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Soumise en devenir

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Bonjour,
Ceci est la suite du chapitre 2 du récit "soumise en devenir" qui termine ainsi :

Elle le sent revenir, prendre une chaise et s’assoir au niveau de sa tête. Il lui enlève son bâillon.— As-tu soif ? — Oui s’il te plaitToujours aveuglée, elle sent une paille forcer ses lèvres. Elle aspire et l’eau bienfaitrice la désaltère. Il lui flatte la tête doucement, puis la joue alors qu’elle a fini de boire.Détendue, son corps se relâche. Pour elle c’est la fin de la séance.

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Pourtant, il ne la détache pas, et continue de lui flatter doucement la joue.Ses bras et ses jambes commencent à la faire souffrir, elle cherche avec le peu de latitude qu’elle à une position plus confortable. Il s’en aperçoit, se lève, et elle sent le bâillon la re priver de la parole. Elle est perplexe. Elle sent ses bras être détachés, ainsi que ses jambes, puis il lui enlève ses chaussures. Doucement, il la prend par la main, la soutien car ses jambes flageolent. En silence, il la guide jusqu’à … la salle de bain ? Elle est perplexe quand il fait glisser sa robe au sol, lui demande de monter dans la baignoire, puis de s’y assoir. Elle le sent face à elle ? Il fait glisser son bâillon :
— Ouvre la bouche soit gentille
Obéissante, elle ouvre la bouche et sent son sexe la pénétrer. Désireuse de lui rendre le plaisir reçu, elle lèche, suce, sa hampe, son gland. Voulant être plus efficace, elle cherche à s’aider de sa main droite pour le branler en même temps. Une légère claque sur la joue l’en dissuade.
— Ouvre grand et détends toi, je ne veux pas sentir tes dents.
Elle ouvre, autant qu’elle peu. Ses mains de chaque côté de sa tête, il la guide et enfonce son sexe, de plus en plus loin, régulièrement, jusqu’à lui couper la respiration. Il est gros, long, large, et elle peine à le prendre en entier. Sur un ton sourd, les ordres pleuvent :
— Ouvre— Plus grand— Bave— Allez dix secondes— Prends ta respiration— Vingt secondes
Elle bave, tousse, il lui laisse à peine le temps de reprendre sa respiration. Soudain alors qu’il lui a rendu un peu de liberté il lui caresse la tête et lui dis
— Aujourd’hui, tu va m’avaler.
Elle se fige, mais ses mains, de chaque côté de sa tête, la forcent à continuer. Il poursuit :
— Oui, je sais que tu déteste ça. Mais tu vas essayer. Tu vas me faire plaisir.
Toujours aveuglée, elle le sent se branler face à elle. Obéissante, elle ouvre grand la bouche et tire la langue, non sans une certaine inquiétude. Soudain, elle sent son sexe sur sa langue, il continue de se branler, son gland viens frapper ses lèvres, c’est très désagréable. Il lui saisit les cheveux enfourne son sexe le plus loin possible dans sa gorge, et dans un grondement se libère en elle. Elle sent son sexe tressauter, le liquide frapper la gorge, le palais, puis lui inonder la bouche. Pétrifiée, elle ouvre encore plus la bouche et laisse s’écouler la semence. Paralysée elle ne peut avaler. Elle sent le sexe quitter sa bouche que machinalement elle referme. Elle retiens un haut le cœur. Le loup qui l’empêchait de voir lui est arraché. Elle est aveuglée par la lumière. Il est face à elle, les cheveux en bataille, ses yeux sont sérieux et la transpercent.
— Avale
Elle ne réagit pas.
— A-va-le répète-t-il plus lentement.
Alors elle prend une inspiration et avale. Elle ouvre la bouche, tire la langue fière d’elle, malgré la nausée. Preuve qu’il avait tout prévu, avec un demi sourire, il lui tends une bouteille de coca qu’elle boit avec reconnaissance.
— Il reprend la parole : tu souhaites être ma soumise. Alors tu es à moi. Tu dois tout aimer de moi, y compris avaler.
Puis il reprend en souriant :— Cette fois tu en as plus sur la poitrine que dans la bouche, mais ce n’est pas si mal pour un début.
— Allez, à quatre pattes dans la baignoire.
Elle obéit, se demandant ce qu’il lui prépare encore.
— Baisse la têteElle sent un liquide chaud l’inonder.— Tu es as moi, alors je te marque. Comme la chienne que tu es.
La honte la submerge. L’uro ne lui était jamais réellement venue à l’idée. Pourtant elle est fourbue, fatiguée. Cela lui parait tellement évident. Après maintes difficultés, elle est là ou elle doit être.
