’est la mode et Mélodie n’a que des jupes aux genoux, voire en dessous, ce n’est pas très chouette pour une jeune fille de dix-sept ans. En plus elles ne sont pas si courtes que ça ces jupes. Tu verras la tête de ma mère quand elle va voir le maillot que tu lui offre, et celui de Marion.-Très bien, autres courses ?-Non, nous pouvons rentrer.De retour à la maison, Sonia va vers Mélodie pour lui offrir ses jupes et son maillot. Elle est folle de joie et se précipite dans sa chambre pour les essayer. Elle ressort avec la première jupe, c’est une jupe blanche droite, serrée arrivant à peine au milieu des cuisses. Elle fait ressortir la beauté de ses jambes. Elle porte un corsage rouge en satin que vient de lui offrir Sonia. Sa mère la regarde et sourit.-Sonia, tu trouves la garde-robe de ta sœur si démodée que ça.-Oui maman.-Bon, d’accord j’ai rien dis, Mélodie, cette jupe et ce corsage te vont très bien, tu es très jolie dedans, fait voir à ta sœur comment te va le reste.Mélodie s’exécute et ressort avec une jupe aussi courte mais plissée, elle fait beaucoup plus jeune fille. Une légère brise la fait un peu se lever et montre jusqu’à la naissance des fesses. Elle l’a mise avec le second corsage, blanc un peu transparent, en ayant enlevé son soutien-gorge. On devine ses seins ronds sous le tissu.-Magnifique, tu es magnifique, ma chérie, mais tu ne sors pas sans soutien-gorge avec ce corsage. Remercie encore ta sœur, et tu ne portes cette jupe que quand il n’y a pas de vent.Mélodie retourne dans sa chambre et ressort en maillot de bain. C’est Sonia en plus jeune, même allure, même silhouette, même couleur de peau, même jambes, elle est magnifique. Là, sa mère à un drôle d’air. -Sonia, c’est quoi ce maillot de bain ?-C’est un cadeau de Jean, le même que celui que ses parents m’ont offert.-Tu as le même ?-Oui.
-Il n’est pas un peu trop petit ?-Maman nous sommes au vingtième siècle, les corps se montrent, d’ailleurs Marion a eu droit au même, encore un cadeau de Jean.-Marion ?-Oui, pourquoi pas ?-Oui, je suis peut-être un peu trop arriérée.-Mais non maman chérie, mais tu es peut être juste un peu trop protectrice.-Ok, ok, j’abandonne, Mélodie tu es merveilleusement belle dans ce maillot, garde le et va remercier ta sœur et jean.Mélodie vient se jeter dans les bras de sa sœur pour l’embrasser.-Merci Sonia chérie, merci.Elle vient vers moi et m’embrasse.-Super ton maillot, merci beaucoup.-Tu sais, il a de petits inconvénients, demande à ta sœur.-Tu crois que je ne sais pas qu’il devient transparent quand il est mouillé ? C’est ça qui me plais, je suis moins prude que ma sœur, je n’ai pas été dans son école de bonnes sœurs. Merci encore, je vais être la reine chez mes cousins, je vais les avoir à ma botte, les réduire en l’esclavage. Tu me plais de plus en plus comme futur beau-frère toi, tu sais ?Elle me refait une bise et s’en va vers sa chambre en faisant rouler ses adorables fesses, à demi cachées par son maillot.
L’heure avance et il est temps de prendre l’apéritif et de faire la surprise à Sonia. Nous nous installons sur la terrasse, l’atmosphère est joyeuse et détendue, je sens Jacques de plus en plus tendu. Sur mon signe, Véronique se lève et va chercher la bague, elle me la glisse discrètement pendant que Mélodie détourne l’attention de Sonia en lui montrant quelque chose derrière elle. Quand elle se retourne, je suis un genou à terre devant elle en lui tendant un paquet cadeau. Elle me regarde ébahie ne comprenant pas tout de suite ce qui se passe.-Sonia, acceptes tu de partager ma vie et de devenir ma femme.Elle ouvre de grands yeux, me regarde ébahie, ses yeux se remplissent de larmes, elle respire un grand coup, tombe à genoux devant moi, me serre dans ses bras.-Oh oui, mon chéri, oui, oui, oui je veux devenir ta femme.Nos bouches se joignent sous un tonnerre d’applaudissements. Nous nous remettons sur nos chaises et Sonia défait le nœud et ouvre la boite. Ses yeux s’écarquillent, elle me regarde, regarde la bague, me regarde, retourne à la bague. Elle reste là, sans rien faire, fixant la bague en essayant de réaliser ce qui se passe. Je m’empare de la boite, prend la bague et la glisse à son annulaire gauche.-En gage de mon amour.-Oh chéri, elle est splendide.-C’est une émeraude taillée en pavé au dix-neuvième siècle.-Une émeraude, elle est superbe, elle vient de ta famille ?-De mon arrière-grand-mère, c’est un cadeau de ma mère, elle appartenait à sa grand-mère.Mélodie et Marion viennent voir la bague. Sonia leur montre et va la faire voir à son père. Celui-ci me regarde.-Maintenant que Jean est entré dans la famille, il est comme mon fils, Jean, je vais te tutoyer, et tu vas en faire autant envers moi.