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Sophie, Soumise pour vieux Pervers

Chapitre 2

Trash
Après cette baise intense je ne me souvenais pas de grand chose, seulement de m’être rendue chez moi complètement nue, recouverte de sperme. Je me réveillai dans mon lit, encore souillée de cette soirée, avec un mal de tête, réalisant peu à peu mes actions de cette nuit là. Je repensais à la façon que j’avais agis en soumise pour tous ces vieux pervers, me traitant comme un objet pour leurs moindres fantasmes. Mais l’image qui me revenait le plus souvent était celle de mon voisin et son énorme membre. Combien j’avais quasiment joui à la pénétration et surtout sa quantité de foutre qui m’avait remplie complètement. Je sautai dans la douche, l’odeur de sperme et de sueur empestait. Je me lavai et profitai même un peu de l’instant pour me toucher, avec toutes ces images en tête, oubliant les conséquences de mes actes.Mes caresses s’intensifièrent, je n’avais jamais vécu une si grande jouissance dans ma vie sexuelle, m’abandonner au plaisir. Je sursautai en entendant du bruit, la porte de la salle de bain s’ouvrait. Pierre mon voisin entra puis ôta sa robe de chambre, se trouvant nu et ouvrit la porte de la douche.
-Salut ma petite Sophie, déjà à te caresser petite salope.
Je figeai sur place, de le voir entrer ainsi chez moi, surtout d’embarquer dans la douche avec moi, complètement nu. Il profita de ma stupeur pour me coller à lui avec ses grosses pattes. Me caressant de partout, sur un terrain déjà exploré, il me plaqua face au mur d’une façon quasi animale, collant aussitôt sa queue contre mon cul plein de savon, faisant glisser son membre, ses mains agrippant mes seins et me chuchotant dans l’oreille
-Hummm bonne petite chienne, t’es vraiment excitante brasse ton cul sur ma queue salope
J’avais encore perdue la carte, je me déhanchais toute émoustiller de ses ordres, laissant place encore à mes désirs sexuels. Mon cul se trémoussait sentant grossir son membre, j’avais envie qu’il me prenne là, je gémissais avec vigueur l’encourageant à faire de moi sa pute. Il ne se fît pas prier, il me fit pencher par l’avant, insérant déjà sa queue dans ma chatte dégoulinante. Il me tenait par les deux bras et m’indiquait un rythme soutenu, me remplissant bien à chaque coup de bassin, me laissant sortir des cris de jouissance à chaque fois. Il était bestial, il me lâcha les bras pour me prendre par les hanches, me tapant le cul à chaque coup. Il me prit dans cette position plusieurs minutes puis se dégagea pour m’amener à ses genoux.
-Viens me sucer
Il poussa sa queue au fond de ma gorge et je commençai à le sucer, il pinça le bout de mes seins en gémissant, je sentis le sperme couler dans ma bouche, je me retirai en ayant un haut le cœur mais il me retînt la tête pour que j’avale tout.
-avale tout Sophie! oublie pas que j’ai des photos de toi... faudra faire ce qu’on te dit maintenant...
Les photos! j’avais oublier ce passage, mon excitation retomba, j’étais prise au piège, je me forçai d’avaler son jus et le regardai
-Vous n’allez pas montrer ces photos à mes parents?-Si tu te tiens tranquille ma jolie, je te les rendrai, mais d’ici là, il faudra être gentille-d’accord, lui dis-je
Il se nettoya rapidement et sortit se rhabiller, il s’en alla chez lui me laissant seule au fond de ma baignoire, commençant à regretter mes actes. Que me réservait-il ? Je terminai de me laver comme il faut, essayant de chasser ces idées. Je m’habillai et allai déjeuner, je profitai du soleil pour aller marcher et faire des commissions. Je ne revins qu’en fin d’après-midi pour le souper. J’étais inquiète de savoir ce qui m’attendait, il y avait une voiture de hier soir dans l’entrée. Je me rendis à mon appartement sans entendre personne. Ils devaient se trouver chez Pierre, je rangeai mes achats en entendant une voix à l’extérieur. Mon voisin se trouvait avec Paul, le vieux sexagénaire et une femme qui semblait être la femme de Paul, vu qu’ils se tenaient la main. Je fus soulagée de voir que j’aurais la paix aussi longtemps que sa femme était là. Je continuai de ranger et me préparai à souper. Je m’assis devant la télévision après mon repas. Me reposant de ma journée, j’entendais rire à l’extérieur, m’apercevant qu’ils prenaient du vin devant un feu. Malgré La noirceur, je me rendis compte qu’ils étaient ivres, il y avait plusieurs bouteilles sur le gazon.
