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souvenir

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Souvenir Mon mari adore que je le suce ! Et comme moi, j’adore mon mari, je vais au-devant de son désir. De toute façon je n’ai pas le choix : gare si j’oublie ! Gare si je n’ai pas compris le regard, le petit geste m’invitant à officier. Arrivée à la maison, mes cuisses s’en souviendront. Nous nous sommes rencontrés à la fac, au début des années 80. Nous sommes rapidement sortis ensemble et je lui ai fait apprécié ma technique de fellation un soir au cinéma. Je me souviens de son regard quand je me suis penchée vers sa braguette. Dans le noir, j’ai sorti son sexe rapidement. Je voulais le sentir grossir encore entre mes lèvres. Il était chaud et doux. Je m’appliquais à titiller le gland avec le bout de ma langue et je fus surprise par sa main qui s’abattit à ce moment-là sur ma nuque. Il me forçait à le prendre entièrement en bouche. Me tirant les cheveux en arrière, je remontais rapidement sa queue, reprenait ma respiration, et déjà, il me poussait à l’avaler de nouveau. A cette occasion, je découvris plusieurs choses. Tout d’abord, la force de sa poigne ! Les larmes aux yeux je cherchais à me dégager de son emprise, mais sa main me ramener invariablement vers son sexe que j’embouchais. Également, je compris ce jour-là ce qu’était un homme qui ne cherchait que sa jouissance. Sous son étreinte, je me sentais objet de plaisir. Il décidait du rythme de mes allées et venues. Il éjacula en me tenant fermement, m’obligeant à tout avaler. Enfin, la chose la plus étrange, je la découvris peu à peu dans l’heure qui suivit. Son bras autour de mes épaule, blottie contre lui, j’étais sensée regarder le film, mais je ne faisais que repasser dans ma tête la scène torride qui venait de se jouer entre nous. J’avais joui… Je devais me rendre à l’évidence, au moment où ses jets de sperme buttaient contre ma gorge, des milliards d’étoiles explosaient dans ma tête. Aucun amant ne m’avait prodigué une telle jouissance. J’avais joui sous ses manières de brute, ses méthodes sévères pour diriger nos ébats. Tel l’arroseur-arrosé, j’avais cru le surprendre par une fellation experte et m’étais retrouvée jouet dans ses mains habiles. Sur le trottoir, en sortant de la séance, j’aurais été incapable de vous donner le titre du film que nous venions de voir. Par contre, je n’avais jamais su aussi bien ce que j’allais faire : j’allais garder mon homme, le chérir et ne plus le quitter. Un an plus tard, nous nous sommes mariés. Entre temps, j’avais découvert la fessée, la vraie, celle qui punit et qu’on redemande en même temps. Celle qui transporte vers des rivages chauds et ensoleillés. Celle qu’on craint aussi parce qu’elle signale une négligence, un oubli. Je due m’habituer à une nouvelle vie et ne pas craindre de le montrer. Au lit, je n’étais plus qu’une poupée gonflable qu’on manipulait. Tous mes orifices furent utilisés au plus grand bonheur de cet homme. Mais le plus difficile fut hors du lit, de la chambre, de la maison. Sans jamais être explicite, je devais toujours me tenir sous son contrôle. Invités dans la famille, chez des amis, il s’installait dans un fauteuil et je me mettais par terre à ses pieds. A moi de trouver une justification plausible… et la crainte de la fessée favorise l’imagination, je vous assure ! Vous voulez que je vous raconte la première fois chez ma sœur et son mari ? Pour le café, nous passons dans le salon. Il s’installe confortablement et je me place en face de lui, dans le canapé : quand même, chez ma sœur ! Il faut faire attention ! Me dis-je. Je l’entend claquer des doigts. Je le vois me toiser mais je ne bouge pas. La fin de la soirée