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Sous les tropiques

Chapitre 2

Divers
La soirée s’achevant Ingrid qui habitait à proximité de chez elle lui proposa de la raccompagner. Elle embrassa longuement ses amants en les remerciant pour leurs prestations.
Elle avait profité d’un passage aux toilettes pour retirer son string poisseux. Immédiatement après le départ, Ingrid posa la main sur sa cuisse et commença à la caresser. Marie ne régissant pas, elle s’enhardit remontant plus haut. Elle s’aperçut alors qu’elle ne portait pas de culotte. Marie écarta les cuisses pour lui faciliter l’accès. Elle était trempée. Les doigts d’Ingrid la pénétrait et jouait avec son clitoris. Marie avait retiré son soutien–gorge et jouait avec ses tétons les malaxant, les étirant. Très vite elle eut un nouvel orgasme. Pendant toute la durée du reste du trajet, la main d’Ingrid était posée sur son sexe et la caressait.Ingrid lui proposa de venir chez elle. Marie accepta aussitôt. Elle en profita pour laisser un message à Jean lui indiquant qu‘elle passait la nuit chez une amie à proximité de chez eux et qu’elle rentrerait dans la matinée. Ingrid habitait dans un studio dans un petit immeuble. À peine la porte fermée, elle prit Marie dans ses bras et commença à l’embrasser. Marie répondait à ses baisers. C’était particulièrement agréable. Ingrid l’entraina dans la chambre lui enleva sa robe et la poussa sur le lit. Elle se déshabilla. Elle était superbe. Ses seins lourds avec de grosses aréoles pointaient. Ses fesses proéminentes semblaient particulièrement musclées. Son sexe était rasé et ses grandes lèvres roses appétissantes. Elle avait les cheveux courts, une bouche pulpeuse. Elle demanda à Marie de mettre les bras au-dessus de sa tête et de ne pas bouger. Elle commença par l’embrasser. Sa langue jouait avec celle de Marie qui se sentait de mieux en mieux. Elle descendit sur ses seins les caressant, mordillant les tétons.L’une de ses mains jouait avec le clitoris de Marie qui poussait des petits cris de satisfaction. Elle descendit encore et commença à lui lécher le ventre. Elle l’enjamba et se plaça tête bêche pour la sucer. Marie avait le sexe rasé d’Ingrid sur sa bouche. Ses grandes lèvres étaient gonflées. Elle n’hésita pas. Prenant les fesses d’Ingrid à pleines mains, elle plaqua son sexe sur sa bouche et s ‘empara de lui. Elle avait comme Marie, un clitoris proéminent, qu’elle pouvait facilement sucer. Les réactions de sa partenaire lui montraient qu’elle appréciait ses caresses. Ingrid tout en suçant et léchant le sexe de Marie avait ouvert ses fesses et jouait avec son anus. Marie avait été surprise par ce geste. Humidifié par sa salive, elle y avait introduit un doigt puis deux puis trois. Marie ne trouvait pas cela désagréable et sentait la jouissance venir. Marie était de plus en plus excitée. Ingrid se concentra sur le clitoris qu’elle suçait de plus en plus fort. Marie tenait des propos de plus en plus incohérents.Soudain un flot de liquide s’échappa de son sexe et inonda le visage d’Ingrid qui en profita pour assurer sa prise dans le fondement de Marie. Sa jouissance était impressionnante. Ses seins étaient durs et ses tétons érigés fièrement. Marie était épuisée mais voulant que sa partenaire soit aussi satisfaite, elle lui demanda de placer son sexe sur sa bouche. Prenant les tétons d’Ingrid dans ses doigts, elle suça sexe jusqu’à l’orgasme qui la délivra. Elle s’endormit aussitôt dans les bras d’Ingrid ivre des jouissances qu’elle avait vécues.Une odeur de café et un baiser la réveillèrent. Elle se sentait bien. Les mains d’Ingrid recommencèrent leur sarabande sur son corps. Elle s’empara de son sexe et se mit à la branler jusqu’à l’orgasme. Ingrid la regardait avec tendresse jouir.Elle demanda à Ingrid de la raccompagner et de ne pas faire état de leur relation et surtout de s’abstenir de gestes équivoques dans le magasin. En rentrant chez elle, elle trouva Jean ivre-mort et des cadavres de bouteilles de whisky