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Ma soumission au sm

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Juillet à Metz
A mon retour à Strasbourg, je me remets à ma vie d’étudiante, les amies, les cours. Je raconte, à Florence m’a rencontre avec Peter, mais sans parler de ce qui c’est passé en réalité. Florence est très curieuse, elle veut tout savoir, alors je brode, il m’est impossible de lui raconter mon aventure.
Mes journées se passent normalement, c’est la nuit que mon esprit s’échauffe, je repasse dans ma tête le film de mon séjour à Mannheim et au fort. Je me caresse presque tous les jours.
Dans ma chambre à la maison, mes parents étant croyants, il y a, en plus d’un crucifix au-dessus de mon lit, une sainte vierge en plastique, dans laquelle en principe on met de l’eau bénite. Je me caresse avec, je m’en sers comme d’un godemiché.
Ce qui me chagrine dans cette aventure, c’est que je n’ai pas fait l’amour avec Peter, cela me perturbe. Je suppose, j’imagine qu‘il faisait parti de mes violeurs dans la salle de la messe noire, et que c’est pour cela qu’il n’a rien tenté chez lui à Mannheim.
Nous avons dormi ensemble, et c’est tout….
Peter m’appelle rarement car en 1976 le téléphone portable n’existe pas. Je lui écris presque tous les jours, je lui raconte mes journées, je lui parle de mes copines. Lui me répond environ une fois par semaine, ses lettres sont beaucoup plus courtes que les miennes. Il me parle surtout de ce qu’il attend de moi et de nos vacances en août.
Enfin, je passe mes examens, je les réussis. En juillet je travaille comme prévu, dans un magasin de vêtements dans le centre de Metz. Le magasin a trois étages, chaque étage est réservé à une collection. Moi, je m’occupe essentiellement du rayon costume hommes au troisième étage.
Pendant les vacances nous ne sommes pas beaucoup de personnel. Les propriétaires sont des amis à mes parents, ils partent en vacances en juillet comme chaque année et ils ont l’habitude de faire confiance à leur personnel. Je travaille dans ce magasin depuis 5 ans tous les étés. J’ai les clés, comme les autres vendeurs, car quelques fois, nous fermons le magasin, quand nous devons rester plus tard à cause d’un client.
Ce jour là je ne devais travailler que le matin. Vers 11h00, deux hommes sont entrés dans la boutique, ils avaient 35-40 ans, grand élégants, avec un fort accent allemand. Je m’occupe d’eux, ils veulent des costumes. Ce jour, comme tous les jours, je porte une petite jupette en daim, et un chemisier blanc. Il est presque midi, l’un deux a déjà fait son choix sur deux costumes haut de gamme, avec chemises et cravates. Comme tout vendeur, je pense à ma commission sur cette vente. Toutefois, je remarque que ces clients me détaillent des pieds à la tête. Leurs regards plongent dans mon chemisier, lorsque je me baisse pour faire les longueurs de pantalons.
Dans cette position, ma jupe remonte découvrant mes cuisses. Je suis excitée de me trouver accroupie entre ces deux hommes, plutôt charmants, qui me déshabillent du regard.
A midi, un collègue vient me dire qu’il ferme la boutique, et que ma copine Florence m’attend devant le magasin. Nous avons prévu de déjeuner et de passer l’après-midi ensemble.
Pendant que le deuxième homme hésite sur le choix d’une cravate, j’en profite pour me rendre aux toilettes de l’étage. Alors que je me lave les mains, je tourne le dos à la porte, je vois dans le miroir situé au-dessus du lavabo, les deux hommes. Le plus grand s’approche de moi, se met derrière mon dos, et me dit :

— Peter nous a demandé de passer s’occuper de toi.
Aussitôt, il m’entoure de ses bras et plaque ses mains sur mes seins, je reste figée. Il palpe, caresse ma poitrine, déboutonne mon chemisier, et fait saillir les seins au-dessus de mon soutien gorge.
Je suis très excitée par la situation, je vois le deuxième homme dans l’entrebâillement de la porte qui regarde la scène.— Tu as vu Johann, elle a de beaux seins la petite.— Fais moi voir son cul— Ah ! oui c’est vrai que tu préfères les croupes aux mamelles…
Aussitôt, il relève ma jupe et baisse mon slip, à mes pieds. Il caresse mes fesses, les écarte, touche mon petit trou :
— elle est toute serrée, comme tu aimes.— Peter nous l’avait bien dit…
Il s’accroupit derrière moi, il m’embrasse les fesses, glisse sa main vers ma chatte, instinctivement j’écarte les jambes, puis il me branle, je jouis après quelques minutes de ses caresses adroites.