fut alors horrible. Il discuta cordialement avec sa future belle-sœur et son futur beau-frère. Il se fit apprécier par son sens de l’humour, sa répartie, sa culture, tout en m’ignorant totalement. J’apparaissais ainsi bien terne à côté de lui, au point que ma sœur me coinça un instant dans la cuisine et me demanda pourquoi je faisais la gueule alors que j’avais la chance de connaître un type pareil. Vers minuit, nous les quittâmes. Nous n’habitions pas encore ensemble à l’époque (les convenances !) et il devait me déposer chez moi, en ville, alors que ma sœur habitait un petit village à une quinzaine de km. Quand il quitta la route pour s’engager sur un chemin de terre, en pleine nuit, me revint à l’esprit qu’il connaissait bien cette région, depuis son enfance. Il arrêta la voiture quelques centaines de mètres plus loin. Paraphrasant un film qui était sorti quelques années plus tôt, il me dit : dans cette espace, nul ne t’entendra crier ».Nous descendîmes de la voiture. Je ne comprenais rien. Nous étions dans une petite clairière, au clair de lune. Il s’éloigna vers les premiers arbres en me jetant un « déshabille-toi ! » qui ne souffrait aucune discussion. J’enlevais ma robe et la posais sur le capot encore chaud de la voiture, puis le soutien-gorge. Depuis que je le fréquentais, je portais uniquement des bas et très rarement des culottes, aussi, mon effeuillage fut facilité. Il revint avec des branches de noyer dans la main. Je frémis mais n’osais encore imaginer ce qui m’attendait. Il fit le tour de la voiture, ouvrit le coffre, en sortit une corde. Il s’approcha de moi : montre tes mains !J’avançais les bras. Rapidement, il fit tourner la corde. Mes deux poignets furent emprisonnés. Il me tira ainsi vers les premiers arbres et attacha mes deux mains liées à une branche, au-dessus de ma tête. Il tira la corde pour que je ne puisses m’appuyer que sur la pointe des pieds. Ainsi immobilisée, j’entendais sa respiration dans mon cou. Je sentis sa langue jouer avec le lobe de l’oreille. Il chuchotait : je ne veux plus que cela se reproduise mon amour. Tu m’appartiens. Tu dois m’obéir. Je vais te corriger et plus jamais, tu verras, plus jamais tu n’oublieras où est ta place. Il me dit tout cela très tendrement. Je le sens se retirer et, de suite, une brulure déchire ma fesse droite, puis la gauche. Je hurle. Je le supplie de cesser, puis je l’insulte, le traite de malade. Les coups continuent de pleuvoir. Il a maintenant changé de côté pour atteindre mon ventre. Les branches de noyer me cisaillent et me transpercent en même temps. Je ne suis maintenant que pleurs. J’endure et attends la fin de ce calvaire. Je ne réalise même pas que les coups se sont arrêtés. Il détache mes bras et je m’effondre dans l’herbe. Entre deux sanglots, je tente de reprendre ma respiration. Je cligne des yeux et derrière un voile de larmes je le vois s’éloigner, ranger la corde dans la voiture, puis revenir, une branche toujours dans la main. Avec celle-ci il me caresse l’épaule et le dos meurtri. Le ton a changé. C’est d’une voix dure qu’il s’adresse à moi : mets-toi à quatre pattes !j’obtempère, redoutant sa colère. Sa main caresse doucement ma croupe, mon cul. Elle s’insinue entre mes jambes que j’écarte, facilitant la progression. Il fouille ma toison, à la recherche du tendre bouton, et constate que je suis déjà trempée ! Tu ne peux renier tes désirs les plus profonds.Je suis rouge de honte et de confusion. Il a raison. Je viens de souffrir et de jouir en même temps. Dès demain, tu vas épiler ta toison. Je ne veux plus jamais voir un poil pousser sur ton mont de vénus. Ce sera ta punition pour m’avoir désobéi. Maintenant qu’il a constaté mon plaisir, il se sait victorieux. Il