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Souillure et plaisir

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Christine est de retour ! Enfin je devrais dire « était » (je m’excuse pour le changement de temps brusque au chapitre précédent, à partir de maintenant tout sera au passé. Les maladresses de débutant…). Quelques jours après sa mésaventure (ou plutôt aventure !) avec George, Christine se retrouva au port de Marseille pour embarquer vers la Corse. Quelques vacances lui feraient le plus grand bien. Psychologiquement, elle se remettait difficilement de ses dernières semaines.
Elle ne s’inspirait plus que dégout : elle qui avait toujours été une mère de famille modèle, un exemple de fidélité envers son mari ; elle s’était laissée aller au péché de la chair en fantasmant sur son gros voisin, pour finir par l’avoir dans son ventre (et puis, une vraie coquine…). Il l’avait souillée, il l’avait salie, et ça n’était pas bien.
Elle avait préparé une grosse valise, avant de partir chez sa fille pendant quelques jours. Et puis, pas un mot sur ce qui s’était passé. Ah non ! Il en allait de son honneur. Non, il fallait oublier cette histoire, et une petite escapade lui ferait le plus grand bien. En période scolaire, fin d’année, le meilleur endroit à visiter ne pouvait être que la Corse. Programme : plage et soleil pendant trois semaines, quelques hôtels loués çà et là, il ne lui ne lui manquait rien pour vivre les plus merveilleuses vacances. Loin de George, loin de ses fantasmes. Habillée d’une simple chemise et d’une mini-jupe en jean, Christine trépignait d’impatience : elle voulait ses vacances, ses grasses matinées et ses heures de bronzage au soleil.
Elle finit par embarquer sur le ferry après avoir garé sa voiture. La dame aurait pu partir en avion, mais elle aurait dû louer une voiture sur place : trop contraignant. La voici embarquée, prête à vivre de nouvelles aventures. Elle se trouva une petite place dans une des nombreuses salles du navire, avec de grands écrans sur les côtés diffusant des films, et se retrouva à côté d’un jeune garçon à sa droite, sûrement la vingtaine et encore scotché sur son téléphone. Quelle tristesse cette jeunesse…
Comme on dit : chassez le naturel ; il revient au gallot. Cela n’avait jamais été aussi vrai. En fait, si Christine était parvenue depuis quelque jour à laisser de côté ses envies, ses fantasmes, et ses souvenirs en compagnie de son cher voisin ; elle ne se doutait pas que la divine providence allait la rattraper assez tôt : le départ se déroula dans le plus grand calme, mais la situation se gâta au bout de quelques heures. Le bateau se mit à tanguer, et très vites de nombreuses personnes tombèrent malades à bord, y compris l’homme à sa droite. Il s’accrochait désespérément à son siège, tout vert. Compatissant, elle tenta de lui changer les idées (sans se rendre compte qu’elle allait parfaitement y parvenir…) en amorçant la conversation :
— Ça va aller Monsieur ? Comment vous appelez-vous ? Lança-t-elle.— Je m’appelle Louis madame. Répondit-il. Je me sens ballonné, ça va pas du tout là…
Le pauvre homme, Il transpirait à vue d’œil ; Il faut dire que le navire tanguait fort. Christine prit pitié, elle avait déjà connue ce type de situation avec sa fille et son mari, et savait comment attaquer le problème à la base : la belle partit chercher une bouteille d’eau, et offrit un petit cachet à son compagnon, qui ne se fit pas prier pour l’avaler.
— Avec ça vous devriez aller mieux en un rien de temps. Le mal de mer, c’est difficile à supporter vous savez, il ne faut pas avoir honte.— Merci Madame, c’est très sympa. Comment vous vous appelez ? — Christine, répondit-elle en souriant.
Louis eut un haut le cœur et se pencha en avant par réflexe. En bonne maman qu’elle avait été, elle frotta le dos de l’homme qui, à quelques années près, aurait pu être son fils. C’était par réflexe, par instinct maternel : rien de sexuel, mais encore à cet âge on s’excite pour un rien, et Louis commença à regarder sa belle voisine d’un autre œil, si vous voyez ce que je veux dire… Ils tapèrent tranquillement la discussion, et la belle apprit que son voisin avait 19 ans, en étude d’ingénieur à Marseillais, et qu’il rentrait voir sa famille pour le week-end. Finalement, elle finit par se poser, les mouvements du navire la berçait, et la belle se glissa dans un sommeil reposant.