Je vis Paul se lever, laissant discuter Pierre et sa femme. Il se dirigeait vers ma porte, je m’y rendis pour la barrer mais n’eus pas le temps de le faire. Il entra sans se gêner, me trouvant devant lui, il se jeta sur moi, sortant mes seins de ma camisole, les pelotant durement. Je n’eus aucun autre choix que de me laisser faire une autre fois, il était ivre, son haleine empestait l’alcool.
-Hmmm j’ai pas grand temps ma belle Sophie, ma femme est là, dépêche toi salope
Il abaissa mes culottes de pyjama par terre, et me pencha sur la table de la cuisine, il commença a se licher les doigts et à me doigter la chatte, il avait sorti son membre qu’il masturbait. Je tentai d’apprécier le moment malgré ses façons brutales, il m’empoignait le cul¸ et le tapait en même temps, il s’était penché derrière moi et me lichait le cul et le minou. Je commençais à apprécier ses caresses, il ne perdit pas de temps et se releva pour me pénétrer. Je poussai des petits cris et il me couvrit la bouche de sa main.
-Pas trop fort chienne, faut pas que ma femme entende.
Il se remit à m’enculer, jetant des coups d’œil vers l’extérieur, il accéléra sa cadence me serrant par les reins. Je retenais mes gémissements, il se mit à aller plus vite, me griffant quasiment le cul avec ses doigts puis il explosa en moi. Je ne pus me retenir de lâcher un petit gémissement en sentant son sperme gicler en moi. Il essuya sa queue sur mes fesses, remonta son short me donnant une tape sur les fesses au passage et retourna auprès de sa femme. Je restai appuyée sur la table de la cuisine, le cul à l’air, son sperme coulant de moi, je repris mon souffle et retournai me laver. Je me surprenais moi-même de m’exciter à faire la pute, j’avais quand même des craintes, jusqu’où mènerait ce petit jeu?
Ils continuèrent leur petite fête à l’extérieur, de mon côté je retournai en camisole et string devant la télévision. Minuit approchait et le sommeil commençait à me rattraper. Je jetais un coup d’œil par la fenêtre, apercevant qu’il n’y avait plus personne, j’entendis un moteur et j’éteignis les lumières pour retrouver mon lit.
J’étais sur le point de m’endormir quand j’entendis mon cellulaire, je recevais un message texte, il était rendu 1 heure du matin et je me questionnais sur la provenance de ce message. Il était écrit: "viens me rejoindre dans mon auto, habillée en pute, pierre" J’étais à moitié endormie, j’avais juste envie de lui répondre à la négative, malheureusement, je savais que je devais lui obéir. Je repris mon habillement de la veille, jupe au ras des fesses, camisole sans brassière et bas remontant aux cuisses, je me dépêchai à appliquer un peu de maquillage et sortis me rendre à sa voiture. Pierre se trouvait là à me regarder avec son sourire pervers, en maillot et une chemise ouverte.
-Bien, allez monte salope, j’espère pour toi que t’es pas trop fatiguée
J’embarquai dans la voiture, légèrement craintive, ne sachant pas à quoi m’attendre encore une fois. Il démarra et nous partions en direction de la campagne. Il commença à promener ses mains sur mon corps en conduisant, vérifiant si j’avais des sous-vêtements, il sortit son membre de son short.
-suce moi, on en a encore pour une vingtaine de minutes avant d’arriver, me disait-il
-où allons-nous ? lui demandai-je alors qu’il forçait ma tête vers son gland
-Faire un tour dans le bois rejoindre des amis, j’ai une dette envers l’un d’eux
Je commençais à être craintive, ne m’appliquant pas vraiment à sa fellation, il me maintenait la tête pour y aller à son rythme. Je me repris de plus belle, essayant de distinguer dans quel coin il m’amenait, jetant des coups d’œil aux alentours en lui lichant le gland. Nous nous retrouvions de plus en plus égarés de la civilisation, empruntant un petit chemin de terre cahoteux, la forêt se faisant de plus en plus dense autour de nous. Il avait sorti mes seins de ma camisole, les tripotant, profitant de chaque bosse pour m’enfoncer sa queue au fond de la gorge. Au bout de 5 minutes, il s’arrêta sur le bord du chemin, il accéléra le rythme en gémissant et me remplit la bouche de son foutre. Il sortit un mouchoir qu’il me donna pour nettoyer ce qui avait coulé sur mes lèvres, il ouvrit le coffre à gants, sortant une laisse et un collier.