sait que demain je serai encore à quémander son regard, ses caresses… ses ordres. Je l’entends se redresser. Un bruit de fermeture éclair. Je redresse tête, il attrape mes cheveux et dirige mes lèvres vers sa queue. Je le prends avidement, lèche le bandeau de chair, le laisse s’enfoncer de nouveau, au plus profond.. Mes mains caressent ses bourses mais il me l’interdit rapidement. Il veux que je les croise derrière la tête. Ainsi, bien redressé, il s’enfonce, au rythme qu’il a choisi dans ma bouche, jusqu’à la jouissance. Dès le début de notre mariage, je savais donc à quoi m’attendre. Et j’en redemandais ! Nous formions un couple remarqué et nous étions souvent invités chez les uns et les autres. Nous nous installâmes à Paris, dans le Marais, et je pu finir mes études. Car ne croyez pas que je fus enfermé par mon Seigneur et Maître, dans une vie de recluse, consacrée à ses désirs. Au contraire, de quelques années mon ainé, il termina ses études l’année de notre mariage. Son diplôme lui permit de trouver sans problème un emploi bien rémunéré. Ainsi, il insista pour que je continue mes recherches. Il organisa la vie autour de moi pour que je sois dans les meilleures conditions de réussite universitaire. J’obtins mon agrégation et je soutins ma thèse la même année. Je pus intégrer un laboratoire de recherche et donner quelques cours à l’université. Cette vie professionnelle, bien remplie et enrichissante, je l’ai conservé jusqu’à aujourd’hui. Elle m’a apporté une notoriété certaine. Je suis, dans mon domaine, ce qu’on appelle une sommité incontournable. J’ai voyagé de par le monde, intervenant dans de multiples conférences et colloques, faisant la fierté de mon mari. Lui aussi a connu une ascension sociale importante. A la fin des années 90, il a pris le train des start-up, montant sa propre entreprise dans un créneau aussi pointu que rémunérateur. Aujourd’hui, nos enfants sont grands et nous pouvons nous permettre de « prendre du recul ». Il vient de vendre sa société. Je fais valoir mes droits à la retraite. C’est une vie dorée de semi retraités qui nous attend. Déjà mon éditeur me parle de mémoires, d’autobiographie. Nous avons vécu, à travers les lieux où m’emmenait mon métier, des moments qui ont compté dans le tournant du millénaire. Nous avons croisé des individus remarquables, avant qu’ils ne deviennent des personnalités publiques. Mais je sais que tout un pan de notre vie sera absent de mes mémoires. Convenances. Souci des formes. Pourtant, je reste persuadé que cette partie de mon existence, loin d’en être un côté sombre, en fut un enrichissement qui contribua à mon épanouissement de femme, de mère, de citoyenne libre, militant pour un monde plus juste. Alors, en attendant ces mémoires officielles, ce sont ces aspects là que je veux livrer ici. Je vous ai déjà raconté ma rencontre avec mon mari, ma découverte de ses envies, mon plaisir à les assumer. Dans le secret de notre foyer, sans enfant au début, mon dressage allait bon train. D’ailleurs, je savais que ce n’est qu’une fois mon domptage terminé que nous fonderions notre famille. J’ai toujours aimé ces mots qui me mettaient au rang d’un animal, une pouliche, une jument, ou une chienne, comme Il aime me désigner encore aujourd’hui. Car je fus réellement dompté ! Cela prit du temps mais j’en pris conscience une nuit où je dormais par terre, au pied du lit. Toute la soirée, j’avais servi mon Maître et sa maîtresse d’un soir. Dans le noir, avec à l’oreille leurs gémissements de plaisirs, je réalisais que pour la première fois mon Maître me trompait. Mais je n’étais pas simplement cocue, je le vivais comme une action logique : c’était son droit. J’étais persuadée (et je le suis aujourd’hui