Il me retourne sans ménagement, et m’oblige à m’agenouiller, le deuxième homme s’approche, ils sortent tous les deux leurs sexes.
— Branles-nous….
Je saisis les deux sexes pas encore vraiment durs, et je les caresse doucement. Rapidement j’ai en main deux bites de tailles différentes, mais toutes les deux très dures. Je les caresse, m’appliquant de mon mieux.
— Suces-nous…
J’ouvre la bouche, et j’enfourne, la plus fine des deux, tout en continuant à caresser la deuxième.
— Moi, maintenant, dit le second..
Je change d’organe, celui-là est beaucoup plus gros et veineux. C’est la première fois que je suce deux hommes à la fois. Je trouve çà très excitant, je suis accroupie, soumise à deux males.Après quelques minutes d’application, caressant tantôt l’une tantôt l’autre, mon travail, porte ses fruits.
— tu vas tout avaler !
J’ai déjà branlé et fais venir des hommes, mais jamais avalé. Je n’ai pas le temps de réfléchir, l’un des hommes attrape ma tête et la place de façon à pénétrer ma bouche avec son sexe, il éjacule et me maintient en position. Ma bouche est envahie par la semence chaude et épaisse. J’avale, pour ne pas étouffer, je sens le jet de sperme de son compagnon m’inonder le visage. Il a été tellement excité par la scène qu’il n’a pas pu se retenir.
Ils s’essuient avec du papier toilette, pendant que je me lave le visage à l’eau. Puis ils retournent dans le magasin, me laissant me nettoyer et me rhabiller.
— Bien, je crois que nous avons choisi la cravate dit le plus grand des deux. Je me présente, je suis Mark, et lui c’est Johann. Nous prenons ces 4 costumes avec les cravates et chemises, vous êtes une très bonne vendeuse, dit-il en riant.— Nous vous invitons à déjeuner, et nous irons faire un tour après.— Mais, j’ai une copine qui m’attend— Bien nous l’invitons aussi— Mais…— Une soumise ne discute pas, coupa Johann.
J’encaisse la facture, une belle vente, près de 10 000 francs en 1976. Ma meilleure vente depuis que je travaillai dans la boutique. Je mis l’argent au coffre, dans l’arrière boutique.
— Mais elle est très mignonne ta copine, fit Mark ayant aperçu Florence derrière la porte vitrée.
Florence est un peu surprise, de me voir sortir du magasin avec deux hommes.
— Nous allons déjeuner dans un restaurant à la campagne, venez avec nous, vous verrez cela va vous plaire.
Rapidement, elle se décide à nous accompagner et à déjeuner avec nous.
Le restaurant se trouvait à vingt cinq minutes de Metz. Le repas se passa très agréablement, nous buvions beaucoup, surtout Florence. Mon amie lie très rapidement avec les gens et le vin la rendait encore plus curieuse, elle questionnait beaucoup les deux hommes sur leur origine et leur métier.
Dans la conversation Mark dit qu’il est passionné de Photo, surtout les photos de femmes. Florence prétend alors aussi être passionnée de photo, je sais qu’elle dit cela pour faire l’intéressante devant ces hommes murs. Mark propose alors de faire quelques photos de nous, et Florence sans aucune hésitation accepte.
Pour finir le repas Florence allume un pétard, elle était déjà bien allumée par le vin, le pétard en plus finit de l’achever.
— Je connais un relais de chasse pas très loin, ce serait idéal pour faire des photos proposa Mark.
Nous prenons la voiture et après une quinzaine de kilomètres nous entrons dans un bois. Florence semble attirée par Mark, elle n’arrête pas de lui parler.
Arrivée dans une clairière, la voiture s’arrête devant un pavillon de chasse en bois. Il y a une table et des bancs en bois, pour le pique nique des chasseurs.
Il fait très beau et chaud, un bel après midi d’été. Florence porte une ample robe Hippie et un chemisier blanc s’ouvrant sur le devant. Mark a la clé de la maison, il entre chercher son matériel, Florence me donne le bras très tendrement, le pétard l’a rendue très «amoureuse».
