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La sorcière Althéa

Chapitre 3

Hétéro
Chapitre 3 : Le cœur de la sorcière

  Depuis le jour où je me suis interposé pour sauver la sorcière — enfin, sauver, c’est un bien grand mot — les choses ont radicalement changé entre nous. Je ne suis toujours que son animal de compagnie qu’elle appelle lorsqu’elle veut un coup de bite, mais il y a désormais une forme de passion qui n’existait pas avant. C’est en train d’aller plus loin qu’une simple histoire de cul, que de simplement satisfaire des besoins primaux, il y a… une envie l’un de l’autre. Sachant qui elle est et ce qu’elle fait, cela me trouble énormément. Althéa n’est pas que la maitresse du monde, c’est une tyran sanguinaire qui perpétue des actes horribles chaque jour. Comment est-ce possible que je parvienne à m’attacher à elle ?
  Je ne suis plus vraiment un prisonnier, on me laisse circuler librement dans le palais maintenant. Je pourrais m’échapper, mais je n’en ai plus envie. Je ne suis pas si mal ici, j’ai une chambre confortable, de la bouffe correcte, et une amante avec qui le sexe est torride ; c’est autre chose que mes conditions de vie dans la résistance. Je sais que c’est profondément égoïste d’avoir abandonné la cause lâchement pour ça, mais ce n’est pas comme si la seule autre alternative était la torture et la mort. Pourquoi ferais-je délibérément ce choix ? Ma force, ça a toujours été d’être une personne sage et raisonnable, et pas un fanatique débile. Même si la sagesse, en ce moment, je n’ai pas trop l’impression d’en faire preuve, mais soit.
  Je m’ennuie beaucoup en journée, quand je ne suis pas avec elle. Ce palais est vide d’âme et de distraction. La plupart du temps, Althéa n’est pas là, elle est toujours occupée quelque part dans les quatre coins du monde à faire je ne sais quoi. Honnêtement, je ne préfère pas savoir, je crois que cela me ferait sentir encore plus coupable. Je me contente d’être dans mon rôle : un baiseur. J’ai beau la dominer au lit, je reste son esclave, un esclave consentant.
  Elle me fait appeler un soir au retour de l’un de ses voyages, je la baise comme la dernière des chiennes dans son lit. Après avoir joui tous les deux, je m’apprête à l’abandonner pour retourner dans ma cellule lorsqu’elle me retient en m’attrapant par la main.
— Reste, dit-elle. Reste avec moi ce soir.
  Ce n’était pas dit d’un ton autoritaire comme s’il s’agissait d’un ordre, plutôt comme une supplication. Il y a beaucoup de tristesse dans ses yeux. Je cède, pas parce qu’elle est ma maitresse, mais parce que j’en avais envie depuis un bon moment moi-aussi. Allongés l’un contre l’autre, je la serre dans mes bras. Nous ne parlons pas, nous restons simplement ainsi à profiter de la chaleur de nos corps respectifs. Je finis par m’endormir, nous avons passé la nuit ensemble. Le lendemain, elle me réveille par une pipe, puis elle me demande de la prendre par le cul. Je la sodomise comme un animal jusqu’à m’en faire éjaculer, lui donnant un orgasme au passage. Nous sommes bien, nous nous sourions. Avant qu’elle ne parte prendre une douche, elle me lance :
— Ma chambre est dorénavant ta chambre. Je veux que nous dormions tous les soirs ensemble. — Bien, maitresse, réponds-je comme un serviteur docile.
  C’est une… sacrée promotion j’imagine, je ne suis pas certain de comprendre ce que cela veut dire. Après s’être lavée et habillée, elle se téléporte, me laissant seule dans cette grande pièce. La journée va être longue.
    Je me pose plein de questions. Si ceci est désormais ma chambre, ai-je le droit d’apporter mes affaires ? Ai-je un placard pour moi ? Non pas que je possède grand-chose en tant que prisonnier, mais justement : est-ce que cela veut dire que je suis toujours qu’un esclave à ses yeux ? Ou… un amant ?