et de vin. Elle en profita pour déménager ses affaires dans la chambre d’amis. Elle se coucha se remémorant tout ce qu’elle avait vécu depuis hier.Jean se réveilla avec une gueule de bois monumentale. Il se rendait compte de ce qu’il avait fait. Il prit une douche et t alors que les affaires de Marie n’étaient plus là. Craignant qu’elle ne soit partie il se mit à la chercher. Elle était sous la varangue et le regardait d’un air méchant. Jean ne pouvait se permettre un divorce. Elle lui dicta donc ses conditions :— elle s’installait dans la chambre d’amis— il ne la toucherait jamais plus— remplirait consciencieusement son rôle de maitresse de maison— elle n’aurait plus jamais aucun compte à lui rendre.Il eut beau s’excuser se trainer à ses pieds, elle était ferme sur ses exigences. Par ailleurs elle lui demandait d’aller s’excuser auprès de Sam qu’il avait offensé.Le lendemain Marie fut accueillie par un grand sourire de ses employées. Visiblement Ingrid s’était vantée de sa bonne fortune auprès de Sam. Elle avait surpris des conciliabules entre eux. Elle les convoqua et jouant franc-jeu avec eux. Elle apprit incidemment à Ingrid que c’était la première fois qu’elle jouissait, qu’elle leur était infiniment reconnaissante et qu‘elle comptait sur eux pour continuer à l’initier. Elle leur demandait d’être discrets. Sam et Ingrid lui avouèrent qu’ils étaient restés dix-huit mois ensemble. Sam l’avait poussée vers le libertinage. Il lui avait appris à aimer les femmes qu’elle préférait maintenant aux hommes tout en étant bisexuelle. C’est lui qui avait suggéré de tenter sa chance avec Marie.Marie avait changé son attitude vis-à-vis des gens qu’elle recevait chez elle. Elle portait des tenues de plus en plus sexy. Souriante, très affable elle se montrait de plus en plus sensible aux compliments de ses invités sous le regard noir de son mari.Ingrid lui avait donné l’adresse d’une esthéticienne de ses amies. Son sexe était maintenant complètement épilé.Ingrid possédait une collection impressionnante de godes et de plugs. Elle lui demanda de l’initier à leur emploi. Avec les dongs elle avait appris à être gorge profonde. Elle décida d’offrir sa virginité anale à Ingrid. Si elle voulait prendre des calibres comme ceux de Sam et de Richard, il faudrait le faire progressivement. Ingrid commença à lui faire porter des plugs de plus en plus gros. Cela amusait beaucoup Ingrid de savoir que Marie en portait un sous sa robe au magasin et que personne ne s’en doutaitUn jour l’estimant prête, après avoir fait l’amour, Ingrid la plaça à quatre pattes. S’équipant d’un gode ceinture impressionnant, elle l’enduisit de gel et commença à travailler son anus. Marie prenait maintenant facilement quatre doigts. Plaçant la tête du gode sur anneau de Marie, elle s’introduisit progressivement dans le fondement. Marie ressentit une petite douleur. Lui prenant les seins à pleine main, Ingrid commença à la sodomiser, accélérant progressivement ses va-et-vient. Marie se branlait et caressait son clitoris de plus en plus fort. Elle eut un premier orgasme, puis un suivant. Elle avait perdu sa dernière virginité. Elle était devenue experte en fellations profondes, elle avait utilisée toutes sortes de sextoys. Elle était prête pour le libertinage et pour rattraper le temps perdu.Il fallait tout d’abord s’assurer du silence de son mari. Elle demanda à Ingrid d’être sa complice. Elle invita tous les employés qui travaillaient avec elle, à la maison. Ingrid devait séduire Jean et provoquer un rendez-vous chez elle où leurs ébats seraient filmés et photographiés. Le piège réussit au-delà de toute espérance. Le film les montrait nus faisant l’amour et surtout Ingrid rigolant devant le petit sexe dressé de Jean. Marie lui montra les enregistrements menaçant de les publier sur Internet. Elle lui montra aussi les images de ses amours avec Sam et Richard. Jean était effondré.Elle ne se faisait aucune illusion sur les sentiments de Sam et de Richard qui ne pensaient qu’à