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Soubrette Sissy Boy

Chapitre 6

Travesti / Trans
6.
Le lendemain, après m’être habillée (string et soutien dentelle rouge, bas noirs, robe habituelle), je me rendis chez ma maîtresse. Kristina s’y trouvait déjà, elles discutaient du traitement hormonal. Le traitement n’influencerait pas sa voix, mais ralentirait la pousse de la pilosité, et ferait grossir sa poitrine. Ses cheveux pousseront plus vite aussi, et elle risquerait d’avoir des érections plus difficile. Les hormones changeraient son caractère, le rendant plus sensible, plus émotionnel. Pour sa pilosité, Kristina devrait passer par une électrolyse ou une épilation laser.
Je lui montrais où était le monte-plat, et le plateau déjeuner. Je l’apportais à notre maîtresse, Kristina sur mes pas. Puis, après avoir déposé le plateau, je passais sous la table, comme d’habitude… Elle portait sous sa robe de chambre un pyjama en satin, couleur mauve. Un petit bouton fermait la fente d’une ouverture, au niveau du sexe… décoration, fait par elle, ou pyjama masculin ? Je ne sus, et cela n’avait pas d’importance ! Je défis fébrilement le bouton, tout en caressant par-dessus le tissu la petite bosse où je devinais son sexe. Le bouton ouvert, je sortis son sexe à moitié bandé, et commença à le lécher, avec délectation. Il ne me fallut que quelques coups de langues et de caresses pour le faire bander rapidement, pour une bonne mise en bouche ! Tandis que ma bouche allait et venait le long de son sexe, j’entendis qu’elle posa sa tasse sur l’assiette, et se recula un peu…
— Aline, Kristina ne sait rien voir comme cela. Attend, viens par ici, montre-lui le service matinal qu’une excellente soubrette comme toi peut apporter !
Elle écarta la chaise de la table, et resta assise, jambe écartée, son superbe sexe mouillé de ma salive tendu orgueilleusement, au grand désarroi de Kristina. Ses yeux exorbités et sa bouche qui restait entr’ouverte de surprise valaient le détour ! Bon, je fus moi-même très étonnée quand je découvris le sexe de Mrs. Benson… je me demandai si j’avais tiré une tête pareille ! A quatre pattes, je sortis de dessous la table et allais jusqu’à la chaise, où je repris ma fellation. Quelques coups de langue, et je remis en bouche sa verge. Je sentis sur moi le regard de Kristina. Elle devait être confuse, surtout après les vidéos éducatives regardées la veille !
— Kristina, il faut que tu apprennes cela aussi. Mets-toi à quatre patte, et viens voir comment Aline fait !
Je sentis peu après une présence près de moi. Son épaule touchait la mienne. Je sortis le sexe de Mrs. Benson de ma bouche, et lui montrais comment le caresser, les lécher, la hampe, le gland, les testicules, avant de l’enfourner dans ma bouche, puis d’aller et venir jusqu’à ce que le gland touche le fonds de mon palais…
— Mmmm, tu es trop bonne Aline, arrête où je risque déjà d’arriver ! A toi Kristina, essaye !
Je sortis son sexe de ma bouche, et me reculais pour laisser la place à Kristina. Elle donna quelques coups de langues hésitants et maladroits, avant d’enfourner comme elle pouvait le gland… puis de nouveaux coups de langues, puis le gland, un peu de hampe… je devinais que ce n’était pas terrible… je vins l’aider, léchant le bas de la hampe tandis qu’elle léchait le haut… puis nous changions… à un moment, j’accélérais la fellation, et ma Maîtresse éjacula son sperme en moi.
— Mmmmmm ouiiii, ce que tu es douée Aline ! Kristina, embrasse Aline, pour t’habituer au goût du sperme !
Elle hésita, je pris donc l’initiative, l’embrassant sur les lèvres, puis ma langue se fraya un chemin dans sa bouche. Elle l’ouvrit un peu, ma langue alla caresser la sienne, passant un peu de sperme dans sa bouche. Le baiser devint plus passionné, nos langues tournoyèrent, jusqu’au moment où elle interrompit le contact, pour reprendre de l’oxygène !
