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Sorcière

Chapitre 1

Trash
J’ai vu la lumière décliner, la lune s’endormir, se réveiller… J’ai bu coups sur coups : bières de Noël, pinard qui tache, une chouquette de whisky pour trinquer avec Théo, le barman. Elle vient de temps en temps prendre un verre au comptoir, on discute. On fait semblant de regretter l’époque où on se voyait tous les jours… Glandeurs-chômeurs, chacune de nos cuites sentait l’imprévu et les conclusions-câlin, voire, -sexe.
Elle s’est maquée avec un connard, comme une flopée de mes copines de teuf. N’empêche que je peux toujours lui tripoter ses petits seins si je veux ! Surtout son cul, la partie de son corps que je préfère… D’ailleurs, elle profite souvent de la foule des bars de nuit pour venir le caler sur ma queue jusqu’à l’érection… En souvenir du bon temps… Le bon temps ou son pieu était confortable pour mes abus de déprimé chronique… Cette fille, c’est un cadeau du ciel, un électron libre, un oiseau ! Qu’est-ce qui me prend de l’encourager à se remettre avec cet abruti qui la traite comme une merde ? Moi, je ne pourrais jamais la considérer comme une chienne même si elle adore ça… Oui ! Elle me l’a confié à trois grammes, je ne sais pas si elle s’en souvient : « j’adore qu’on m’étrangle en baisant et qu’on me tienne la tête quand je suce »… Elle disait ça sûrement pour m’exciter ou m’énerver un peu… De toute façon, je bande à chaque fois que sa petite voix coquine résonne dans ma tête… Sa voix, son, cul, son talent pour m’exciter à mort… Elle a pourtant une drôle de tête, la petite. Un mystère… Un griffon mignon… Une coupe de cheveux qui ne sera jamais la bonne, ni pour moi, ni pour elle. Quelle idée ! Cette frange qui lui tranche le front. Comme si elle voulait masquer son intelligence derrière une bêtise destinée à exciter tous les garçons.
Rien à foutre d’être tombé dans ses filets, j’en suis conscient, elle sait que je sais, ça me place au dessus des autres. Alors quand elle est venue me demander de l’aide, je me suis mis à frétiller... Facile à deviner quand un couple bat de l’aile, les regards s’évitent. Moi, elle ne me fuyait jamais, même en fermant ses paupières je la sentais encore… Largué son connard ! Elle n’avait pas l’air si triste… Tant mieux. Et puis coup de bol ! J’étais au rendez-vous ce soir là. Ça m’aurait bien emmerdé de rater la soirée où elle se pointe en quête d’une queue.
Toutes les autres nanas ont jamais pu la blairer parce qu’elle a une libido exacerbée. Tous les mecs l’adorent forcément… Ouais ! Coup de bol, ou pas. Elle me serre dans ses bras et glisse sa cuisse contre MA queue. On boit des bières et filons chez moi. Comment fait-elle pour m’exciter autant ? Je soupçonne un délire de sorcellerie ou un autre truc du genre, c’est impossible que le simple fait de regarder son cul me rende aussi dingue de la pénétrer. Je m’y frotterais bien à l’infini, contre elle, comme ça, je suis pratiquement sûr de pouvoir jouir en deux secondes, pour l’éternité. Sorcière.
On baise trois fois. On en avait bien besoin tous les deux. On l’avait jamais vraiment fait comme des amants. Un truc bizarre s’est produit. Je crois qu’on s’est rendu compte qu’on était pas vraiment compatibles. On aimait s’exciter, se raconter des saloperies, mais… Passer à l’acte, c’était pas top, finalement. On a longtemps discuté. Je lui ai fait un cunni, elle m’a sucé… Bof bof… C’était bien mieux de discuter.
Au réveil, petit dèj’ un peu chelou. Pas d’appétit. Café du bout des lèvres. Sourires niais furtifs. Elle m’a encore sucé puis hop ! En levrette. J’ai sorti ma queue et barbouillé ses fesses toutes blanches. Elle a trouvé ça chouette, moi aussi. Puis elle est rentrée chez elle… Ou pas…
Difficile de savoir combien de temps s’est écoulé. Elle s’est trouvé un nouveau Jules, l’a largué, etc. J’ai repris mes sorties, baisé d’autres nanas, aucune vraiment géniale. Cette mécanique me gonflait mais je continuais. L’alcoolisme me guettait. La drogue, c’est un tout. Ce mode de vie de merde, je ne pouvais plus m’en passer et puis, au dessus de toutes mes idées noires, la seule lumière qui brillait, c’était elle… La plus belle parmi toutes les autres âmes perdues qui venaient chercher une tranche de rigolade, de sexe et d’oubli dans les bars qui se remplissent au fil de la semaine jusqu’au fameux week-end précédant la déprime qui recommence encore et encore.