encore) que jamais mon Seigneur ne m’avait trompé vulgairement, en se cachant de moi. D’ailleurs, le mot est mal choisi. Il ne s’agissait pas de tromperie. Un Maître ne trompe pas une esclave. Une esclave n’a aucune exigence envers son Maître. Quelques heures plus tôt, il était entré avec elle dans l’appartement et je compris tout de suite de quoi il retournait. Non pour m’en offusquer, bien sûr ! Je me fis simplement la remarque que je ne devais pas oublier de lui lécher les pieds après avoir honoré ainsi mon Maître comme à son habitude. J’étais nue. Je me prosternais devant eux. Ses pieds étaient fins. Ils étaient habillés de fines sandales blanches tenues à la cheville par un ruban vert. Je posais prudemment mes lèvres dessus. Cela sentait le lilas frais. Elle ne bougeait pas, je m’enhardissais et léchais doucement le dessus de son pied. J’entendais mon mari me présenter : la voici. Tu vois, elle est très docile.A ces compliments, je frétillais du cul. Il lui précisa alors ce que je pris pour une évidence : elle avait tous les droits sur moi. Normal : elle était avec Lui et semblait son égale. Elle s’accroupit face à moi et me prit la tête dans les mains. Ses longs doigts fourrageais dans mes cheveux. Je me laissais faire. Là, là ! Gentille chienne ! Tu es très belle. Ta peau est douce. Je vais bien profiter de toi ce soir. Tu as déjà aimé une femme ? Non.Un silence succéda à ma réponse. Je sentis sa main descendre vers mes mamelles. Elle prit un mamelon entre deux doigts et pinça fort. La douleur irradia tout un côté de mon corps, mais surtout je ne comprenais pas pourquoi j’avais droit à ce traitement. Je levais un regard larmoyant et interrogateur vers mon Maître. Ce n’est pas une réponse d’esclave que tu viens de faire. Diane est une Maîtresse elle aussi. Tu lui dois respect et obéissance. Je baissais alors la tête et m’excusais auprès d’elle. Toute la soirée, je veillerai à l’appeler Maîtresse Diane. Dans l’instant, mon Seigneur me mit une grande claque sur le cul : Allez ! File ! Sers nous un apéritif et prépare le repas.J’obtempérais prestement. Je partis vers la cuisine à quatre pattes et ne me redressais qu’une fois la porte franchie. Je mis à chauffer ce qui était le plus long à préparer puis je m’intéressais à l’apéritif. Coupant de fines tranches de saucisson, je réfléchissais. C’était la première fois que mon Maître introduisait quelqu’un dans notre intimité et notre relation. Je savais bien que cela arriverai un jour, mais j’avais toujours imaginé un homme. Plusieurs fois mon Maître m’avait expliqué qu’il me donnerai et j’avais accepté par avance, pour lui faire honneur, d’ouvrir mes cuisses, mes reins, à qui il m’offrirai. Nous étions mariés depuis deux ans et c’est à une femme que j’allais devoir me soumettre. N’imaginez pas une quelconque répugnance de ma part, mon dressage m’avait déjà emmené au-delà de ce type de réaction. Non, ce que je craignais, c’était de ne pas savoir faire, de décevoir, et au bout, d’être punie. Durement punie. Je retournais dans le salon, posais sur la table basse les gâteaux, saucissons, olives accompagnant les apéritifs. Je me gardais bien d’interrompre leur conversation et tout deux m’ignoraient superbement. Je pris dans le buffet les différents alcools, les posais devant moi. Je m’agenouillais, prenant soin d’ouvrir le plus largement possible les cuisses. Je gardais la tête baissée. Mes bras reposaient sur mes cuisses, la paume des mains tournée vers eux. J’attendis, attentive, guettant dans la conversation la commande d’apéritif. Je servis un whisky mon Maître et repris ma position.Je veux te sodomiser.Elle avait dit cela tranquillement et je savais que je devais vite réagir. Elle était une Maîtresse. Comme