Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 11 J'aime
  • 8 Commentaires

Ma soumise

Chapitre 1

Erotique
Nous nous sommes rencontrés étrangement : un courrier sur un site coquin où j’avais publié des histoires de domination. Puis nous nous sommes échangés des mails et avons engagé une histoire virtuelle de plusieurs mois. Je t’envoyais mes histoires, tu me donnais tes impressions, comment telle scène t’avait fait mouiller, t’avait ému, ou pas, tu me parlais de ta vie, de tes plaisirs plus sages que ceux auxquels tu aspirais. Et puis tout s’est arrêté.
Et puis un jour, 2 mois après, un coup de téléphone de toi. Je t’avais donné mon numéro au début, tu avais refusé de l’utiliser « Je viens demain. Viens m’attendre à 20 heures à la Gare du Nord » Je ne sais pas grand chose de toi, que tu as 25 ans -si jeune- que tu es assez jolie, de taille moyenne, que tu t’habilles plutôt sexy, cheveux châtain plutôt courts, yeux marrons. Tu as une belle voix, chaude et tu me dis t’appeler Angie, mais je sais que c’est un pseudo…. Comme je te l’ai promis, - ce n’était pas sûr mais je t’avais dit que je ferai tout mon possibleje suis à t’attendre à la gare. J’ai souvent attendu des femmes sur des quais de gare, amantes éphémères ou affaires plus sérieuses. Mais là, c’est différent. .Je ne te montrerai rien de mon émotion mais elle est réelle. C’est un peu un retour à un point de départ, à cause de ta jeunesse. Elle, elle avait 20 ans. Longtemps que je n’y ai pas pensé. Que je devais être maladroit alors… Mais te voilà qui avance vers moi. Tu es encore mieux physiquement que je le pensais. Par-dessous le long manteau entre ouvert, tu portes une jupe courte qui découvre largement tes jambes –fort belles ma foi- et tu as mis un pull par-dessus le débardeur : il fait un peu frais.
Je ne peux pas voir si tu as un soutien-gorge ou pas. J’ai été vague sur la tenue, contrairement à l’habitude. Demain nous irons faire du shopping. Ce sera une expérience intéressante pour moi et tu seras comme j’en ai envie. Tu n’oses pas sourire mais tu me regardes droit dans les yeux. Tu sais qu’il faut de l’humilité mais tu ne m’as pas choisi encore : je sais que tu aimes m’entendre mais la voix ne fait pas tout. Tu ne parais pas déçue. Et tu me lances un « bonsoir, mon Maître » d’un ton un peu provocateur. Mais je suis content que tu sois détendue. Je te prends par le bras et t’entraîne jusqu’aux taxis. Le trajet n’est pas long : l’hôtel est assez près, j’y ai laissé ma voiture et je veux mettre à profit ces quelques minutes pour faire ta connaissance un peu plus intime.
En gardant un œil fixé sur le rétroviseur, craignant que le chauffeur nous regarde, tu prends ma main que j’ai posée sur ta cuisse et tu la guides vers ton entrejambe, devançant mes désirs. Mais il est vrai que tu es familière de mes scénarios. Je ne t’avais rien dit mais mes doigts ne rencontrent pas d’obstacle de tissu et viennent effleurer la moiteur humide de ta vulve. Je relève la jupe jusqu’a apercevoir ta fente où mes doigts glissent doucement. Tu es une élève soumise et qui apprend vite. Ça te réserve, ça nous réserve beaucoup de plaisirs. Je garde mes doigts dans ton intimité désirante. Il fait trop sombre pour que le chauffeur distingue quoi que ce soit et je le regrette un peu. Mon bonheur aurait été parfait s’il avait eu un témoin. Mais nous sommes déjà arrivés, je retire mes doigts, les hume et te les donne à lécher. Le conducteur se tourne et je vois la stupéfaction sur son visage. Il devait croire qu’il transportait un père et sa fille. Je règle la course, m’extrais du véhicule et t’aide à en sortir. Tu dévoiles ton intimité au passage à qui veux la voir et surtout à moi. Le réceptionniste me tend la clé, je suis passé quelques minutes avant.