Elle est revenue exactement à la même place. Même situation. Bières. Discussions de cul. Je bandais comme jamais ! Je n’avais pas baisé depuis trois mois. Avec l’alcool, on est bon parfois, on serre comme on veut et puis, quand c’est trop répétitif, on devient lourd et toutes les nénettes vous fuient parce qu’on ressemble à un vampire en manque de sang. Salopes. Alors, elle est revenue juste à temps. Elle a toujours été plus douée que moi pour lire dans mes pensées. Mon sourire crispé lui a mis la puce à l’oreille. Elle a commencé à prendre des positions cambrées pour bien m’allumer au comptoir. Mon cœur avait des battements qui me rendaient tout drôle et ma queue se dressait dans mon froc comme si c’était la seule partie de mon corps à exister. Inutile de préciser que j’aurais très bien pu me mettre à poil devant tout le monde si elle me l’avait demandé. Sorcière.
Elle en a profité à fond, m’a fait languir à en devenir fou en allumant d’autres mecs, me laissant pourrir dans l’incertitude de savoir si elle allait me soulager de mes tourments, ou pas. Elle glissait ses fesses sur moi, se moquait littéralement en regardant entre mes jambes. Quand elle embrassait les copains elle me présentait son cul de la façon la plus excitante possible. Elle a fait sa grosse salope jusqu’au bout. Moi je n’en pouvais plus, je suis allé aux chiottes pour me branler. Elle m’a collé le train, sentant mon envie imminente, puis elle a réussi à me convaincre en me taillant une pipe, assise sur le trône des toilettes. On a discuté un peu pendant qu’elle léchouillait mon gland pour me chatouiller en rigolant :
— J’aimerais bien qu’on fasse un truc tous les deux !— Mmmm quoi donc ?— J’en ai marre du RSA, on a jamais assez de ronds, dès qu’on en a, on dépense tout dans les bars, et puis c’est triste !— Mmmm ouais et ?— J’ai vu qu’on pouvait se faire du fric sur internet en faisant des vidéos, ça te dit de faire des trucs un peu… Bizarres ?
Elle a pris les devants. M’attacher sur le lit, c’était normal au bout d’un moment… Les nœuds, elle les faisait en deux-deux mais on est quand même passés aux menottes. Les vidéos se vendaient plus facilement sur son site quand on partait dans des délires glauques genre scénario à deux balles avec instruments de tortures. Je l’attachais, moi aussi, la visitais par tous les trous, jouais avec, ouvrais son corps, y enfonçais des trucs, je préférais quand même la fourrer avec mon gland. Elle en rajoutait en gémissant, en se cambrant sur ma queue, mordait ses lèvres en crispant ses paupières… J’ai joui un nombre incalculable de fois sur son visage style surpris, sur son ventre tendre, sa poitrine offerte, ses reins creusés, dans sa bouche, sa gorge… J’ai eu mon heure de gloire mais les histoires où elle dominait se vendaient mieux. C’était elle la star. On s’est fait plein de tune en peu de temps. Vive Paypal ! On dépensait tout en coke et on remettait ça. Notre vie ne s’est pas améliorée. Nos consommations augmentaient. Je crois que j’ai commencé à devenir cinglé. Obsédé par la fête, la défonce, la cuite et la baise. Pour nourrir tout ça, il fallait bien qu’on recommence nos conneries. Elle a pris l’initiative d’acheter de nouveaux objets, des accessoires hérissés de pointes, juste pour jouer à l’écran puis on en est arrivé au moment où je ne faisais plus la différence entre nos simulations et nos désirs. On devenait flippants tous les deux et chacun se méfiait des déviances de l’autre.
Des fois, on enchaînait tellement qu’on finissait par s’endormir en pleine action. Un matin, elle s’est barrée sans rien dire et m’a laissé attaché toute la journée. Cette salope ne m’a pas oublié, elle a juste fait ça par curiosité. Le soir, quand elle est rentrée, j’avais envie de la cogner. Elle a juste approché son cul de mon visage et m’a lâché une caisse en pleine tronche. Ça l’a bien fait rire, je me suis mis à gueuler en secouant mes bras pour défoncer ces menottes de merde. La caméra filmait et quand elle a posté la vidéo, un tas de vicelards l’ont achetée. Incroyable. Aucun de nos films n’a eu autant de succès que ces quelques minutes ou elle me pète à la gueule et que j’essaie de lui en mettre une.