une chose, séduire le maximum de filles. Des liens d’affection s’était tissés avec Ingrid Elles s’aimaient bien. Marie savait qu’elle pouvait compter sur elle. Ingrid était particulièrement chargée de la lingerie dans le magasin. Elle avait parlé à Marie de certaines clientes qui avaient des attitudes ambigües lors des essayages en cabine. Ingrid en avait profité pour les draguer et s’était faite plusieurs petites amies. Marie lui demanda lui les signaler. Elle reconnut parmi elle, Louise, une femme d’une cinquantaine d’année, blonde bien en chair. C’était la femme d’un directeur qu’elle avait reçu chez elle. Son mari était plutôt effacé. Elles avaient bien sympathisé. Elle serait pour Marie une proie facileElle avait revu plusieurs fois Sam et Richard. Elle les avait informés qu’elle avait perdu sa virginité anale avec Ingrid. Ils en avaient été désolés car ils comptaient être les premiers. Marie leur expliqua que sans préparation et entraînement, elle ne se voyait pas prendre leurs gros gourdins entre les fesses et qu’elle avait demandé à Ingrid de la préparer. Ils auraient la primeur de la sodomiser avec une vraie queue. Elle demanda à Sam de lui organiser une soirée le samedi suivant avec Ingrid et quelques-uns de ses amis en qui il avait une totale confiance.Pour ce rendez-vous elle avait prévu une robe très courte très échancrée. Elle ne portait pas de sous-vêtement. Un plug fermait son anus. Avant de partir, elle se montra à son mari qu’elle appelait crapaud quand ils étaient seuls. Il était avachi dans le salon, pas rasé et avait commencé à s’enivrer. Elle le prévint qu’elle rentrerait peut-être demain matin. Elle lui indiqua qu’elle allait se faire sodomiser par des Blacks. Elle souleva sa robe et tourna sur elle pour lui montrer qu’elle était nue et qu’un plug était fiché entre ses fesses. Avant de quitte la pièce où ils étaient, elle l’entendit sangloter. Il lui demandait une nouvelle fois pardon et la suppliait de rester.Sam avait bien fait les choses. Outre Richard et Ingrid, il avait invité un couple de métropolitains Hervé un beau jeune homme musclé de 25 ans et sa femme Sylvie une petite brune pétillante de 23 ans. Ses petits seins pointaient sous son chemisier transparent. Il y avait aussi Willy, Robert et André trois membres disait-il de son équipe de choc, des bons soldats bien membrés et endurants.Marie les embrassa tous et ils firent connaissance autour du buffet préparé. Sam s’était emparé des fesses de Marie qu’ils caressaient montrant ainsi aux autres qu’il avait l’intention de se l’approprier. Ingrid s’était immédiatement tournée vers Sylvie qu’elle caressait sous les yeux de son mari. Des matelas et coussins avaient été disposés au centre de la pièce.Sam pris les choses en main. Il entraina Marie sur le matelas le plus proche après lui avoir ôté sa robe. Ils se mirent tous nus. Willy avait un sexe impressionnant et Robert et André un sexe comparable à ceux de Sam et Richard. Hervé avait un sexe long et plus fin. Marie fit signe à Willy et Hervé de les rejoindre. Ingrid avait allongé Sylvie sur le dos et s ‘était emparée de son sexe pendant que Robert, Richard et André se faisait sucer par cette dernière.Willy s’était emparé du sexe de Marie. Elle sentait ses grosses lèvres lippues et sa langue lui fouiller le sexe. Sam et Hervé avaient présenté leur sexe pour qu’elle puisse les sucer. Celui de Sam était trop gros pour qu’elle puisse l’emboucher complètement, par contre celui de Hervé avait la taille idéale et pour la première elle fit une fellation gorge profonde à un homme. Les leçons d’Ingrid et l’entrainement avec des dongs avaient servi. Hervé était aux anges. Sam alors demanda à Willy de se placer sur le dos. Il invita Marie à s’empaler sur la queue énorme de son camarade qui avait enfilé un préservatif. Elle sentait ses muscles internes se refermer sur cette queue qui l’envahissait. Hervé avait repris sa position et on entendait régulièrement la bouche de Marie frapper son ventre. Sam avait