Elle sent qu’il fait couler l’eau. Ajoute du savon. Elle lève la tête et croise son regard. Si ses attitudes sont dures, son sourire est tendre. Elle se sent aimée pour ce qu’elle est et a ce moment, elle réalise que cet homme, son Maître, elle le suivra n’importe où, jusque dans les pratiques les plus humiliantes, les plus dégradantes. Parce que cet amour qu’elle lit dans ses yeux est proportionnel à son sadisme, a son instinct de domination, tout comme elle est soumise et deviens maso pour lui. Alors qu’il la lave tendrement, en silence, elle savoure. Il en profite pour lui palper les seins, les pincer. Insinuer ses doigts dans son sexe, dans son anus.
Elle ondule sous ses attouchements.
Faussement sévère il la réprimande :— Salope un jour, salope toujours, tu ne peux absolument pas t’empêcher de gémir.
Il la doigte de plus en plus violement.
Elle ose ouvrir la bouche pour lui souffler :
— S’il te plait.. j’ai… envie
— Envie de quoi ?
— .. de .. toi
Il sourit, la fait se relever, la rince et l’enveloppe dans une grande serviette tout en la guidant jusqu’à leur chambre. Il place deux oreillers en travers du lit, et lui demande de s’allonger dessus, sur le ventre. Elle le sent tirer ses jambes, et les attacher aux montants du lit grâce aux attaches perpétuellement prêtes à cet effet.Une claque sur les fesses la surprend
— Relève ton cul. Moi aussi j’ai envie de toi. J’ai envie de te prendre. Mais pas par la chatte, après ma main tu es aussi large qu’une autoroute. Je vais te prendre le cul. A sec. Tu vas avoir mal, mais tu vas aimer ça. Comme d’habitude. Je te donne le vibromasseur, et je ne t’attache pas les mains. Tu pourras te faire jouir, si tu y arrive.
Un frisson lui parcours la colonne vertébrale. Elle a a peine le temps d’appréhender, qu’elle sent sa queue contre son œillet. En son for intérieur elle espère que le port de son rosebud tout à l’heure limitera la douleur. Elle sent sa queue glisser dans son sillon. Elle se rend compte qu’il a humidifié un peu son sexe. Il rentrera mieux, mais plus vite.
Elle se détend, le sent appuyer sur son œillet. Elle pousse légèrement pour faciliter l’introduction. Il lui pose la main sur la nuque, enfonçant sa tête dans le matelas, et lentement il la pénètre, implacablement. Elle pousse un hurlement et d’une ruade essaye de le désarçonner. Ses pieds attachés l’en empêchent. Il lui lève la tête en la tirant par les cheveux, et la force à le regarder. Il cherche son regard.Il la fixe, et elle se calme. Ses yeux sont remplis de larme, elle grogne.Il lui murmure des mots apaisant :
— Regarde-moi, oui la, oui tu as mal, et j’adore ca. Tu es belle dans la douleur, avec ma queue qui t’écarte le cul. J’adore ton cul. J’adore l’ouvrir, le malmener. J’adore ça. Tu es belle. Apaise-toi, accepte-moi.
Allongé sur elle, doucement, il commence à aller et venir. Il reste proche, ils ne font qu’un. Elle lui abandonne son corps. La douleur laisse place à une gêne. Elle commence à onduler sous lui. Mets en marche le vibromasseur. C’est le déclic, méthodiquement, il la pénètre, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Elle crie, gémi, halète. Il va encore plus loin, plus fort, c’est douloureux. Pourtant le vibromasseur lui procure du plaisir, cette queue qui la ramone aussi. De plus en plus violement, il la pénètre. Chaque coup de boutoir est un souffrance. Son calibre lui dilate l’œillet et va trop loin en elle.Couchée sur elle, il lui pilonne le cul. Elle laisse échapper des cris, de douleur, de plaisir. Entre deux baisers, ou deux morsures, il la provoque :
— Tu veux que j’arrête ?
Elle tourne la tête, ne réponds pas. IL la force a soutenir son regard.
— Tu veux que j’arrête ?
Entre deux soubresauts, deux cris de douleur, elle trouve la force de lui dire « non ».
— Que veux-tu alors ?— Que.. tu me … laboure les fesses.— Tu sais que je me retiens la, que tu vas avoir encore plus mal ?— Oui, je sais — Et tu veux que je te la mette encore plus profond ?— Oui, je veux que tu sois fière de moi.
En réponse, il redouble d’ardeur. Il pousse son membre encore plus loin, s’amuse de la faire crier. La place a quatre pattes afin d’avoir la possibilité de la pilonner encore plus vite. Son cul est dilaté, elle a mal au ventre, elle sent le vibromasseur chauffer son clitoris. Il lui griffe le dos, lui claque les fesses, il est déchainé.
Soudain, elle se raidit, son sphincter se contracte sur son membre, entrainant sa jouissance. En un cri, elle jouit. Convulse. Se débats avant de retomber inerte sur le lit.
Quelques instants plus tard, la soumise à laissé place à la femme. Elle est meurtrie et la soirée est bien entamée. Cependant, elle a souhaité être sa soumise, et a aucun moment elle ne l’a regretté.
Aujourd’hui ils se sont trouvés, mais elle sait aussi qu’elle n’est qu’au début de son éducation et se mets à rêver aux prochaines semaines en compagnie de celui qui est devenu son Maitre.
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