je l’aurais fait pour mon mari, je me tournai, mis la joue sur le tapis pour brandir haut mon cul. De mes deux mains, j’écartais mes fesses. Je l’entendis se déplacer. Elle se mis dans mon angle de vision et me contempla, les mains sur les hanches. Une sage jupe blanche cachait ses cuisses, presque jusqu’aux genoux. Elle portait un chemisier vert, dont le décolleté, en V, pointait jusqu’en dessous des seins. Ses épaules dénudées semblaient fragiles. Elle semblait avoir mon âge et tout, en elle, m’attirait. Je suis sûre que dans d’autres circonstances, nous aurions été amies. Là, elle me souriait dédaigneusement. Regarde, j’ai tout de suite pensé à le prendre quand ton Maître m’a dit que j’allais te rencontrer. Elle me montrait un gode ceinture noir qu’elle entreprit d’installer autour de ses hanches. Comparé à ceux employés par mon mari lors des « séances enculades » comme il appelait ces moments là, son engin ne me fit pas peur. J’avais vu et éprouvé bien pire, mais je me gardais bien de le dire. Je la laissais s’installer derrière moi. A la la souffrance, je craignais plus l’humiliation, car je savais ce qu’elle n’allait pas manquer de découvrir. En effet, elle glissa sa main vers mon con et remarque de suite l’humidité du lieu. J’étais trempe ! J’étais nue, offerte une inconnue qui menaçait de me sodomiser devant mon mari, et j’en jouissais par avance ! Quelle honte ! Je jouissais et dans le même temps j’aurais voulu disparaître dans un trou de souris. J’étais en pleurs. C’est une véritable rivière qui dégouline de sa chatte ! s’exclama-t-elle à l’intention de mon Maître. Regarde ! Le gode entre comme dans du beurre. Je vais pouvoir bien le huiler. Je sentais l’outil quelle faisait tourner dans mon ventre. Elle l’enfonçait puis le ressortait lentement avant d’y retourner de nouveau. Elle épiait mes gémissements. Une dernière fois, je sentis l’engin sortir et un grand vide, quelques secondes. Ses mains se collèrent sur mes hanches et d’un geste brusque elle s’enfonça dans mon cul. Je ne pu m’empêcher de crier devant la violence de la pénétration. Elle frappa mes fesses. Tais-toi ! Je ne veux pas t’entendre, petite enculée ! Elle entama un va-et-vient ample. Je sentais mon cul se déchirait à chaque envahissement mais je pleurais en silence et ne me plaignais pas. Mon mari s’était levé et placé derrière elle. Il introduisit sa main sous sa jupe pour atteindre son bouton et je sentis son plaisir monter avec l’accélération du rythme des pénétrations. Elle poussa un cri et s’écrasa sur mon dos. Ce fut le silence. Aucun mouvement. Juste son souffle sur mes omoplates. Elle savoura ainsi son plaisir plusieurs minutes. Puis je la sentis déplacer un bras. Sa main attrapa mon sein. Je me crispai d’appréhension mais le geste était tendre, la caresse douce. Elle se redressa et sortit lentement le gode de mon cul. Elle le laissa par terre et fut surprise de me voir me retourner pour le nettoyer, sans le toucher de mes mains, uniquement avec les lèvres et la langue, comme me l’ordonne toujours mon Maître. Elle me caressait gentiment les cheveux, m’appelait sa petite chienne. Je n’ai jamais revu cette fille qui prit possession de moi ce soir là. Après m’avoir si divinement enculée, je la servis de mon mieux, la fit jouir plusieurs fois. Tard dans la soirée je l’ai apprêtée pour qu’elle passe la nuit avec mon Maître. Je crois qu’aucune parcelle de son corps n’a échappé à ma langue. De même, aucune parcelle de mon corps n’a échappé à la badine qu’elle tenait d’une main très expérimentée pour son jeune âge. Quoi qu’il en soit, elle fut la première à m’utiliser. D’autres viendront, nombreux. Mais elle a laissé dans mon corps comme dans mon âme, une marque, un souvenir