-C’est comme tu veux Jacques.Il rit de ma réponse, Véronique s’avance vers moi, m’embrasse, me serre dans ses bras et me glisse à l’oreille.-Rends ma fille heureuse, elle le mérite.-Ne vous en faites pas, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’elle soit le plus heureuse possible.-Tu es de la famille, ne l’oublie pas.-Ne t’en fais pas, je m’en souviendrai.-C’est mieux.Marion amène sa sœur vers sa mère.-Regarde maman, la bague de Sonia est assortie ses yeux.-Tu l’as fait exprès Jean ?-Je pense que quand ma mère l’a choisi, elle y a pensé, ça me parais même une évidence.Jacques se lève et se dirige vers la cuisine, il en ressort avec une bouteille de champagne et six verres.-Que la fête commence. Célébrons ce jour de joie.La soirée est très détendue, le champagne coule à flot, nous avons ouvert une seconde bouteille. Après avoir diné, je suis quand même un peu fatigué malgré le confort de la voiture et nous allons nous coucher très vite. Sonia est sur le lit, nue, elle regarde sa bague.-Elle est splendide.-Oui, et je n’ai rien demandé à ma mère, c’est elle qui a deviné que j’allais te demander en mariage et a décidé de te donner cette bague de sa famille.-C’est un merveilleux cadeau, merci mon chéri, merci. Je téléphonerai demain à tes parents pour les remercier.-Ok, mais moi, j’ai envie de toi.-Moi aussi.Elle se tourne vers moi, m’enlace, repli une jambe sur mes cuisses et me caresse le torse. Je l’embrasse et réussi à la mettre sur moi. Elle est à plat ventre sur moi. Je sens son pubis proéminent sur le mien. Elle ondule du bassin et ma bite se redresse petit à petit jusqu’à venir frotter sa vulve. Elle se redresse un peu sur ses bras, me regarde.-Je t’aime, je t’aime.Elle descend doucement sur mon sexe. Une gaine chaude et humide me l’enveloppe, me le serre et me le masse. Sonia arrive à comprimer son sexe, elle me serre et se détend, c’est une technique très difficile, c’est la première fois qu’elle me le fait. Elle m’apprendra en Espagne qu’elle s’était entrainée avec son doigt. Je ne résiste pas longtemps, elle le sent, se couche de nouveau sur moi, me serre très fort et est secouée de spasmes, ce qui déclenche ma jouissance. Je me vide en elle.-Oui mon chéri, je t’aime, je t’aime, viens en moi, j’aime te sentir te vider en moi. Quand nous sommes plus détendus, elle se laisse glisser sur le côté. Elle regarde son annulaire gauche.-Tu es obnubilée par cette bague.-Tu ne sais pas ce que ça veut dire pour moi chéri. Je suis enfin une femme, ta future femme, rien ne peut me rendre plus heureuse. Et cette magnifique bague en est la représentation.Nous restons enlacés en silence, dans les bras l’un de l’autre jusqu’à ce que le sommeil nous gagne.
Le lendemain, nous nous levons assez tard, vers neuf heures. Tout le monde est sur le pied de guerre, Marc doit arriver vers onze heures. C’est un militaire, il rentre de trois mois de campagne au Tchad, il est lieutenant dans l’armée de l’air, pilote d’avion de transport. Quand nous arrivons dans la cuisine, Véronique prépare déjà le repas de midi, un couscous. Sonia est heureuse, elle n’a pas vu son frère depuis plus d’un an. Il n’était jamais là quand elle rentrait pendant les vacances, la dernière fois qu’ils s’étaient vus, c’était juste après son agression. Il l’avait laissé complètement effondrée et prostrée. Véronique nous demande de prendre notre petit déjeuner dans la salle à manger. Sonia n’arrête pas de regarder sa bague. Elle téléphone à mes parents pour les remercier, leur apprend ma demande en mariage. Mes parents sont rassurés que tout se soit très bien passé. Sonia est intarissable sur la bague, je dois l’interrompre par un baiser pour pouvoir leur parler. Ils m’apprennent que mon frère Paul est déjà à Salou, dans leur l’appartement, avec sa copine Julie et qu’ils nous attendent, tout sera prêt à notre arrivée. Ma mère est très heureuse à la perspective de notre mariage. Elle me dit avoir quelques idées ce à quoi je lui réponds qu’on a le temps, nous voudrions nous marier en décembre. Je les quitte pour aider Véronique à préparer le couscous, le plat préféré de marc.-En plus tu sais cuisiner.-Oui et qui plus est, le couscous est une de mes spécialités, avec le homard à l’américaine et le saumon à l’oseille.-Tu sais maman, c’est un véritable chef, j’ai déjà gouté à sa cuisine, je peux te dire que tu te régale, à tel point que chez ses parents, sa mère préfère le laisser faire la cuisine.-Très bien, très bien, je vois que je vais pouvoir me reposer un peu quand tu nous rendras visite.-Sans aucun problème.
A suivre
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