  Le soir, elle revient, et nous baisons. Cela devient notre quotidien. Je m’interroge : avant, elle ne m’appelait que tous les quelques jours, et maintenant… Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’elle est juste dans une période de gros manque ? Où il y a autre chose ? Quoi qu’il en soit, je ne m’en plains pas. Je ne me lasse pas de lui faire l’amour. J’essaie d’imaginer une de ses journées typiques, cela doit être tout de même assez drôle. Elle se lève le matin, part au « boulot » qui consiste à quoi ? Être la figure autoritaire et tyrannique de la reine du monde ? Pour revenir au soir chez elle à décompresser en se faisant sauter comme une pute. Ce n’est pas banal.
  Son besoin de s’envoyer en l’air tous les jours finit par lui passer. Je pensais que cela signifierait qu’elle me renverrait dans ma vieille cellule les soirs où elle ne requiert pas mes « services », au lieu de cela, elle me laisse rester dormir avec elle. Je crois qu’elle veut vraiment que je sois là, même si ce n’est que pour la tenir dans mes bras. Elle n’a pas envie d’être seule. Je pense qu’elle a envie de se sentir un peu… aimée. Est-ce possible que derrière ce visage de glace se cache un cœur qui bat ? C’est peut-être ça son problème : je doute que quelqu’un l’ait déjà véritablement aimée. Que se passerait-il si elle rencontrait quelqu’un comme ça ? Pourrait-elle changer ? Est-ce ce qu’elle attend de moi ? Que je sois cet homme ? En serais-je capable ? Pourrais-je l’aimer malgré les monstruosités qu’elle a commises ? Je ne sais pas, peut-être, mais j’aurais besoin d’abord pour ça d’en apprendre plus sur elle :
— Althéa, pourquoi tu fais tout cela ?
  Nous sommes dans son lit. Elle se retourne vers moi en écarquillant les yeux :
— De quoi est-ce que tu parles ?— Et bien, tout cela. La conquête du monde, la domination… — Je n’ai pas à me justifier auprès de qui que ce soit, et surtout pas auprès de toi. Tu n’es là que pour une seule chose, et tu le sais. Dois-je t’apprendre à rester à ta place ?— J’ai juste envie de te connaitre, de te comprendre. — Mais tu ne peux pas me comprendre, personne ne le peut. C’est ma malédiction. — Cela ne te coute rien d’essayer de m’expliquer.
  Elle soupire :
— Qu’est-ce que tu veux savoir ?! Tu trouves que je suis cruelle et sans cœur ? Un monstre ? Qu’est-ce que tu veux que cela me fasse ? Le monde pense qu’il n’a pas mérité ce qu’il lui arrive, et c’est exactement ce qui fait qu’il le mérite encore plus. Je suis immortelle, j’ai six cents ans Galléo, j’ai eu le temps de voyager et de connaitre la véritable nature de l’humanité. Elle est gangrénée, il n’y a rien à sauver. — Alors quoi ? C’est ça ton excuse ? Des gens t’ont fait du mal, alors tu cherches à te venger ? — Ne joue pas à ce petit jeu avec moi. Ne me provoque pas, tu risquerais de le regretter. Il ne s’agit pas que de moi. Vous vous entretuez et vous vous faites du mal depuis la nuit des temps. Je ne suis que le résultat, l’incarnation de votre propre noirceur. Ce sont vos propres défauts que vous détestez en moi. Dans toute l’Histoire, les sorcières ont toujours été pointées du doigt comme la source de tous vos malheurs, je ne fais… qu’accomplir le destin que vous m’avez attribué. Ce qui vous arrive est de VOTRE faute, c’est VOUS qui l’avez déclenché. Si tu veux vraiment le savoir, je n’aime pas ça, et j’aimerais que les choses soient différentes, mais les choses sont ce qu’elles sont.
  Je ne comprends pas de quoi elle parle. Que lui est-il arrivé pour qu’elle devienne ainsi ? Je voudrais lui poser d’autres questions, mais je la sens suffisamment irritée pour ce soir, je laisse tomber pour cette fois, j’aurais bien une autre occasion.
  Notre train-train continue le lendemain sans qu’elle me tienne rigueur de cet « incident ». Parfois, il y a des jours où elle ne rentre pas et où je suis tout seul. Je comprends que ses « responsabilités » la retiennent, mais elle ne me raconte jamais rien lorsqu’elle rentre.
