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Souillure et plaisir

Chapitre 3

Erotique
La belle Christine se retrouva donc à Bastia, le matin du premier jour de ses vacances. Loin derrière elle Georges, Louis et les deux voyous du ferry et bonjour le soleil, la plage, les grasses matinées et le repos. Bien heureuse de se réveiller à 10 heures du matin, elle mit une bonne heure à faire sa toilette. Déjà en se lavant les cheveux, mais surtout en se toilettant l’entrecuisse : deux inconnus l’avait pénétrée la veille, l’un était même venue à l’intérieur, et même si elle s’était déjà nettoyée la vieille, elle se sentait toujours souillée et salie. Vous commencez à connaître la belle : elle ne se lâche que lorsqu’elle éprouve beaucoup de désir et de plaisir ; hors les expériences de la veille l’avait calmée. Elle s’était lâchée un bon coup, avait atteint l’orgasme (par deux fois même) ; elle pouvait désormais laisser tout cela de côté et retrouver une vie normale, proche de celle qu’elle entretenait avant que George ne passe par son jardin.

En fouillant son sac à main, Christine paniqua : elle avait oublié sa boite de pilule. Bon ! Pas de panique, après tout elle n’avait rien prévu avec personne, donc pas de raison de paniquer. Il fallait juste aller en acheter. Quoi que ? La belle se mit à réfléchir : et si elle n’en achetait pas ? Il faudrait faire attention, mais au moins cela lui donnerait une raison de plus de ne pas s’offrir à n’importe qui. Il faudrait juste faire attention, éviter à tout prix de recommencer quelque bêtise que ce soit, comme dans le ferry. Toute fière de son raisonnement, elle se décida de rester de tel quel.

D’ailleurs elle s’observa nue dans la glace de l’hôtel. Elle se trouvait belle, désirable même ; toutefois, le gaillard de la veille lui avait arraché quelques poils pubiens sur la droite de sa toison : se sauvage l’avait fourrée comme un mufle en s’y agrippant, et le résultat n’était pas symétrique. Elle décida donc de s’épiler, égalisant sur la gauche. Le bon côté, c’est que rien de dépasserait plus du maillot de la belle. Elle était bien décidée à repartir sur des bases saines, en renouant avec son éducation : plus de sexe, certainement pas avec des inconnus. Ses valeurs morales semblaient avoir repris le dessus, et c’est toute fière qu’elle sortit de l’hôtel pour visiter la ville.

Mais passons sur les détails : globalement les premiers jours se passèrent sans désagrément. Christine en parvint même à oublier ses mauvaises aventures. Le matin elle se levait tard, tournait en ville jusqu’en début d’après-midi, avant de partir bronzer jusqu’au coucher du soleil, où elle reprenait la voiture jusqu’à la ville suivante, tout en longeant le bord de mer ; le soir, soit elle restait à l’hôtel, soit elle ressortait pour profiter de la ville. En fin de semaine elle décida de rester quelques jours à Porto-Vecchio, trouvant la ville tout à fait sympathique, et les paysages magnifiques.En début d’après-midi, la belle décida de s’accorder quelques heures de bronzage. Se dirigeant sur la plage, elle se rendit compte que celle-ci était bondée : on était samedi après-midi, et même si la période n’était pas spécialement propice au tourisme, les locaux suffisaient bien largement à couvrir les belles plages de sable fin. La belle souffla : elle qui souhaitait pouvoir s’endormir au soleil, elle allait devoir partager la plage beaucoup d’autres personnes. Par ailleurs, vous savez à quel point Christine est belle : il faut dire que la quadragénaire était tout à fait bien habillée ; elle portait un petit haut qui baillait légèrement sur le devant (tout en étant très discret, vous connaissez son état d’esprit), et un petit short qui lui arrivait aux genoux. Avec son air de femme indépendante, elle attire les regards…

— Je peux vous aider mademoiselle ?

Christine se retourna et se retrouva en face d’un géant de couleur noire, très souriant et dont les muscles semblaient étouffer sous un t-shirt bien trop petit pour son gabarit. Il devait faire dans les deux mètres, très facilement, et semblait très musclé. Christine fut surprise, tellement qu’elle se mit à en rire nerveusement :

— Oh ! C’est gentil de votre part… Merci beaucoup, dit-elle. Vous savez plus personne ne m’appelle comme cela depuis des années. — Si ça vous fait plaisir, il n’y a pas de raison. Ici il y a foule dès que le soleil le permet. L’environnement s’y prête. Tenez, c’est un cadeau de la maison pour une jolie femme. Vous-êtes ici en vacances ?

Il lui tendit un jus de fruit : prise de surprise, la belle ne le refusa pas. Elle le porta à ses lèvres : un mélange d’ananas et d’orange à première vue. Il avait ceci dit un petit goût particulier, qui lui chauffa la bouche. C’était une sensation bizarre, peu plaisante ; toutefois le jus de fruit restait délicieux. Cela l’avait surpris : elle n’était pas habituée à se faire offrir des verres, après tout, elle n’avait participé qu’à peu de fêtes dans sa jeunesse ; son éducation ne lui permettant pas.


— Oui, je suis en Corse pour encore deux semaines. J’ai décidé de rester ici quelques jours, l’endroit est très sympathique ; et puis il fait très beau. Dommage qu’il y ait du monde, mais que voulez-vous ils sont chez eux. Je m’appelle Christine, comment vous appelez-vous ?— Moussa, à votre service mademoiselle.

Il s’inclina, toujours tout sourire, ce qui fit rire la belle de nouveau. Il semblait jeune, mais impossible pour la belle d’en être certaine. Sous le soleil, les deux papotèrent pendant quelques minutes, et elle apprit qu’il avait choisi de revenir travailler au restaurant avec un ami à lui dans sa ville natale pendant quelques semaines. D’ailleurs, cet ami ne tarda pas à le rappeler à ses fonctions, ce qui précipita l’homme à partir en quatrième vitesse.

— On dirait que l’on m’attend en cuisine. J’ai été ravi de vous rencontrer Christine, vous êtes une femme charmante, j’espère que nous aurons l’occasion de nous revoir.

La belle se mit à rougir comme une pivoine : elle se sentait gamine, insignifiante comparée à ce géant. Il faut dire qu’étant élevée dans un milieu assez strict de banlieue parisienne et n’ayant travaillé que quelques années avant de rencontrer l’homme de sa vie (celui qui l’avait déflorée), elle n’avait pas eu beaucoup d’occasion de rencontrer des personnes de couleur différente… Que voulez-vous ? Les préjugés sont d’autant plus fort que l’on ne connait pas les gens, et elle se surprenait à le trouver très charmant : il la faisait rire, ne semblait pas se prendre la tête… Bref : la belle perdait ses moyens sans s’e, rendre compte.

— Euh, et bien… Oui, également.

Moussa attrapa le vers, entre temps vidée par Christine, lui tourna le dos en lui affichant son plus beau sourire. Avant qu’il n’ait fait trois pas, il se retourna :

— Oh ! Avant que j’oublie, je connais un endroit tout à fait sympathique à quelques kilomètres au sud de la ville, je vais vous noter l’adresse. J’y allais régulièrement enfant, normalement vous n’y trouverez personne.

Christine n’eut même pas le temps de répondre, il s’éclipsa aussitôt avant de revenir en coup de vent, un papier à la main.