Ce qu’elle n’avait pas calculé (ou inconsciemment ne voulait pas calculer…) c’est qu’elle était assise à côté d’un jeune homme qui la trouvait tout à fait à son goût. Et accessoirement qu’elle n’était vêtu que d’une mini-jupe en jean qui lui arrivait péniblement en haut des genoux.
Lorsqu’il vit la belle quadragénaire endormie, toute belle, toute vulnérable, Louis en bon jeune homme qu’il était ne se fit pas prier : il glissa lentement et sûrement son téléphone dernière génération entre les deux cuisses de Christine et bombarda la culotte de la belle. Il était parvenu à rester discret vis-à-vis des voisins (en même temps, beaucoup avaient le mal de mer, et les autres s’occupaient alors…), et avait récolté des photos sous tous les angles, le coquin. Sur beaucoup d’entre elles, on pouvait apercevoir quelques poils pubiens dépasser d’une jolie petite culotte en dentelle blanche. Bref, le jeune homme était aux anges : il lorgnait les photos, une main bien cachée dans sa poche.Mais sa proie finit par se réveiller.

Christine, dans les vapes, mit pas mal de temps à s’éveiller. La belle ouvrit lentement les yeux et jeta un rapide coup d’œil à l’horloge ; il était 14h, ce qui laissait encore six bonnes heures de trajet avant d’arriver au paradis des vacances. Elle souffla, et se redressa : son geste paniqua son voisin, qui se paluchait (le coquin) tranquillement à travers sa poche de pantalon : Christine eut juste le temps d’apercevoir une photo (de sa culotte, qu’elle reconnut distinctement). Louis la regarda en souriant, d’un air (très) gêné. Elle eut une bouffée de colère, mais lui rendit son sourire, faisant mine de rien.
— Louis, je te confie mon sac à main. Je reviens.
Quand on vous dit que le naturel revient au gallot : la belle eut une bouffée de chaleur, et des papillons dans le bas-ventre aussi. Elle attendit un peu, et ça la travailla : elle se sentait à la fois scandalisée par l’attitude de son voisin, mais compréhensive (il était encore assez jeune…). Particulièrement révoltée, elle partit donc se changer les idées aux toilettes avant de prendre quelque décision que ce soit. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle ne fut pas déçu : avez-vous déjà visité les toilettes d’un ferry ? La belle choisit une cabine et ferma la porte, non sans entendre les gémissements d’une personne, probablement en train de mourir, à sa gauche. Le bateau tanguait, et la belle dut se débarrasser de sa jupe pour pouvoir se tenir ; elle se retrouva donc à moitié nue, la foufoune à l’air libre, dans un endroit sale et ragoutant. Elle repensa au jeune homme, son début de moustache plutôt repoussant mis à part, il deviendrait sûrement beau-garçon avec le temps.
Malgré elle, sa colère s’estompa. Le désir naquit même lorsqu’elle repensa à son geste : elle passa sa main sur son buisson, soufflant légèrement. Elle repensa à Georges : lui aussi l’avait espionné de manière voyante. Le plaisir et le désir ne se firent pas attendre : ses tétines tiraient sur son soutien-gorge, qui les cachait fort heureusement. Bref : tout sentiment de colère disparut. Le voici le naturel : Christine repensa à Louis, pendant quelques minutes. Elle lui pardonna (malgré son éducation bien morale), et frotta son bouton de sa culotte blanche : la dentelle râpait un peu sur son clitoris, et elle ne mit que très peu de temps avant de jouir, dans un léger (très léger) gémissement, bien caché par ceux de son voisin de cabine. Ouf ! Ça allait mieux.