  Je ne sais pas si notre relation évolue vraiment, mais en tout cas, dans ma tête, pas mal de choses changent. Je me sens… moins comme un étranger dans son lit. Je me considère plus comme un concubin que comme un esclave. Je me demande comment elle, elle voit les choses.
  Je me réveille le matin, elle est déjà sous la douche. Nous n’avons rien fait la veille et j’avoue avoir très envie. Généralement, j’attends toujours qu’elle me le demande pour initier la chose, mais, merde, si elle est assez à l’aise pour me laisser dormir avec elle, c’est peut-être que j’ai également le droit de me montrer un peu plus entreprenant, non ? Je me dirige vers la salle de bain, elle ne se rend pas compte de ma présence avec le raffut de l’écoulement de l’eau. J’entre dans la cabine tandis qu’elle a le dos tourné. J’avais déjà une trique d’enfer avant, mais là, à la voir nue comme ça, son magnifique corps luisant, cela n’aide pas à me calmer. Je la surprends en lui empoignant les seins par derrière :
— Qu’est-ce que tu fais ?! s’emporte-t-elle. Tu es fou ?! — Oui, fou de vous, maitresse, lui fais-je.
  Je la plaque contre une des vitres, la poitrine écrasée, le cul bien en arrière, et la fourre pour la sauter sauvagement.
— Espèce d’animal ! m’insulte-t-elle.— Oui, et c’est ta faute. C’est toi qui as fait de moi un animal. J’étais un être humain avant, tu as voulu que je sois une bite sur patte. C’est réussi, je ne pense désormais plus qu’à te baiser !
    Elle a beau se plaindre, elle pourrait me tuer en un clin d’œil si elle le voulait, le fait qu’elle se laisse faire me prouve son approbation. Je la lime violemment en la tenant par les hanches. Mon dieu, ses courbes, son odeur, sa chaleur, tout en elle me rend dingue. Je veux en faire ma femelle et être son mâle.
— Alors, tu veux que je m’arrête ? — Non ! répond-elle. — Tu aimes ça ?— Oui ! — Tu en veux encore ? — Oui ! Prends-moi ! Salaud !
  C’est vrai que j’en suis un, je prends un malin plaisir à la souiller et la malmener, elle qui a pour habitude de malmener les autres.
  Je sors de son vagin pour m’enfoncer dans son cul.
— Aaah ! Oui ! crie-t-elle. Encule-moi, enfoiré !
  Je raffole de son petit trou, depuis qu’elle m’y a fait gouter, j’en suis devenu accro. Mon bassin remue comme s’il était animé d’une volonté propre. Je la tire par les cheveux pour la forcer à me regarder pendant que je la saillis. Elle est belle, cela me fait bander encore plus. Moi qui pensais qu’une femme passée trente ans était périmée, je ne pourrais plus jamais retourner avec une fille de mon âge. En réalité, je ne serais plus capable d’être avec une autre fille tout court. C’est elle ou c’est personne. Je suis l’esclave de son corps, tel un drogué qui dépérirait s’il devait s’éloigner de la source de son addiction.
— Ah ! Oui ! Salaud ! Salaud ! geint-elle.
  Je la retourne violemment, dos à la vitre, puis l’attrape par les cuisses pour la porter à bout de bras. Mon sexe retrouve facilement le chemin de sa grotte humide comme s’il s’agissait de son terrier. Je suis comme une bête en rut qui a besoin de violer la première chose qui ressemble à une femme pour se soulager, et elle est comme le chaperon rouge qui s’offre au grand-méchant loup. Elle ne veut pas faire l’amour avec un homme, elle veut se faire agresser par une bête.
  Je grogne à chacun de mes assauts en lui mordant le cou, elle en soupire bruyamment de plaisir. Je veux la faire jouir, comme si en être capable me donnait du pouvoir sur elle. Ses seins sont pressés sur mon torse, je voudrais tant les voir et jouer avec.
— Aaaaaah !
  Ça y est, elle est prise d’un orgasme. Mon but est atteint, mais la partie est loin d’être terminée. Je lui donne encore quelques coups avant de me figer en elle afin qu’elle puisse profiter du moment. Lorsque j’estime qu’elle s’est assez reposée, je la laisse retomber sur ses pieds et lui ordonne :
— Suce-moi, salope !
  Apparemment, ma vulgarité ne la dérange pas, car elle s’agenouille et me prend dans sa bouche.