— C’est… C’est très gentil Moussa, je vous remercie. Dit la belle en souriant. Mais vous savez, Oh !

Moussa glissa le papier dans le décolleté de Christine, appuyant légèrement au passage sur son sein. La belle s’empourpra encore : elle eut une bouffée de chaleur. Son attitude vis-à-vis de son compagnon déjà ambivalente à cause du personnage, elle ne fut que moins à même de réagir. Lui au contraire ne se fit pas prier : il déposa un baiser sur la joue de sa conquête, et partit en lui adressant un dernier clin d’œil, profitant de son trouble.

Christine mit quelques secondes à réagir : il l’avait peloté ? Non, il avait touché le haut de son sein, mais elle pouvait encore sentir, psychologiquement, la marque de ses doigts sur son corps, et son baiser sur sa joue. Elle regarda à droite à gauche : personne ne semblait les avoir remarqués. Grand Dieu ! Ces doigts semblaient gigantesques, il était vraiment imposant. Ses seins s’électrisèrent, ses tétines se mirent à pousser le tissu du maillot qu’elle gardait sous son chemisier. D’abord elle s’en offusqua : après tout, elle ne le connaissait que depuis quelques minutes, et n’était sûrement pas une fille facile. Puis son aventure dans le ferry lui revint à l’esprit : si elle s’arcboutait contre ses désirs, elle ne ferait que les rendre plus fort. Au contraire, elle devait les apprivoiser ; elle décida donc de ne pas se scandaliser outre mesure.

Elle retourna dans sa voiture avant d’enlever le petit bout de papier de sa cachette (il ne manquait plus que quelqu’un la voit faire). Le chemin semblait assez complexe, et supposer de marcher dans un pan de forêt sur quelques kilomètres avant de se retrouver dans une petite crique. Un smiley content accompagnait le message, avec un schéma représentant un chemin pointillé se terminant sur une croix. Elle sourit, et finit par se laisser convaincre d’y passer. Moussa devrait finir son service en fin d’après-midi, elle n’aurait qu’à partir avant, pas question de passer pour une fille facile, ni de donner de l’espoir à cet homme.

Elle fit donc le chemin, intriguée. L’endroit était perdu : plus de vingt minutes de routes la conduisit à un parking perdu au milieu d’une forêt, et elle dû trimballer toutes ses affaires sur cinq kilomètres au milieu des arbres, parfois sans chemin et en pleine chaleur pour arriver à sa destination. Mais le jeu en valait la chandelle : la crique semblait paradisiaque ; elle n’était composée que d’une fine bande de sable, d’une vingtaine de mètres entouré de rochers. L’endroit était perdu, caché au milieu de nulle part, et même si elle craignait d’avoir des difficultés pour retrouver son chemin, Christine fut sidérée par la beauté de l’endroit.

La belle se posa, avant de se changer. Habillée d’un joli bikini bleu, qui cachait un peu (il faut le dire) ses belles formes, elle décida de faire un tour dans l’eau. Elle finit par revenir sur la plage, et se posa en plein soleil. La chaleur était étouffante, il n’était pas deux heures de l’après-midi, et elle disposait de quelque heures de pur bonheur, seule au milieu de nulle part. La belle décida de laisser tomber le haut : vous savez que depuis George, elle a l’habitude. Et puis personne ne pouvait la voir ici : elle était seule. Elle exhiba fièrement ses tétines au soleil, se passant un peu de crème au passage. Le soleil tapait fort, et elle sentait ses effets particulièrement sur la pointe de ses seins, qui s’érigèrent rapidement.

Elle repensa à Moussa. Elle le trouvait vraiment très charmant. Il était vraiment très grand, aussi très épais, large : un mélange sûrement, de muscle et de poids en trop, mais cela lui allait très bien. Après tout, il faisait vraiment imposant. Il avait des doigts énormes, très épais : elle s’en était rendu compte lorsqu’il en avait glissé deux sur son sein pour livrer son message. Du coup la belle (vous sentez aboutir sa réflexion ?) se demanda s’il était bien pourvu. Ses préjugés lui affirmaient que oui, mais Christine était une femme intelligente : son savoir avait été remis en question, elle se douta qu’il devait en être de même pour ses opinions préconçues. L’idée d’un énorme sexe noir, ravageant l’intérieur de ses cuisses blanches l’excita : couplé à la chaleur du soleil sur ses seins, elle se mit à mouiller.

Elle connaissait la chanson la belle, et décida de s’abandonner : elle enleva le bas de son maillot, écarta grand les cuisses en laissant respirer sa belle foufoune, et commença à jouer avec sa fente toute luisante. Elle faisait de petits cercles autour de son vagin, repliant les jambes et jouant de sa main gauche avec son téton. Elle le faisait rouler doucement, s’activait de son autre main, tout cela sous la chaleur omniprésente du soleil qui séchait la mouille qui collait sur ses cuisses. Bien sûr on aurait pu la surprendre, se donnant du plaisir en pleine nature, mais cela excitait encore plus la belle. Alors elle joua le jeu : elle se mit à crier son plaisir, retenu depuis une petite semaine d’abstinence. Elle se rappela le plaisir qu’elle avait éprouvé malgré elle avec George, puis dans le ferry. On avait rependu, par deux fois, sa semence dans son ventre, et ça la rendait folle. Puis elle s’imagina chevauchant Moussa, son minou se faisant violemment ramoner par son sexe, qu’elle présumait énorme. La belle ne se fit pas prier pour hurler :

— Moussa ! Ah… Prend moi, plus fort ! Ah… Enfonce-moi ton gros sexe de noir, ah… Viens dans mon ventre et engrosse moi, Ah !

Et oui ! Les stéréotypes ont la vie dure, que voulez-vous. Qui plus est, elle se disait que fantasmer sur le pire scénario qui pouvait lui arriver lui permettrait de l’éviter, en calmant ses ardeurs. Elle se rappelait de la sensation de ses doigts sur son sein, comment avait-il osé ? Comment avait-il osait la toucher ? Christine finit tout de même par atteindre l’orgasme, et cette fois-ci comme avec George, sa mouille fusa en l’air, arrosant le sable chaud sous le bruit des vagues. Elle jeta un œil à droite à gauche, personne ne semblait roder dans les parages : elle but un coup, se repassa un peu de crème sur tout le corps et finit par s’endormir, complètement nue sur la plage et vidée par son orgasme.
***

De son côté, Moussa termina ses heures de travail. Il avait été submergé par la beauté Christine. Elle ne semblait pas très vieille, très bien conservée ; surtout, sa poitrine était encore ferme : il pouvait en juger. Il la plierait à sa volonté, comme toutes les autres. Rentrant chez lui : il attrapa son album photo et le feuilleta. On pouvait y observer l’ensemble de ses conquête, qu’il prenait toujours dans la même position : après avoir été pénétrée, le sexe encore ouvert, parfois l’anus, les jambes bien écartées sur le dos. Il était sûr que Christine ferait un parfait trophée pour la partie concernant les femmes un peu plus âgées. Moussa en avait pénétré de jolies femmes : il savait comment les cueillir, c’était un coureur de jupon invétéré.

