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Un soutien bienveillant

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Un soutien bienveillant.
Fin mai, c’est souvent la période que les étudiants préfèrent et détestent le plus. S’il s’agit des prémices d’un été chaud, souvent symbole de farniente, de soleil, de bronzette et d’amitiés temporaires, il est également synonyme de phase de révisions.
Dans cette université gorgée de soleil, Sandra est une étudiante comme une autre. Cette jolie métisse aux formes généreuses mais légèrement complexée par ses 82 kgs pour son mètre 70, aux cheveux noirs bouclés n’est donc qu’une âme errante supplémentaire dans un dédale de couloirs surpeuplé et aux couloirs insipides. Si Sandra est angoissée aujourd’hui, c’est qu’elle n’est pas sûre de réussir sa licence… Licence obligatoire pour son accès au master de l’enseignement. L’aboutissement de tous ses rêves, la préambule de sa vie professionnelle fantasmée et désirée depuis sa tendre enfance.
Révisions, annales, exercices… Tel est le quotidien de Sandra depuis deux mois et cela commence à lui peser. Fatiguée, éprouvée et mentalement affaiblie en ce 26 mai, Sandra est deux doigts de jeter l’éponge. Moment fatidique d’une réalité qui semble lui échapper, sa ténacité et sa persévérance n’ont d’égales que son charme.
A presque 18h30, il ne reste plus grand monde dans cette université lorsque Sandra décide de partir. Un SMS envoyé à sa meilleure amie pour voir si elle est disponible ce soir, une consultation sommaire de Facebook et un passage par twitter après, voici notre jolie métisse passant devant la salle des profs. Et si M.Brugnard était là ? Elle avait un conseil à demander à cet homme, qui l’a souvent guidé dans ses choix et apporté son soutien, Sandra étant une fille brillante. Elle entrevoit sous le pas de la porte de la lumière et décide de voir s’il est là. Frappant à la porte, notre protagoniste pénètre dans la salle des profs et M.Brugnard est présent ainsi que M.Fabre. Elle esquisse un sourire :
« -Bonjour M, je peux vous parler un instant ?— Bien sûr, Sandra, vous avez l’air préoccupé. »
Sandra se confie, laisse éclater sa fatigue et son désespoir ainsi que sa situation qui l’angoisse tant. Elle demande également si elle peut faire compter sur lui, en cas d’échec, pour la conseiller et la guider. M.Brugnard semble étonné et la rassure. Cependant, derrière cette bienveillance sommeille un désir profond. M.Brugnard a toujours fantasmé sur Sandra et elle ne va tarder à le savoir.« Sandra, vous savez, je peux vous apporter tout mon soutien. M.Fabre aussi peut le faire. Par contre… »
M.Brugnard s’arrête, sourit et effectue un aller retour vertical sur Sandra. Son débardeur blanc mettant en valeur sa voluptueuse poitrine et son jean corail moulant ses fesses ont suscité son excitation. Il s’approche d’elle, lui caresse le visage, plonge ses yeux dans ses yeux noirs et lui assène son limpide intention :
« … Laissez nous vous voir… Sous toutes les coutures… Comme très peu de personnes vous connaissent… »
M.Brugard commence à embrasser Sandra, en lui caressant le visage. Sandra est tétanisée, scandalisée, outrée, blessée dans son amour propre et révoltée par ses pratiques primaires et bestiales.… Mais à peine a –t-elle le temps d’avoir le cerveau saturé par ses sentiments, que M.Brugnard l’embrasse de plus en plus langoureusement tandis que M.Fabre s’est rapproché de Sandra, lui caressant les fesses. Sandra est totalement accaparée, prisonnière de cette situation dont elle n’a pas le contrôle. A sa grande surprise, la voilà soudain excitée et elle répond à son « assaillant » en l’embrassant et en cherchant sa langue. Sandra se cambre légèrement pour permettre à son deuxième « assaillant » de mieux lui caresser les fesses.Sandra ne peut plus faire machine arrière. Elle doit donner de sa personne pour pouvoir avoir un soutien véritable et solide. Puis deux hommes rien que pour elle, quelle meilleure manière que d’allier l’utile à l’agréable ?
Notre belle métisse embrasse M.Brugard langoureusement, qui baisse la tête pour l’embrasser dans le cou. Sandra gémit et plaque la tête du professeur contre sa peau, les mains de M.Brugnard s’égarent sur sa poitrine, la malaxant avec fermeté mais avec une grande précision tandis que M.Fabre continue de lui caresser les fesses d’une main, tout en dégrafant son pantalon d’une autre et en l’embrassant dans la nuque.