Si Christine avait assumé son côté coquine, elle se serait peut-être masturbée plus souvent. Et peut-être, du coup, qu’elle n’aurait pas dans l’extase de sa jouissance pris des décisions aussi peu morale (selon son point de vue, bien évidemment). Sa culotte, toute trempée par son activité naissante, était inutilisable. La belle remit sa jupe, et réfléchit : culotte ou pas culotte ? Elle était clairement trempée par sa mouille, ça aurait été sale de la remettre. En même temps, le buisson à l’air était-il une meilleure option ? Ça allait se voir, les gens allaient le remarquer, elle se disait. Oh non, ça n’était pas bien… Une fois n’est pas coutume, ses ovaires reprirent le contrôle, et elle décida de se débarrasser de sa dentelle, faute d’endroit où la cacher. Et oui ! Elle avait laissé son sac à main sous la surveillance de Louis. Décidément…
Voyons voir : à gauche, un mec rendait tripe et boyaux ; elle ne pouvait pas non plus la laisser dans sa toilette, quelqu’un pourrait rentrer juste après elle. Elle tendit l’oreille vers la cabine de droite : on n’y percevait pas un bruit. Discrètement, elle jeta sons sous-vêtement par le dessous de la cabine, et sortit des toilettes en quatrième vitesse. La sensation de l’air sous sa jupe, pour la première fois dénudée de toute couverture dans un endroit autre qu’une salle de bain ou une chambre, lui fit tout drôle. Elle craignait le moindre regard des gens, et forçait le pas. Elle finit par se rassoir à sa place, non sans croiser les jambes. Louis était toujours là, bien plongé dans son téléphone (mais pas sur ses photos cette fois). Elle aurait dû savoir ! Savoir que dès qu’elle mouillait un tant soit peu son cerveau et son éducation perdaient leur primât sur ses actions. Elle aurait dû le savoir, du moins s’en douter. Mais bon, nous pouvons la comprendre : après tout, ça n’était pas comme si elle avait eu droit à beaucoup d’expériences dans sa vie, vous connaissez son histoire.
Elle n’osa pas réprimander le jeune homme : elle se sentait terriblement coupable de s’être masturbée en pensant à ses escapades entre ses deux cuisses. Elle aurait été bien hypocrite de lui faire le moindre reproche, encore moins la morale. Elle finit par décroiser les jambes, non sans les serrer certes, mais juste assez pour qu’un mince filet d’air puisse se frayer un chemin jusqu’à son buisson. Le désir refit surface malgré elle. Elle se sentait excitée à l’idée que l’on puisse la regarder, violer son intimité, s’exposer devant ce jeune. Toute excitée par le fait d’être nue sous sa jupe, Christine fit mine de s’endormir en écartant légèrement, très légèrement, presque imperceptiblement ses douces cuisses. Il ne fallait pas l’encourager non plus. On retrouvait bien là l’influence de Sophie… C’était elle qui déteignait sur la belle, avec ses attitudes provoquantes et ses défis stupide : elle s’y était tenté la première fois avec George, dû à un moment de faiblesse, et voilà le résultat.
Louis ne se fit pas prier. En bonne canaille, il attendit, observa : il ne voulait pas se faire prendre, et attendit de longue minutes que la belle quadragénaire s’endorme de nouveau. Le pauvre, pouvait-il se douter de quoi que ce soit ? Il passa doucement son téléphone entre les deux cuisses de Christine, en frôlant une au passage, ce qui déclencha chez la belle une décharge électrique qui trempa sa foufoune instantanément. Cette fois Louis avait activé le flash pour de plus beau résultat : il jeta un œil à droite à gauche pour vérifier si personne ne le regardait, et bombarda l’entrecuisse de la belle une nouvelle fois. Tout content, et ne se doutant de rien, il retira sa main. Christine elle, était de nouveau divisée : d’un côté, elle se disait que cela n’était pas bien, qu’il ne fallait pas. Elle était aussi scandalisée par l’attitude du jeune homme, qui profitait de la faiblesse de sa voisine pour violer son intimité. Mais le plaisir était là également, et lui imposait sa loi.
Louis eut un cri de sursaut lorsqu’il ouvrit la galerie de son appareil. Il avait pris une dizaine de photos, toutes plus cultes les unes que les autres, et sous tous les angles : on y percevait clairement la touffe de la dame, et ses lèvres. Mais où était passé la culotte ? Il n’en revenait pas, alternait entre les photos et le visage de sa voisine, frappé d’incompréhension et d’excitation, rouge comme une pivoine. Christine était morte de honte : elle venait de prendre conscience de son geste, mais en même temps se sentait terriblement excitée elle aussi. Si seulement elle se doutait…
Son voisin eut une réaction totalement inattendue : pensant la belle endormie, il glissa lentement une main sous la jupe de sa voisine. Christine paniqua, l’adrénaline la submergea, mais ne laissa rien transparaître. Elle sentait la main du jeune homme remonter le long de sa jupe, se rapprochant de sa fleur ; courageux, mais pas téméraire, Louis progressait à pas de loup : il ne fallait pas la réveiller. Il atteint finalement son but, passant le dos de son index sur le tapis pubien la belle. Plusieurs frissons déchirèrent l’échine de Christine, elle en voulait plus mais n’osait bouger. Elle sentait ses poils plier sous le doigt de son amant : elle aurait voulu, à cet instant, que George soit là pour la prendre, pour la plier à tous ses désirs avec son énorme sexe. La honte et la colère disparaissaient à mesure où le jeune homme descendait son doigt vers sa fente, toute mouillée. Non ! Cela devait s’arrêter avant qu’il ne l’atteigne, sinon il se rendrait compte de son état : elle s’étira doucement, faisant mine de se réveiller, et le garçon se rua sur son téléphone, faisant mine de rien.