— Kristina, tu n’es pas encore très douée, il faudra t’entraîner, beaucoup t’entraîner ! Aline, il faudra que tu la chapeautes à ce sujet.
Entraîne-là aussi à porter des chaussures à talon. Et montre-lui pour le ménage. J’ai du travail, vous pouvez disposer, les filles !
Nous la laissâmes donc et allèrent dans la chambre de Kristina, où elle prit des escarpins noirs, avec les talons de 5 cm. Je lui montrais ensuite pour le ménage. A un moment, elle trébucha en avant, à cause des talons. Sa jupe remontant, je pus voir qu’elle avait choisi un string noir, qui lui allait bien. Je ne pus m’empêcher de caresser ses jolies fesses avant de l’aider à se relever. Elle était rouge pivoine ! Après, tandis que je lui avais confié une tâche ou deux à faire, j’eus une idée, pour améliorer sa technique. Je la laissais travailler, et alla trouver notre maîtresse pour lui expliquer l’idée. Elle approuva, et me donna carte blanche. Je bricolais donc tout l’après-midi, pendant que Kristina et notre maîtresse réglaient des détails administratifs. Le soir nous dinâmes ensemble, puis je la laissais regagner ses appartements, où l’attendait une autre « vidéo éducative »…

Le lendemain, elle porta elle-même le plateau déjeuné sur la table, devant notre maîtresse, et à côté de moi sous la table, me regarda attentivement la sucer pendant qu’elle mangeait, sa jupe retroussée, et me délecter de son jus. De nouveau, après qu’elle m’ait remplit la bouche de son sperme chaud, j’embrassais Kristina à pleine bouche, nos langues se mélangeant, le sperme de notre maîtresse passant d’une bouche à l’autre…
Ensuite nous descendîmes toutes les trois, pour que je puisse leur montrer ce que j’avais préparé la veille. Nous nous rendîmes dans les toilettes des garçons côté école, celles du rez-de-chaussée, en général les plus fréquentées. Celles-là même où Danny et ses amis m’avaient attachée il y a peu. Les cinq urinoirs étaient là, et à côté, il y avait trois cabines WC, fermant avec un loquet, dont les parois étaient en bois. Je leur montrais la cabine du milieu… Kristina y entra la première, suivie de Mrs. Benson. Il y avait un trou de chaque côté, sur la paroi de gauche et celle de droite. Juste assez grands pour laisser passer une verge…
— Et croyez-moi, les textes ou dessins sur les parois de l’autre côté sont assez évocateurs !— Et comment tu vas le faire savoir dans l’école ?— Oh pas de soucis, le bouche à oreille va très vite fonctionner…
Kristina nous regardait, ne comprenant pas encore ce qui l’attendait.
— Vous devriez allez maîtresse, je vais lui montrer !
Elle acquiesça et nous laissa. Lorsqu’elle fut partie, je fermais la porte de la toilette, avec le loquet. Kristina voulut poser une question, mais je lui fis signe de se taire. Peu après, nous entendîmes la porte des toilettes s’ouvrir, puis un bruit du côté des urinoirs. Il ne viendrait pas par ici. Cinq minutes plus tard nouveau bruit de porte, de nouveau un pour les urinoirs. Mais quelques secondes après, nouveau bruit de porte, et cette fois le bruit s’approcha, et l’on entendit la porte de la cabine sur notre gauche s’ouvrir puis se refermer. Un bruit de braguette qui s’ouvre, de liquide déversé, de papier WC pris, puis de chasse tirée… ensuite un bruit de braguette qui remonte, puis une hésitation… « oui, vas-y, pensais-je, ose ! » Kristina commençait à comprendre, je la fis asseoir sur le WC… quelques secondes après la braguette se refait entendre et un gland apparut par le trou, puis la hampe. Un sexe pas très grand, à moitié bandé. Kristina hésita, alors je me penchai, et enfournai le sexe dans ma bouche… frémissement de surprise de l’autre côté… ma bouche parcourut cette hampe, dans un sens, puis dans l’autre, je léchai le gland et lorsqu’il fut bien bandé, je commençai une fellation dont j’avais le secret… il ne lui fallut pas cinq minutes pour éjaculer dans ma bouche…