-Je dois de l’argent à Henri, j’en suis venu à une entente avec lui, tu vas mettre ce collier et être sa chienne pour lui et ses amis pour cette nuit et demain, je te conseille de bien être soumise à ses demandes. Je passerai te chercher demain soir.
Je le fixai d’un air dubitatif, regardant le collier et la laisse d’un air triste
-Si il est satisfait après ça, je te redonne les photos. Tiens tu vas prendre aussi cette pilule pour rester éveillée.
Il me mit la pilule dans la bouche, m’obligeant à l’avaler, il m’attacha le collier autour du cou. Je tentais de résister mais il tira sur la laisse.
-Ne fais pas la maligne, Henri est moins docile que moi, je te conseille de bien te comporter salope, réajuste ta camisole et ta jupe on arrive à son chalet
Il repartit la voiture, je rabaissai ma camisole et réajustai ma jupe, je tremblotais légèrement. J’allais être livrée comme de la marchandise à des gens que je ne connaissais pas au milieu de nulle part. On roula encore quelques minutes dans le bois, une lueur apparaissait à travers les arbres. J’apercevais trois camions garés à côté d’un chalet en bois rond, on entendait de la musique et il y avait plusieurs caisses de bières sur la galerie. Il s’arrêta et me dit de débarquer, la porte s’ouvrant, un grand homme bedonnant, quasiment chauve avec quelques mèches grises sortit. On voyait dans sa démarche qu’il avait bu, il descendit de peine et de misère pour rejoindre Pierre, me déshabillant du regard.
-Ouais t’avais pas menti mon Pierre, tu m’as amené une vraie belle pute, elle a l’air jeune en plus, elle est docile ?
Pierre lui tendit la laisse
-oui, elle est à toi pour cette nuit et demain, comment on s’est entendu, je reviendrai la chercher demain soir, profites en bien
Henri pris la laisse et la tira pour me rapprocher de lui, il glissa ses mains sous ma jupe me pinçant les fesses
-Inquiète toi pas, on va en profiter, elle risque d’être morte de fatigue quand tu repasseras demain soir
J’étais devenue vraiment inquiète, surtout en voyant Pierre repartir, me laissant aux mains de cette brute qui puait l’alcool, ses mains fouillaient sous ma jupe, il tirait la laisse pour que je me retrouve collée à lui. Je paraissais d’une petite poupée à ses côtés, il était gigantesque, ses grosses mains caressaient mon corps en entier, s’attardant à mes seins. Il souleva ma camisole, pinçant le bout de mes seins, je lâchai un gémissement.
-Hmmm t’es vraiment une belle petite, j’adore tes gros seins, allez viens
Il me tira par la laisse et m’amena dans le chalet, trois autres hommes s’y trouvaient, tous aussi vieux et laids, la discussion arrêta net et tout les regards convergèrent vers moi.
-J’amène de quoi nous divertir, allez salope
Il me tira jusqu’au milieu de la pièce, les hommes se levèrent, s’agrippant l’entrejambe en s’approchant, ils commencèrent à me caresser brutalement, me déshabillant en riant, ils empestaient tous l’alcool. Henri sortit son membre et tira sur le collier pour m’approcher, il poussa sa tête pour que je l’avale. Il commença un va-et-vient bestial en tenant la laisse.
-Hmmm oui suce petite pute, t’aime ça faire la salope que Pierre m’a dit ? t’aime ça la bite? tu vas en avoir à ton goût.
Les autres hommes se branlaient me regardant faire, on prenait mes mains pour que je les branle, un autre se trouvait derrière moi, me lichant la chatte et l’anus. Henri sortait sa queue de ma bouche pour me la taper au visage en lançant des obscénités, les deux autres hommes s’approchaient pour avoir droit à leur tour. Je m’occupais maintenant de trois queues, penchée sur une table, me faisant manger de l’autre côté. Les hommes utilisaient ma bouche s’enfonçant chacun leur tour, buvant leur bière en riant. Ils s’arrêtaient quelques fois, me faisant prendre des gorgées, ou me versant de l’alcool sur le visage. Puis on commença à me pénétrer, plus brutalement que je le pensais, me tirant par les reins, ses couilles cognant contre moi. Je gémissais la bouche étouffée par deux queues, Henri s’était reculé et tenait la laisse, se masturbant. Mon premier ne fut pas long à venir et explosa au fond de moi, maintenant sa queue bien au fond, je fus secouée de légers spasmes. Tout de suite ils se remplacèrent pour me pénétrer, l’homme m’approcha sa queue remplie de sperme et de mouille, je la lui suçais en le regardant dans les yeux tandis que l’autre me besognait.
