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Soumise par mon fantasme

Chapitre 4

Travesti / Trans
Je me lève donc, ma gueule couverte de son foutre, en direction de ma salle de bain. Je me rince le visage pour enlever les derniers restes de sperme que je n’ai déjà pas avalés. Ma verge est gorgée à fond de sang , cela est presque douloureux, mais je me refuse d’y toucher, par soumission envers mon maitre, mais surtout pour faire durer le plaisir. Je reviens dans le salon avec une serpillière pour nettoyer la flaque de semence qui jonche le sol de mon salon. Mais mon étalon m’interrompit :-Tu n’as pas besoin de ça, ta langue de petite salope te suffira tu ne crois pas ?-Ho oui avec grand plaisir mon mâleje m’agenouille donc et commence à lécher son foutre à même le sol. Le gout de poussière et de crasse ne l’emporte pas face au plaisir de ma soumission envers ce mâle qui, je l’espère, me satisfera de ses coups de reins contre mon cul ferme . Soudain je l’entends qui se lève, je reste le visage face au sol continuant ma besogne jusqu’à que je sente une de ses mains tirer sur mes cheveux :-Tu crois que j’en ai quelque chose à foutre de voir ta gueule ?!?! Fais ça avec ton cul de chienne en chaleur face à moi !-Je m’excuse. Je commence à me tourner lorsque je reçois une gifle venue de nulle part-Je m’excuse qui ?-Je m’excuse maître.Je change de position et me tourne cul tendu au maximum vers lui. Sa claque m’a en premier temps surprise, mais avoir à me rabaisser devant lui fit grimper en moi des torrents de plaisirs que je n’avais jamais sentis auparavant. Je lèche donc avec délectation le reste du foutre sur le sol.Je peux entendre mon maitre défaire sa ceinture et en un rien de temps sentir sa verge qui se frotte contre ma petite raie affamée-Avoue petite chienne, t’as envie que d’une chose, sentir ma bite épaisse élargir ta petite chatte de bouffeur de foutre. Sur ces mots il m’envoya une énorme fessée-Oui mon maitre , baisez-moi comme une pute !!Sur ceux il retira mon plug anal pour le remplacer avec force par sa bite affamée. Il rentra son membre dans mon petit cul dilaté m’arrachant un cri de plaisir, même de délivrance de cette frustration de plusieurs semaines. Enfin j’avais une bite plantée dans mon cul et en plus celle de Romain. Toujours la tête contre le sol, les jambes de mon maitre de part et d’autre de mon cul et sa bite qui creuse, petit à petit, son chemin au travers de mon cul. Il s’applique à bien rentrer son membre au maximum avec des coups de reins puissant et long au détriment de la vitesse. Chaque centimètre gagné s’accompagne d’une bonne fessée que j’accueille par des  cris de jouissance  . Une fois bien installé il accélère progressivement le rythme jusqu’à qu’il soit obligé de prendre appui avec sa main sur le haut de mon dos. Étant installé confortablement il durcit ses coups de reins. Le bruit du choc de ses couilles contre les miennes se mélange à mes jouissements aussi intenses que les coups de bite qui  ramone mon anus qui en demandait tant. C’est 1 mois de frustration qui viennent de partir pour laisser place à un plaisir plus grand que lors de la soirée de fin d’année et cela n’avait pas échappé à mon maitre-étalon :-Tu kiffes ça petite pute !?-mhhhhh.ho oui....mmmmhhhh...tu va me faire jouir...-Non pas encore, tu jouiras après ton maitre petite chienneSur ceux il arrêta ses va-et viens pour aller s’allonger sur le canapé-Viens là petite feignante, à ton tour de te fatiguerJe m’assois donc sur lui pour pouvoir m’empaler sur sa grosse bite chauffée à blanc. Exténué, mon maitre me laisse faire. Je monte et descends jusqu’à faire entrer et sortir entièrement sa bite de mon cul.  Malgré toute ma motivation, mes mouvements sont beaucoup trop saccadés pour satisfaire mon maitre. Je remplace mes mouvements verticaux par des va et viens horizontaux toujours aussi maladroit, mon maitre prend les devants en m’agrippant le cul à pleine main pour guider mes mouvements. Après 2 minutes de chevauchées, l’orgasme monte en moi pour la deuxième fois, honteusement je lui signifie, il se retire et me dit sur un ton à la fois dominateur, mais teinté d’une certaine bienveillance-T’es vraiment bonne qu’à sucer et a servir de seau a sperme ma petite Nina, va falloir t’entrainer.Je lui répondis-je te promets maitre. Il rigole-Arrête de m’appeler maitre, je trouve ça bizarre au final appelé moi juste Romainj’acquiesce d’un mouvement de la tête. -Bon, trêve de bavardages. Tu devais me finir, mais tu as failli, pour cela je te prive de dessert et vais déverser mon foutre dans ton boule de salope. Mets-toi sur le dos !J’obéis et Romain attrape mes deux jambes pour les soulever et  les mettre  sur une des ses épaules afin de pouvoir atteindre mon trou qui n’a désormais plus aucune difficulté à avaler la bite de mon étalon, elle s’enfonce directement de tout son long avant d’aller et venir frénétiquement.Cela finit de m’achever, mes gémissements se mélangent aux bruits de nos deux corps qui s’entrechoquent accompagnés par ceux des fessées que me donne mon maitre.Malgré tout je ne veux pas faillir a ma tache, je contiens mon orgasme comme je le peux jusqu’à que je sente la semence de mon étalon remplissant mon anus comblé. Romain se retire pour aller se laver tandis que je reste allongé, du foutre dégoulinant  sur ma mini-jupe. Mon maitre satisfait, je peux enfin vider ma verge rouge de sang et encore très excitée par cette baise formidable. il ne me faut pas longtemps pour que je finisse de souiller mes vêtements avec ma propre semence. Romain revient de la salle de bain avec des lingettes ainsi qu’un verre d’eau. Après m’être lavé rapidement je retourne auprès de Romains pour prendre un dernier verre avec lui. Nous sortons un peu de notre relation dominant/dominé et nous nous trouvons pas mal de centres d’intérêt commun.Après cette soirée nous nous sommes revus régulièrement (au moins une fois par semaine). Généralement chez moi , avec de l’alcool et quelques tenues sexy pour des parties de baises endiablées. De plus, quand cela était possible sans craindre de se faire voir, je le suçais dans les toilettes du lycée entre les cours. Nous nous voyons même en dehors, notamment   dans des bars l’après-midi pour discuter de tout et de rien. Ils nous arrivaient de dérivé sur le sujet du cul. C’est comme ça que je lui avouai que me faire prendre par deux mecs commencés à me faire fantasmer de plus en plus...
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