J’approchais ensuite ma bouche de celle de Kristina… elle ouvrit la sienne… mais plutôt que de poser mes lèvres sur les siennes, à sa grande surprise, je fis couler le sperme de ma bouche dans la sienne, avant de lui rouler un de ces patins ! Je la préparais ainsi à savourer ce qui allait suivre…
Sur ces entrefaites, le sexe avait disparu du trou. « Le prochain est pour toi » lui murmurai-je. Et effectivement, cinq minutes après, un nouveau sexe se présenta. Directement, sans passer par la case ‘petit besoin’. Donc certainement un copain du premier, déjà averti. Et la rumeur allait se répandre bien vite, j’en étais sûr ! Kristina hésita cinq minutes, puis lécha le gland avant d’enfourner le sexe dans la bouche. Elle le suça du mieux qu’elle put, et après une dizaine de minutes, le gars lui éjacula dans la bouche. Elle fut surprise, et voulu retirer sa tête… mais je la maintin bien pour qu’elle ne puisse faire autrement qu’avaler, tout en lui susurrant à l’oreille « Savoure-le… savoure son goût salé, son épaisseur, sa chaleur… savoure ce sperme, ce nectar qu’ils te donnent ! » Elle avala tout en rougissant. J’avais bien l’impression que ça lui plaisait. Je me souvins moi-même de l’effet qu’avaient eu sur moi les « vidéos éducatives » de notre maîtresse !
Ce fut calme un certain temps, avant qu’un autre sexe apparaisse. Elle se pencha dessus et commença à le sucer. Un autre apparu par le second trou. Je pris sa main et la posa sur ce nouveau sexe… elle commença à le masturber, tandis qu’elle suçait le premier. Celui qu’elle masturbait éjacula le premier, sur sa main, au sol. Quelques minutes après, le second vint dans sa bouche. Cette fois je n’eus pas à intervenir, elle ne se retira pas, savourant le chaud nectar qui coulait dans sa gorge. Je souris, pensant qu’elle ne fut pas difficile à convaincre… comme moi en somme ! Deux autres sexes se présentèrent quelques minutes après. Elle en enfourna un dans sa bouche et allait prendre l’autre en main, mais… ce second… quelle monstre ! Au moins 20 cm sur 5… ou même 6 cm ! Un tel calibre, ça ne pouvait être que pour moi ! Je me baissais donc et commençais à le sucer… Mais l’angle n’était pas facile. Je m’assis donc sur les genoux de Kristina. Sur elle et face à elle. Elle frémit, tout en continuant à sucer le sexe sur sa droite. Je pus bien sucer le monstre qui était de l’autre côté. Nos mouvements de bouches et de têtes, faisaient se balancer nos corps, nos bas glissant l’un sur l’autre. A un moment je sentis mon entrejambe tout contre le sien. Elle bandait ferme. Moi aussi. Soudain, je sentis le monstre se cabrer dans ma bouche, et il éjacula une telle quantité de sperme que je ne sus presque pas tout avaler ! Elle était toujours occupée. Excitée, je passais ma main sous sa robe, et commença à caresser l’avant de son string, tendu par son sexe bandé… sexe qui dépassait du string… Le type éjacula dans sa bouche, et fut bien vite remplacé par une autre, qu’elle recommença à sucer sans se poser de question. Moi je descendis d’un étage, me mettant à genoux sur le sol, entre ses jambes, et passa ma tête sous sa robe. Son gland et un bout de hampe dépassait de son string, et il était hyper mouillé, tellement sucer des verges l’excitait ! Je léchais tout son pré-sperme, son gland, avant de l’enfourner dans ma bouche… il ne lui fallut que quelques secondes pour éjaculer, tandis qu’elle-même avalait le sperme du gars qu’elle suçait et qui venait lui aussi d’exploser dans sa bouche…
La récréation devait être finie, car plus aucun sexe ne se montra. Nous en profitâmes pour reprendre notre souffle. Je me levai et la regardai.
— Notre maîtresse veut que tu t’entraînes ici 2h chaque après-midi. Je viendrai de temps en temps avec toi pour être sûr que tu fais cela avec sérieux !