Sandra ne sait plus où donner de la tête. On l’embrasse de part et d’autre, et quatre mains lui parcourent son corps. Elle ne s’est pas rendu compte que son pantalon dégrafé laisse entrevoir sa culotte turquoise qui commence à s’humidifier. Avec sa main droite, elle cherche à toucher l’entrejambe de M.Fabre, se cambrant de plus en plus. M.Fabre la guide et dégrafe à son tour son pantalon, laissant voir au grand jour son immense satisfaction. Jusqu’ici tous silencieux, M.Fabre est le premier à ouvrir la bouche :
« C’est qu’elle est moins candide qu’elle, notre petite ange ! Tu t’en doutais Pierre ?- Oula non , Didier!, rétorque Pierre. Mais, dis moi, Sandra, ta poitrine est divine, tu fais du combien ?— 100D, cent pour cent naturel, énonce Sandra entre deux gémissements tout en tâtant le pénis de Didier.-Mhhh, laisses moi voir ça de plus près »
Pierre tâte les seins de Sandra, baisse un peu la partie supérieure de son débardeur. Didier, toujours à l’arrière, en profite pour dégrafer son soutien-gorge turquoise, et voici notre métisse, les seins libérés de leur armature dans son débardeur. Pierre plonge sa tête pour lécher le téton de Sandra et hume son parfum sucré et boisé. Il en profite pour glisser sa main dans son pantalon pour titiller son clitoris à travers sa culotte en soie turquoise.Didier commence à enlever le pantalon de Sandra qui bouge les fesses pour l’aider. Elle savoure avec délectation cette perte totale de contrôle, d’autant plus qu’elle commence à ressentir l’air frais de la pièce sur ces cuisses à présent, maintenant que son pantalon est à ses chevilles. Gémissant et haletant, Pierre exerce toujours des petits mouvements circulaires sur son clitoris mais Sandra ressent quelque chose de nouveau. Didier vient de parcourir sa cuisse avec sa main gauche qui est maintenant située sur ses lèvres. La belle métisse est submergée par des sensations nouvelles et magnifiques, elle qui sent deux mains sur son entrejambe. Elle écarte un peu les jambes pour permettre à ses deux professeurs d’être plus explorateurs. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle oublie Pierre qui lui lèche, malaxe, embrasse, savoure et profite de sa poitrine volumineuse, soumise à de multiples plaisirs. Puis soudain, Pierre enlève sa tête de la poitrine de Sandra, sourit, baisse les yeux et lui dit :
« Sandra, prépare toi à aimer…  Didier, aides moi, s’il te plait»
Didier écarte la culotte de Sandra afin de permettre à Pierre de glisser sa tête vers son entrejambe. Après s’être accroupi, il regarde deux secondes le clitoris de Sandra avant de le lécher avec tendresse et avec des mouvements circulaires. La métisse laisse échapper un cri de plaisir en sentant cette langue lui parcourir l’entrejambe pendant que Didier continue de lui caresser les lèvres. Elle se retourne pour voir son deuxième partenaire qui l’embrasse de suite, ne lui laissant même pas le temps de respirer.
« T’as vu comment elle aime ça, Pierre ? Elle cache bien son jeu, la coquine… Vas y doigte la ».
Sandra n’a pas le temps de retourner son visage qu’elle sent deux doigts entrer en elle et commencer un va et vient régulier et profond. Pierre continue de lui lécher le clitoris, Didier lui permettant d’écarter le morceau de soie qui le sépare de son objectif. Sandra écarte sa bouche de celle de Didier, gémit et commence à crier de plaisir. Elle met sa main sur sa culotte pour l’écarter, Dider profite de l’occasion pour lui caresser les seins. Sandra commence à réellement prendre du plaisir grâce aux performances digitales de son partenaire. Pierre multiplie les allers retours dans le vagin de Sandra qui se retient d’hurler tandis qu’elle voit les bretelles descendre grâce aux mains de Didier. Après plusieurs minutes de va et vient, Sandra est au bord de la jouissance quand elle sent Didier l’embrasser par derrière et lui caresser la poitrine. Quelques dizaines de secondes après avoir fermé les yeux, sentant toujours une langue sur son clitoris, deux doigts en elle et sa poitrine malaxée par deux mains expertes, Sandra se met à trembler…
Pierre se retire, sourit et se lève. Il entraine notre métisse, encore groggy, vers une table et lui dit de s’assoir pour reprendre ses esprits. Nos deux professeurs s’écartent d’elle et se placent en face, le sourire en coin. Ils commencent à défaire leur pantalon. Le temps que Sandra reprenne ses esprits, la voila en face deux penis prêts à l’action. Celui de Pierre est légèrement courbé, de taille normale et rasé mais c’est celui de Didier qui l’interpelle. Epais, large, bien droit et dur, il est clairement plus gros que la moyenne. Sandra en frémit d’avance :
« Sandra, nous t’avons démontré notre savoir-faire… A ton tour de nous montrer le tien. Mets-toi à genoux devant nous ».