Son regard concupiscent s’attarde sur tes jambes, la partie de tes cuisses au-dessous du bord de la jupe. Il est surpris de ton jeune âge quand je lui ai bien fait préciser quelques instants plutôt que la chambre disposait d’un lit double. J’ai envie de faire admirer, aussi indigne qu’il en soit, ce qui est à moi. Les clés m’échappent et tombent : tu as compris, tu te baisses et lui présente en te penchant tes fesses et ta vulve et tu montes l’escalier comme si de rien n’était. Nous sommes faits pour nous entendre, toi et moi. La chambre est au premier. Je te laisse introduire la clé et la tourner. Mes mains soulèvent ta jupe pour caresser tes fesses. J’ai failli le faire en bas. Docile, tu attends que j’aie retiré ma main pour ouvrir la porte et entrer dans la pièce. La porte se referme. Tu te glisses le long de mon corps, tu ouvres la fermeture de ma braguette et tu glisses tes doigts pour venir caresser ma queue. Je te prends par les épaules et te relève en te regardant droit dans les yeux. « Rappelle-toi qui est aux commandes. Je ne te le redirai pas.
Ce soir je dois partir. Tu es là pour satisfaire mon désir. C’est la règle que nous nous sommes fixés. Et je ne veux rien bâcler, te baiser en 5 minutes et t’abandonner. Tu vas te faire servir à dîner, prendre un grand bain plein de mousse, te caresser si tu en as envie en pensant à cette queue que tu viens de toucher. Et tu me raconteras demain. Je serai là pour ton réveil » Je prends la clé. « Tu n’en auras pas besoin. Tu peux t’enfermer en poussant le petit bouton là. Demain je viendrai te réveiller » Le lendemain matin, tu dors encore quand j’utilise ma clé pour pénétrer dans la chambre. Je sens que tu as utilisé le vaporisateur de « Shalimar » que j’avais laissé dans la salle de bains. Dans la pénombre, j’aperçois la forme de ton corps jeune et souple recouverte du seul drap. Je me déshabille, laissant mes vêtements sur le sol, près du lit et je me glisse dans la tiédeur des draps. Mes doigts trouvent la douceur de ta peau, tu sens vaguement ma présence dans ton sommeil et tu bouges.
Ma queue, gonflée d’une érection presque instantanée vient se nicher dans la raie de tes fesses. Tu sens mon érection, la force de ce désir de te posséder. Tu émerges doucement du sommeil. Tu prends la queue dure entre tes cuisses contre ta chatte, puis tu t’écartes. Tu embrasses ma poitrine, mon ventre, tes doigts d’abord viennent explorer ma rigidité. Deux doigts sous le gland pour étirer encore un peu plus la peau vers le bas, la tendant depuis le frein. Tu la manipules, la caresses ainsi de haut en bas puis de bas en haut. Plusieurs fois. Puis tu y portes ta bouche. Hésitante d’abord, tu as peur de mal faire. Non que tu ne l’ais jamais fait mais les exigences de tes partenaires habituels sont bien loin des miennes. Tu as lu ce petit texte que je t’avais envoyé sur l’art de la fellation. Tu prends l’extrémité entre tes lèvres, ta langue vient caresser le méat où perle une goutte déjà, témoignage de mon désir que tu avaler avec bonheur.
Puis tes doigts encerclent la base, tirant le frein et ta bouche absorbe tout le gland que j’ai assez gros, ta langue vient titiller le frein, lentement sans précipitation, tu te rappelles que ce matin, ce ne pourra être qu’un prémisse que c’est en toi que je jouirai. Doucement tu viens soupeser mes testicules, les caresser tout en continuant un mouvement de va et vient sur le sommet avec tes lèvres et ta langue. Mes doigts viennent voir si tu mouilles et tu mouilles abondamment, heureuse de suivre ce schéma que je t’ai tracé, heureuse de faire selon mon désir, en ayant envie d’être prise, de sentir cette queue gonflée de désir s’enfoncer en toi encore et encore. Désir pour toi qui as accepté de devenir mon objet de plaisir et d’en retirer ta propre jouissance. Tu ne seras plus rien que cette bouche, que cette chatte ouverte. Tu n’auras d’autre désir que d’assouvir le mien. Et nous nous rencontrerons dans une jouissance rare… Mais rien ne presse. Peut-être te crois-tu frustrée du plaisir, mais tu m’en sauras gré. Je veux jouir de ton corps, de tes doigts, de tes lèvres, de ta langue, de son sexe avant d’exploser dans une jouissance extrême. Ta bouche prend mes testicules comme des fruits goûteux, ta langue remonte le long de cette hampe tendue après s’être attardée sur le périnée et avoir frôlée l’anus où un jour elle s’enfoncera.