De retour avec son appareil, Mark propose à Florence de commencer par elle, il lui fait prendre des poses à différents endroits de la clairière. Florence ne se fait prier. Elle joue la star, découvrant une épaule, une jambe.
Johann s’approche de moi, et me dit d’un ton autoritaire
— tu t’arranges pour que ta copine se laisse faire, sinon on s’occupe de toi..
Le piège, j’étais piégée, mais excitée. Florence je la trouvais excitante, mais je n’avais jamais pensé la faire tomber dans un piège comme celui-là. Je me dis « bon je vais essayer, de toute façon, soit elle se laisse faire et cela nous rapprochera encore, soit c’est moi qui en subirais les conséquences. »
Je propose à Mark de nous prendre toutes les deux en photos. J’entraîne Florence dans plusieurs poses «classiques », je dévoile une de ses épaules, puis l’autre, j’entrouvre mon chemisier et laisse voir mon soutien gorge en relevant ma jupe, Florence fait de même. C’est bien parti.J’embrasse Florence sur la joue, et je pose une main sur un de ses seins. Florence répond en m’embrassant sur la bouche, et me caresse le sein droit, mais avec beaucoup plus de passion.Ne voulant pas perdre cette avancée, je retire mon chemisier et mon soutien gorge. Sans la moindre hésitation, Florence fait de même. Je découvre alors deux superbes seins, tout pointus, avec un grain de beauté sur le sein gauche. Elle est très belle.
Je me penche et j’embrasse sa poitrine, Florence se laisse faire, et même elle met sa main sur ma tête, afin que je reste collée à sa poitrine. Je suce ses tétons, elle sent très bon, sa peau est douce comme celle d’une pêche. Elle me lâche la tête, je remonte doucement et je l’embrasse à pleine bouche. Nos langues s’entremêlent, tournent, se sucent. C’est merveilleux.
Je me laisse tomber sur l’herbe, Florence m’accompagne, nous nous embrassons, nous nous caressons la poitrine. Ma main se glisse sous sa robe et je la remonte doucement tout en caressant sa peau. Florence ma caresse les seins, les embrasse, joue avec mes tétons, les mordilles doucement. Je suis toute trempée, je glisse ma main dans sa culotte et je lui caresse le sexe.
J’ai oublié les deux hommes qui nous regardent, qui nous photographient. Je caresse le clitoris de Florence, il est tout dur, il grossit sous mes doigts. Florence s’est étendue dans l’herbe, je lui retire sa robe, je la veux nue. Je me déshabille mois aussi et nous nous allongeons sur sa robe étendue.
Nous nous caressons mutuellement, c’est extrêmement bon. Florence prend l’initiative, elle met sa tête entre mes jambes et me fait une superbe minette, je me glisse entre ses jambes, et je lui rends ses caresses. Rapidement je jouis sous sa bouche, je suis dans un état de bonheur total. Je me redresse et je masturbe avec la main la minette de Florence, partout ou je passe, elle est toute douce, ses poils sont soyeux, on dirait des cheveux.
Elle jouit en poussant de petits cris, comme les souris.
Mark et Johann se sont approchés et mis à genou à coté de nous, Mark caresse Florence qui se laisse faire, il a pris ma place entre ses jambes, Johann me caresse les fesses, il glisse sont doigt entre mes globes et me titille le trou, il force un peu la passe, se mouille le doigt et me pénètre.
Mark a sorti son sexe et se branle en caressant Florence. Yoann me penche la tête au-dessus du visage de Florence, et me force à l’embrasser. Il sort son sexe et force le passage de mon cul, j’ai mal, mais je ne dis rien, je continue à embrasser Florence. Elle ronronne sous les caresses de Mark.
Le sexe de Johann me pénètre, déchirant mes jeunes chairs. Je ne me suis jamais fait sodomiser, c’est surprenant mais j’aurai cru avoir plus mal, bientôt le va-et-vient de Johann m’électrise tout l’entre jambe, je me redresse, faisant jaillir ma poitrine que Marck s’empresse de saisir.
Florence, caresse le sexe de Mark, je jouis telle une vraie chienne.
Mark s’est allongé sur Florence et la baise à grands coups, son cul monte et descend à une grande cadence. Florence m’attrape le poignet et me serre très fort. Ses yeux sont sortis de ses orbites. Elle ne pousse plus des cris de souris, elle hurle de plaisir.Mark continue ses allers et venus avec encore plus de violence. A ma grande surprise, Florence jouit une deuxième fois de plus belle.