— Hmm, la belle bite de mon animal, me complimente-t-elle. Il a aimé mon vagin, le pauvre toutou ?
  Je grogne en guise d’acquiescement.
— Hmm, c’est un beau jouet, il me donne tant de plaisir, il faut en prendre soin. Laisse-peux moi te remercier à ma façon.
    Elle me pompe comme une chienne et me fait plusieurs gorges profondes, je n’en peux plus. Je me résigne à me laisser me décharger dans un avenir proche quand elle me déclare avoir d’autres intentions :
— Allonge-toi, je vais te chevaucher.   Je lui obéis docilement. C’est la douche d’une impératrice, il y a de la place. Elle me nargue en me grimpant dessus de dos, je ne peux toujours pas l’admirer. Elle attrape ma verge et se l’introduit dans l’anus. Elle s’empale furieusement dessus. Les sensations sont intenses, j’ai du mal à me retenir d’éjaculer. Un son de claquement répété retentit au travers du bruit de la douche. Nos corps sont trempés, la cabine est envahie de vapeur. J’essaie de m’imaginer la scène dans ma tête, cette belle déesse blonde, à cheval sur ma queue, les seins luisants, et la chatte vide tandis que son cul se fait ramoner.
— Alors, il est heureux mon petit animal ?— Oui ! — Il aime la façon dont sa maitresse prend soin de lui ?— Oui ! — Montre-lui comment tu es content.
  Je comprends ce qu’elle veut dire. Elle arrête ses mouvements et je prends le relais en démarrant un va-et-vient brutal. Pas parce qu’elle le veut, mais parce que j’en ai besoin.
— Allez ! Fais jouir ta maitresse ! me commande-t-elle. Encule-moi !
  Je n’arrive plus à penser avec autre chose qu’avec ma bite. Il me faut son anus ! Je grogne de plus en plus fort. Elle explose soudain d’un nouvel orgasme. Je jurerais qu’un jet de mouille vient d’être expulsé dans les airs comme celui d’une femme fontaine. Elle crie comme une damnée, heureusement que nous sommes seuls dans le palais. Je pourrais la rejoindre, mais j’ai toujours eu d’autres plans pour la fin. Il est temps, je n’en plus. Je la jette en avant comme un déchet pour me faire sortir d’elle, elle se rattrape de justesse à quatre pattes. Elle est toujours en pleine jouissance, mais je ne lui laisse aucun répit, je me redresse et la fais se tenir sur ses genoux en la tirant par les cheveux :
— Je vais te donner à boire, salope ! Et tu as intérêt à tout avaler !
  Je force mon passage au fond de sa gorge. Je pensais qu’elle ne savait plus ce qui lui arrive, jusqu’à ce qu’elle se mette à me sucer volontairement. Elle me fixe de ses yeux suppliants. Elle ne fait pas semblant, elle le veut, elle l’attend. Elle veut satisfaire son animal de compagnie. Je m’abandonne au plaisir et laisse mes couilles exploser. Je beugle en lui envoyant une première giclée de sperme, elle déglutit. Je la force sur mon sexe en lui maintenant la tête.Je continue d’éjaculer. Il y en a une telle quantité que des filets s’échappent par ses lèvres. Je me vide entièrement, je la laisse respirer qu’une fois totalement apaisé. Elle tousse, mais elle ne recrache rien. J’ai eu ce que je voulais, je n’ai plus rien à faire ici, je l’abandonne comme une vieille loque en refermant la cabine derrière moi. Je me suis servie d’elle comme d’un simple vide couille. J’ai peut-être été salaud avec elle, mais je n’oublie pas qu’entre les deux, c’est elle qui a le véritable pouvoir. Si elle m’a laissé faire, c’est qu’elle le voulait, et qu’elle en a apprécié chaque seconde. C’est une preuve qu’elle est aussi tordue que moi.