Elle hocha de la tête. Puis je la laissais là, et quittais la pièce. J’avais mes propres tâches à faire. Le soir, nous dinâmes ensemble, elle me raconta le nombre de verges qu’elle avait sucé pendant la journée. J’étais certaine que sa technique s’améliorerait ainsi.
Lorsque nous sortîmes du réfectoire, nous croisâmes Mrs. Benson nous attendait. Nous la suivîmes jusqu’à la chambre de Kristina.
— Je t’ai acheté un petit cadeau Kristina, pour te préparer.
Un paquet était sur le bureau. Kristina le pris, déballa et me montra la boîte. C’était un gode anal !
— J’ai remarqué comme tu es serrée à ce niveau. Pour plaire à tes maîtres, tu devras y passer, alors autant te préparer pour qu’il y ait plus de plaisir que de douleur. Profites-en bien, Aline n’a pas eu cette chance ! D’ailleurs elle va t’aider à le mettre. Je veux que tu le portes chaque fois que tu fais le ménage !
Elle pâlit un peu, mais acquiesça de la tête. Nous nous assîmes sur le lit et elle me passa la boîte. J’enlevai complètement l’emballage. Je retirais le jouet, un petit gode noir, de forme légèrement conique, assez doux au toucher, sans doute imitant la texture et la sensation de la peau… Il n’était pas très grand, une dizaine de centimètre avec le pied, plus ou moins huit centimètres pénétrable. Il n’était pas trop large non plus, pus fin au-dessus, plus large en dessous puis encore plus fin pour le pied, une largeur progressive qui ne devait pas dépasser les trois centimètres. Il y avait aussi un tube de lubrifiant dans la boîte. Je regardai Kristina et lui demandai d’enlever sa robe. Elle ne portait plus que ses bas résilles, ses escarpins à talon, et son string noir. Je lui demandai de se mettre à quatre pattes sur le lit, ce qu’elle fit.
Je me mis derrière elle, et lui caressa sensuellement les fesses. Ma main parfois s’égarait vers l’avant, sentant son sexe mi-bandé derrière le tissu noir à dentelle… puis mes mains repassèrent sur ses jolies fesses, et écartèrent la fine bande de tissu noir qui me cachait son œillet. Je le caressais doucement, le flattant de mon doigt. Puis je mis une noisette de lubrifiant sur mon doigt, et je l’appliquais doucement sur sa rondelle, tournant, caressant. J’en remis un peu plus, son anus luisant à cause du lubrifiant. Je passais mon doigt sur son sillon, son anus, jusqu’à ce que mon doigt soit lui aussi luisant de lubrifiant. Puis il recommença à tournoyer sur son anus, ensuite le bout de mon doigt pressa légèrement… jusqu’à ce qu’il passa le muscle serré de son anus… petit à petit, tout en tournoyant, j’enfonçais mon doigt en lui… c’était chaud et tout serré ! Je ressortis mon doigt, remis du lubrifiant et recommençais, jusqu’à ce que mon doigt entre et sorte facilement de son petit trou… Il bandait comme un fou, et notre maîtresse se branlait en nous voyant faire… Je remis un peu de lubrifiant, et passa à deux doigts, qui tournoyèrent en lui, massant, caressant… De mon autre main, je pris le gode, et le mis dans ma bouche, comme si c’était un pénis que je suçais. Lorsqu’il fut mouillé, je sortis mes doigts de son petit trou, et fis passer le gode sur ses fesses, le long de son sillon, comme si c’était un sexe… lorsqu’il fut mouillé autant du lubrifiant que de ma salive, je pressais le bout contre son anus… Je me mis bien sur mes genoux, derrière lui, poussant doucement, et c’est comme si son anus goba le bout du jouet, qui entra en lui. D’une main j’enfonçais doucement le jouet, de l’autre j’attrapais son sexe qui sortait maintenant du triangle de tissu noir, et le caressais fermement. Au plus j’enfonçais le gode, parfois reculant un peu pour mieux avancer, au plus je le branlais vigoureusement… Je réussis à enfoncer le gode jusqu’à la base, un petit rond noir masquant son anus, quand je sentis notre maîtresse venir elle aussi sur le lit, remontant ma robe, bougeant le tissu rouge de mon string, et présentant son gland mouillé à mon anus. Je collais mon bassin contre les fesses de Kristina, enlaçant sa taille de mes bras, présentant un angle de pénétration à notre maîtresse… elle me pénétra en une fois, jusqu’à la garde ! Elle devait être super excitée ! Je continuais à branler Kristina, tandis qu’elle allait et venait en moi… le lit grinçait, et les mouvements de ma main accéléraient au rythme des coups de boutoirs de notre maîtresse… Kristina poussa un petit cri rauque, et éjacula dans ma main. Tandis que je portais mes doigts à ma bouche, ma maîtresse éjacula en moi, remplissant mon rectum de son foutre tout chaud, qui me fit venir moi aussi, dans mon string…