La scène se répéta encore une fois : le regard gêné du gde Louis, elle lui rendant son sourire et feignant l’ignorance. Elle finit au bout de quelques minutes par retourner aux toilettes : il fallait que cela s’arrête, et pour cela elle devait impérativement retrouver sa culotte, car même sale elle jouerait le rôle de barrière à tous ses désirs les plus ignobles auxquels elle mettrait un terme. Sur le chemin, le malaise la reprit : déjà d’avoir alimenté les fantasmes du jeune voyou assit à côté d’elle, dire qu’elle l’avait sauvé du mal de mer ! Plus elle sentait sa cyprine couler le long de sa cuisse, avec aucun support pour la stopper : Christine jetait un œil au gens sur son passage, elle avait peur qu’ils sachent, peur de son ignominie. Elle finit en pressant le pas par entrer dans les toilettes et se dirigea vers la cabine, heureusement vide, dans laquelle elle avait jeté son sous-vêtement.
Après tout, même sale il devrait faire l’affaire pour quelques heures tout au plus. Ça la dégoutait : remettre une lingerie déjà trempée, et qui avait trainé dans cet abominable endroit, répugnant. Quelle horreur ! C’était un mauvais moment à passer : elle la porterait le temps de se rendre à sa voiture dans la cale pour se changer.
Elle ouvrit la porte de la cabine : plus de culotte. Elle n’était pas là où elle l’avait posé. Paniquée, elle fit le tour du toilette, jetant même un œil sous les cabines de ses voisins. Rien du tout. La belle déglutie, prise de vertige, et se retourna.
Dans l’encadrement de la porte un homme, la quarantaine passée, la dévisageait avec un rictus sardonique. L’étranger s’était glissé derrière elle sans qu’elle ne s’en rende compte. Il était chauve, mal rasé, mais semblait assez musclé. Elle fut paralysée lorsqu’elle l’aperçut sortir de sa poche une jolie pièce en dentelle toute blanche. L’homme l’apporta à ses narines et huma la pièce avec extase avant de fermer la porte de la cabine derrière lui :
— Elle sent très bon… C’est ça que tu cherches ? Je te la rends avec plaisir, mais je veux le même show que tout à l’heure. Tu sais ? Celui dans la cabine d’à côté…
Christine se retrouva incapable de prononcer le moindre mot : elle avait été battue, mais surtout espionnée dans un moment de faiblesse, un tout petit moment de faiblesse qu’elle payait allègrement maintenant. Il se rua sur elle, passant une main sur sa bouche et glissant l’autre sous la jupe de la belle quadragénaire. Elle n’eut pas le temps de les refermer, il atteignit son vagin et lui enfila son majeur avant même qu’elle ne puisse réagir.
— Oh putain t’es déjà toute mouillée ! Une vraie salope de compète, on va bien s’amuser toi et moi.
Christine reprit ses esprits, elle ne pouvait pas se laisser violer dans une cabine de chiotte. C’était inacceptable, on était au vingt-et-unième siècle. Elle se débâtit violemment, et s’apprêta à crier : on aurait pu l’entendre si l’homme n’avait pas gardé sa main sur sa bouche. Et bien soit ! Elle lui latta violement l’entrejambe d’un remonté de genoux : l’homme se plia en deux, sonné. Elle avait gagné, récupéra sa culotte et s’apprêta à sortir, quand :
— J’ai des photos…
Quelqu’un entra dans la salle. La main sur la porte de la cabine, un frisson la parcouru, de peur cette fois. Elle tremblait, claquait des dents, se sentait faible et se mit à murmurer :
— De… De quoi parlez-vous ?
