Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 30 J'aime
  • 2 Commentaires

La soumission

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Rappel : Élodie, après avoir découvert le passé de son amant, le convainc d’une incursion dans le monde SM.

Une tige de fer. Ses jambes s’y fixèrent par des attaches spéciales. Une cheville à chaque extrémité. Puis, chaque poignet fut attaché également à la barre. Élodie était courbée en deux, jambes et bras écartés. Heureusement qu’elle était souple ! Yan lui passa une sorte de maintien de cou qu’il relia à la barre grâce à une sorte de laisse de 70cm de longueur. Puis à l’aide de cordes, il hissa la jeune fille. Élodie était maintenant suspendue. Son intimité était ouverte en grand, en libre accès.
Sans un mot, il tordit chaque téton. Avec un fouet à 9 queues, il cingla le corps abandonné. Élodie serrait les dents, car elle savait que cela ne durerait pas. Yan lâcha le fouet. Il se mit à installer des électrodes sur les seins, le ventre, les fesses, les cuisses et la plante des pieds. Cela ressemblait au système de musculation électrique. Puis il enfonça son index dans l’anus offert, enduisant le conduit anal d’un gel. Élodie sentit l’intérieur de son anus devenir chaud. Cela la brûlait. Il retira son doigt qu’il remplaça par un gode en métal, très froid. Évasé, il tenait dans le cul de lui-même.
Des décharges électriques éclatèrent dans les seins et la plante des pieds avant de gagner le reste du corps. Élodie fut prise de soubresauts incontrôlés. Ses seins lui faisaient très mal. Soudain, elle ressentit les décharges depuis son fondement. Depuis l’intérieur. Les sensations étaient affolantes. Les attaques étaient irrégulières. Parfois, cela s’accélérait, parfois ça ralentissait. Mais la jouissance approchait, elle en était sûre. Mais Yan ne la laissa pas atteindre cette délivrance. Il arrêta tout juste avant. Prenant un téton dans ses doigts, il y enfonça une aiguille reliée à un fil. Quand il réitéra avec le second sein, Élodie sursauta. Elle faillit tout arrêter, dire le mot magique. Yan suspendit son geste, comprenant qu’Élodie atteignait ses limites. Il commença à retirer l’aiguille.
– Continue, s’il te plaît !
C’était juste un murmure. Il hésita longuement. Après s’être regardé les yeux dans les yeux, il enfonça à nouveau l’aiguille. Les décharges électriques reprirent. Toujours sur un rythme irrégulier. La nouveauté vint des aiguilles. C’était une douleur nouvelle. Elle hurla. Son corps tremblait. Elle avait l’impression que ses seins allaient exploser tellement la tension à l’intérieur était importante. Rapidement, les hurlements changèrent de ton. Ils devinrent des feulements. Elle s’adonna à la jouissance une nouvelle fois.
Yan attendit qu’Élodie se calme. Puis il ôta les aiguilles, les électrodes et le gode. À sa grande honte, elle sentit des matières sortir de son cul.
– Tu n’es qu’une chienne qui fait ses besoins partout ! Tu n’es plus capable de te retenir ?
Elle se sentit honteuse.
Yan nettoya un peu. Puis il fit descendre Élodie pour la libérer. À peine avait eu-t-elle le temps de faire quelques pas pour se dégourdir les muscles et Yan lui demanda de monter sur une table. Ce n’était donc pas fini…
Elle dut se mettre accroupie en position d’offrande, prosternée. À l’aide de tube métallique et d’une perceuse, son corps fut contraint. Les jambes étaient écartées. Les chevilles tenues au sol. Idem pour ses bras. Un arceau passait au-dessus des reins, l’empêchant de se relever. Pointe de confort, Yan avait glissé un coussin sous son ventre.
Puis il lui présenta un écarteur de bouche. Une fois installée, Élodie pouvait toujours émettre des sons. Le fait le plus intéressant, c’est qu’elle ne pourrait plus déglutir la salive.