La belle métisse s’exécute, s’extirpe de sa perte de repères et se met à genoux, à la hauteur des deux pénis en érection. Sa main droite se met sur celui de Pierre tandis que de sa gauche elle commence à masturber Didier. Après quelques secondes de repérages, elle masturbe nos deux professeurs avec un va et vient régulier et son excitation commence à reprendre le dessus. Elle approche sa bouche de l’outillage de Didier et le gobe. Il est tellement gros qu’elle ne peut pas le mettre entièrement dans sa gorge. Elle essaie tant bien que mal de le prendre en entier, mais rien n’y fait, elle n’a jamais sucé quelque chose d’aussi gros. Léchant le pénis sur toute sa surface, elle met l’accent également à sucer les boules entièrement rasées de Didier, tout en croisant le regard de ce dernier. Sa main droite est toujours en train de masturber Pierre dans un mouvement régulier mais rapide et expert. Car Sandra sait comment s’y prendre, les professeurs voulaient déterminer les talents de notre belle métisse, ils vont le savoir !
Sandra quitte la verge de Didier pour se concentrer sur celle de Pierre. Elle est plus petite et moins hors normes et elle n’a aucune difficulté pour la sucer entièrement. Elle la gobe de haut en bas, de bas en haut, de gauche à droite et de droite à gauche, le tout en espaçant ces périodes de suçage par des petites léchouilles lentes et sensuelles. Son regard se plonge dans celui de Pierre, et ses yeux commencent à changer. Ils deviennent plus élancés, sa forme s’allonge comme une amande et une lumière brille dans ses yeux… Oui, elle aime ce qu’elle entreprend et est très excitée. Pour la première fois, elle va prendre la parole :
« Mhhh, vous voulez contempler mes seins pendant votre fellation ? »
Quelle question stupide, belle enfant ! Crois-tu vraiment qu’ils vont dire non ? Elle ne leur laisse pas le temps de répondre qu’elle lache ses deux « nouveaux meilleurs amis » pour soulever son débardeur et enlever son soutien-gorge. Son 100D se trouve à l’air libre, son débardeur étant situé sur sa poitrine. Les profs n’en reviennent pas et ne sont pas au bout de leurs surprises…
Sandra revient à la charge et lèche alternativement chacun des pénis en totale érection. Elle masturbe, caresse, tâte les bourses, lèche, se délecte des deux monuments qui se présentent à elle. Didier est fasciné par ses compétences et son regard est littéralement absorbé par sa poitrine. Pierre quant à lui, regarde la culotte de Sandra et se languit de notre métisse décidément bien affairée.Sandra n’en finit plus de faire plaisir à ses partenaires mais c’est surtout le pénis de Didier qu’elle aime. Elle n’en avait jamais vu d’aussi gros et en profite. Elle tente de le gober en entier, mais rien n’y fait, ceci est impossible. Alors, elle recule légèrement sa tête pour mieux masturber ses deux professeurs avec un regard plein de promesse. Les deux profs tentent de retenir leur éjaculation mais face à un tel spectacle, la tâche est quelque peu difficile.
Didier recule un peu et s’adosse à la table derrière lui, Sandra s’approche et le masturbe avec vigueur. Pierre se met derrière et la penche un peu. Il ne le voit pas mais Sandra sourit et cambre les fesses. Pierre lui écarte sa culotte, avance son pénis et commence à entrer dans le vagin de Sandra. La belle laisse échapper un cri, quelque part entre la surprise et le plaisir.