Je ne sais pas si je lui ai fait peur ou si elle devenait un peu zinzin elle aussi mais elle ne m’a pas détaché. Elle a pris la position de la levrette juste devant ma queue pour me faire bander bien dur. Son cul est probablement la chose la plus excitante que j’aie jamais vue, je mets au défi quiconque de ne pas se raidir en le regardant. Elle est restée comme ça pendant des heures à bouquiner, les fesses en l’air bien provocantes. Je l’aurais violée sur place, mes couilles me suppliaient. Elle ignorait mes insultes et selon ses envies, elle approchait son cul de mon nez et flousait dans mes narines sans oublier de laisser la caméra tourner. Je me retenais de respirer parce que les pets de quelqu’un qui prend de la coke c’est vraiment une horreur. J’essayais de lui mordre le cul dans l’intention de lui en arracher un morceau. Du coup, comme j’arrêtais pas de brailler, elle m’a bâillonné. Une pierre deux coups : j’étais obligé de snifer ses pets pour respirer.
Elle ne se décidait toujours pas à me délivrer et me gardait en vie en me donnant de l’eau parfois, quand mes lèvres était toutes fripées, et des trucs moisis à grignoter, elle ne s’ennuyait plus à faire la cuisine, elle partait bouffer au resto tous les jours pour prendre soin de ses pets pendant que je me desséchais sur ses draps. Il fallait que je reste faible sinon j’aurais pu casser sa tête de lit à force de tirer sur les menottes. En revanche, je bandais toujours à tout rompre dès qu’elle approchait son cul. Sorcière. C’est aussi ce qui devait faire vendre nos vidéos, parce que le fric pleuvait.
Elle prenait vraiment son pied à inventer de nouveaux jeux pour me tourmenter. Les fumiers qui achetaient nos vidéos lui donnaient des conseils dans leurs commentaires, ils étaient fans du rire sadique de leur « reine de l’ombre » et mettaient des notes. Elle en voulait toujours plus, me suçait au bord de l’orgasme, me masturbait, m’enfermait dans une cage de chasteté, m’excitait avec tout ce qu’elle pouvait trouver, et elle savait s’y prendre pour rendre mes couilles toutes bleues… Mais elle ne me faisait jamais jouir, exprès pour que ma folie fasse vraie à l’écran… A chaque fois que je sentais l’éjaculation monter, elle posait son cul devant mon visage, me bouchait le nez avec les doigts pour que je sois à bout de souffle et au dernier moment, elle lâchait tout dans mes narines pour que je n’en loupe pas une miette. Une horreur. J’ai cru mourir plusieurs fois. Les vidéos s’arrachaient sur le site. Le fric pleuvait. Arrêtez d’acheter bande de malades ! Vous voyez pas que je vais crever ?
J’ai essayé de la supplier de me laisser partir en couinant à travers le bâillon. Je pleurais. Elle a fait semblant de me détacher et au dernier moment elle a dressé son cul devant mon nez pour me punir d’avoir essayé de lui faire pitié. Elle travaillait son fameux rire en débitants des ordures verbales ponctuées de pets abominables. Parfois, je tournais de l’œil et je me réveillais avec la sensation d’avoir fait un long cauchemar. Mais dès que mes paupières s’ouvraient, la première image qui s’imposait était celle de son anus dilaté qui en remettait une couche. Je l’aurais sodomisée à mort si elle m’avait délivré… Et peut-être bien bouffé ensuite.
Impossible de savoir quel, jour, quel mois on était. Je maigrissais, elle prenait son pied. Le peu que je chiais et pissais, c’était sur place. Elle me forçait à tout ré-ingurgiter avec une cuillère et me nettoyait plutôt pour elle que pour moi. Elle filmait tout. Le fric pleuvait. Je ne sentais plus vraiment mes bras, ni le reste, et un moment, l’espoir s’est envolé et j’ai accepté… J’ai su que j’allais crever, ici, avec elle, sur son pieu, son cul sur ma gueule, son cul que je vénère plus que tout, son cul qui m’a vu renaître et me donnera la mort. J’ai vu la lumière décliner, la lune s’endormir, se réveiller. Coup de bol ou pas, ça m’aurait bien emmerdé de rater la soirée où elle s’est pointée en quête d’une queue.
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