Johann se relève et m’entraîne vers la maison.
J’étais toujours nue et les brindilles de bois au sol, me faisaient mal sans que Johann ne s’en soucie. Dans la baraque il faisait sombre et plus frais.
Il y a une charpente en bois, une grosse poutre traverse de part en part la maison— Mets-toi sous la poutre me dit-il sèchement
Je me mets sous la poutre. Il prend plusieurs cordes qui pendent au mur, il passe une grosse corde au-dessus de la poutre, et il m’attache les poignets, puis tire sur l’autre bout, je me retrouve les bras tendus au-dessus de la tête en extension. Il accroche l’autre extrémité à un crochet. Il se baisse et écarte mes jambes, il prend une espèce de manche d’outil d’environ une mètre et attache chacune de mes chevilles à une extrémité du bout de bois.Il tend la corde, de façon que je repose sur la pointe de pieds. Il me prend par une épaule et me fait tourner.— Parfait ! Tu es prête pour la suite….— Mais j’ai fait ce que vous m’avez demandé— Tu ne crois quand même pas que l’on va se contenter de vous te baiser…
Johann se mit devant l’ouverture de la porte et regarda la fin de l’accouplement de Florence. Quelques minutes plus tard, Mark entra en tenant Florence, toujours nue, par la main. Puis ils sortirent.
Je les entends discuter dehors, mais je ne comprends pas.
Enfin, ils entrèrent tous les trois, Florence a remis sa robe, Johann tient à la main un gros ceinturon en cuir comme en ont les militaires.
— On a expliqué à Florence que tu aimes être punie, elle est d’accord pour nous aider à te faire plaisir.
Je suis effarée en comprenant la tournure que va prendre l’après-midi.
— Regardes ta copine, tu vas voir ce qu’elle aime vraiment.
Florence me regarde, s’approche de moi
— tu es vraiment surprenante. Me glisse-t-elle à l’oreille.
Puis elle m’embrasse sur la bouche.
Mark dit :
— Vas-y Florence, pinces lui les seins, tu vas voir, elle adore çà, et n’hésite pas à lui faire très mal, plus elle a mal, plus çà l’excite.
Florence saisit mon téton droit, elle le pince entre ses doigts, puis tourne dans un sens puis, l’autre. Elle s’empare de l’autre téton et me triture de plus en plus fort. J’ai très mal, mais je ne lâche pas un son, seul les traits de mon visage expriment ma douleur.
— Elle fait la forte, mais cela ne vas pas durer. Me dit Johann, on va te faire voir comment te servir du ceinturon.
Florence, recule, Johann s’avance tenant le ceinturon par la boucle.
— Tu peux la frapper sur les fesses, les cuisses, les seins, la chatte, mais évite le ventre, cela peut-être dangereux. Regarde, comment il faut faire.
Il lève le bras, et l’abat violement, la sangle de cuir, me frappe sur la hanche droite et vient claquer sur ma fesse. Instinctivement, je donne un coup de bassin, je me tourne, car la douleur sur la hanche et trop forte, je me retrouve le dos tourné à Johann, un second coup me frappe sur les fesses
— tu vois, c’est comme un poulet sur un tourne-broche, ça tourne tout seul,
Un autre coup sur le dos, beaucoup plus douloureux, me fait tourner d’un quart de tour, Le suivant frappe sur mon autre hanche, du coup je me retrouve face à mes trois tortionnaires.
— Fouettes lui la chatte, il faut que qu’elle chauffe.
Florence avec une grande application, vise mon sexe. La ceinture me frappe, sur les lèvres, et remonte jusque sur ma raie des fesses. Rapidement, un second coup, puis un troisième. Je n’ai eu le temps d’esquiver. Ma chatte me fait mal, Le troisième coup a frappé mon clitoris. Alors que florence s’apprête à me donner un autre coup, Mark lui dit :
— Doucement, ça suffit pour la ceinture. Attends, je vais chercher autre chose.
Mark sort de la cabane, suivi par Johan.
Florence me regarde, en souriant. Elle s’approche de moi, m’embrasse et me dit doucement à l’oreille.