L’homme sourit malgré sa douleur, sortit son téléphone non sans mal de sa poche et lui montra une photo. On pouvait distinctement voir Louis en train de glisser une main entre ses deux cuisses. Prise de profil, il était impossible de savoir dans quelles circonstances elle avait été prise. L’homme aussi se mit à chuchoter, entendant son voisin de cabine vomir à quelques centimètres.
— Il a quel âge le gamin ? Il fait pas très vieux…— Vous serez malheureux d’apprendre qu’il a 19 ans !
Elle avait sûrement parlé un peu trop fort, et plaça une main sur sa bouche comme pour annuler sa remarque. Le voisin ne semblait pas l’avoir entendue, trop occupé… L’homme rangea son téléphone, plaqua la belle contre la cabine et saisi le buisson de Christine à pleine main. La belle se laissait faire, trop inquiète pour réagir de nouveau.
— Si c’est le cas ça a pas d’importance. Tout le ferry peut être au courant en quelques minutes, de la salope que t’es. Que tu te laisses tripoter par tes voisins. Alors je veux la totale, et si je suis satisfait, je te rendrai peut-être (il récupéra d’un mouvement la culotte) ton joli string.
Il le porta une nouvelle fois au bout de son nez et, tout en repoussant Christine vers le fond de la cabine, pris une grande inspiration :
— Humm… Tu sens très bon. Ouvre ta chemise et enlève-moi ta jupe, je veux t’avoir entière à ma disposition.— Vous… Vous supprimerez aussi la photo ? demanda-t-elle au bord des larmes.— Bien sûr ma belle.
Christine était dégoutée. Que pouvait-elle faire d’autre que de lui obéir ? Elle retira ses habits, non sans gêne, devant le regard lubrique de son violeur. Violeur vous dites ? Que nenni, la belle était tout excitée de se retrouver nue dans un endroit aussi sale, et ce même si elle se sentait terriblement vulnérable et exposée. Si ses parents la voyaient, ils la renieraient : toute son éducation, plutôt stricte vous vous en doutez, était remise en question. Heureusement le haut du cabinet ne semblait pas avoir été atteint par les vomissements des précédents utilisateurs, contrairement au sol, et elle put poser ses affaires sans craindre de les tâcher. Elle se sentait terriblement gênée devant cet inconnu qui la détaillait sous tous les angles.
Lui s’en donna à cœur joie : il palpa la somptueuse poitrine de la belle, pressant et tirant sur ses tétines. Puis il saisit ses fesses à pleines mains, pour les écarter au maximum. La belle eut le souffle coupé lorsqu’elle sentit son anus se dilater : personne n’y était jamais rentré, elle avait peur que son inconnu ne prenne de mauvaises idées. Mais il ne sembla pas s’y attarder : il l’embrassa à pleine bouche avant de descendre au niveau de son intimité, lui écartant légèrement les jambes.
Il plongea son nez dans la foufoune de la belle, avant d’y glisser un, puis deux doigts. Il n’eut pas grand-chose à faire, la belle mouillait déjà, et sa cyprine coulait le long de ses doigts. Elle ressentait une sensation bizarre, partagée entre angoisse, envie, colère et désir.
— L’odeur est encore plus forte d’ici. Tu mouilles comme une salope, on va bien s’amuser toi et moi…— Pas si fort ! répondit-elle en chuchotant. Vous allez nous faire entendre.
Il se releva, la regarda dans les yeux avant d’appuyer de sa main le haut de la tête de Christine : le message était tout à fait clair, il voulait une fellation.
— Toi en tout cas on va plus t’entendre.
Christine savait ce qu’elle avait à faire. Elle ne voulait surtout pas que les gens la prennent pour une trainée. Docile, elle défit la braguette de son « violeur » (amant serait ici un terme plus approprié non ? Pour les ovaires de la belle en tout cas…), et en sortit un sexe décevant. Bandé, il dépassait à peine les dix centimètres. Ce serait toujours quelque chose de moins à subir. Christine le prit en bouche et commença une série de va-et-vient. Réfléchissant, elle se devait d’être efficace pour le faire venir rapidement : son calvaire prendrait un terme, et elle pourrait récupérer sa culotte. Elle y mit la langue, pressa les lèvres, et eut même l’idée caresser les testicules du monsieur en même temps. Mon dieu quelle décadence, si sa mère la voyait…
Mais l’homme ne l’entendit pas de cette oreille, car même elle ne disposait que de peu d’expériences, ses caresses faisaient tout de même de l’effet :
— Tout doux ma belle, Oh… On a tout notre temps. Dis-donc à ton âge t’es pas très douée. Mais on peut pas dire que t’y mette de la mauvaise volonté. Allez écarte tes cuisses que je puisse voir un peu la prochaine étape.
