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soumise de mon plein gré

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Elle m’avait dit : « Quand tu descendras du train, je veux que tu ailles vers le bout du quai, que tu fermes les yeux et que tu m’attendes. Bien sûr, en cas de problème, je t’appellerai sur ton portable, mais je pense être là à temps. Pour t’habiller, tu fais comme tu veux, mais pas de pantalon, une jupe ou encore mieux une robe à boutons. » C’était la première fois que j’allais la rencontrer, ma correspondante d’Internet avec qui j’avais déjà tant échangé, tant en photos qu’en discours, en petits mots gentils et autres. Je ne l’avais jamais vu en vrai et espérais qu’elle serait conforme à l’image que je m’en faisais. J’avais pu me libérer trois jours en prétextant une session de formation, et j’avais laissé enfants et conjoint sans moi. J’avais chaussé des escarpins à petits talons, des dim-up blancs, j’avais des sous-vêtements sages et une robe qui se fermait par huit gros boutons. Mon sac à la main, je me dirigeai vers l’extrémité du quai et fermai les yeux. Une petite inquiétude me tenaillait, qu’allais-je faire, qu’allait-elle faire de moi, serait-elle là? J’entendis une voix derrière moi, c’était elle. « Ne te retourne pas, garde les yeux fermés .Tu es prête à me laisser faire ce que je veux de toi? »Je répondis que j’étais d’accord. Elle me tendit des clefs de voiture, et ajouta : « Regarde devant toi, tu vois la voiture bleue là bas? C’est la mienne. Tu vas y monter, poser tes bagages à l’arrière et m’y attendre. Sur le siège passager, tu trouveras un foulard, tu t’en serviras pour te bander les yeux. Tu vois la poubelle devant toi? En passant, je veux que tu y jettes tes chaussures. » Mon cœur battait déjà .Sans me retourner je me mis à avancer, me déchaussai et mis mes escarpins dans la poubelle, sous les yeux étonnés de trois jeunes filles qui se mirent à rire. Je n’avais que trois cent mètres à faire, mais ce fut suffisant pour salir mes bas et me demander si je ne faisais pas de folies … J’ouvris la portière de la voiture, installais mes affaires à l’arrière. J’attrapais le foulard, regardais autour de moi sans rien voir de spécial, et je me bandais les yeux. Quelques secondes plus tard, la portière du conducteur s’ouvrit, elle s’installa et démarra. « Je veux que tu sois totalement à moi, que tu acceptes tous mes caprices et mes envies. En échange, je te promets de la souffrance et du plaisir. Pour commencer, je veux que tu enlèves ton soutien-gorge et ta culotte. » Sans répondre, je m’exécutais, discrètement car j’entendais les bruits de circulation. Je tenais mes sous-vêtements à la main, ne sachant qu’en faire, quand la vitre à côté de moi descendit. « Jette-les par la fenêtre, me dit-elle. » Je ne savais pas où nous étions, je n’entendais plus trop de circulation. En rougissant sous mon foulard, je passais le bras par la vitre et très vite, lâchais tout dehors. Nous roulâmes encore quelques minutes puis la voiture s’arrêta. Les yeux toujours bandés, elle me conduisit par une allée dont je sentais les gravillons me meurtrir les pieds, jusqu’à un petit perron. Je comptais quatre marches. Une porte s’ouvrit et elle me guida de la main, me faisant rentrer chez elle. « Bienvenue à la maison, me dit-elle. » Je sentis ses lèvres se poser sur les miennes, et nous nous embrassâmes longuement, mêlant nos salives, nous enlaçant, nous serrant fort l’une contre l’autre, pendant de longues minutes. Elle s’arracha de moi, me prit par la main et me conduisit dans une pièce qu’elle m’annonça être sa chambre. Elle m’enleva ma robe, me coucha sur le lit, et m’y attacha. Elle tira fort sur mes bras d’abord, les liant aux barreaux en serrant les nœuds, puis s’occupa de mes jambes, me commandant de les écarter au maximum. Quelques murmures m’échappèrent, et elle me recommanda le silence. Une main s’égara sur mon sexe, le caressant doucement, me faisant ruisseler, continuant un peu plus fort et me conduisant à mon premier orgasme : j’étais avec elle et j’étais bien. Elle me laissa quelques instants et m’introduisit quelque chose dans la bouche. Au goût, je reconnus sa culotte, aussi trempée que mon sexe l’était. « J’aime tes