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Sous les tropiques

Chapitre 5

Divers
René et Myriam devant rentrer en métropole, elle les invita avec François et Alice. Jean était une nouvelle fois bloqué dans le carcan. Elle les invita à se mettre nu et indiqua aux hommes qu’un cadeau les attendait dans la chambre voisine. Au bout d’un certain temps, elle invita les filles à la suivre. Alice et Myriam ne s’attendaient pas à ce spectacle. René sodomisait Jean pendant que François tenant sa tête par les cheveux se servait de sa bouche comme d’un sexe. Marie s’équipa de son vibromasseur. Elle invita Myriam à en faire autant et demanda à Alice de préparer les culs de leurs maris. Elle commença par doigter René en évitant de casser le rythme qu’il imprimait à sa sodomie. Quand il fut prêt, Marie se présenta et le pénétra aussitôt. Ils accordèrent leurs mouvements. Alice se présenta ensuite derrière son mari, le prépara à la pénétration de Myriam qui une fois en place, accorda aussi ses mouvements aux siens. Alice pris ensuite le petit sexe de Jean en bouche tout en lui étirant et pinçant les tétons.
Jean éjacula très vite. Il fut suivi de René et de François qui déversèrent des flots de sperme dans la bouche et le cul de Jean. Marie et Myriam jouirent ensuite. Elles s’écroulèrent sur le tapis. Alice nettoya consciencieusement les queues de François et d’Albert, puis récupéra le sperme qui s’écoulait du cul de Jean avant de l’embrasser et de partager avec lui la semence des hommes. Marie libéra Jean le renvoya dans sa chambre en lui demandant de se tenir à la disposition de ses invités. Ils passèrent une nuit agitée. En se réveillant Marie s’aperçut que les deux hommes avaient disparus. Elle les retrouva chez Jean qui avait la queue de René dans la bouche et celle de François dans le cul.Jean appréciait de plus en plus la façon dont il était traité. Les rapports avec sa femme s’étaient améliorés et étaient maintenant apaisés. Suprême plaisir, Marie le suçait régulièrement et il avait pu se répandre dans sa bouche. Elle avait abandonné la cage de chasteté et il pouvait se branler quand il voulait. Albert venait très régulièrement à la maison à la grande satisfaction de Louise qui voyait son mari de plus en plus satisfait de la situation. Il était très discret et n’avait pas parlé au collaborateur de Jean de ses relations sexuelles avec son patron. François était plus intéressé par Marie, qu’il retrouvait avec Alice régulièrement. Ses amis trouvaient Marie rayonnante, elle respirait la joie de vivre. Ses tenues étaient de plus en plus sexy et moulantes. Son mari avait beaucoup changé. Il était devenu plus affable et aimable. Marie avait abandonné ses pratiques SM. Il était maintenant consentant. Il ne détestait pas se faire rougir les fesses de temps en temps. Marie avait remercié Marine pour avoir bien éduqué son mari. Elle passait régulièrement à la boutique et Marie lui faisait régulièrement cadeau de la lingerie qu’elle commandait. Marie décida d’aller voir ses fournisseurs en métropole à l’occasion du salon de la lingerie. Sam lui avait donné l’adresse d’un cousin à lui Joseph, qui organisait des soirées spécialement destinées aux femmes qui appréciaient les noirs bien membrés. Il avait à sa disposition comme disait Sam, une quinzaine de soldats endurants. Sam quand il venait en métropole y participait. C’était lui avait-il dit, très chaud. Il avait téléphoné à Joseph, lui vantant les qualités et les performances de Marie.