Il l’insultait en plus ! Quel salaud… Je vous l’avais dit précédemment : Christine était de loin encore très belle, sa poitrine ne pendait pas, elle entretenait régulièrement son ventre plat avec beaucoup de sport, et seulement de légères rides commençaient à poindre dans le creux de ses yeux. Salaud ! Elle redoubla d’effort, par principe cette fois (non pas par envie, qu’allez-vous chercher…) ; surtout, étant accroupie, elle écarta grand les cuisses, laissant respirer sa belle toison, sentant ses pétales s’écarter.
Ce qu’elle avait encore une fois oublié, c’est que les cabines séparant les toilettes, justement, ne les séparaient pas totalement : elle avait jeté sa culotte par-dessous, et à présent, le voisin jetait un coup d’œil par en bas. Qu’elle ne fut pas la surprise de celui-ci lorsqu’il se retrouva en face d’un postérieur tout à fait à son goût, la vulve toute ouverte et luisante de désir. Un rapide coup d’œil avec l’heureux élu lui fit comprendre que le droit de passage lui était offert : le saligaud ne se priva pas de lancer deux doigts, qu’il fit glisser sur la vulve de la belle, récoltant son miel au passage.
Christine fut plus surprise encore, elle cria en se relevant et abandonnant le sexe de son compagnon.
— Mais ça ne va pas ? Vous voyez ce que vous me faites subir !
Cette fois-ci elle hurlait, elle était vraiment en colère. La vague de plaisir qu’elle avait ressentie au contact des deux doigts surprises avait presque entièrement disparue, et elle était médusée par les regards amusés de ces deux inconnus, dont un était allongé à même le sol depuis l’autre cabine.
— Fais pas ta mijaurée je te dis ! Tu veux pas que je partage les photos non ? Alors retourne toi et tend ton cul, ça va être ta fête.
Mort de rire, le second lança un timide :
— Je peux participer aussi ?
Christine explosa pour de bon :
— Non mais ça ne va pas ? Pour qui me prenez-vous, une trainée ? Je vais appeler les flics et vous…
L’inconnu lui attrapa les cheveux et la retourna de force. De l’autre main, il saisit la toison de la belle et tira dessus, la forçant à se cambrer, avant de pousser son gland entre ses chairs, lui arrachant un soupir au passage, malgré elle.
— Ferme ta gueule. Toi, tu lui passeras dessus après moi, chacun son tour (il se mit à rire). En attendant toi et moi on va s’amuser. J’aime pas les vagins pas rasé d’habitude mais je dois avouer que ça a un aspect pratique : on peut s’y agripper. Oh putain t’es plus étroite qu’une vierge, salope ! C’est pour ça que t’es pas douée, t’as pas l’habitude… Nom de Dieu je vais m’éclater…
En s’enfonçant profondément à l’intérieur de son ventre, il souleva sa jambe droite pour la poser sur le cabinet et rattrapa sa toison par-dessous la jambe. De sa main gauche, il saisit la hanche de Christine et commença à la fourrer comme un mufle. Ses seins ballotaient dans tous les sens ; il la remplissait tant bien que mal avec sa bite, ce qui suffisait à la faire gémir de plaisir malgré elle. Forcément qu’elle était serrée, de son vivant, son mari était encore moins développé. La belle quadragénaire sortit de sa rêverie lorsqu’elle aperçut son spectateur prendre quelques photos. Décidément, c’était le jour…
— Noooon… Ne faites pas ça, par Ah ! … Par pitié…
L’homme qui la fourrait explosa de rire :
— T’as raison, Ah ! C’est la bonne technique, Ah ! Faut la dresser cette salope, Ah !
Christine était partagée entre plaisir et douleur, la grosseur de l’inconnu n’étant pas suffisante pour passer le déplaisir provoqué par ses poils pubiens. Les pauvres, elle entretenait sa toison depuis la mort de son mari, qui en était fou. Si elle avait su, elle se serait peut-être offerte à lui plus souvent à l’époque. Là, elle subissait les assauts du mâle derrière elle, et il tirait avec force sur sa foufoune pour prendre de l’élan, lui arrachant quelques poils au passage, mais lui procurant quelques plaisirs lorsqu’il entrait en elle jusqu’à la garde. Son intimité était rudement malmenée, mais ça l’excitait, et cela l’obligeait au passage à se tenir contre la cabine pour éviter de se cogner la tête.