Parfois elles étaient tellement conquises qu’il les enculait dès le premier soir. Mais cela n’arrivait qu’à condition qu’elles ne remarquent pas son sexe, sinon elles prenaient peur. Christine, il allait la ravager, elle avait une chute de rein à faire damner un saint. En y pensant, il se lança un nouveau défi : la prendre par le cul le soir même. Il savait comment opérer : mesures standards plus pas de contact avec son sexe, ni visuel ni physique ; bref, ce serait la surprise lorsqu’elle le recevrait dans le cul. Il se saisit d’un sac et de quelques affaires, puis partit en direction de la plage.

Bien sûr il se pouvait qu’elle ne soit pas là, qu’elle ait été trop impressionnée et qu’elle ne se montre pas. Mais Moussa ne s’inquiéta pas outre mesure : elles venaient toutes. C’était peut-être sa taille, peut-être sa posture imposante, il ne savait pas. Il mesurait deux mètres dix, pour cent-cinquante kilos de muscle, et certes avec le temps, d’un peu de surpoids. Mais cela ajoutait à sa silhouette : il avait 52 ans mais n’en faisait pas 35 ; chauve, aucune ride ne striait son visage, et il prenant soin de se raser pour éviter que l’on puisse remarquer ses poils blancs, tant dans ses cheveux que dans sa barbe. Arrivé sur le parking, vers cinq heure de l’après-midi, il aperçut une voiture garée : c’était gagné. Ce soir, il allait la prendre sur la plage, d’abord doucement, puis brutalement comme il savait très bien le faire. On allait l’entendre hurler depuis l’Italie. Il ramassa son sac, les chaises pliantes de son coffre, et commença le chemin en travers de la forêt.

Il s’approcha doucement d’abord. Une fois, une de ses conquêtes s’était masturbée, et le spectacle en valait la chandelle. Quelle ne fut pas sa surprise de trouver sa proie, non pas en train de se donner du plaisir cette fois-ci, mais entièrement nue. Moussa se fit discret : il posa son sac et, voyant la belle endormie, la tête sur le côté, il s’approcha sans faire de bruit. Elle était magnifique : ses tétines brunes étaient bien droites en direction du soleil, et la vue de sa vulve parfaitement entretenue lui donna une trique de tous les diables. Il eut un rictus sardonique : se serait encore plus facile que prévu. Il s’éloigna doucement, sans la réveiller.
***
— Christine ! C’est vous ?

La belle quadragénaire se réveilla en sursaut. Mince ! Elle avait complètement zappé l’heure. Elle eut un cri de panique lorsqu’elle s’aperçut de son accoutrement : elle aurait dû partir bien avant, pour éviter Moussa. La en plus, s’il la trouvait comme ça, il allait se faire des idées. Oh, non… Trop tard : Moussa sortit arriva sur la plage et sursauta à la vue de son corps nu :

— Oh ! Pardon Christine, je… Je suis désolé je ne savais pas. Je ne regarde pas.

Elle le vit détourner le regard (le coquin, il jouait bien son rôle). On aurait dit un jeune garçon prit la main dans le sac en train de faire une bêtise : il s’excusa, et elle trouva cela touchant en son for intérieur ; mais elle n’eut guère le temps de le relever, en panique pour remettre son deux-pièces. Christine était toute rouge, et ça n’était pas le soleil. Elle réussit, non sans difficulté, à se rhabiller : la belle avait honte, au lieu de briser l’espoir de Moussa, elle l’avait entretenu, voire même elle avait allumé un feu et ce serait d’autant plus dur de l’éteindre. Elle qui ne devait pas rester, l’éviter pour éviter toute aventure, ça n’était pas franchement réussi. Elle avait eu un coup de chaud par ailleurs : il l’avait vu dans son plus simple appareil, complètement exposée…

— Moussa… Je suis désolée, je m’étais endormie et je n’ai pas vu l’heure. Je suis vraiment gênée, ne m’en voulez pas, je…

Le géant s’assit à côté d’elle. Il souriait et ses dents blanches rendaient son sourire bien plus saisissant qu’il contrastait avec sa peau. Il était vraiment très imposant : ça ne mettait pas vraiment Christine mal à l’aise, ça la troublait plutôt : elle se sentait gamine, elle se sentait peu sûre d’elle, comme à ses vingt ans. Il la coupa dans son élan :

— Ne vous en faites pas Christine. D’ailleurs je vous en prie, tutoyez-moi. Vous savez, je comprends tout à fait : le soleil et le bruit des vagues rendent cet endroit vraiment magique, le paradis terrestre presque. Vous n’imaginez pas tout ce que j’ai pu y vivre et y rencontrer, c’est un endroit fantastique. Ça m’amène à…

La conversation débuta ainsi : au détour de quelques souvenirs, Moussa avait réussi à effacer le gêne de sa conquête. Christine écoutait, alimentait la conversation, racontait également des souvenirs. Et cette conversation, elle dura longtemps. Moussa sortit une table basse de son sac, installa les chaises pliantes et servit son cocktail, qu’il avait maintenu au frais, et qu’il lui servit dans des verres ballons. Attention ! Peu d’alcool dans la recette ! Juste de quoi échauffer très légèrement les sens, et encore ; sinon il ne pourrait pas la compter comme une conquête, il fallait mériter. Moussa avait l’habitude, toujours le même manège avec toutes ses prétendantes. Et ça fonctionnait toujours. Christine ne semblait y voir que du feu : elle sirotait tranquillement sa boisson, discutant, riant à ses blagues. Elle avait sa couleur de cheveu préféré : fausse blonde, ce qui impliquait qu’elle était brune par ailleurs, et il en avait eu le cœur net quelques minutes auparavant.

Les deux restèrent ainsi sur la plage, papotant. Quand le soleil commença à décliner, Moussa sortit de son sac quelques sandwichs achetés sur la route : vraiment, il avait tout préparé, ne laissant rien au hasard. D’ailleurs, dès qu’il eut fini, il partit chercher quelques pierres dans la forêt et commença à préparer un feu : pas que cela soit forcément autorisé, mais étant perdu dans un coin paumé, personne ne viendrait les déranger.

Christine de son côté ne voyait pas le temps passer. Elle qui souhaitait partir, elle se laissa tenter en poursuivant la conversation. En moins de temps qu’il ne lui en fallut pour se rendre compte, elle s’était faite servir à boire, puis resservir à manger. La boisson lui monta légèrement à la tête : elle ne buvait jamais d’alcool. Mais cela finit par lui passer ; et maintenant elle contemplait la lune dans le ciel, autour d’un joli feu de camp préparé avec soins. Elle trouvait le cadre idéal, très romantique, un brin parfait même. Elle n’avait toujours pas perdu son objectif : certes la situation cocasse dans laquelle elle s’était retrouvée et le cocktail avaient par deux fois échauffés ses sens, et la vue du corps de Moussa, qui avait fini par enlever sa chemise, lui donnait des idées un peu loufoques ; mais elle devait rester de marbre : elle ne pouvait pas s’offrir à lui. Déjà parce que ça n’était pas moral, et que coucher avec un noir (même si la belle avait appris à le connaître) aurait retourné son père dans sa tombe (vous savez : les bêtises d’une éducation passé…) ; puis elle ne pouvait pas prendre le risque de tomber enceinte : ça la terrifiait. C’est pourquoi lorsque Moussa lui proposa un bain de minuit (même s’il était seulement dix heures), elle se troubla en rougissant :

— Un… Un bain de minuit ? Vous… Vous voulez dire…

La belle s’imaginait déjà nue, à côté d’un sexe énorme. Elle se souvint de son aventure avec George dans la piscine : cela ne devait pas se reproduire, elle ne savait pas si elle pourrait résister… Après examen de son torse nu, Moussa n’était pas très dessiné, mais il dégageait une impression de puissance, dans sa carrure et dans sa largeur, qui chauffait les sens de Christine. Son bas-ventre fourmillait, mais elle ne devait pas craquer : si elle y parvenait, elle pourrait sûrement résister à beaucoup d’autres tentations. C’était un devoir, elle devait résister. Un bain de minuit : elle s’apprêta à refuser.