distinct qui me permet aujourd’hui encore de me caresser et de jouir violemment en regardant son visage voleter au dessus de mes paupières closes. Je sentis le froid du métal autour de mon cou en même temps que j’entendais le déclic du cadenas. Le collier semblait épais. Il était lourd. Je ne pouvais ni le voir ni le toucher, mes mains étaient enchaînées dans mon dos et mes yeux étaient recouverts d’un loup. L’homme tira un petit coup sur la laisse pour que j’avance. Mon Maître m’avait habillé de mes hauts talons et, dans le noir, je devais faire attention à chaque pas. D’ailleurs, où était-il maintenant ? J’avais dû couvrir mes yeux, dès notre départ en voiture. J’avais tenté de l’interroger sur notre destination mais il m’avait intimé l’ordre de me taire, d’un ton sans réplique. La voiture avait enfin ralenti, et il s’était adressé une dernière fois à moi : Sors, déshabille-toi, garde tes chaussures et ton masque. On t’attend ainsi.J’ai bien sûr obéi, sans discuter. Mais, le bruit du moteur qui s’emballe, dès que je fus nue, m’a surpris. Mon Maître m’abandonnait dans un lieu inconnu. A qui étais-je confié ? Pourquoi ? Combien de temps ? Toutes ces questions étaient présentes à mon esprit quand j’entendis qu’on s’approchait de moi. Tout doux, jolie chienne. Ton Maître ne m’a pas menti, tu es vraiment magnifique.Par réflexe, je baissais rapidement la tête, écartais les cuisses et laissais mes bras le long du corps, paume ouverte, vers la voix. et docile avec ça ! Nous allons bien profiter de notre week-end je crois…Alors qu’on me passait ce collier au cou, je me dis que je pouvais déjà répondre à une question : j’étais ici sans mon Maître pour plus d’une journée ! Qu’avait-il encore inventé pour me mettre à l’épreuve ? C’était plutôt réussi d’ailleurs, j’avais sentis mon intimité se mouiller quand l’homme avait annoncé qu’il allait « profiter » de moi. Une porte s’ouvre. Je suis poussée à l’intérieur. On me guide quelques pas puis je dois m’arrêter. La voix reprend, tonitruante : Et voici, messieurs dames, notre jouet ! Vous ne l’aviez jamais vue ainsi n’est-ce pas ?J’entendis un ou deux rires, de suite stoppés par celui qui semblait être le maître de cérémonie. Chut, je vous rappelle la règle principale : elle ne doit pas entendre vos voix, elle ne doit pas vous reconnaître, alors que vous allez tous abuser d’elle. Je tressaillis. Ces hommes, et peut-être ces femmes, me connaissaient ? L’homme tira d’un coup sec sur la laisse et je me retrouvais à quatre pattes sur une épaisse moquette. tu as bien entendu : tu es confié par ton Maître aux personnes présentes. Elles te connaissent, toutes, mais dans d’autres cadres : professionnel, familial, social. Tiens approche ! Il me prit par le collier pour me faire avancer. Monsieur, voulez vous commencer. Il y a bien longtemps qu’une telle jeunesse ne vous a pas prodigué ses caresses. Il paraît qu’elle est très douée. Voilà, descendez votre pantalon. Oh, c’est plus tout neuf ça ! Mais elle va s’appliquer, ne vous inquiétez pas. Il me releva par les cheveux et je sentis une présence devant moi. Ouvre la bouche !Une verge mollassonne s’enfonça entre mes lèvres. Je la suçais me demandant à qui elle pouvait bien appartenir. Je n’en revenais pas de ce que mon Maître me faisait subir là. Comment allais-je pouvoir regarder chacun maintenant ? La réponse était pourtant évidente. Pendant que je sentais le membre lentement gonfler dans ma bouche, mon tourmenteur me tapa sur les fesses, me rappelant par ce geste que je devais écarter les jambes. Ainsi, mon Maître lui avait parlé de mon dressage. Il reprit la parole : Son propriétaire m’a affirmé qu’elle ne pourrait pas cacher longtemps son excitation. Nous allons vérifier. Tout