gémissements de plaisir, mais je veux des cris de douleur maintenant. Mords dans la culotte si tu as trop mal. Je veux t’enlever tous tes poils, que tu sois douce comme un bébé.» Je sentis l’odeur de la cire à épiler, elle commença par me détacher les pieds, et étala la cire sur mes jambes. Elle tira d’un coup sec, enlevant la cire et mes poils, m’arrachant à chaque fois des cris. Elle s’occupa ensuite de mes cuisses et de mon pubis. La douleur fut si forte que je crus m’évanouir. Elle me releva les jambes, les attachant de nouveau mais au dessus de ma tête, de telle sorte que mon dos se trouva soulevé du lit, que je touchais quasiment plus que des épaules. Elle se chargea alors de mon anus, m’arrachant des larmes qui se perdaient dans le foulard. « J’ai presque fini, m’annonça-t-elle en enlevant sa culotte de ma bouche, mais je vais faire une petite pause et te donner un peu de plaisir. » Ses lèvres vinrent me picorer un sein, puis redescendirent jusqu’à mon pubis maintenant tout lisse. Sa bouche happa mon clitoris, le lécha, le mordilla, le suça, l’étira …Ses doigts me pénétraient, aussi bien par devant que par derrière, s’égarant parfois sur mes lèvres pour me faire goûter à mon jus. Je jouis à nouveau, la remerciant du plaisir qu’elle me donnait. Elle recommença à étaler la cire, d’abord sur mes avant-bras, puis sur mes bras et enfin sur mes aisselles, faisant à nouveau jaillir des larmes et des sanglots. Je pensai en avoir fini quand je sentis qu’elle étalait de la cire sur mes sourcils, je criais « non, pas mes sourcils, non je ne veux pas. » peine perdue, elle les arracha également. Mes larmes cette fois devaient davantage à la honte qu’à la douleur. Comment pourrais-je expliquer cette absence à mon mari ? « Pour aujourd’hui je te laisse tes cheveux, mais peut-être te les enlèverai-je une prochaine fois, martyrisons un peu ta poitrine maintenant. » Disant cela, elle me détacha, me fit mettre à quatre pattes et ficela chacun de mes mamelles avec une cordelette fine, puis elle me rattacha écartelée sur le lit, suça mes tétons pour les faire saillir, et y attacha une autre cordelette. « Je vais faire passer les cordelettes de tes tétons par dessus la tête du lit et y attacher des poids. Quand tu ne pourras plus supporter, dis le moi. » Au fur et à mesure que se tendaient les ficelles, je sentais mes seins tirés vers le haut. La douleur, supportable au début, devint vive et lancinante. « J’ai mal, arrête, par pitié. – De la pitié? Non, et je sentis à un tiraillement encore plus vif qu’elle venait de rajouter des poids, augmentant la douleur. « Je te laisse un moment je vais prendre une douche. Tu es très belle avec tes seins tout rouges et étirés. » Avant de partir, elle m’introduisit un vibromasseur dans la chatte, et un autre entre les fesses. Mes seins me faisaient de plus en plus mal, j’avais l’impression qu’ils s’étaient allongés démesurément, mais le vibro de ma chatte me faisait mouiller malgré tout.

Elle me laissa seule environ une heure, et j’étais partagé entre le plaisir fourni par les vibros, et l’engourdissement qui tenaillait ma poitrine. Le moindre des mouvements de mon torse se répercutait dans mes seins malmenés, en bas le plaisir, en haut la douleur. Quand elle revint, elle m’enleva le bandeau, mais je ne pus voir son visage, un masque couvrant entièrement le nez, les yeux et le front, mais je pus par contre voir que mes seins s’étaient transformés en deux masses violacées, et que mes tétons mesuraient au moins deux centimètres! Elle dénoua doucement les liens qui attachaient ma poitrine, pour éviter la douleur qu’une brusque libération m’aurait occasionnée. Elle libéra également mes tétons, pour les prendre dans sa bouche et les mordiller. « Je t’y poserai bien des anneaux, ma douce, afin de te les étirer plus facilement. Pour le moment, laisse-moi m’occuper de tes trous.» Elle retira les godes, introduisant deux, puis trois, puis quatre doigts dans ma chatte ruisselante. J’entendais les bruits mouillés que faisait sa main en entrant et en sortant, le plaisir revenait comme des vagues. Elle retira ses doigts pour présenter sa main entière, elle força, mais pas trop, et arriva à ses fins. Mon sexe enserrait maintenant son poignet. Elle me