Mais ses craintes se dissipèrent lorsqu’elle aperçut Moussa se diriger vers la mer, gardant son short sur lui. Elle se sentit gamine, encore une fois. Elle se posait trop de question : elle se leva et le rejoignit, après tout elle n’allait pas mettre un terme maintenant à une si belle soirée. L’eau était très agréable : chaude car elle contrastait avec la température de l’air, qui s’était rafraichie. C’était agréable : ils continuaient de discuter, de tout, de rien. Au bout d’un moment, Moussa la prit par la main :

— Viens par ici, il faut que je te montre quelque chose.

Christine sentit la situation déraper ; alors qu’elle s’apprêtait à mettre le holà, Moussa la guida contre le rebord des rochers : le courant était juste assez fort pour provoquer une sensation agréable. La belle quadragénaire pouvait sentir le courant passer de part et d’autres de ses cuisses. Elle trouva cela fort agréable, et ne releva pas la situation. Au bout d’un moment, quelque chose frôla sa cuisse : cela vous rappelle quelque chose ? Dites-vous bien qu’elle aussi : elle eut un geste brusque, cherchant ce qui aurait pu la toucher, mais ne put distinguer quoi que ce soit. Moussa aperçut son trouble et interrompit la discussion :

— Quelque chose ne va pas, Christine ?— Non… répondit-elle fébrilement. Non rien, c’est juste que j’ai eu l’impression que… Non rien ça devait être un poisson.

Elle était toute rouge, et Moussa s’en aperçut. Que lui arrivait-elle ? Elle pourtant si assurée d’habitude ; là, elle bégayait comme une petite fille. Christine eut bien du mal à se concentrer sur la conversation : elle repensa à George, à son gros sexe, aux circonstances qui l’avaient amené à l’accepter dans son ventre. Cette sensation sur sa cuisse : elle avait eu l’impression de revivre la scène encore une fois. En réfléchissant, cela ne pouvait pas être le sexe de Moussa puisqu’avec sa taille, il devait lui arriver au niveau du nombril, si ce n’était plus haut. Elle se remémora son aventure avec George ; ça la répugnait, et elle grimaça rien qu’en y repensant. Mais ça avait été tellement bon, malgré elle : elle avait jouit tellement fort. C’était à peine si son petit plaisir solitaire de début d’après-midi lui était arrivé à la cheville.

Finalement, les deux compagnons sortirent de l’eau. Mais alors que Christine allait se sécher, Moussa resta droit sur la plage, fixant la lune, toujours trempé. Les pensées de Christine étaient toujours érotiques, et elle profita de ce moment pour essayer de déterminer la taille du sexe de Moussa, ce qu’elle ne parvint pas à faire, le maillot et les hanches de son compagnon étant bien trop larges. La lune faisait briller les gouttes d’eau dispersées sur tout son corps : il était vraiment très attirant. La belle eut une pensée pour George, puis pour Moussa : la pointe de ses seins s’érigèrent, tendant à déchirer le maillot, sans même qu’elle ne s’en rende compte. Elle se décida à attraper les serviettes, qui séchaient pendues à la branche d’un grand chêne juste à côté de la plage.

Moussa remarqua l’état d’excitation de sa cible. Il prit cela comme un symbole de victoire se dirigea vers la belle. Christine fut toute surprise en se retournant : Il s’était rapproché tout près, si près qu’elle sembla plier sous son ombre. Elle lui arrivait péniblement aux pectoraux, et Moussa devait faire deux fois sa largeur. Il était tellement proche, semblait l’écraser, tellement imposant : il n’était qu’à quelques centimètres d’elle. Sa poitrine (ou devrais-je dire ses pointes érigées) frôla son ventre proéminent, ce qui la fit piquer un fard, et légèrement reculer. Elle se trouva dos au chêne et Moussa se rapprocha encore, sans la toucher cette fois-ci. Elle avait le dos au mur, la boule au ventre une autre au milieu de la gorge : la situation était en train de déraper, et elle allait y mettre un terme.

— Christine, je peux vous poser une question ?

Sa demande déstabilisa la belle. Elle qui s’apprêtait à l’envoyer paitre, elle ne sut comment réagir.

— Euh… Oui, oui. Je t’en prie.

Elle regretta immédiatement, s’il se décidait à lui demander quoi que ce soit de sexuel ? Ou quelque chose de plus implicite ? Christine avait la foufoune en feu : elle s’imaginait déjà perdre le contrôle et se faire ravager, à quatre patte dans le sable et hurlant sa jouissance à la mer ; ses tétons durcirent encore, elle les sentait rapper contre le tissu. Elle osait à peine le regarder dans les yeux ; et encore, elle les baissait régulièrement pour constater le peu d’écart qui les séparait. Finalement, sa question la sonna : elle s’attendait à tout, prête à refuser n’importe quoi, mais pas à ça :

— Je sais que ce n’est pas quelque chose que l’on demande à une femme, et j’en suis désolé. Mais quel âge as-tu ?— Je… Attends, quoi ? Je… J’ai 45 ans mais… Oh ! Non… Moussa…

Occupée à le regarder dans les yeux, elle n’avait pas vu approcher les mains de son compagnon : Moussa avait profité de son trouble pour lui attraper son téton droit à travers le maillot, le faisant rouler entre son pouce et son index de manière très sensuelle. Ce toucher électrisa la belle, ouvrant la bouche dans un gémissement de plaisir : elle posa ses deux mains le long du chêne, se reposant dessus, et ne réagit même pas lorsque Moussa passa son autre main sur son deuxième sein. Il avait des mains gigantesques, des doigts tentaculaires qui pétrissaient sa poitrine d’une manière indécente. Pendant qu’il continuait son manège sur le sein droit, il passa son autre main sous son sein gauche, et effectua de petits cercles autour de son auréole avec son pousse. Christine se laissait faire : elle savait qu’elle devait à tout prix résister, mais s’en trouvait incapable : alors elle se préparait, rassemblait le peu de force qui lui restait.

— Christine, tu es magnifique. Tu ne fais vraiment pas ton âge : tes seins sont encore si fermes, c’est incroyable. Tu es une femme extraordinaire, je ne sais même plus comment te complimenter.

