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Soumission en stop

Chapitre 2

Gay
Après mes vacances, après ma première aventure en stop, et mon aventure au cinéma (voir ’au cinéma...’), je m’étais résolu a profiter de la vie au maximum et j’avais effectué divers achats auxquels je songeait depuis un moment. Parmi eux, celui d’une superbe motocross qui me servait dorénavant lors de tout mes déplacements.   Un beau jour, m’ennuyant de ne pas avoir bougé de chez moi depuis quelques jours et voyant un soleil radieux au dehors, l’envie me pris d’aller faire un tour de moto. Je pris donc les clés, le casque et partis a la conquête du bitume brûlant.
  J’étais allé me balader dans la campagne puis jusque dans la montagne, profitant de toute la maniabilité et la puissance de ma moto jusqu’à que le ciel s’assombrisse.   Je fis donc demi-tour et pris le chemin du retour. Je ne respectais aucune limitation de vitesse, guidé par le désir d’éviter l’orage, je descendais la montagne en débourrant la moto comme jamais. Evidemment je ne réussis pas a esquiver l’orage et la pluie se mit a me tomber dessus. Je ralentis donc l’allure tout en me dépêchant pour ne pas me mouiller. ERREUR!! Après quelques virages passés il en fut un plus serré ou je glissais. La moto dérapa et glissa jusqu’à percuter la rambarde qui cassa laissant l’engin choir dans le vide. Moi je suivait la moto de près, je la percuta quand elle se brisa contre la rambarde puis par un réflexe, j’attrapais une roche qui me retins quand le cross chuta.
  Je remontais péniblement sur la route puis je m’était allongé au sol tremblant et essoufflé de cette aventure qui aurait pue me voler la vie.   Je restait ainsi un moment sous la pluie, peut-être des minutes, peut-être des heures, je n’en savait rien, j’étais juste allongé en ressassant l’accident dans ma tête. Quand une voiture arriva, je n’eus même pas la force de me lever, si bien que celle-ci pila en me voyant ainsi, allongé, grelotant et sale au milieux de la route.  Un homme en sortit, il s’accroupit près de moi et me parla. Je n’entendais pas, ou plutôt je n’écoutais pas, je le sentis m’attraper sous les aisselles puis me transporter dans sa voiture ou il m’assis, m’attachât et me recouvrit d’une couverture.
  Moi, toujours sous le choc, je ne disais rien, pas même un mot de remerciement, je ne le regardais même pas.
  L’homme repris sa place de conducteur et redémarra. Petit-à-petit je repris mes esprits et je remarquais qu’au lieu de descendre la montagne, nous la montions, bien plus loin que l’endroit ou j’avais fait demi-tour. Remarquant que j’avais repris mes esprit, le type posa une main sur ma cuisse, et me demanda qui j’étais et ce qu’il m’était arrivé, questions auxquelles je répondis vaguement.
  Le contact de sa main sur ma cuisse me procurait un certain réconfort. Petit a petit, en allant de fil en aiguille, j’appris que mon sauveur se nommait Olivier et qu’il habitait un chalet en haut de cette montagne et qu’il vivait avec un ami a lui, Romain. Il me posa beaucoup de questions, d’abord sur des choses banales telles que mon identité, puis ensuite sur ma vie de tout les jours pour finir sur ma sexualité. Je lui avouait ma bisexualité et a sa demande je lui contais mes aventures.
  Au fur-et-à-mesure que nous montions, le temps empirais, la brume s’était jointe a la pluie et nous n’y voyons pas a dix mètres. Olivier s’arrêta et me dis que c’était une partie délicate du trajet, et qu’il ne voulait pas prendre de risques a cause de la brume. Il se tourna donc vers moi et me dis de continuer.  Sa main toujours sur ma cuisse, allait et venait désormais en s’approchant de plus en plus de mon entrejambe. Si il me touchait, je ne pourrais pas cacher mon érection. Mais il ne me touchait pas, tout au plus il me frôlait en écoutant mes histoires.   Je posais ma main sur sa cuisse aussi et le caressait comme il me le faisait. Il ne dis mot, mais ses yeux pétillèrent.
  En m’approchant de ses parties génitales, je put sentir que son jean était tendu. Par réflexe je mis la main dessus et malaxai la zone. Je ne disais plus rien, guettant une réaction qui ne se fit pas trop attendre. Sa main vint enfin me caresser au travers du pantalon.
  Rapidement, je lui retirais sa ceinture, défis les boutons et baissais son jean. Son caleçon laissait deviner un sacret paquet, bien plus gros que la moyenne. Et je me penchait pour lécher sa verge au travers du tissu. Tendrement, je léchait et mordillais son membre déjà bandé, puis je retirais le sous-vêtement pour en profiter pleinement.
  Il était entièrement rasé. Je me mis a lécher et avaler ses couilles, elles étaient grosses et lourdes comme je les aime. Je léchais ensuite jusqu’au gland que je titilla du bout de ma langue. Puis je redescendis jusqu’au périnée pour remonter de la même manière, ainsi je l’excitait un max en le faisant languir. Olivier avait le souffle saccadé et n’attendais qu’une chose : que je le suce.   J’avala donc enfin sa pine, profitant du premier contact, allant tout doucement. Je remonta puis redescendis un peu plus vite et fit peu après des va-et-viens rapides et précis. Olivier gémis, m’attrapa la tête et me força à aller encore plus vite et plus profond. Il lâchait des râles de plaisir et d’un coup il me bloqua la tête et gicla. Je sentis le sperme chaud arriver par saccades au fond de ma gorge. quand il me lâcha je lui montra sa semence dans ma bouche et avalai. Son foutre avait un gout délicieux et j’en aurai bien repris s’il ne s’était pas rhabillé aussi vite.
  Sans un mot, il redémarra et nous reprîmes la route. Quand nous sommes arrivés, son colocataire est sorti et a demandé a Olivier la raison de ce retard. Ainsi il lui raconta l’accident et me présenta.
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