Joseph passa la prendre. Il avait 25 ans. Il était très grand et très musclé. Son pantalon serré moulait un sexe imposant. Son crane était rasé. Il avait de beaux yeux noirs et une bouche très épaisse. Il louait à l’année un grand appartement où se déroulaient les soirées. Il avait l’intention de s’occuper particulièrement d’elle. Elle était son invitée. Elle était nue sous sa robe et Joseph en avait profité pour la caresser pendant le trajet. Elle était trempée et excitée. Il y avait une vingtaine de personnes dans l’appartement : deux couples de blancs. Les femmes étaient âgées d’une cinquantaine d’années et les maris beaucoup plus vieux. Il y avait aussi deux femmes blanches de 30 ans et quinze noirs bien vigoureux âgés de 20 à 40 ans. Ils prenaient l’apéritif tranquillement en attendant Joseph qui fit les présentations. Il tenait Marie par la taille montrant par là qu’elle était sa propriété. Elle était nettement la plus jolie des femmes présentes. Les groupes se formèrent. Joseph avait fait signe à deux grands noirs d’environ 25 ans de se joindre à lui. Les autres s’étaient répartis et discutaient avec les autres femmes. Les deux maris, des messieurs plutôt bedonnants restaient sur leurs chaises et regardaient le spectacle. A l’invitation de joseph ils se déshabillèrent tous. Le sexe des hommes était impressionnant. Cinq blacks entrainèrent les femmes mariées dans une chambre. C’était de fausses blondes, très bien en chair avec de très gros seins qui tombaient un peu et un postérieur bien charnu.
Leurs maris qui étaient restés habillés suivaient le groupe. Cinq autres entrainèrent les deux autres femmes dans une autre chambre. L’une était plutôt petite avec des petits seins et de belles fesses. Elle avait l’apparence d’une poupée face aux géants qui l’entouraient. L’autre était beaucoup plus grande. Elle était tatouée sur les bras, les épaules et le ventre. Elle avait des très gros seins qui se dressaient fièrement et de grosses fesses. Ses tétons, ses grandes lèvres étaient percés et annelés. Elle portait un piercing à la langue.Joseph entraina Marie dans une troisième chambre. Ils se placèrent debout devant elle. Elle s’agenouilla et les pris en bouche. Joseph avait un sexe long, très épais. Ses deux camarades avaient un sexe moins important et plus fin. Malgré ses efforts, Joseph était trop gros pour elle et elle se contentait de le lécher, de lui sucer le gland, de gober ses couilles. Les deux autres quand c’était leur tour, lui prenaient la tête et se servaient de sa bouche et de sa gorge comme d’un sexe. Après une dizaine de minutes à ce rythme, Joseph s’allongea sur le lit et l’attira sur lui. Après avoir mis un préservatif, il lui écarta les grandes lèvres il la pénétra. C’était fabuleux. L’introduction de cette grosse queue déclencha chez elle un flot de liquide qui vint s’écraser sur le ventre de Joseph. Pierre l’un des deux autres hommes lui doigtait le cul, écartant et dilatant ses chairs pour mieux la préparer à la sodomie. Le dernier, Ali s’était emparé de ses seins, les suçant, titillant et étirant ses tétons.
Joseph arrêta ses mouvements de va-et-vient pour permettre à Pierre qui avait enfilé un préservatif de présenter son gland sur l’anus de Marie qui céda aussitôt. Ils accordèrent leurs mouvements. Ali lui présenta son sexe dans la bouche. Elle l’avala aussitôt. Ce fut alors une succession d’orgasmes particulièrement intenses. C’était encore plus fort que d’habitude. Ali céda le premier et il se déversa sur le visage de Marie. Pierre le suivi peu après. Se retirant, il enleva son préservatif et se répandit sur les fesses de Marie. Joseph infatigable continuait. Marie était comme inerte dans ses bras. Il l’avait saisie par les hanches et la pilonnait. Elle marmonnait des mots incohérents. Elle était en pleine extase. Sentant qu‘il allait jouir il la renversa, se retira, enleva son préservatif et jouit en longues giclées sur ses seins. Elle était KO couverte de sperme. Ils la regardaient d’un air satisfait. Ils quittèrent la pièce pour la laisser reprendre ses esprits et allèrent rejoindre les autres.
Au bout d’une heure après avoir pris une douche, Marie parti à leur recherche. Elle trouva Pierre et Ali dans la chambre des deux femmes mariées. Leurs maris se branlaient et essayaient de donner de la vigueur à un sexe mou. Ils avaient déjà éjaculés, une tache blanche à leurs pieds en attestait. Leurs femmes étaient couvertes de sperme. Elles étaient assises sur des sexes imposants et suçaient les queues qu’on leur présentait. Pierre et Ali s’intéressaient particulièrement à leurs seins, leur étirant et martyrisant leurs tétons.
