Sarah sentait sa mère appuyée contre elle, surtout sa paire de seins qui était un beau 85 d. Elles avaient toutes deux leur regards plongée l’un dans l’autre, et après quelques secondes de silence, elles reprirent leur baiser, mais cette fois-ci, ce n’était pas que de la passion, mais aussi de la fouge et du désir dans leur baisers. Sarah s’arrêta quelques instant et regarda sa mère ; cette femme lui ressemblait beaucoup, les mêmes cheveux blonds, les mêmes yeux vert, ces deux là se ressemblaient beaucoup, même avec les 18 ans d’écart qui les séparaient. Très vite les mains de Sarah se baladèrent sur le corps de sa mère, et arriva à ses fesses qu’elle commença à palper tout en douceur. De son coté, Éliane touchait et malaxait les seins de sa fille par dessus la nuisette fine que portait sa fille, de ce fait, elle sentait les tétons de Sarah devenir de plus en plus dur.— Han maman, touche...touche moi plus...dit Sarah en un soupir lourd de désir.— Tu es sur ? Tu veux que ce soit ta mère qui s’occupe de ton corps ?— Oui vas-y...plus bas. Éliane s’adonna alors à la tache que venait de lui demander sa fille,lui enleva sa petite nuisette, et fit tout doucement glisser ses mains vers l’entre jambe de sa fille. Une fois le vagin de sa fille sur sa main, Éliane sentit qu’elle mouillait abondement, sa fille devait donc être excitée depuis un petit moment. Son doigt trouva facilement le clitoris chaud et humide de Sarah, qui commença à gémir immédiatement. — Cela te plaît-il ma fille?— Han oui maman ! Ne t’arrêtes pas, continue ! Fais en plus ! Éliane eu alors un sourire coquin se dessinant sur son visage. Elle descendit son visage jusqu’au vagin de Sarah, et commença à lui lécher le vagin. L’effet fut immédiat, Sarah se mit à gémir de plus en plus fort, et serra la tête de sa mère entre ses mains, l’appuyant contre les lèvres de son vagin. La sensation de la langue de sa mère propulsa Sarah dans un état d’extase auquel elle n’était jamais arrivée auparavant. Elle s’était déjà touchée quelquefois pour faire l’ expérience de ce plaisir intense dont elle avait entendu parlé, et cela lui donnait toujours du plaisir. Mais là, que ce soit sa mère qui la touchait, couplé à l’interdit de cet acte incestueux, la fit montée au septième ciel.— HUM...oui maman je jouis...je jouis ! Ne t’arrêtes surtout pas ! HO OUI ! L’orgasme fut puissant, long, et le plaisir qui submergea ses entrailles n’avait aucun rapport avec celui que lui procurait ses séances en solitaire. Une fois remise de ses émotions elle regarda sa mère dans les yeux et retourna poser ses lèvres sur les siennes dans un tendre baiser. Cependant, Sarah sentait bien qu’ Éliane n’avait pas eu sa dose de désir, elle recommença alors ses caresses sur les seins, mais en appuyant plus sur ces derniers. À son tour, Éliane sentit son excitation montée au fil des caresses de sa fille. Puis cette dernière s’arrêta, fit descendre la chemise de nuit, et allongea sa mère afin de contempler son corps : ses seins, malgré ses 38 ans, étaient toujours bien rond et ferme, et ses tétons, après être passer entre les mains de Sarah, se dressaient fièrement. Son entre-jambe était rasé car elle trouvait les poils contraignant, mais quand Sarah écarta les lèvres, elle vit une peau bien rose, et surtout, humide et chaude après toutes ces caresses. Voulant donner à sa mère le même plaisir qu’ elle lui avait donnée, Sarah commença à caresser le clito de sa mère, mais se stoppa rapidement pour faire entrer deux doigts dans le vain de sa mère, qui aussitôt, se mit à gémir d’un plaisir auquel elle n’avait pas goûter depuis longtemps. Sentir les doigts d’une autre personne qu’elle même, et en plus de sa fille, faire des vas et viens et frotter sa paroi vaginale, transforma les gémissements d’ Éliane en cri de plaisir.— Putain...oui Sarah ! Fais jouir ta mère ! HO Oui c’est bon, vas-y plus vite...je jouis ! D’un coup, Éliane se cambrât sous la force de son orgasme qui fit frisonner tout son corps. Une fois qu’elle reprit son souffle, elle prit Sarah dans ses bras et la serra tendrement, de petites larmes coulant de ses yeux.— Ça va maman ?— Oui, ma chérie, je suis juste très contente du moment que nous venons de passer, je t’aime Sarah.— Moi aussi je t’aime maman, de tout mon cœur. Elles s’embrassèrent de nouveau, avant de s’endormir nues dans les bras l’une de l’autre, leur pensées occupés par les images de ce qu’il venait d’arriver.