— Cà m’excite de te frapper, j’ai la culotte toute mouillée. Je te trouve super belle comme ça. Elle tord mes deux tétons, les fait rouler entre ses doigts, et les tire très forts. Elle passe sa main entre mes jambes. La douceur de sa main, me fait du bien.
— mais tu mouilles, me dit-elle surprise. C’est donc vrai que tu aimes à ce point que l’on te fasse mal.— Oui, et c’est la première fois que l’on m’attache comme ça, et que l’on me frappe, je ne sais pas si c’est parce que c’est toi, mais je n’ai jamais été autant excitée…..
Florence me fait tourner, se colle à mon dos, et se colle à moi. Elle a ouvert sa robe, et elle frotte ses seins sur ma peau, ses mains pétrissent mes globes.
— Oh ! C’est bon…me dit-elle à l’oreille.
Elle recule et me donne une violente claque, sur les fesses.
Les deux hommes reviennent, Marck tenant, à la main, une baguette fine, qu’il a coupé dans le bois, et Johann tiens un bouquet d’ortie à l’aide d’un chiffon.
— par quoi on commence ?— les orties, je suis sûr que la baguette lui apaisera le feu des orties.
Johann, commence à faire courir les orties sur l’intérieur des cuisses. AU départ la caresse des feuilles est agréable, elles sont fraîches, Il continue par mes seins, Il passe derrière moi, et fait courir les feuilles sur fesses. Ce n’est qu’à ce moment, que le venin des orties agit, les cuisses me chauffent, puis les autres parties de mon corps.
Johann termine par un passage rapide entre mes jambes.
— Ah ! Cà y est, les orties commencent à agir, dit Florence, ravie.— Attendons encore un peu avant de continuer…
Je me trémousse au bout de la corde, la démangeaison gagne, impossible de calmer ce feu sur ma peau.
Les trois tortionnaires me regardent en rigolant, en souriant. Ce n’est que trois à quatre minutes plus tard, que Mark, dit :
— on va l’aider à oublier les orties
Il me fait tourner, et frappe mes fesses violement avec la baguette. Les douleurs sont très vives, j’ai l’impression, que mes fesses sont coupées en deux. Un second coup, un troisième, Je cris, j’ai très mal, et je n’ai pas eu le temps de tourner.
— Peter veut voir les traces de notre après midi, dimanche quand il viendra, là je crois que c’est bon pour les fesses.
Il me tourne, il lève la baguette, et frappe mon sein droit, juste sur le téton. La douleur est incroyable. Il frappe aussitôt mon autre sein, la baguette s’abat juste sous le téton. La douleur est moins violente.
— je suis sûr que maintenant, elle ne sent plus les orties…
Effectivement, j’ai tellement mal, que je ne sens plus les piqûres.
— Je bande comme un taureau, dit Johann, elle m’excite cette salope— Moi aussi — Moi je suis trempée, dit Florence— On va se calmer, dit Yohann,
Il saisit Florence par le bras, pivote pour se placer derrière elle, et lui bloque les bras,
— Déshabille là, pendant que je la tiens
Mark déboutonne, la robe de Florence, retire sa culotte, qu’il renifle,
— C’est vrai qu’elle est trempée. — Aides-moi à l’attacher
Ils collent Florence face à moi, et l’attachent, comme moi. Florence ne peut que se laisser faire, ils sont beaucoup trop forts. Elle proteste, en vain.
— on va la corriger un peu aussi, pour qu’elle sache si elle aime ça
Mark saisit le ceinturon, et frappe les fesses et le dos de Florence, chaque coup la colle plus fort à moi. J’empêche Florence de tourner. Je suis un peu sadique aussi. Elle reçoit une dizaine de coups. Mark passe la main entre ses jambes et dit :
— elle mouille, elle aime ça.— Bon, maintenant on se soulage— Oui, mais ce coup là je baise Maryse, dit Mark.
Les deux hommes se placent derrière nous, et ils nous pénètrent. Chaque coup de boutoirs, ils nous collent l’une à l’autre, J’entrepris d’embrasser Florence à pleine bouche. Ce fut un délice.
L’accouplement dure longtemps, ils finissent par nous éjaculer sur les fesses. Nous, jouissons tous en même temps… c’était extraordinaire.
Après ce final, ils nous détachent et nous reprenons nos esprits. Sur le chemin du retour un arrêt auprès d’une rivière, ils nous permettent de nous rafraîchir et de faire un brin de toilette. Ils nous raccompagnent à Metz.
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