pilonna ainsi de longues minutes, je me sentais de plus en plus ouverte et offerte, les gémissements que je poussais ne devaient rien qu’au plaisir … Elle se retira de moi, mais c’était pour mieux revenir, avec les deux mains cette fois. Je me disais bien que mes enfants étaient passé par là pour sortir, mais je n’imaginais pas pouvoir recevoir ses deux mains à la fois. Je me trompais ! Ce fut laborieux, je souffrais, je criai que je ne voulais pas, je la suppliai d’arrêter, mais elle continuait et, faisant glisser une main par dessus l’autre, elle arriva à introduire dix doigts dans ma chatte. Je me sentais pleine, comblée, heureuse d’avoir pu l’accepter en moi. Ses mains se crispaient, essayaient de se transformer en poings pour pouvoir s’enfoncer le plus loin possible, pour me défoncer de plus en plus fort. Elle retira ses mains, s’assit entre mes jambes, et c’est son pied qu’elle présenta, s’enfonçant en moi comme dans du beurre, jusqu’au coup de pied. « Ta chatte s’ouvre pour moi, je la voudrais large au point d’y entrer la tête, je la voudrais profonde pour te fister jusqu’aux coudes, je voudrais y prendre un bain de pieds … » Elle se dégagea, vint s’asseoir sur mon visage, présentant son sexe à ma bouche. J’y enfonçai la langue, me régalant de son jus épais et odorant, preuve qu’elle partageait le plaisir qu’elle m’avait donné. Je léchai sa chatte, m’enivrant de son odeur, agaçant un peu de mes dents son clitoris érigé comme une petite bite. Elle se recula un peu, me disant d’ouvrir la bouche et d’avaler. Un jet d’urine frappa mon palais m’éclaboussa le bas du visage. J’avalai tout ce que je pouvais. Elle bougea un peu et m’inonda le front. J’avais de l’urine dans les yeux, dans le nez, je continuais à la boire, jusqu’à épuisement. Elle me détacha du lit et me conduisit, chancelante, à la salle de bains où nous primes une bonne douche. Elle enleva son masque et je la vis enfin, telle que je l’imaginais, avec un sourire mutin. Nos lèvres se joignirent à nouveau, nous nous serrâmes fort à nous faire mal l’une contre l’autre, sa main s’égara et rentra sans effort dans mon sexe, la mienne vint découvrir le sien, restant au bord sans y pénétrer. La douche finie, elle m’annonça que nous mangerions au restaurant et qu’il fallait nous préparer.
Je ne savais pas où nous devions aller, ni comment j’allais devoir m’habiller, mais elle prit les choses en main. Elle m’introduisit d’abord dans le vagin un espèce de ballon en caoutchouc, qu’elle se mit à gonfler, me disant qu’elle désirait que je reste large. A l’aide d’une petite poire, elle se mit à insuffler de l’air et je sentis petit à petit le ballon se gonfler, épousant les parois de mon intimité, puis les repoussant, de plus en plus, au point que je pouvais même plus refermer les jambes l’une contre l’autre ! « Ne t’inquiète pas, me dit-elle, il ne peut pas ressortir tout seul, et j’emmène la poire pour en rajouter un peu de temps en temps. » Au bout de chacun de mes tétons, elle serra, avec une molette, une petite pince à laquelle elle accrocha un anneau. Elle relia les deux anneaux à l’aide d’une chaîne en acier, et elle en attacha une autre qui pendait jusqu’à mi-cuisse. Elle installa le même dispositif aux lèvres de mon sexe et à mon clitoris, serrant jusqu’à m’arracher des larmes. J’avais donc deux chaînes qui pendaient, et il lui suffisait de tirer sur l’une ou sur l’autre pour me faire sentir son pouvoir. Elle me tendit mes bas, sales, que j’enfilai à contrecœur. « Tu n’as pas besoin de culotte ni de soutien-gorge, mais il te faut quand même un petit quelque chose. » Elle me tendit un chemisier que je considérai avec stupeur, du fait de sa transparence. « Mais on va voir mes seins, et les chaînes aussi. – Et alors, qu’est-ce que ça peut te faire, moi, je veux te voir, et si les autres se rincent l’œil, tant mieux pour eux. » Rougissante de honte, j’enfilais donc le chemisier et la micro jupe qui l’accompagnait. On pouvait distinguer le bas des chaînes et le haut de mes bas. Dés que je m’assiérais, je savais que tout ça remonterait, découvrant largement mes dim-up, mais je savais que me plaindre ne servirait à rien. J’osais cependant demander des chaussures, et elle répondit que je m’en passerais. Elle