Marie gagna la chambre suivante et retrouva Joseph. Il était entre les cuisses de la plus grande. Il lui avait ouvert le sexe en écartant les grandes lèvres avec les anneaux et la pénétrait avec sa grosse langue. La femme jouait avec les anneaux de ses tétons, les étirant et les tordant tandis qu’un black était enfoncé dans sa gorge. L’autre fille petite poupée fragile était pénétrée par tous ses orifices par des géants noirs. C’était particulièrement excitant.Joseph lui fit signe de prendre sa place. Il la plaça tête bêche. Les doigts de Marie avaient saisi les anneaux. C’était très pratique pour lui maintenir le sexe ouvert. Elle commença à la lécher et à la pénétrer avec sa langue. Sa partenaire en faisait de même. Elle sentait le piercing caresser son clitoris et l’entrée de son vagin. C’était très agréable. Elle sentait aussi la grosse queue de Joseph battre contre ses fesses. Il s’était placé derrière elle et avait commencé à lui ouvrir et dilater le cul avec ses doigts. L’estimant prête il présenta son gland sur son anus et commença à le forcer. Marie sentait la grosse masse de chair envahir son fondement. Sa partenaire lui maintenait les fesses ouvertes pour faciliter l’introduction de Joseph tout en lui broutant le minou. Quand il fut complètement en elle un flot de liquide inonda la bouche de sa partenaire. Joseph la sodomisait à grands coups de reins. La langue de la fille était très efficace et venait de temps en temps lécher sa queue.
La fille eut un premier orgasme. La langue et la bouche de Marie avaient été très efficaces. Elle se retira et alla s’allonger sur le lit. Joseph pria le black qui était resté regarder la scène de s’allonger sur le lit après avoir passé un préservatif. Marie plaça son sexe sur sa queue et il l’embrocha aussitôt. Joseph repris sa place dans son cul et ils entamèrent leurs mouvements. Ils étaient parfaitement coordonnés. La fille s’était ressaisie et rapprochée d’eux. Elle embrassait Marie. Elle sentait le piercing lui caresser l’intérieur de la bouche. Marie avait saisi les anneaux des tétons de la fille et les étiraient et les tordaient. Les hommes étaient infatigables. Très vite elle eu une nouvelle succession d’orgasmes qui incitèrent les hommes à accélérer la cadence. Elle avait lâché les anneaux et la fille lui caressait le visage. Ses cris étaient de plus en plus puissants. A quelques secondes d’intervalle ils jouirent ensemble. Elle avait ressenti en elle les jets de sperme chauds qui s’étaient répandus dans les préservatifs.
Les autres personnes dans la pièce s’étaient rapprochées du lit, alertés par les cris de jouissance de Marie. Joseph et son partenaire s’étaient retirés, ils furent très vite remplacés par les autres. Les deux femmes l’embrassait et la caressait. Marie avait perdu le sens de la réalité. Seules comptaient ses grosses queues qui lui donnait ce plaisir. Elle avait orgasme sur orgasme. Les hommes se succédaient dans son sexe et dans son cul. A un moment elle perdit connaissance tant la jouissance était forte. Quelques claques la ranimèrent. Joseph lui demanda si elle en avait assez. Elle répondit affirmativement. Il la conduisit dans une chambre où elle s’endormit comme une masse. Elle était incapable de dire combien de personnes l’avaient baisée. Ses seins étaient douloureux. Son sexe et son cul béaient. Elle était bien et nageait en pleine béatitude.Au petit matin Marie les retrouva au salon. Elle avait eu le temps de prendre sa douche. Les deux femmes mariées étaient marquées. Elles étaient allongées par terre dans les bras l’une de l’autre et dormaient. Du sperme séché leur couvrait tout le corps. Leurs mamelons étaient meurtris d’avoir été trop travaillés. Leurs culs étaient bien ouverts et avaient du mal à se refermer. Leurs maris étaient rentrés chez eux dans la nuit. Les blacks discutaient de leurs exploits de la nuit et paraissaient contents d’eux. Ils accueillirent chaleureusement Marie. Elle les avait impressionné par sa capacité à jouir. Tous les soirs Joseph venait la chercher et elle retrouvait Pierre et Ali. Elle avait demandé à revoir la fille tatouée. Elles avaient fait l’amour et Marie avait particulièrement apprécié de jouer avec son piercing et ses anneaux.
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