Le temps passe, des mois peut-être. Elle ne me dit toujours rien, nous parlons peu, et pourtant, je me sens de plus en plus proche d’elle. Je suis convaincu qu’elle aussi, ou du moins, qu’elle m’aime bien, qu’elle s’est attachée à moi. Cela me fait sentir… bien. Se faire aimer d’une femme comme ça, ça me fait sentir… spécial. C’est une femme extraordinaire. Si on peut lui reprocher ses actions, je ne peux qu’admirer son intelligence, sa force, et sa détermination. Si seulement elle n’utilisait pas ses dons pour faire le mal…
  Un jour, j’apprends une terrible nouvelle. La résistance a été vaincue. Nos bases ont été détruites, et les leaders arrêtés pour être bientôt jugés et exécutés. Mes amis… mes camarades… Sont-ils encore en vie ? Qu’ai-je fait… Pendant tout ce temps, je me suis contenté d’enfoncer ma tête dans le sol et d’ignorer tout ce qui se passait autour de moi. Tout n’est pas encore terminé, il reste peut-être de l’espoir. Peut-être qu’avec ma position unique, je peux faire plus pour eux que ce que je n’ai jamais pu faire en étant à leur côté. Je vais parler à Althéa pour la supplier d’être clémente, elle me rit au nez. Je ne me décontenance pas et insiste auprès d’elle :
— Galléo, je me doute que tu ne m’as pas crue lorsque je t’en ai parlé lors de notre première rencontre, mais la résistance n’a vécu que parce que je l’ai désiré et qu’elle avait son utilité. La guerre est finie, une nouvelle ère se lève, il est temps que les agitateurs disparaissent une bonne fois pour toutes. — Tu n’es pas obligée de les faire exécuter. Tu peux te contenter de les emprisonner !— Et pourquoi ferais-je une chose pareille ? ricane-t-elle.— Parce que je sais qu’au fond, tu voudrais être aimée et non haie.— Comment oses-tu ?! Tu ne sais rien de moi ! me lance-t-elle d’un regard furieux. — C’est vrai, j’ai peut-être tort. Mais j’ai besoin de croire… qu’il y a encore du bon en toi. S’il te plait, Althéa… j’ai des amis parmi ces gens. Je ne te demande pas de les libérer, juste… de les laisser en vie…
  Elle me fixe d’un air songeur, elle détourne les yeux un moment, puis me regarde à nouveau avant de déclarer :
— J’y penserais. Je verrais.
  Puis elle s’en va.
  Plusieurs jours plus tard, je découvre qu’elle m’a écouté et qu’elle les a condamnés à perpétuité. C’est un soulagement, il y a peut-être encore de l’espoir pour elle. Peut-être qu’avec le temps, je parviendrais même à la convaincre de les libérer, mais une chose à la fois. Si elle les avait fait tous tuer, non seulement je n’aurais jamais pu le lui pardonner, mais en plus, j’aurais été incapable de continuer à lui faire l’amour. Finalement, je suis devenu un amant encore plus fougueux. Certes, je la baise toujours comme le dernier des salauds, mais je ne le fais plus parce que je la hais, mais parce que je sais que cela lui plait.
  Chacun son tour, un soir, c’est à elle de vouloir avoir une discussion avec moi. Je m’inquiète, c’est bien la première fois qu’elle veut me parler d’un sujet sérieux :
— Je vais être honnête avec toi, me confie-t-elle. Il y a quelque chose que je veux depuis très longtemps et que je n’ai jamais pu avoir. Je n’avais jamais eu l’occasion ni le temps avant, mais maintenant que la guerre est terminée, et que les choses commencent à rentrer dans l’ordre… — Qu’est-ce qu’il y a ? Je t’écoute.
  Je la sens nerveuse.
— J’ai toujours voulu être maman. — Tu veux dire que…— Oui, je veux que tu me fasses un bébé.
  Je ne sais pas quoi dire, c’est le bordel dans ma tête.
— Rassure-toi, je ne te demande pas d’être père et d’avoir des responsabilités. J’ai juste besoin de ta semence. J’élèverais cet enfant toute seule, je n’ai besoin de personne. En fait, je ne te demande même pas ton avis, je te préviens juste que j’ai arrêté la contraception. — Et bien, peut-être que mon opinion ne compte pas mais… je tiens tout de même à te dire que je serais ravi de te faire cet enfant, et que j’en serais prêt à prendre la responsabilité si tu venais à changer d’avis.