« Mhh oui, elle est déjà toute mouillée, la cochonne ! Maintenant que je suis dedans, je reste.-Ah oui ? rétorque notre métisse entre deux gémissements. Faites-vous plaisir… »
Pierre effectue des va et vient constants et puissants, s’agrippe aux fesses de Sandra pour bien la pénétrer et commence à bien prendre son pied. Sandra s’accroche à la table et en profite pour prendre le pénis de Didier, toujours aussi gros. Notre métisse regarde Pierre en léchant ses lèvres, tout en masturbant Didier, qui lui ramasse les cheveux en boule afin que ses longues bouclettes ne la dérangent pas dans son œuvre. Le visage dégagé, la voilà en train d’avaler le mastodonte tandis qu’elle subit les assauts de Pierre. Ce dernier, entre deux râles, baisse sa culotte, la met à ses chevilles et continue à lui faire comprendre son désir. Sandra encaisse bien, suce Didier avec passion et crie de plaisir. Puis Pierre se retire d’un coup :
« A ton tour, Didier… Tu vas voir, elle est très bonne. »Didier écarte un peu Sandra, lui enlève sa culotte turquoise et s’allonge par terre. La belle métisse sourit et a les yeux qui brillent en voyant l’outil dressé de Didier.
« Tu veux venir la tester ?— Oui, elle est tellement grosse. »
Sandra s’installe sur Didier et s’assoit sur la 8ème merveille du monde. Elle ressent quelque chose d’exceptionnel en la sentant rentrer. Jamais n’avait-elle testée quelque chose d’aussi gros. Elle monte, descend son bassin, de plus en plus vite, de plus en plus fort. Pierre se met en face d’elle et la belle masturbe Pierre de sa main droite. Après quelques minutes d’empalement, Sandra est dans un état second, se caresse les seins, hurle de plaisir et fini par enlever son débardeur. Le belle métisse, totalement nue, est au comble du bonheur avec ses deux tourtereaux, commence à suer, ses seins se balancent et Didier en profite pour les malaxer pendant que sa muse s’affaire de façon passionnée. Mais Sandra n’oublie pas pour autant Pierre qui en profite pour lui donner du plaisir. Sa poitrine malaxée, ses tétons agrippés, son vagin bien occupé et sa main droite en mission intime sur Pierre, Notre héroïne est au bord de la jouissance et exprime son plaisir à haute voix.
Des va et vient et encore des va vient… C’est au tour de Sandra de montrer son endurance et après dix minutes non-stop d’action, notre muse à peau cuivrée commence à faiblir et s’arrête pour reprendre des forces. Didier en profite pour se redresser, la basculer en arrière et la prendre en missionnaire, ne lui laissant aucun répit. Sandra commence à avoir des spasmes, des tremblements et la respiration hachée.
« Je… Je ne vais pas tarder à … arriver au bout.— Oh, déjà ? rétorque Pierre… Vas y, Didier, fais lui prendre son pied.— A…Attendez, il faut que je reprenne un peu… mon souffle lance timidement Sandra.— Je ne pense pas non … »
Didier se retire violemment, faisant convulser la belle. Il S’allonge sur le ventre, et lui enfonce trois doigts dans son vagin tandis que Pierre lui lèche le clitoris. Sandra n’en peut plus et est au bord de la jouissance… Après une petite minute de cette combinaison délicieuse, elle ne se contient plus et laisse éclater son orgasme. Totalement à l’ouest, nos deux héros se redressent, sourient et contemple leur vénus en plein bonheur. Sandra se redresse et tient à remercier ses amoureux d’un soir.La voilà en train de masturber Pierre et Didier, le regard brillant et le sourire malicieux. Nos deux professeurs ne lâchent pas Sandra du regard, contemplent de nouveau ses formes généreuses, son 100D majestueux, ses cheveux bouclés finement travaillées, sa couleur mate exotique et son joli minois. Sandra sent ses chevaliers fascinés par sa beauté et accélère ses mouvements de va et vient.Point final de notre aventure, voilà que Pierre éjacule sur les seins de notre métisse qui sent le liquide chaud et dégoulinant sur son buste. Sandra lâche les deux phallus pour éviter que le sperme tombe sur le sol, tandis que Didier se masturbe. Elle redresse la tête, se malaxe les seins et exhorte son deuxième amoureux d’un soir à tutoyer le bonheur. Didier ne se sent plus et finit par éjaculer sur la poitrine de Sandra également, qui le regarde avec envie et satisfaction.
Pierre qui regardait la scène, va chercher du sopalin et nettoie Sandra. Didier part chercher les vêtements de Sandra car, nue depuis un certain temps, elle commence à greloter. Sandra commence à réaliser ce qui s’est passé, le caractère interdit de son action et cherche ses vêtements. Elle ressent soudain une petite chaleur, Pierre lui ayant apporté sa veste en attendant de la laver. Notre belle métisse voit Didier l’essuyer avec douceur. Elle ne s’attendait à ce genre d’attentions post-coïtales, surtout de la part de deux personnes qu’elles connaissaient, certes, mais qui ne sont pas du tout proches d’elle.