Il fit glisser les deux bretelles de son maillot, et le fit tomber en la relevant légèrement du chêne. Elle se sentait comme une poupée entre ses doigts : elle avait perdu et elle le savait. Elle aller se faire posséder par Moussa, là sur la plage ; et se serait terminé. Elle le voyait déjà venir au plus profond de son ventre, l’engrossant au passage : ça la terrifiait, et l’excitait en même temps. Ses deux seins pleinement à la vue de Moussa, il se mit à genou devant elle : le haut de sa tête lui arrivait au menton. Moussa saisit la tête de Christine entre ses deux mains et l’embrassa à pleine bouche : elle sentit sa langue s’insinuer dans sa bouche, et l’imagina autre part. Elle avait si chaud…

Moussa finit par abandonner sa bouche pour se ruer sur son sein. Il le léchait, le suçait, le mordillait même ; et la belle ne pouvait s’empêcher de gémir. Il la touchait de manière sauvage, comme un animal en rut, et la belle quadragénaire adorait ça. Elle finit tout de même par avoir un moment de lucidité, qui lui permit l’espace d’un instant de se reprendre.

— Moussa… Je t’en prie, Oh ! Ouh… S’il te plait Moussa, arrête… Ça n’est pas bien, ah !

Il se stoppa : avait-elle gagné ? Que nenni : il la fit s’assoir, en faisant de même. Contre le chêne, elle était adossée à lui de sorte qu’elle ne puisse pas sentir son sexe : Moussa avait tout prévu. Déjà à moitié nue, il glissa sa main sur sa poitrine, et l’autre disparut entre la foufoune de la belle et son maillot, autant trempé par l’eau que par sa mouille. D’abord, par réflexe, Christine resserra les cuisses ; mais lorsqu’elle sentit son pouce et son index reprendre leur traitement sur son sein, et l’autre main sur sa toison, elle les écarta bien grand, en déposant une sur sa jambe à sur les siennes, et s’offrant définitivement : elle savait qu’elle avait perdu, qu’elle allait s’offrir complètement. Dans son excitation, elle chercha à attraper le sexe de Moussa, mais celui-ci fut plus rapide : il rattrapa sa main et la repoussa légèrement.

— Christine, ma belle. Tu mérites d’être heureuse. Tu es magnifique : laisse toi vivre. Nous ne sommes que toi et moi sur cette plage. Personne pour nous voir, personne pour nous juger. Laisse toi aller ma belle, je sens que tu en meurs d’envie.

Sa voix était sensuelle, et ses doigts s’activèrent sur l’antre de la belle quadragénaire : à l’aide de son index, de son majeur et de son annulaire, Moussa faisait de grands cercles autour de sa vulve. Alors Christine s’abandonna au plaisir, qui ne cessait de monter. Parfois il s’arrêtait, pour presser son clitoris entre deux de ses doigts, et la belle hurlait de plaisir. Elle qui avait eu une éducation si pieuse : elle tendait le bassin pour que quelque chose la pénètre, mais se retenait de toute ses forces de le crier. A ce point-là, Christine aurait pu totalement perdre contrôle si elle avait eu un moyen de contraception, mais comme ça n’était pas le cas, elle n’osait pas. Elle se laissait aller, attendait l’orgasme pour retrouver un peu de lucidité et peut-être se trouver en capacité de réagir à temps.

Mais Moussa le savait très bien : et il jouait avec ses attentes. Dès qu’il sentit la belle commencer à haleter de manière plus soutenue, lorsqu’elle lui saisit le bras avec ses mains pour le forcer à accélérer, il se leva. Il attrapa la main de Christine et l’amena sur la plage en la faisant passer devant elle. Ils se retrouvèrent l’un derrière l’autre, les pieds dans l’eau au fil des vagues qui passaient : Christine regarda la lune alors qu’elle sentit Moussa lui pétrir la poitrine. Il était tellement violent dans ses gestes, semblait pourtant dégager une telle sensation de douceur : la belle n’en pouvait plus, elle voulait atteindre l’orgasme. Elle se sentait au bord de la jouissance, mais craignais tellement la suite des évènements.

Moussa s’assit en tailleur, maintenant Christine debout en la tenant par les hanches : son esprit se déconnecta : en quelques secondes qui lui semblèrent interminables, il fit glisser son maillot le long de ses fesses. Elle se retrouva la croupe à l’air et la touffe au vent, les jambes très légèrement écartées en pleine nature au beau milieu de la nuit. C’était fini : elle avait perdu. Christine savait qu’il ne restait plus aucun espoir : elle resserra les jambes et se cambra alors qu’elle sentait glisser le tissu sur ses mollets, offrant sa vulve au visage de Moussa. Elle releva délicatement les pieds pour laisser Moussa s’emparer de son bas de maillot, comme un trophée, symbole de sa défaite, elle se laissa aller pour de bon alors que l’autre glissait sensuellement ses doigts le long de ses cuisses.

— Oh, Moussa… On ne doit pas… Je t’en prie. Ah… Mais c’est si bon… Oh mon Dieu !

Moussa avait attrapé les deux fesses de Christine à pleine main, avant de les écarter avec force. Elle avait senti son petit trou se dilater légèrement, et sa fleur s’ouvrir, s’offrant toute entière à son amant dans un cri de surprise, et de plaisir. Moussa ne se fit pas prier, il commença par jouer avec sa vulve avec un doigt, le glissant sensuellement sur sa fente et récoltant son miel. Ses doigts étaient tellement épais… Ses jambes tremblaient, elle bouillait de plaisir : dans un soupir d’abandon et de gémissement, elle tomba sur les genoux et se plaça à quatre pattes. Ses seins pendaient au-dessus de la mer, ses tétons se retrouvaient dans l’eau à chaque passage des vagues : le cadre était parfait, elle était prête à recevoir Moussa, à se faire engrosser comme ça, sur la plage, aussi simplement. Elle écarta un peu plus les jambes et se cambra, la fleur offerte et dégoulinante de mouille. Elle qui avait été si réservée pendant des années de mariage, cette mère de famille modèle si fidèle à son mari : elle allait se faire prendre, dès le premier soir, par un grand noir malgré son éducation si pieuse. La seule chose qu’elle s’empêcha de faire, la seule chose que ses dernières barrières morales lui empêchèrent, c’était de supplier qu’il la prenne.

Moussa était aux anges. Il aller l’enculer joyeusement : Christine s’était offerte sur un plateau d’argent. Il passa ses doigts sur son tapis pubiens, la poussant à se cambrer un peu plus. Son vagin semblait s’ouvrir de lui-même : elle soufflait fort. Il posa son index et son majeur sur ses deux grandes lèvres et les écarta, arrachant un cri de plaisir à sa conquête. Il enfonça son majeur dans sa vulve, jusqu’à la dernière phalange : Christine releva la tête en tremblant de plaisir (après tout, le doigt de Moussa devait être des mêmes dimensions que les deux inconnus du ferry, et elle adorait ça…). Moussa quant à lui, n’en revenait pas : il opéra plusieurs allers-retours, tout en douceur pour se rendre compte du vagin qui s’apprêtait à le recevoir. Christine était très serrée, même plus étroite que toutes ses conquêtes dépassant la trentaine. Son vagin semblait se resserrer sur son doigt, l’aspirer. Il allait prendre son pied comme jamais.

Mais Moussa ne perdait pas de vue son objectif : il s’était fixé comme impératif, rappelez-vous, de ravager le cul de la belle. Et constatant l’état de son vagin, il osait à peine imaginer celui de son anus. Il plaça son pouce à l’intérieur de son vagin, s’agrippant à la foufoune de la belle de son index et jouant du doigt pour la faire râler. De son autre main, il enfonça, doucement, très doucement son index dans l’anus de Christine. Même les jambes écartées et cambrée au maximum, le simple index peinait à entrer en entier. Moussa se mordit la lèvre, Christine serait le meilleur coup qu’il tirerait depuis des années, peut-être même des décennies.