-Woaa la salope, elle est vraiment bonne, Henri, t’en profites pas ?-On a toute la nuit mon vieux pour en profiter de cette chienne.
J’étais maintenant prise en sandwich, j’en suçais un et l’autre m’enfilait, me donnant quelques claques aux passages, me tirant les cheveux, mes instincts de salope avaient repris le dessus, je commençais à être de plus en plus excitée, surtout de voir les deux autres me regarder en action. Henri avait un regard pervers même voir, dominateur. J’allais être sa chose pour la nuit et cette idée me faisait mouiller davantage. Les hommes se vidèrent en moi chacun leur tour, me faisant leur nettoyer leurs membres après, Henri lui tenait la laisse sans agir. Ils recommencèrent à boire me laissant à genoux, souillée. Henri tira sur la laisse pour que je le rejoigne sur le divan, il me fit asseoir sur ses genoux et me caressait les seins. Il buvait sa bière et discutait avec les autres, il entrait ses doigts dans ma chatte, la caressant avec douceur, frottant son membre contre mon cul. Je ne pouvais m’empêcher de me déhancher sous ses caresses, la fatigue commençait à rattraper ses invités, ils allèrent se coucher chacun leur tour me laissant seule sur le divan avec Henri. Il se leva à son tour et m’amena par la laisse vers sa chambre.
Il posa la laisse sur un crochet me laissant debout à l’entrée et se déshabilla, il reprit ma laisse et me tira jusqu’au lit me positionnant à quatre pattes et attacha la laisse à un poteau du lit. Il fit le tour en se masturbant, m’observant et me caressant puis il me prit la tête sauvagement et m’enfonça son membre au fond de la gorge, il baisait ma bouche en grognant, il me tirait les cheveux pour que je lui liche en le regardant, son regard était d’une telle perversité que j’en avais froid dans le dos. J’avais l’entrecuisse tout mouillé de foutre et de mouille, le sentiment d’être dominée par cet homme gigantesque et vieux me plaisait de plus en plus. Il se retira de ma bouche et se plaça derrière moi, je me penchais un peu vers l’avant pour lui montrer mon cul, il appuya son gland contre mon anus et s’enfonça tranquillement sous mes gémissements. Il s’enfonça complètement puis tira mes cheveux vers l’arrière, il commença à m’enculer de plus en plus brutalement, me traitant comme un objet pour se défouler.
-Hmmm t’aimes ça pute ? Ton cul est bon, j‘va te le remplir comme une vrai bonne garce.
De mon côté je criais à chaque assaut sur mon cul, me sentant soumise, dominée voire même humiliée me plaisait plus que je ne le croyais, il n’avait aucun respect pour moi, me traitant de tous les noms, me tirant les cheveux ou m’étouffant un peu avec ses mains et je hurlais encore plus mon plaisir. Il me rentra sa queue au fond du cul en gémissant et je le sentis se vider en moi. Il se retira pour se coucher à mes côtés, exténué, je me mis à lui licher son membre vigoureusement sentant son sperme couler de mon cul. Il me prit la tête et me roula une pelle en détachant mon collier.
-T’es vraiment une bonne salope, tiens si tu veux te nettoyer ou aller boire un coup, je vais me reposer un peu.
Je me rendis à la salle de bain, me rafraîchir un peu, mon cul me chauffait un peu mais ma chatte coulait encore, la pilule que Pierre m’avait donnée faisait encore de son effet, le soleil se levait tranquillement à travers la forêt et je me sentais fraîche et éveillée. J’avais encore le goût de me sentir utilisée, je me rendis à la cuisine me prendre une bière, j’entendais les hommes ronfler. Henri avait lui aussi trouvé le sommeil, je me rendis vers la chambre de ses invités, il y avait 3 lits côte à côte où dormaient ses amis. Telle une chatte je me faufilais dans leur chambre...
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