écarté les fesses de Marie et retiré le plug. Les doigts enduits de gel, il assouplissait l’anneau qui allait le recevoir. Willy avait commencé ses mouvements de va-et-vient doucement pour faciliter le travail de Sam et il avait saisi les tétons de Marie pour les étirer.Hervé caressait lui la nuque et les épaules de Marie. Sam l’estimant prête présenta le gland de son sexe recouvert d’une capote sur l’anneau distendu par ses soins. Sa queue rentra facilement montrant que le travail d’Ingrid et la préparation avaient servi à quelque chose. Les deux hommes s’accordèrent très vite et trouvèrent le bon rythme. Marie sentant les deux membres se déplacer en elle. C’était fabuleux. Hervé n’arrivait pas à garder sa queue dans la bouche de Marie qui gémissait de plus en plus. Elle sentait arriver un orgasme puissant, ravageur. Les garçons augmentèrent la cadence, les yeux de Marie devenaient de plus en plus exorbités. Elle lâcha un cri puissant son corps se banda comme un arc. Elle s’écroula en gémissant comme une poupée désarticulée. Le premier à jouir fut Sam qui en longs jets se répandit dans le préservatif. Willy continuait à la pilonner. Hervé voyant la place libre avait enfilé un préservatif et sodomisait Marie qui continuait à jouir. Un liquide important s’écoulait de son sexe inondant le ventre de Willy.Ils prirent leur plaisir en même temps et Marie sentit au travers les préservatifs les jets de sperme chauds en elle.Elle était magnifique et les trois hommes la contemplaient. Elle semblait si heureuse et détendue. Ils la laissèrent récupérer.Pendant ce temps là les choses avaient évolué dans l’autre groupe. Richard s’était allongé sur le dos et Ingrid s’était empalée sur lui pendant que Robert la sodomisait. Sylvie s’était mise à quatre pattes. Pendant qu’André la possédait, elle échangeait des baisers passionnés avec Ingrid. Ingrid fut la première à jouir suivie de Sylvie. André sentant qu’il allait éjaculer se retira plaça Sylvie sur le dos, retira son préservatif et se répandit sur sa figure. Robert et Richard en firent de même de même. Le visage de Sylvie disparaissait sous le sperme des trois hommes. Ingrid releva Sylvie et l’accompagna à la douche. Très vite des bruits montrèrent que les deux femmes avaient repris leurs jeux. Marie revenait peu à peu à elle. Elle se leva embrassa Sam, Willy et Hervé en les remerciant pour le plaisir qu’il lui avait donné.Sam lui proposa de lui faire confiance. Il la conduisit dans sa chambre, la mit sur le dos lui attacha les jambes et les bras aux montants du lit. Les autres hommes les avaient suivi. Des mains s’emparèrent d’elles des bouches l’embrassait suçaient ses tétons. Des doigts fouillaient son ventre et son cul. Elle était assaillie de toute part et c’était particulièrement agréable. Au bout d’un certain elle fut saisie par les hanches et un homme la pénétra pendant qu’une queue forçait ses lèvres. Ils se succédaient toutes les deux minutes les trois mêmes pour sa bouche sans préservatifs et les trois mêmes pour son sexe avec préservatif. Elle me put reconnaître, en raison de la taille de leurs queues, que celle de Willy qui s’occupait de son sexe et celle d’Hervé pour sa bouche. Des mains continuaient à s’occuper de ses seins, de ses fesses. C’était fantastique. Une nouvelle succession d’orgasme la saisit et son sexe crachait régulièrement des doses de liquide. Elle sentait leur gland buter régulièrement sur sa matrice.C’était une possession sauvage, animale. Elle ne savait plus où elle était. Les muscles de sa bouche étaient tétanisés à force de sucer. L’un après l’autre ils éjaculèrent sur son visage sur ses seins sur son sexe. Des mains étalaient le sperme sur son corps. Les lèvres de son sexe étaient gonflées et ses seins étaient durs comme de la pierre. Ingrid et Sylvie étaient revenues dans la chambre et se précipitèrent sur elle pour la lécher, l’embrasser, la caresser. Elle était vraiment la reine de la fête.
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