De retour chez elle, Éliane se dirigea immédiatement sur son canapé, s’y affalât, et se mit à pleurer à chaud de larme. Naïvement, elle pensait que la relation qu’elle avait avec sa fille allait durée encore longtemps. Mais de toute évidence, Sarah, dans la fleure de la jeunesse, commençait à faire sa vie de son côté. Sans s ’en rendre compte, elle s’endormit, les images de sa fille dans la douche avec son amant encore en tête. Elle fût doucement réveiller par Sarah, qui après avoir lut le mot de sa mère, avait pris le premier train pour la rejoindre, se doutant que quelque chose n’allait pas. Éliane se redressa, et quand les larmes recommencèrent à couler sur ses joues, elle serra sa fille dans ses bras aussi fort qu’elle le pût.— Maman, qu’est ce qui t’ arrives ? demanda Sarah inquiète.— Je...je t’ai vue...avec ton ami...Pourquoi ne m’as tu pas tout dis sur votre relation ?— Parce que elle n’en était pas encore là quand je t’ en ai parlé hier soir. Il est arrivé quelques minutes après que tu soit partis, et nous avons commencer à parler de nos sentiments l’un pour l’autre. Et avant que je ne m’en rende compte, nous étions tous deux enlacés l’un contre l’autre, entrain de nous embrassés. Le reste est venu tout seul. Je ne t’ai pas menti maman ! Jamais je ne le ferais !— Je ne dit pas que tu mens ma chérie. Mais te voir avec lui...cela m’a fait du mal... Éliane recommença à pleurer, ce qui fit monter les larmes aux yeux de Sarah. La jeune fille se rendit compte que ce qu’elles vivaient représentaient énormément pour sa mère, car depuis que son père est partit de chez eux, Sarah était tout ce qu’ Éliane avait dans sa vie, et à présent, la voir prendre son indépendance, était comme lui arrachée une partie d’elle même.— Je devrais pourtant...être heureuse pour toi, reprit Éliane. J’ai tellement honte de moi ! Je ne pense qu’à moi !— Non maman, ne dis pas ça ! Tu as été là pour moi alors que je n’avais personne, et que même mon père m’a abandonné ! Tu m’as montrer la tendresse et l’amour alors que j’ignorais ce que c’était ! Je te dois tant maman !— Je veux juste savoir une chose : Ce garçon, que représente-t-il pour toi ?— Je l’aime de tout mon cœur. Je pense que...non j’en suis sûre, que c’est ça le coup de foudre. Ne répondant rien mais étant satisfaite de cette réponse, Éliane prit à nouveau sa fille dans bras, et la serra de toute ses forces, se rendant bien compte que leur relation était terminée. Cinq ans plus tard, Sarah était toujours avec le même garçon, et allait même se marier avec lui le lendemain. Pour son enterrement de vie de jeune fille, elle ne voulait qu’une seule chose, passer cette soirée avec sa mère celle qui comptait le plus pour elle. Ce soir là, elles restèrent chez Éliane, mangèrent un bon repas, et rigolèrent en se remémorant la relation qu’elles ont eu pendant plusieurs mois. À la fin du repas, juste avant d’aller se coucher, Sarah regarda sa mère droit dans les yeux avant de prendre la parole.— Je t’aime maman, de tout mon cœur.— Moi aussi ma chérie. Tu te souviens de ce que je t’ai dis avant le début de notre relation ? Un jour ce cœur sera partagé avec quelqu’un d’autre qui te réconfortera mieux que moi. Ce jour est arrivé, et je suis fier de toi. Les deux femmes se prirent dans les bras l’une de l’autre, et s’embrassèrent comme elles avaient garder l’habitude de le faire. Mais, comme presque six ans auparavant, Éliane glissa, entraîna sa fille dans sa chute, se retrouvèrent l’une sur l’autre sur le canapé.— Je veux te sentir une dernière fois contre moi, maman, dit Sarah dans un souffle d’excitation. Deux minutes plus tard, elles sont toutes deux dans le lit d’ Éliane, nue, et pleine de désir l’une pour l’autre. La mère sentit à nouveau les mains de sa fille toucher son corps, et cela lui prodigua le plus grand bien. Sarah fit rouler les tétons de sa mère entre ses doigts qui se mirent à durcir rapidement. Le souffle d’ Éliane devint de plus en plus rapide et lourd, et pendant ce temps, ses propres mains retournèrent là où elles ne sont pas aller depuis longtemps : l’intimité de sa fille. Ses doigts touchèrent et caressèrent le clito de Sarah, et les gémissements de plaisir commencèrent aussitôt. Avec son homme, Sarah était au paradis au niveau sexuel, et il lui donnait toujours beaucoup de plaisir. Mais avec sa mère, le plaisir était différent, et le retrouvé lui procura beaucoup de joie. Les gémissements firent ensuite place à des cris, lorsqu’ Éliane fit rentre un doigt dans le vagin de sa fille. — Oui maman, vas-y ! J’aime tes doigts ! J’aime quand tu t’occupe de moi ! Ho oui continu ! L’orgasme arriva rapidement, et Sarah se retrouva aux anges dans les bras de sa mère. Elles s’ embrassèrent ensuite langoureusement, et Éliane saisit le gode ceinture, qu’elle enfila, et fit rentrer dans l’intimité de sa fille. Les cris recommencèrent alors, et des deux côtés. Le plaisir de cette dernière relation charnelle était bien plus fort et intense, que tous ceux qu’elles avaient eu jusqu’à présent, et plus Éliane accélérait le mouvement, plus celui-ci augmentait— C’est trop bon maman, tu vas encore me faire jouir ! Vas-y ! Plus fort ! Oui, ça vient...Han Oui !— Pour moi aussi c’est bon Sarah ! Je t’aime ma chérie ! Je t’aime tellement ! Je jouis ! Violent, puissant et intense, l’orgasme fit monter les deux femmes au septième ciel au même moment. Toujours dans sa fille, Éliane se colla à Sarah et l’embrassa une dernière fois sur la bouche, et la regarda dans les yeux, les siens emplis de larmes.— Mon petit oiseau s’envole maintenant. Mais je serais toujours là, au cas ou tes ailes faiblissent. Le lendemain, Sarah fut accompagner par sa mère jusqu’à l’autel, où l’attendait son futur mari, mais également sa nouvelle vie. Éliane était à présent pleinement heureuse pour sa fille, qui avait maintenant tout ce qu’elle avait méritée dans sa vie. FIN