Christine jeta un œil autour d’elle. La cabine était vraiment crade, mais plus elle s’attardait sur des détails ragoutants, plus elle ressentait du plaisir. Finalement, l’inconnu lui lâcha l’entrejambe pour lui peloter le sein, tirant sur son téton. La douleur disparue, et malgré elle, malgré son éducation et ses principes moraux, elle put commencer à apprécier le traitement, en son for intérieur. Elle mouillait abondamment, soufflait fort, gémissant presque ; la simple idée que quelqu’un puisse entrer à tout moment, l’entendre gémir et se faire prendre comme une vulgaire traînée la rapprochait de l’orgasme. Mais elle ne put l’atteindre : l’individu la retourna, la fit s’accroupir, et lui tirant les cheveux, se déversa sur son beau visage angélique. Là, elle touchait le fond.
— A moi, à moi ! s’esclaffa l’inconnu de la cabine d’à côté.
L’autre se mit à rire : il prit la culotte de la belle, la huma une dernière fois et la jeta au milieu d’une trace de vomissure.
— C’est bon. T’as bien coopéré, je vais effacer les photos (il le fit devant elle). Tu vois, je suis pas un connard, tu peux même te taper le jeune si tu veux. Mais d’abord…
Il la prit par le bras, sorti de la cabine et la fit entrer dans la cabine d’à côté :
— Je crois qu’y a quelqu’un qui aimerait s’amuser un peu. A la prochaine ma belle.
Il sortit. Purement et simplement. Christine était partagée : elle hésitait, devait-elle s’abandonner à ce deuxième inconnu ? Lui était tranquillement assis sur le cabinet, sa bite tendue vers le ciel, légèrement plus importante que l’inconnu précédent, sans plus. Elle, était brisée. Il était bien moins musclé que le précédent, bien plus vieux, légèrement en surpoids, mais plus beau de visage (légèrement cela dit, c’etait juste que les poils blancs dans ses cheveux excitaient la belle). Christine n’avait pas eu son orgasme, et puis elle n’était plus à cela près (la coquine) : elle ferma la cabine et grimaçant à ce nouvel amant :
— Vous avez plutôt intérêt à supprimer les photos.— Tout ce que tu veux.
Elle se retourna : Christine ne voulait pas le voir ; elle ne voulait pas qu’elle puisse la voir gémir, cela aurait été comme une sorte de complicité, et elle ne le supportait pas. Elle attrapa le sexe de l’étranger, et le fourra bien au chaud entre ses cuisses. D’abord le gland, puis la hampe : une fois complètement assise, elle eut un léger soupir de plaisir. Il n’allait pas durer, il fallait vite atteindre l’orgasme : elle commença les allers-retours en posant ses mains de part et d’autre de la cabine. La position était plus acrobatique, mais aussi plus plaisante qu’avec le précédent. Contre sa volonté, elle sentit le plaisir grimper en elle, et en perdit la raison. Elle avait vue sur les testicules de son amant, juste en dessous de sa foufoune, et sentait ses fesses et son petit trou claquer contre gros ventre du monsieur derrière, qui gardait les bras ballants.
En effet, la belle quadragénaire ne se contrôlait plus : elle passa une main sur la semence de son amant précédent, toujours collée sur son visage, pour la gouter. Elle trouva le goût détestable, mais persévéra lorsqu’elle se rendit compte que cela alimentait son plaisir, tout cela alors que l’autre lui pilonnait toujours l’arrière train. Elle se rappela à son existence lorsqu’elle l’entendit :
— Je… Je vais pas tarder… Ah ! Putain t’es une vraie salope… En plus t’es super, Ah ! Serrée…
Non ! Il n’en était pas question, pas maintenant ! La belle avait tout fait pour pouvoir atteindre l’orgasme : si elle se faisait mettre pour la deuxième fois dans la cabine d’à côté, avec le risque de se faire surprendre (et peut-être prendre encore) à tout moment, c’était juste pour venir une bonne fois pour toute, évacuer le stress et ses fantasmes mis de côté depuis une semaine en tirant profit de ce qu’elle avait de plus en plus de mal à considérer comme un viol. C’était par peur, et aussi pour cela qu’elle avait tout accepté ! Dans un élan de panique, elle attrapa les deux mains de son amant et les plaqua sur sa poitrine : et le monsieur ne se fit pas prier pour tripoter allègrement les deux seins de sa conquête. Il les palpait, tirait sur ses tétines et les faisaient rouler : le plaisir montait, montait, encore et encore. Finalement, elle sentit son amant venir dans son vagin, tapissant son utérus de sa semence : il ne lui fallut rien de plus pour atteindre la jouissance, se redressant d’un coup en s’allongeant sur l’inconnu, dont le ventre lui offrait un appui très confortable.