  Elle ne me dit rien, mais son langage corporel trahit le bonheur qu’elle a de m’entendre prononcer ces mots. Elle m’embrasse tendrement, on dirait qu’elle veut commencer tout de suite. Soit. Nous nous déshabillons mutuellement. Je me régale de ses seins à la seconde où je me débarrasse de son soutien-gorge. Je lui suce les tétons et les mordilles un peu, elle gémit à mon oreille.
  Elle me fait m’allonger lorsqu’elle passe à mon pantalon. Elle enlève mon caleçon et se met à me sucer. Je deviens rapidement dur, très dur. Elle continue néanmoins pour être certaine de bien me préparer. Une fois bien excitée à fond, elle me monte dessus et s’empale sur ma queue. Je constate qu’elle est toute trempée. Elle ne fait pas ça simplement parce qu’elle veut un enfant, elle me veut moi. J’en suis encore plus convaincu lorsqu’elle se penche pour m’embrasser. Je craque, je la serre contre moi et lui donne des coups de bassins, nos corps s’emboitent parfaitement.
  Elle me demande de changer de position pour que je la prenne à quatre pattes.
— Je peux t’enculer ? lui demandé-je.
  En général, je ne lui demande pas la permission, mais là… je ne sais pas…
— Tout ce que tu veux, tant que tu n’oublies pas de jouir dans ma chatte.
  Je m’enfonce dans son petit trou et la lime bien. Je la saute peut-être comme une chienne, mais il y a plus de que ça. Il y a aussi… de la passion et de la tendresse, bien plus que d’habitude.
  Je ne couche pas avec elle juste parce que je suis son esclave, ou parce que je suis un animal en manque qui a besoin de tirer un coup. Elle me fait envie, elle me fait rêver, c’est elle qui provoque ça chez moi. Je me penche sur elle pour lui embrasser l’épaule et le cou. Elle tourne son visage vers moi, je l’embrasse sur la bouche. Ce moment est intensément érotique.
  Je la prends ensuite en missionnaire, par la chatte. Je la tiens par en dessous des cuisses en lui donnant mes coups de butoir. Ses seins remuent sous mes assauts, j’adore les regarder. Un peu trop même, je me sens déjà pas loin de mes limites.
— Tu as déjà envie de jouir ? me demande-t-elle en comprenant mon tourment.— Ne n‘inquiète pas, je sais me retenir.— Non, au contraire, ne te retiens pas. Ejacule dès que tu en as envie. — Tu es sûre ? Tu n’as pas envie de jouir aussi ?— Tiens donc, tu te soucies moi ? Ne t’en fais pas, je jouirais avec toi.
  Soit, je lui fais confiance. Je me détends et me laisse aller. Je me courbe sur elle pour l’embrasser. Elle me prend dans ses bras.
— Vas-y, fais de moi une maman, me murmure-t-elle.
  J’augmente mon rythme, je veux le faire.
— Je veux te donner cet enfant, Althéa, je veux être son père.— Je suis fertile aujourd’hui, tu n’as qu’à éjaculer au fond de moi. — Hmm oui, je veux jouir pour toi, au fond de toi.— Vas-y…
  Ses jambes m’enserrent le bassin pour m’empêcher de fuir, son vagin a faim de mon sperme, et je suis dévoué à le lui donner.
— Je vais te faire un bébé. — Oui !   L’idée de l’engrosser m’excite à mort, j’en suis le premier surpris. Manifestement, elle aussi. Je suis bien plus doux que d’habitude, mais elle prend malgré tout son pied.
  Oh la vache ! Ça y est, je me sens partir, il faut que je la prévienne :
— Je vais venir.— Continue ! Jouis ! — Althéa ! Aaaah ! — Oui ! Ensemence-moi !
  Je gicle au fond de ses entrailles. Les parois de son vagin se resserrent comme pour m’inviter à la remplir.
— Continue, je te sens ! Donne-moi tout, m’encourage-t-elle.
  Sur ses mots, elle jouit avec moi. Ses oncles se plantent dans ma chair sous l’effet de l’extase, cela ne m’arrête cependant pas.
— Prends ! Prends ma semence ! fais-je. Je le donne avec plaisir !— Oh ! Oui !  Je suis au paradis, j’ai la tête qui tourne. Je me vide les couilles avant de m’écrouler sur elle. Elle redescend sur terre elle aussi. Elle me prend tendrement dans ses bras, l’air satisfaite. Nous sommes tous les deux biens, heureux, en paix.
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