Christine, elle, finit par atteindre l’orgasme : elle sentit Moussa lui forcer la rondelle avec un doigt, et cela la transporta. Vous connaissez son aversion maintenant, et Moussa ne pouvait pas se douter… La belle lui gicla entre les doigts, au sens propre puisqu’il reçut sa mouille jusque sur son ventre. Christine s’effondra dans l’eau, peu profonde. Elle n’avait jamais supporté que l’on touche à son petit trou. Le mari avait essayé plusieurs fois, mais systématiquement il se faisait refuser l’accès, voire même refuser tout accès tout court lorsqu’il tentait quoi que ce soit. L’inconnu du ferry en avait fait les frais, se faisant gifler au passage. Là c’était différent : pour la première fois, la pénétration l’électrisa, déclenchant son orgasme. Elle récupéra pendant quelques secondes, avant d’entendre Moussa baisser sa braguette. Elle devait réagir maintenant, sous peine de ne plus pouvoir le faire. Alors dans un effort surhumain, elle se retourna, s’assit dans l’eau pour calmer le feu qui se propageait entre ses jambes, et rassemblant le peu de forces qui lui restait :

— Moussa… Stop. Je t’en supplie. Je ne veux pas. Ce n’est pas contre toi, tu es une personne extraordinaire, mais je ne pense pas être encore prête. J’ai perdu mon mari il y a trop peu de temps, et je ne suis pas prête pour ça. Je suis désolée…

Moussa mit quelques secondes à réagir. Comment osait-elle ? C’était la première femme qui le stoppait en arrivant aussi loin. La première qui lui refusait l’entrée après plusieurs minutes de préliminaires. D’habitude au contraire, elles le suppliaient de les prendre. Et là, il se faisait recaler ? Il était à deux doigts de l’enculer, au sens propre comme au figuré. A deux doigts ! Aussi il avait mal joué : s’il s’était contenté de la prendre, au lieu de vérifier son anus et de jouer avec sa vulve, il aurait pu la plier à ses désirs pendant des semaines, la souiller de mille et une manières. Mais il avait été trop curieux, et il en payait les frais. Il avait mal joué, et se retrouvait échec et maths. Christine entrait dès lors dans le cadre très restreint des femmes qui l’avait refusé le premier soir. Très bien. Il l’aurait le soir suivant. Ou alors, il pouvait tenter le tout pour le tout.

Christine fut soulagée lorsqu’elle vit Moussa refermer sa braguette. Finalement elle n’avait eu aucun aperçut de son sexe, et c’était sûrement mieux comme cela. Elle sentait les vagues aller-venir entre ses cuisses, trempant sa foufoune exposée au regard de son amant. Moussa lui sourit, exposant ses dents blanches reflétant les lueurs de la lune. Elle espérait qu’il abandonne, car elle se savait bien trop faible pour résister à quoi que ce soit de plus. Alors il s’approcha, saisit son téton droit et le fit de nouveau rouler entre son index et son pouce, tirant fort sur son sein pour la forcer à s’approcher. Il embrassa la belle sur la joue, qui gémissait la bouche grande ouverte, et lui souffla à l’oreille :

— Si c’est ce que tu veux Christine, il n’y a pas de souci. Je n’oserais jamais te forcer à quoi que ce soit. Tu es une femme merveilleuse, libre et indépendante ; et c’est ce qui me plait chez toi.

Il glissa son entre main entre les cuisses de la belle, passant ses doigts gigantesques à travers sa toison. Il la massa, ce qui fit crier la belle quadragénaire, encore. Elle se laissait faire, il la savait consentante malgré elle. Au moment où Christine s’apprêtait à contester, décidée à l’envoyer paître de manière définitive, il l’embrassa, tournant sa langue dans sa bouche en lui glissant l’annulaire dans la vulve. 
— Laisse toi faire, je peux te donner plus de plaisir que tu n’en as jamais eu. Mais je t’ai dit, je ne ferai jamais rien contre ton gré, tu es partante ?

Christine gémissant sous les doigts de Moussa. Elle aurait pu lui dire non, si seulement il ne l’avait pas embrassé : ça lui avait laissé un répit, au cours duquel le plaisir et le désir de la belle s’étaient remis en route. Et maintenant, elle en voulait plus, tout en sachant très bien comment cela finirait. Elle chuchota un oui, sans conviction ; malgré ses barrières, elle se laissa dominer par son envie. L’air frais sur sa peau mouillée la faisait frissonner, elle avait si chaud…. Christine en voulait encore.

— Il n’y a pas de honte. Offre-toi ma belle, laisse toi aller à tes instincts. Donne-moi ton corps, tu ne le regretteras pas.

Christine le regrettait déjà, elle savait comment ça allait finir mais était incapable de dire quoi que ce soit. Elle aurait pu lui demander, tout simplement de ne pas venir en elle ; mais son corps repris le dessus : elle se retourna et releva sa croupe en signe de soumission. Elle tendit les bras le plus loin possible, frottant ses seins dans le sable pour être la plus cambrée possible : elle avait perdu, et acceptait sa défaite.

Moussa se débarrassa de son maillot, exhibant un sexe de plus de 25 centimètres pour un peu moins d’un demi-décimètre de large. Il présenta son gland à l’entrée de la grotte de la belle, et s’y frotta. Christine feula, déjà à cause de sa taille : en se retournant, ses yeux s’écarquillèrent. Mais Moussa ne lui laissa pas le temps de dire quoi que ce soit : il la saisit par les cheveux et sans violence, la retourna. Il s’agrippa à sa hanche d’une main, et de l’autre força l’entrée de la foufoune de la belle. Sa fleur semblait si étroite : l’entrée de sa bite lui semblait tout bonnement invraisemblable, le gland écartant avec peine les jolies pétales de la fleur de notre belle quadragénaire.

Après plusieurs secondes, son gland entra : cette fois, la belle hurla, sentant ses chairs s’écarter au passage du monstre. Moussa mit de longues secondes à pénétrer la belle de toute sa queue : elle était si étroite, c’était incroyable. Il exécutait de tous petits allers-retours pour forer la belle, bien mouillée par l’excitation. Une fois bien au fond, il sortit complètement, admirant l’intimité de sa conquête encore toute ouverte de son passage. Christine tremblait de plaisir, elle convulsait presque : les mains de Moussa sur son corps la rendait folle, et sa bite la déchirait en deux, anéantissant tout espoir de rébellion. Si la douleur l’avait submergé, le plaisir en avait été que plus grand par la suite : il était tellement gros...