Elle s’abandonna l’espace de quelques secondes, sonnée et ravagée par des secousses de plaisir, le long d’un gémissement saccadé par ses saccades de concupiscence. L’étranger lui pressa la poitrine de ses deux mains, avant de lui fouettant le sein droit. Il avait sa queue toujours profondément ancrée dans son intimité.
— Dis donc salope t’y vas pas à moitié. Putain je vais garder les photos comme souvenir ça va être génial : je veux ton numéro et ton adresse, je vais te rendre visite tu vas voir. T’es une vraie chienne.
L’homme ricanait : il la releva et lui offrit une fessée magistrale. Profitant de l’état de son amante, il lui écarta les deux fesses et observa un mince filet de sperme perler de sa vulve : il se mit doucement à faire de petits cercles autour de la rondelle de Christine. Finalement, il entra un doigt dans son anus, tout fragile, tout offert, en commençant une série de lent, très lents aller-retours qui paralysèrent la belle de stupéfaction.
— T’as tout pris dans la chatte. T’aimes ça hein ? Je vais peut-être t’enculer avant de partir, il a l’air vachement serré celui-là. T’as un cul magnifique, je vais te défoncer le fion.
Pour Christine, ce fut le détail de trop : en un éclair d’adrénaline, elle se retourna et envoya de toutes ses forces une gifle à l’inconnu, qui la dévisagea avec surprise. Elle prit son élan, et écrasa son entrejambe de sa chaussure, le sonnant pour de bon. La belle saisit le téléphone, sortit de la cabine et le balança dans les toilettes : ça ne serait plus un problème. Au moins, s’il tentait quoi que ce soit de nouveau, elle pourrait crier pour qu’on lui vienne en aide, sans rien craindre de tordu de la part de ces pervers.
Elle était épuisée, honteuse de s’être fait malmenée de la sorte ; et plus encore de son comportement et de son inclinaison, et de la semence chaude qui perlait de sa vulve. Elle se dégoutait : quelle déchéance ! Elle avait encore été souillée, par deux fois ce jour-ci. Elle se rhabilla en pleurant, semblant oublier tout le plaisir qu’elle avait éprouvé envers et contre tout. Christine ramassa sa culotte : elle était grise, et surtout on pouvait distinctement voir du vomi perler entre les filets de sa broderie. C’était le pompon : la belle éclata en sanglot.
Elle choisit tout de même de l’enfiler et eut un haut-le-cœur lorsque le tissu entra en contact avec sa toison : il était froid, trempé à tel point qu’il n’avait aucun mal à glisser entre ces fesses : elle le sentait sur sa fente dégoulinante de sperme, sur son petit trou fragile qui avait failli être violenté mais tout de même tyranniser par le gros porc d’à-côté. Elle finit par sortir des toilettes, non sans s’être lavé la figure.
En sortant, elle aperçut son premier amant retenir d’autres personnes à l’entrée des toilettes, ce qui expliquait pourquoi elle ne s’était pas faite surprendre pendant l’acte. Complètement abattue, elle lui souffla un « merci » avant de récupérer son sac à main resté sous la surveillance de Louis sans même lui adresser un mot, et partit de l’autre côté du ferry pour ne plus risquer de rencontrer les mêmes personnages.
Tard dans la nuit, elle rejoignit Bastia. Arrivée à l’hôtel, Christine se fit couler un bon bain. Peut-être espérait-elle se laver de sa souillure ? En tout cas elle préférait ne pas repenser à sa journée, et se promit que le reste de ses vacances serait génial : il fallait tourner la page, penser à autre chose, et se préparer à vivre de joyeuses vacances. Le pire était passé, pour de bon cette fois.
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