« Tu veux un café, Sandra ?-Euh, oui… Avec plaisir ».
Pierre va préparer un café puis se rhabille
« Tes vêtements sont là, Sandra lui annonce Didier. J’espère que nous ne t’avons pas trop brusquée.-Non, ne vous en faites pas, rétorque la belle, surprise par tant d’attention. J’aime le sexe et avec mon copain, nous sommes plutôt sportifs, si vous voyez ce que je veux dire. Mais ce n’est pas tout car nous vivons séparé, il travaille sur Bordeaux. Donc nous nous voyons que les week-end.— Bordeaux? Je connais bien, cela a été ma première affectation lui dit Pierre. Tiens, ton café.-Merci »
Sandra prend son café, le pose à ses côtés et se rhabille.
« Vous connaissez Bordeaux alors ?— Oui, très belle ville… Mais je m’ennuyais alors j’ai vécu un peu, puis ait rejoint ma femme ici et […] »
Durant près d’un quart d’heure, voilà notre trio en pleine conversation, parlant de tout et de rien. Sandra est détendue, se réchauffe et en profite pour se confier davantage. La nuit commence à tomber et la faculté est totalement déserte. Notre belle métisse a un sursaut d’angoisse.
« Mais, je n’ai plus de bus !! Désolée, il va falloir que j’y aille.-Attends, on va te ramener, si tu veux-Ne vous en faites pas, je vais me débrouiller, répond Sandra gênée…-De toute façon, il faut que l’on rentre aussi. De notre côté, tu as notre soutien pour ton avenir et nous garderons ce qui s’est passé dans cette salle pour nous. Nous comptons sur ta discrétion, Sandra.-Ne vous inquiétez pas… Je mets mes chaussures et on y va alors. »
La belle remet ses ballerines noires, réajuste son sac et suit ses professeurs. La montée dans la voiture se fait discrètement, personne ne doit les voir. C’est donc avec l’attention digne d’un gardien de prison que notre trio quitte les lieux. Dix minutes de route plus tard, nos deux professeurs se garent et laissent Sandra à quatre cents mètres, de façon à ne pas mettre en danger la réputation de leur muse.
« Merci… Je n’oublierais jamais ce qui s’est passé. Je me suis beaucoup amusée et cela restera vraiment entre nous. Je vous vois pour les oraux alors ?— Pour moi non, répond Pierre. Pour Didier c’est possible. Ne t’en fais pas, nous aussi avons adoré ce moment privilégié avec toi. Comptes sur notre discrétion. Bon retour et prends soin de toi et restes belle. Même si nous ne nous faisons aucun souci à ce sujet. »Sandra, gênée, sourit et regarde au sol. Elle ouvre la portière et s’apprête à rentrer chez elle. En consultant son téléphone : deux appels en absence et un message sur son répondeur… C’était sa mère qui s’inquiétait de ne pas la voir rentrer. Elle prépare une excuse, continue sa marche en s’enfonçant dans la nuit et ouvre le portail de sa maison, en faisant toujours attention à la marche, non visible depuis le trottoir puis entre chez elle. Elle pénètre dans le couloir :
« Maman ! Je suis rentrée.. Excuses moi de ne pas t’avoir prévenue mais je suis restée travailler tard et je suis restée manger chez Lucie.— Envoies moi un SMS, même un petit, je préfère cela à rien du tout.— Je suis désolée. Oh, je vais te prendre une crêpe »
Sandra s’installe à la table et raconte sa journée avec sa mère, toujours aussi fusionnelle. Puis notre héroïne d’un soir, pénètre dans sa chambre, allume son ordinateur et repense à cette journée mémorable. Tout en surfant sur Facebook, la tête ailleurs et les yeux dans le vide, Sandra se rappelle des caresses dont elle a fait l’objet, des sensations qu’elle a vécues, des émotions qu’elle a ressenties et du plaisir qu’elle a pris. Difficile de retomber dans la monotonie du quotidien après une telle épopée. La belle ne peut se concentrer davantage et éteint son ordinateur. Pensive, elle s’allonge sur son lit et revit son aventure, aventure dont elle se rappellera pendant longtemps. Paisiblement, elle ferme les yeux et s’endort… Une chose est sûre, elle fera de très beaux rêves…
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