Ma maîtresse n’étant pas encore satisfaite, je le sentais, sitôt qu’elle sortit son sexe de mon petit trou, je le suçais, le nettoyant complètement avec ma langue. Nous nous déshabillèrent, elle me présenta ses seins, que je léchais, caressais, suçais les tétons… Nous avions basculé sur le lit, moi au-dessus d’elle, et tandis que je m’occupais de ses si beaux elle seins, elle me caressait les fesses, et un ou deux de ses doigts s’enfoncèrent dans mon anus. Ils en ressortaient mouillé de son sperme, et elle les portais jusqu’à sa bouche… sentant que son membre reprenait doucement vigueur, je descendis un peu, pour aller le lécher, la hampe, ses jolies testicules, sa hampe, son gland, puis je le mis en bouche, et le suçais avec passion. Lorsqu’il fut à nouveau bandé, elle me retourna, et me pris en levrette… Kristina nous regardait, prise par la luxure qui emplissait la pièce. Elle retira son string, ses jambes écartées face à moi… je me bougeais un peu, ma tête venant entre ses jambes, et attrapais son sexe de nouveau bandé avec ma bouche… M’accrochant à ses fesses, je la suçais, montant ma croupe pour un angle nouveau. Notre maîtresse, ses mains m’agrippant fortement par les hanches, se déchaînaient en moi, son gros sexe entrant et sortant de mon petit cul, mouillé par son sperme qui remplissait de moins en moins mon rectum, coulant le long de mes jambes à cause des allers et venues de sa verge en moi… Plus elle s’enfonçait en moi, plus loin, plus fort j’aspirais la bite de Kristina dans ma bouche… A un certain moment, je jouais même avec le gode le faisant tournoyer dans son cul, tout en la suçant et en me faisant prendre par derrière… Je jouis le premier, maculant les draps de mon sperme, avant que Kristina ne se vide dans ma bouche… Après encore quelques minutes, notre maîtresse me remplit une nouvelle fois le cul de son foutre chaud… Il nous fallut quelques minutes pour reprendre notre souffle. Puis, son sexe débandant, elle sortit doucement de moi. Je me redressais un peu, et du sperme coula de mon cul béant, se mélangeant au mien déjà su les draps. Elle nous fit lécher le sperme, avant de nous caresser encore… Nous nous endormirent toutes les trois côtes à côtes, enlacées…

Le lendemain, lorsque je m’éveillais, il n’y avait plus que moi et Kristina dans le lit. Je m’en extirpais doucement, mais Kristina se réveilla. Elle me sourit, avant que nous réalisions que nous étions en retard. Je vis qu’elle avait toujours le petit rond noir du gode entre les fesses, prouvant que le jouet était bien enfoncé en elle… Nous nous habillâmes en vitesse, je passais juste par mon appartement pour changer de string, avant de rejoindre Kristina près de notre maîtresse. Elle déjeunait silencieusement, lisant les nouvelles. Kristina était déjà sous la table, je l’y rejoins, l’aidant, léchant les testicules et le bas de la hampe de notre maîtresse, tandis que Kristina s’occupait du gland et du haut de la hampe. Lorsque notre maîtresse éjacula, c’est elle qui prit le nectar dans sa bouche, et le partagea avec moi dans un long baiser passionné…
Nous passâmes ensuite à nos tâches ménagères. Kristina passa encore deux heures dans le cabinet transformé en Glory Hole, je vérifiais qu’elle faisait bien ce qu’elle devait (en en profitait par la même occasion pour en sucer un ou deux moi aussi). Le soir, notre Maîtresse lui offrit un gode plus long et plus épais. Je l’aidais à faire le changement, et ce fut plus facile que la première fois, son petit cul s’habituant à avoir quelque chose de dur en lui… Ensuite elle eut sa séance de vidéos éducatives, essentiellement basées sur les plaisir de prendre un sexe bien dur et chaud dans le cul.