Mais chaque chose viendra à son moment… Quand je te dis “Maintenant”, tu abandonnes ma queue pleine de désir et tu me présentes ta croupe, et tes fesses. Fesses relevées qui découvrent ta vulve humide qui m’attend, en position de prosternation. Je me place derrière toi, ma bite parcourt le sillon de tes fesses, tentée au passage par la rosette sombre et fermée de ton cul. Je ne sais pas si tu as déjà été prise par là et si tu as aimé cette soumission totale. Mais je t’apprendrai, si tu ne sais pas, les plaisirs brûlants que cette possession peut apporter. Là c’est ta vulve, ta chatte, ton con que je veux envahir et où, à la fois docile et désirante, tu veux que je plonge. Ma main guide l’instrument du plaisir vers l’entrée de ta cavité sombre et humide. Le gland s’introduit doucement dans le passage encore fermé et je plonge d’un coup, à la fois, tendre et violent, toute ma longueur en toi. Tu ressens peut-être une légère douleur que l’humidité de ton désir n’empêche pas tout à fait tant l’assaut est brutal. Mais l’impression est fugitive, tout de suite remplacée par celle du plaisir que tu as à me sentir en toi. Tu enserres ma queue. Sous les coups de boutoir tantôt doux tantôt d’une violence calculée tu t’ouvres de plus en plus. Je vais en toi, je viens en toi, avec de plus en plus de force. Un premier spasme de plaisir te saisit tout entière, tout ton corps vibre. Je savoure longtemps ce plaisir d’être en toi, de sentir ton corps vibrer sous les assauts du mien.
Un sentiment de possession qui est aussi un sentiment d’appartenance. Qui est l’esclave ? Qui est le Maître? Tu mouilles de plus en plus, je m’enfonce en toi, mes mains sur tes hanches, te tenant fermement ou quand le mouvement se fait plus doux, plus lent, mes doigts parcourent la raie de tes fesses, caressent l’entrée secrète, fermée du petit trou qui gardera ses trèsors pour une autre fois. Nous nous promenons ainsi longtemps au bord du plaisir, tu as joui une seconde fois, ton corps vibrant au rythme du mouvement de ma queue qui t’envahit, secouée d’un long spasme. Puis une troisième fois. Plus forte, plus violente. Et alors j’accompagne ton plaisir, ma queue délivrant en jets puissants mon sperme au fond de toi. Je n’ai pas utilisé de préservatif. Je préfère de très loin pas, pour que ta chair se frotte à la mienne. Pour que notre jouissance soit plus forte. Tu vas à la porte ouvrir au garçon d’étage qui apportera le petit déjeuner après avoir emprunté ma chemise qui traîne par terre afin de te couvrir sommairement. Pas suffisamment pour qu’il n’aperçoive rien de ta peau, de tes seins, de ta chatte, de ton corps que tu viens de me donner et que je reprendrai encore plus tard, ce corps qui déjà m’appartient.
Il voit dans ton regard comblé à quel point tu aimes être à moi, faire ce qui est mon plaisir et qui est aussi le tien. Il sent l’odeur du plaisir, de nos sécrétions mêlées. Le sperme coule le long de ta cuisse quand tu te retournes avec le plateau entre les mains. Et il te suit du regard, un regard envieux, un peu plus longtemps qu’il le faut avant de refermer la porte. Tu poses le plateau sur le lit, tu ôtes la chemise pour m’offrir d’embrasser du regard ce corps que tu viens de m’offrir sans retenue, sans honte, sans pudeur. Tu poses ensuite des lèvres sur ma queue détendue, molle et ta langue vient chercher le sperme mêlé à tes secrétions et tu me goûtes ainsi une première fois tandis que je te caresse les cheveux. Jusqu’a ce que l’objet qui t’a emporté dans la plaisir soit propre. Puis il est temps de reprendre des forces. Il me reste encore beaucoup à explorer, à goûter, à essayer.Ensuite nous sortons en ville nous balader.
Diffuse en direct !
Regarder son live