Moussa enfourna la belle, jusqu’à la garde. Elle sentit ses grosses couilles taper sa toison, et elle eut un orgasme : c’était tellement simple. La belle s’affaissa dans l’eau. Lui commençait à peine à prendre son pied, et c’était loin d’être fini : il attrapa violemment les deux fesses de sa conquête et les écarta au maximum, lorgnant son petit trou se dilater légèrement. Alors il commença ses allers-retours : il ne bougeait pas ses mains, maintenant juste le cul de Christine, il bourrinait juste avec ses hanches : donnant de grands coups de reins qui firent chanter la belle tellement fort qu’à chaque coup elle semblait gagner plusieurs décibel, ses seins se balançant au rythme des coups de burin qu’elle recevait. Il n’allait pas tarder à l’engrosser, et elle accepta cet état de fait malgré elle, n’osant rien lui avouer. Moussa avait l’impression de se faire traire la queue, et savait qu’il ne pourrait pas durer éternellement de la sorte. Sentant le plaisir de la belle atteindre des sommets, il se retira, admirant au passage, encore une fois le trou béant qu’il laissait derrière lui. Lorsque Christine se mit à le supplier, il ressentit une immense satisfaction :

— Non… Moussa je t’en prie, continue… Puisque tu as commencé, s’il te plait…

Moussa passa son index sur son petit trou : il allait lui prendre le cul, comme il avait prévu. Christine protesta d’abord, mais lorsqu’il plaça son gland entre ses grandes lèvres, elle gloussa en écartant plus amplement les cuisses encore. Alors, il attrapa violemment le cul de sa compagne de ses deux mains, et présenta son gland au-dessus de son trou du cul.

Christine, dont le cerveau s’était placé en mode off depuis plusieurs minutes, se retourna pour protester. Mais le plaisir qu’elle ressentait encore était si grand, elle n’arrivait même plus à articuler :

— Non ! Moussa… Ah, enlève ton doigt s’il te… Oh ! Tu es trop gros… Je t’en prie, arrête. C’est sale, Moussa… Ah ! Tu vas me déchirer… C’est ignoble, Oh…

Moussa la retourna. Il la saisit par les hanches et la souleva comme un poids plume. L’homme se plaça en tailleur, et la bite relevée, fit assoir Christine sur sa queue. La belle s’agrippa à son amant, les mains sur ses épaules, et les cuisses bien serrées autour de son ventre. Elle essaya de se positionner de telle sorte que la queue de Moussa lui pénètre le con, mais il était bien plus fort qu’elle : elle sentit son anus se dilater autour de cette colonne de chair, au fur et à mesure que la gravité faisait son effet. Finalement, sans même qu’elle le veuille, elle entrait : mini mètre par mini mètre. Elle hurla de douleur et de honte : elle trouvait ça tellement sale ; c’était dégoutant, mais elle se laissa faire, incapable de réfléchir, elle subissait les assauts de son amant en prenant plaisir malgré elle. Qui plus est, c’était mieux ainsi : au moins il ne viendrait pas dans son ventre, et ne risquait pas de tomber enceinte. Elle finit tout de même par hurler de douleur : le gland était passé, et c’est presque sans difficulté que le reste de sa hampe pénétrait ses chairs, lui arrachant le ventre au passage. Lorsqu’elle buta sur son ventre, c’était fini : elle était entière pénétrée par le cul par Moussa, qui l’embrassa.

— Tes tétons sont tellement dur contre mon ventre, ma belle. C’est ta première sodomie ? Ça se voit : tu es tellement serrée, tu grimaces de douleur. Mais ne t’inquiète pas, bientôt tu ne pourras plus t’en passer. Vas juste à ton rythme, de toute façon cette première ne te donnera presque pas de plaisir. Pour moi, le simple fait d’être en toi me donne envie de jouir dans ton ventre.

Christine tremblait, de douleur cette fois. Elle sentit Moussa lui agripper un téton d’une main, et de l’autre passer entre ses cuisses. Le plaisir commença à remonter. Persévérant, elle commença à mouvoir son bassin, sous les compliments de son amant, aux anges. Si la douleur disparut, elle ne ressentait aucun plaisir, mis à part celui procuré par les doigts de Moussa. La sensation était bizarre, pas désagréable une fois la douleur passée, mais sans plus. Pourtant elle le sentait si gros dans son petit trou : il était énorme, et elle avait l’impression de se faire écarteler. Mais sans douleur. Bien décidée à le faire venir en elle, Christine le repoussa : seul son nez dépassait de l’eau. Il s’agrippa à ses fesses, et toute petite sur cette énorme masse de chair, elle commença à mouvoir son bassin le plus vite possible.

Christine avait honte, elle se faisait prendre le cul comme une vulgaire traînée, par une personne qu’elle ne connaissait pas le matin même. Si son père la voyait, mon dieu, il en mourrait une deuxième fois. Mais c’était justement ça qui l’excitait, la belle : non seulement elle en voulait encore plus, mais défier l’autorité, toutes ses barrières qu’elle s’était imposée toutes ses années, ça la rendait folle. En tout cas elle en aurait bien repris ailleurs, du Moussa, si elle avait réfléchie et était passé à la pharmacie. Mais sa bêtise l’avait rattrapé, et elle en payait le prix : à trop vouloir être prude, elle avait essayé d’aller contre sa nature, en vain. Maintenant, elle se faisait joyeusement enculer, son petit trou détruit par les coups de hanche de Moussa qui la faisait hurler plus de douleur que de plaisir, en se faisant traire par ses mains de géant. Lorsqu’il glissa de nouveau un doigt dans sa vulve, elle releva la tête vers le ciel : elle était punie pour ne pas s’être contrôlée, et s’était tant pis pour elle. Christine se dit qu’elle l’avait bien mérité. C’était toujours horriblement sale, mais au moins ça faisait de moins en moins mal ; en tout cas bien moins qu’elle l’avait imaginé.

Il finit par venir en elle, dans un râle de plaisir. Elle le sentit venir au plus profond de son rectum, se faisant remplir de l’intérieur. Ils restèrent longtemps imbriqués l’un dans l’autre : elle s’était presque habituée à l’énorme colonne de chair qui lui perforait le cul. De temps en temps, de petits spasmes la secouaient, en provenance de son petit trou. Elle voulut se relever : Christine se plaça à califourchon, enfonçant la bite de son amant au plus profond de son être d’un même trait, puis se redressa tout doucement, dans l’optique de moins souffrir. Elle eut l’impression de se vider, de se faire arracher l’intérieur de l’arrière train : plus elle montait, plus ça la brulait ; jusqu’au gland, sur lequel elle buta, avant de se retirer d’un coup sec. Elle trébucha et tomba : la douleur était atroce. La belle se passa la main sur le cul et faillit avoir un malaise : son petit trou n’avait plus rien de petit, il était tellement dilaté qu’elle parvint à y rentrer deux doigts presque sans en toucher les bords.

Mais elle avait réussi ! Elle était parvenue à se protéger, même si cela impliquait de rester quelque peu frustrée et de devoir boiter. Il lui avait pris le cul, et elle n’avait pas aimé ça, mais au moins elle ne tomberait pas enceinte.

Il s’essuya la queue et lui attrapa la main, la releva et la ramena, nue sur la plage, avant de l’entourer d’une serviette. Bien sûr, elle parvenait à marcher avec difficulté, détruite par l’homme qui lui avait ravagé la croupe, et bien sûr, il profita de la situation pour la tripoter une dernière fois, frottant son dos et son ventre pour la sécher. Christine se laissa faire : elle avait eu bien du mal à s’opposer à lui, elle était maintenant vidée de toutes ses forces. Il passa même la serviette entre ses cuisses, ce qui lui fit lâcher un petit cri de surprise. Là où elle pensait qu’elle en aurait voulu à Moussa, celui-ci ne se démonta pas : il continua de converser avec la belle, de tout et de rien, jetant au passage quelques coups d’œil à la naissance de sa poitrine, que l’on pouvait deviner sous la serviette, voire à son entrecuisse, qui dépassait selon sa position. D’ailleurs, il était resté nu, exhibant un sexe certes mou après l’amour, mais d’une taille tout à fait imposante. Christine remarquait tout ça mais n’osait dire un mot à ce propos : Elle était bien trop épuisée pour contester, et ça détournait son attention de la douleur pesante de son anus dilaté. Secouée par la douleur, elle se releva, prétextant vouloir admirer la beauté de la lune.