Le lendemain, nous nous rendîmes à une clinique, où elle et moi bénéficièrent d’une épilation laser. Elle commença aussi le traitement hormonal, je pus en profiter également mais à moins forte dose qu’elle, juste pour un peu faire pousser plus ma poitrine. Effet collatéral au traitement, mes tétons, sans grossir, devinrent néanmoins plus sensible, ainsi que mon anus. Lorsque ma maîtresse enfonçait en moi sa verge bandée, j’avais l’impression que le plaisir était doublé, des sensations tellement fortes que j’en devenais complètement accro !

Ce matin-là, nous étions comme d’habitude sous la table du petit déjeuner, léchant et suçant à tour de rôle notre maîtresse, qui portait une nuisette moitié transparente, moitié dentelles, très seyante, lorsque celle-ci nous demanda d’arrêter.
— Le Conseil d’administration se réunit demain, ici. Ils voudraient voir les progrès de Kristina. Nous devons donc passer à la vitesse supérieure. Et voir si Kristina est prête ! Pour tout ce qui concerne les tâches ménagères, je n’ai rien à dire elle a appris très vite. Pour l’apparence, elle est jolie comme tout.
Et c’est vrai que maintenant qu’elle n’avait plus de poils aux jambes et aux bras, qu’elle avait trouvé « son » maquillage, et qu’elle avait un peu de poitrine en plus, elle était très jolie, ses cheveux court encadrant son visage, ses yeux si bleus vous touchant en plein cœur. Sa robe de soubrette lui allait à ravir, et elle marchait sans problème avec des escarpins ayant un talon de 10 cm…
— Et pour le reste… elle suce de mieux en mieux. Il nous reste une dernière chose à vérifier… Viens ici Kristina.
Docilement, elle obéit, et ne fit lorsque ma Maîtresse la retourna, frottant son bassin – et donc son sexe bandé – contre ses fesses… elle la plaqua alors doucement contre la table, et releva sa robe de soubrette, dévoilant ses deux petites fesses qui tenaient dans une très petite culotte, d’un jaune été, constituée de deux triangles de tissus retenus sur ses hanches par deux petites ficelles du même jaune… Ma maîtresse, toujours caressant son sexe en érection contre le tissu jaune, défit un à un les petits nœuds des ficelles, et la culotte tomba au sol… Moi qui étais toujours sous la table, je vis les morceaux de tissus tomber près de moi, et j’avais une jolie vue sur le sexe déjà dressé de Kristina !
Ma maîtresse lui caressa les fesses, puis alla jusqu’au petit rond en plastique noir, la bas du sextoy enfoncé dans le cul de Kristina. Elle l’enleva doucement. Puis le fit tomber sur le sol, juste sur le tissu jaune de sa culotte… il était encore mouillé de lubrifiant et de mouille anale de Kristina… je ne résistais pas, le pris, et par-dessous ma robe, poussant la ficelle du string, je me le mis moi-même… le bout plus fin fut absorbé sans problème par mon anus, et tout le gode par mon petit cul qui aimait tant à être remplit ! Pendant ce temps, ma maîtresse jouait avec deux de ses doigts dans le cul de Kristina, dont la respiration s’accélérait au même rythme que son excitation…
— C’est mieux… bien mieux…
Puis elle frotta son gland, déjà mouillé d’excitation contre l’anus de Kristina… ce dernier, habitué à avoir quelque chose de calé en lui durant ces derniers jours, happa le gland, et notre Maîtresse s’enfonça doucement dans le cul de Kristina… puis, elle commença à aller et venir, doucement d’abord, puis de plus en plus vite, au fur et à mesure que le conduit anal de Kristina se faisait à la grosseur du sexe qui la pénétrait. A chaque coup de boutoir, je voyais le sexe de Kristina qui s’ébrouait, tressautait devant moi, luisant de mouille, c’était trop tentant ! Je m’approchais donc, et léchais ce gland, puis l’avalais, suçant ce sexe pendant que ma maîtresse la prenait de plus en plus vite par derrière… ce double plaisir fit gémir Kristina, qui fit de plus en plus de bruit au fur et à mesure que son plaisir montait… elle gémissait, râlait de plaisir, en demandait plus, plus fort… au moment où notre maîtresse éjacula son sperme chaud au plus profond d’elle, elle me lâcha dans la bouche de ces giclées de sperme, plus liquide que d’habitude, sa prostate étant bien massée et le plaisir donné par la verge de notre maîtresse étant si fort…
— Bien, je vois que tu as aimé, Kristina. Je pense que tu es prête !