À nouveau, Élodie ne pourrait voir ce qui allait lui arriver. Yan s’absenta quelques minutes.
À son retour, il prit un très long gode, d’au moins 60cm. Il n’était pas très gros, à peine 2cm de diamètre. En plastique souple avec un bout rond, il paraissait souple. Par transparence, on apercevait des fils et de petits blocs noirs, tous les 5cm environ. Yan enduisit de gel l’anus et le gode, puis il pointa l’extrémité sur l’anus. Il poussa et guida le gode. Sous la poussée, le gode entrait inexorablement. Régulièrement, il changeait l’inclinaison du gode. En quelques secondes, c’était 25cm qui avait pénétré l’intérieur d’Élodie. Yan continuait de pousser. Élodie ressentait comme une envie de chier. Elle ne se rendait pas compte de la longueur, mais elle avait compris que la longueur était peu habituelle.
Maintenant, c’était 35cm. Et le voyage dans les intestins d’Élodie continuait. Elle trouvait la sensation délirante. 10 nouveaux centimètres entrèrent. Yan avait réussi à passer le coude si particulier à la fin du rectum.
– Encore 10cm !
Yan cessa de pousser. Il ne restait plus que 5cm en dehors du fessier. Plus le fil qui était relié à un petit boîtier. Il prit le boîtier et appuya sur la touche « on ». À l’intérieur des intestins d’Élodie, le gode s’anima, tel un serpent. Il se mit à onduler. On entendit un bruit qui ressemblait à un cri.
Prenant un tabouret, Yan s’assit devant le con d’Élodie qui bavait. Il se frotta les mains avec un gel. Il mit un doigt dans le sexe de sa femme. Un second le rejoignit très vite. Puis un troisième, un quatrième. Élodie était étonnée. Son vagin s’ouvrait devait la main. Yan rabattit le pouce contre la paume et la main, en forme de fuseau, força l’entrée du vagin. La main se retrouva à l’intérieur à la grande stupéfaction de la femme qui ne croyait pas la chose réalisable, surtout aussi facilement.
Il ferma le poing et commença un va-et-vient. Il faisait presque sortir le poing avant de le renvoyer à l’intérieur, heurtant le col l’utérus. Élodie avait l’impression qu’on la boxait à l’intérieur. Les ondulations du gode serpent n’avaient pas cessés. Yan les sentait au-dessus de sa main. Il se mit à varier les vitesses de déplacement de son poing. Les contractions autour du poignet ne laissaient guère de doute : Élodie allait jouir de manière imminente. Il ne laissait pas la chose arriver. De sa main libre, il trouva le clitoris qu’il pinça assez fort pour que la douleur prenne l’avantage.
Quand il estima le danger éloigné, il cessa de pincer. Élodie recommençait sa progression vers la jouissance qui finalement éclata en elle.
Le poignet toujours fiché dans le vagin, Yan tendit l’index. Il cherchait l’entrée de l’utérus. Une fois trouvé, profitant de l’orgasme, il força violemment le passage. Le doigt engagé, il reprit le va-et-vient. Cela déclencha un nouvel orgasme, encore plus violent. En retirant la main fermée, un troisième orgasme atteignit Élodie qui s’enfonçait dans une certaine inconscience.
Yan retira le gode et détacha sa femme. Elle ne bougeait plus. Les yeux étaient vitreux. Il la souleva, la prit dans ses bras et remonta les marches de la cave. Ils étaient chez eux. Il alla dans la salle de bain pour la déposer dans l’immense baignoire pleine d’eau chaude.
Entrant avec elle, il se mit la laver avec une grande précaution.
– Merci. Merci pour le plaisir que tu m’as donné. Merci d’avoir réalisé mon fantasme. Merci de t’occuper de moi ainsi.– Chut, mon amour, profite. Calme-toi, ne t’agite pas. Les émotions ont été fortes. Très fortes. Il faut maintenant en revenir.
Quand le bain fût terminé, il la sortit et la sécha. Puis, la porta sur le lit. Avec de l’huile, il entreprit un massage, de la nuque aux doigts de pied. Sur le dos et sur le ventre. Quand il eut terminé avec les extrémités, il remonta s’intéresser à la chatte d’Élodie.
– Non, j’ai plus envie– Fais-moi confiance, ce sera différent.
Élodie ouvrit ses cuisses. Yan bandait comme jamais. Délicatement, il s’introduisit à l’intérieur. Adoptant la classique position du missionnaire, il fit l’amour à sa femme, avec la plus grande douceur, la plus grande tendresse qu’il pouvait. Lentement, Élodie retrouvait le chemin de la jouissance. Une jouissance différente de celle qu’elle avait éprouvée lors de la séance SM.
Elle replia ses jambes autour des reins de son homme, l’encourageant à la pilonner. Yan resta doux. Et finalement, Élodie jouit en l’embrassant. Ensemble, ils s’endormirent.
* * *
Élodie sortit de ce week-end fou complètement épuisé. Elle ne regrettait pas. Toutes les jouissances obtenues avaient été très fortes. Trop peut-être. Elle comprenait mieux les propos de Yan. Et pourquoi celui-ci avait voulu lui faire l’amour de manière classique dans leur lit juste après.
Il y eut quelques conséquences. La première, c’est qu’un troisième bébé avait été mis en route ce soir-là. Par forcément prévu, mais accueillit de grand cœur par le couple. La seconde, c’est qu’ils se marièrent enfin. La dernière, c’est qu’une soirée SM intime fût organisée au moment de leur anniversaire de mariage. Une seule soirée par an, c’est tout ce qu’Yan avait accepté. Et finalement, pour Élodie, c’était suffisant.
Diffuse en direct !
Regarder son live