Mais vous connaissez Moussa, le monsieur n’avait réussi qu’à avoir en partie ce qu’il voulait, et il lui manquait sa photo pour parfaire le tableau ; et s’il pouvait lui remettre un coup de queue au passage, il s’en donnerait à cœur joie. Profitant de l’attitude de la belle, qui se mit à regarder la beauté de la lune, l’homme sortit discrètement son appareil photo de son sac et le plaça discrètement à l’autre bout du feu. Rien qu’à l’idée de pénétrer la belle une nouvelle fois, son sexe entra en érection. Prêt pour de nouvelles aventures, il vint se placer juste derrière la belle, la collant contre son ventre et la dénudant de sa serviette.

Christine fut surprise par ce nouvel assaut, elle ne s’y attendait pas et se retrouva en tenue d’Eve, collée à l’engin de son amant le long de sa colonne vertébrale :

— Moussa… Enfin arrête, je… Oh !

Elle avait essayé de se retourner, comme de se décoller de son amant, mais celui-ci avait attrapé ses tétines ; et vous connaissez l’attitude de la belle lorsqu’on la chauffe : malgré toutes ses convictions, elle se relâche… La belle quadragénaire s’abandonna aux caresses de Moussa, roulant ses pointes entre ses doigts. Son sexe était si dur contre son dos : elle l’imagina encore en elle. Non ! Il ne fallait pas : Christine savait qu’elle ne pourrait pas lui résister, et préféra lui livrer son anus une nouvelle fois plutôt que de se faire engrosser. En même temps, elle avait tellement envie de cette chose dans sa minette… Non !

Elle se retourna et le fit assoir en tailleur. Moussa souriait : elle l’embrassa, s’offrant pour de bon à son amant. Au diable son père, au diable sa mère, elle en voulait encore : sans un bruit, elle se retourna de nouveau et attrapa le sexe de Moussa pour le glisser vers son petit trou, qui n’avait plus rien de petit. Lorsqu’elle sentit son gland taper sa rosette, elle grimaça de douleur : au moins, il ne lui arriverait rien. Mais c’était sans compter Moussa…

Son amant lui saisit les hanches, et avec force, il les guida de sorte que le bout de sa queue se présente devant le con de la belle, qui commença à paniquer :

— Ma belle : laisse toi faire, fit-il d’une voix remarquablement douce. De toute manière tu ne prendras pas de plaisir par là ce soir, autant passer par ailleurs ; et tu n’as même pas eu le temps de jouir tout à l’heure…— Non ! Moussa s’il-te… Ah…

Il l’avait enfilé de tout son long. Cette fois, sa queue était rentrée toute seule dans son con, si chaud et étroit, tout à fait accueillant. D’ailleurs, les fesses de la belle butèrent sur les hanches de Moussa. Christine se sentait complètement remplie : elle se sentait si élargie par la queue de son amant, pourtant elle ne ressentait aucune douleur : en fait, elle ne ressentait plus que du plaisir, et se faisant elle s’affala sur son partenaire, bien plus imposant qu’elle, et se laissa guider. Il la saisi par les fesses, si frêle entre ses pattes, et la soulevait pour mieux la lâcher et la laisser s’effondrer le long de son sexe : elle était tellement étroite qu’il ne pensait pas durer longtemps, ses muscles vaginaux enserrant sa bite de manière phénoménale.

La belle quadragénaire vivait un doux rêve : elle sentait ses pointes, toutes érigées durcir sous les coups de burin et au contact du vent. La bouche ouverte, elle se laissa ravager comme jamais. Si bien que lorsque son amant la releva pour la mettre à quatre pattes, elle s’effondra sur le sable, tendant juste la croupe pour qu’il puisse continuer de la pénétrer à loisir. Sur le ventre, ses seins râpaient contre les grains de sable, sa poitrine lui faisait mal, mais c’est à peine si elle ressentit la douleur, trop heureuse de se lâcher et de s’offrir complètement à quelqu’un pour la première fois depuis son mari. Elle sentait Moussa lui baiser le cou (et la foufoune…), et ça la rendait folle.

Avec George, dans le ferry : même si elle avait acceptée de se faire prendre, une part d’elle-même avait toujours résisté ; cette fois-ci, elle disparut, vaincue par Moussa et ses coups de burins. Elle hurlait à gorge déployée, de pur bonheur. Moussa, l’écrasant presque de son corps, s’épuisait : les mains de part et d’autres de sa tête, il lançait des coups de hanches plus puissant les uns que les autres, s’enfonçant toujours plus loin dans l’intimité de la belle, et tapant contre son col à chaque va-et-vient. Se sentant proche de la fin, il se releva en écartant les fesses de la belle, exhibant un trou béant et dégoulinant de mouille. Satisfait, il la retourna sur le dos d’un simple mouvement de bras. La bouche ouverte, au bord de l’orgasme : elle était magnifique. Christine tendait son bassin pour se faire pénétrer, et sa poitrine, tout simplement divine, pointait vers le ciel. Il allait venir en elle : c’était fini, elle avait perdu, et s’abandonnait d’autant plus.

Tout son corps, y compris sa toison, était recouvert de sable fin. Sur son entrecuisses, il se mêlait aux poils de sa foufoune. Moussa l’embrassa et l’enfourna de nouveau jusqu’à la garde, avant de la pilonner de nouveau : il sentit les cuisses de la belle se verrouiller autour de son corps, et la pointe de ses seins râper son buste. Dans un soupir de plaisir, et dans le hurlement de sa belle, il sentit les muscles vaginaux de son amante se contracter, trayant sa bite au passage. Incapable de se retenir plus longtemps, il gicla au plus profond de son ventre : sa semence tapissa toute l’intimité de la belle, et il resta imbriquer en elle de longue secondes. Christine, complètement dévastée tant psychologiquement que physiquement, s’endormit sur le coup. Satisfait, il se retira, et essuya les goûtes de sperme de sa bite sur la foufoune de la belle, mêlant sa semence aux grains de sable qui la parsemaient déjà. Après quelques minutes de repos, il se leva et mitrailla la belle de son appareil photo : il avait rempli son objectif. Christine, endormie, ne put résister : les cuisses largement ouverte, dont une jambe posée expressément à l’équerre par son amant, la belle exhibait une foufoune tachée de sperme mêlé de sable ; son antre, encore ravagée et toute ouverte du passage de son amant, laissa perler un joli filet de sperme qui coula sur son anus.

Moussa, satisfait, par une série de photos toutes plus cultes les unes que les autres, attrapa le téléphone de la belle. Il enregistra son numéro, et quitta la plage après avoir éteint son feu de camp. Il emporta le maillot de la belle, et la laissant terriblement exposée au milieu de la plage, quitta l’endroit. Passant devant la voiture de Christine, il plaça les clés sur le compteur et s’en alla tout simplement.
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