Le lendemain, c’est Kristina et moi qui avons aidé notre maîtresse à préparer son bureau pour le conseil d’administration. Nous étions prêtes, surtout que notre maîtresse nous avait offert un beau cadeau, la veille au soir : de nouveaux sous-vêtements, très coquins ! Le tissu est noirs transparent, avec des roses rouges. Au niveau du soutien-gorge, une fente est pratiquée de chaque cotée, qui laisse le téton apparent… au niveau du slip, c’est un peu comme un string, sauf qu’au lieu d’un fin morceau au milieu, il y a deux morceaux, un sur chaque fesse, avec une ouverture au niveau de notre petit trou ! Je bandais, rien qu’à me voir dans le miroir comme ça !
Les membres du Conseil d’Administration arrivèrent en trois vagues. M. Striker arriva en premier, et il n’en revint pas quand il vit Kristina… il chuchota un « C’est lui ? » à notre maîtresse en le voyant… Elle acquiesça, il était complètement bluffé ! Puis le maire arriva avec la dame, et enfin les deux derniers, l’homme barbu et le moustachu.
La réunion commença, et pendant que notre maîtresse faisait la lecture des comptes de l’école, nous passions entre eux Kristina et moi, servant le café, chacune d’un côté de la table. Des mains passaient sous ma jupe, caressait mes fesses, mes seins plus développés que la dernière fois qu’ils les avaient vus… Lorsque j’eus déposé la cafetière, je vis que Kristina était assise sur les genoux de M. Striker. Sa main était sous sa robe, et au mouvement qu’elle faisait, je devinais qu’il palpait son petit trou, avant de gentiment le doigter, tout en écoutant la suite de la réunion… Moi, le monsieur barbu m’attira à lui, vers sa braguette déjà ouverte. Je sortis son membre bandé, que je suçais avec application, jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche. Puis, après avoir bu son sperme jusqu’à la dernière goutte, je passais au monsieur moustachu, à qui je fis le même traitement. L’ayant bu lui aussi, je passais à la dame, lui léchant le sexe, alternant doigtage et coup de langue, jusqu’à la sentir venir et mouiller ma langue et mes doigts de son jus féminin. Ayant fini de m’occuper des trois personnes de mon côté de la table, je vis que de l’autre côté, Kristina était toujours sur les genoux de M. Striker, allant et venant le long de son sexe, il la guidait le long de son pieux en tenant fermement les fesses et en imprimant direction et vitesse… Le maire s’astiquait le manche, n’ayant encore eu personne qui s’était occupé de lui. Je m’en approchais donc, et vint le mettre en bouche, le suçant jusqu’à ce que lui aussi me remplisse la bouche de son jus chaud.
Il ne fallut pas longtemps pour que Kristina et moi quittions nos robes ! Toutes les deux en escarpins à talons noirs, bas noirs, sous-vêtements noir transparent et ouvert, aux tétons et au petit trou, ce qu’on devait être sexy !