s’était habillée de façon classique, elle était belle, et quand je nous vis côte à côte dans l’immense miroir de l’entrée, j ‘ eus la vision d’une maîtresse sortant sa petite pute ! Je retrouvai les cailloux de l’allée, toujours aussi pointus et m’installai dans la voiture. Avant de partir, elle redonna une dizaine de bouffées d’air dans le ballon, me gonflant encore plus. Nous roulâmes une quinzaine de minutes avant d’arriver au restaurant. Il y avait de la place devant pour se garer, mais elle roula encore un peu jusqu’à un parking violemment éclairé. « Je veux qu’on te voit comme ça, ma petite salope adorée. Je veux t’exhiber et peut-être même pire. » L’air était doux, voire lourd, mais je frissonnais en marchant vers le restaurant. Qu’allait-il se passer ? Qu’allait-on penser de moi ? De sombres pensées m’habitaient, mais en même temps je me trouvais bien ainsi, d’avoir été forcée de porter cette tenue, fière de montrer à tous que ce qu’elle me demandait, elle pouvait l’obtenir de moi. Bien sûr, à peine rentrée je fis sensation. Sans chaussures, les seins presque à l’air, j’avais l’air de ce que j’étais, une soumise obéissante et morte de honte. Une fois assise, je jetai un coup d’œil autour de nous. A cette heure avancée de la soirée, à peu prés dix heures du soir, il n’y avait que quelques couples autour de la quarantaine, un groupe de cadres avachis, et à une table proche de nous, trois copines fêtant un quelconque événement entre filles. Personne ne s’intéressa particulièrement à moi, ce qui me permis de me sentir un peu plus à l’aise. Au cours du repas, à plusieurs reprises, elle se déchaussa et tendit le pied pour jouer avec mes chaînes, tirant tantôt sur mes lèvres, tantôt sur mes seins, m’arrachant parfois de petits cris, de plaisir autant que de douleur, de douleur autant que de plaisir. La salle du restaurant se vidait petit à petit, sans qu’aucun nouveau convive n’en franchisse la porte. Aux alentours de minuit, il ne restait plus que nous et les trois filles. L’une des trois vint vers nous et nous invita à partager leur dessert, ce qu’elle accepta avec plaisir. Nous apprîmes qu’elles arrosaient l’anniversaire de la plus jeune, une petite brune d’une trentaine d’année, qui se pencha vers moi et dit qu’elle appréciait vraiment ma tenue. Je me retrouvait assise entre ces nouvelles connaissances qui félicitèrent ma compagne de son goût. Celle-ci, heureuse d’entendre ces compliments, me regarda droit dans les yeux et dit : « Tu enlèves ta jupe, tu déboutonnes ton chemisier et tu écartes grand les jambes pour montrer à nos amies comme tu obéis bien. » Comme dans un rêve, ou plutôt dans un cauchemar, je m’exécutais en silence. J’entendais les autres retenir leur respiration, et je voyais leur langue passer sur leurs lèvres, je les sentais impatientes de la suite. Je posais la jupe devant moi, déboutonnais le chemisier et attendit les yeux baissés, n’osant les regarder. Elle reprit la parole, me demanda de poser mes pieds sur leurs cuisses et expliqua aux trois filles à quoi servait les chaînes qu’elles voyaient et les invita s’en servir. Leurs respirations s’accéléraient, et à tour de rôle elles tirèrent sur les chaînes, doucement pour deux d’entre elles, et plutôt fort pour la dernière. Elle leur proposa de finir la soirée chez elle, ce qu’elles acceptèrent avec des mines gourmandes. Avant de partir, elle me tendit plusieurs billets et me dit d’aller régler la note. Je voulus remettre ma jupe et reboutonner le chemisier, mais elle s’y opposa. Le regard narquois du serveur et son « Revenez quand vous voulez » ajoutèrent à ma honte. Quand je me retournais, mon cœur fit un bond dans ma poitrine : elle était sortie avec les filles, me laissant seule. Je sortis affolée du restaurant, je courus vers la voiture en essayant de me cacher, et enfin les aperçut, discutant en pleine lumière. Le cœur toujours battant, je les rejoignis, mortifiée qu’elles m’aient abandonnée. « Alors ma petite pute, on a eu peur de se retrouver toute seule ? Allez viens m’embrasser, tu m’as fait très plaisir ce soir. » Nos lèvres se joignirent, puis elle laissa la place aux autres qui m’embrassèrent tendrement à leur tour …
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