La dame plongea sur Kristina, et son sexe bandé dont le gland sortait du slip… les autres me firent m’agenouiller derrière elle, et pendant que la dame la suçait, ils me firent lui lécher le petit trou, remplit du sperme de M. Striker, pour que j’en lape le plus possible. Stimulé par devant et par derrière, ce n’est que grâce au traitement hormonal (qui ralentit l’éjaculation) que Kristina ne vint pas dans la bouche de la dame ! Puis ils la firent coucher sur la table, et tandis que la dame s’empalait sur son sexe bandé, le maire vint lui fourrer le cul, tout en pelotant vigoureusement les seins de la dame… moi je suçais alternativement M. Striker, le barbu et le moustachu, puis, j’en suçais deux pendant que le troisième me fourrait le cul à son tour… ces grosses bites qui me remplissaient, allaient et venaient en moi… pendant que j’en suçais d’autre… quel pied ! Je réussis même à prendre en même temps deux verges dans la bouche, malgré la douleur que cela me fit à la mâchoire ! Soudain, tandis que M. Striker enfonçait sa verge dans mon petit trou, il passa sa main sur mon petit sexe, et l’agrippant, il le masturba tout en me sodomisant… je ne tardais pas à jouir, étant ainsi stimuler par devant, par derrière et dans la bouche… il sortit sa main plein de sperme de mon slip, et la porta à mon visage. Le monsieur barbu sortit son sexe de ma bouche, je pu lécher mon sperme sur la main de M. Striker… il en étala également sur mon visage… je devenais de plus en plus affamée de sperme !
Ils nous firent mettre en 69 Kristina et moi, pour nous voir nous lécher le sperme qui avait éclaboussé sur nos fesses, qui coulait de nos fions… puis nous nous retrouvâmes accoudées à la table, et ils nous sodomisèrent encore toutes les deux à tours de rôles…
— Lubrifiez-les biens, je passe après !
La dame avait revêtu un gode ceinture noir, avec un sexe en plastique vibrant, plus gros que les sexes des messieurs présents, et parcourus de nervures et de petite boules… Elle passa en effet après ces messieurs, heureusement que nos culs étaient remplis de sperme et de notre propre mouille anale ! Son gode s’introduisit dans nos culs, avec un bruis de succion mouillé tout à fait indécent, faisant couler encore plus de sperme le long de nos jambes… nous terminâmes cette réunion par une douche de sperme de ces quatre messieurs, inondant nos deux visages de leur sperme chaud, nous demandant ensuite de nous lécher l’une l’autre…Ces après-midi de gangbang étaient pour moi merveilleuse. Oui, nos corps étaient utilisés comme vide-couilles, mais j’étais dans un état orgasmique quasiment permanent à cause du plaisir que cela me donnait… je ne connais pas de plus grand plaisirs que d’être utilisée par plusieurs hommes à la fois, d’être remplie de sperme, dans le cul, dans la bouche, sur ma peau…
Kristina nous quitta peu après, entrant au service d’un des hommes le plus riche de la ville, et même du pays selon certaines rumeurs. La séparation ne fut pas si facile, mais nous le savions dès le début qu’elle ne resterait pas longtemps avec nous. L’école fut largement rétribuée pour cette formation donnée.

Ma maîtresse et moi ne restâmes pas longtemps seules, nous eûmes bien vite d’autres élèves à « former ». Féminiser puis former, pour être précise. Jamais ma maîtresse ne s’attendait à une telle demande. Mais elle refusa d’en former plus d’une à la fois, une par semestre scolaire. Et elle refusa de travailler pour des gens pas nets, ou des bordels. Moi, je restais toujours avec elle. De temps en temps, et avec mon consentement, elle me prêtait à un des membres du conseil d’administration, pour une soirée, pour une fête… je faisais bien mon service, et cela se terminait toujours en orgie, ce qui satisfaisait à chaque fois mon envie de sexe, jamais éteinte.

Oui, je suis une soubrette. Oui, j’appartiens à ma maîtresse, et ne passe pas une journée sans avoir ma bouche ou mon cul remplis de sperme. Mais, pour rien au monde, je ne changerais, tellement j’aime ça ! J’aime ma maîtresse, j’aime le sexe, surtout, je suis caressée, aimée, désirée, et ai toujours du sexe, où et quand je le veux. Même si je fais mon travail très consciencieusement, ma vie n’est qu’une suite de plaisirs. Pourquoi en changerai-je ?

-- THE END --
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