en disant cela, sa main s’enfonçait entre mes cuisses. Deux doigts pénétrèrent ma chatte et constatèrent mon degré d’humidité. Ainsi, c’est vrai : tu es nue, à quatre pattes, suçant une personne qui pourrait être ton grand-père, promise à bien d’autres encore. Tu sais que la plupart des présents te connaissent. Et tu jouis ! Regardez là ! J’étais submergée par la honte. Je me donnais en spectacle d’une manière qui paraitrait abjecte à mes amis, mais ils étaient peut-être là ! Et pourtant… Pourtant… mon ventre était en feu, le plaisir me prenait par vagues successives. Si une main forte ne me tenait pas par la nuque, je me serais roulée par terre. Je serrais les cuisses sur la main de l’homme qui triturait mon bouton, alors que dans ma bouche, je sentais un liquide me remplir. Je ne pouvais me dégager et dû avaler toute la semence du vieil homme avant qu’il ne se dégage. A qui le tour ? Madame ? Aviez-vous pensé que cette langue que vous connaissais bien vous ferez un jour jouir ? Allez-y, installez vous confortablement, au bord du fauteuil, la chienne va s’approcher. Sans réfléchir, je suivis la directive. Je flairai d’abord un agréable parfum, puis, une odeur plus forte, de femelle en rut. Elle aussi était trempé. Une toison épaisse se colla à ma bouche. La même voix reprit : Tu as compris la chienne ? Tu es en présence d’une vraie femme, pas d’une soumise toute lisse. Alors applique-toi, sors ta langue, oui comme ça, écarte les lèvres de Madame, dégage délicatement le beau clitoris. A-t-il bon goût ? Comme si je répondais à une question de mon Maître, je me mis à frétiller du cul. J’entendis un éclat de rire général qui me doucha. Les larmes me montèrent aux yeux mais je n’eus pas le temps de m’apitoyer. Regardez ce beau cul ! Qui veut en profiter ? Madame, avez-vous déjà fouetté un cul ? Non ? Et bien profitez-en ! Essayez ! Votre amie vous donne le sien ! Le silence s’était d’un coup fait plus présent. Je ne voulais pas imaginer la suite et aspirais de plus belle le bouton de la femme devant moi. J’entendais sa respiration devenir plus saccadée. J’entendis un sifflement et perçut une brulure sur les reins. Je voulus reculer mais deux mains se plaquèrent sur mes omoplates et m’immobilisèrent. Un deuxième coup de fouet cingla mes fesses, puis un troisième. Je ne pouvais plus satisfaire la femme devant moi, aussi, elle me tint la tête, me tira les cheveux et frotta violemment mon museau sur son sexe. Elle jouit ainsi et je pus reprendre ma respiration. Les coups avaient fini de pleuvoir. Je ne bougeais pas et sentis deux mains s’aplatir sur mes hanche. Un sexe cherchait son chemin entre me cuisses. Je me cambrais pour bien le recevoir. Il me pénétra d’un coup, profondément, et commença un va-et-vient puissant qui accompagnait une longue déferlante de jouissance : une nouvelle fois, le plaisir d’être avilie, humiliée, était plus fort que tout. on releva ma tête sans ménagement, par les cheveux, pour que je puisses engloutir une nouvelle verge et la sucer avec application. Mais cela ne devait pas suffire car l’homme devant moi sortit sa queue de ma bouche, me gifla et me remit son sexe en bouche, profondément. Je l’accueillis au fond de ma gorge, je m’étouffais. Il ressortit et recommença le même geste, les mêmes gifles avant de me forcer. De nouveau je l’avais en gorge, au risque d’asphyxier. Derrière moi, un autre sexe prenait place. Devant, l’homme sortit une dernière fois de ma bouche pour éjaculer sur mon visage et étaler de sa main son abondante semence. Quand un nouvel homme parvint à s’assouvir dans mon ventre, on me retourna. Je fus couché sur le dos et une femme s’assit sur mon visage. Je comprenais son désir et cherchais de ma langue à pénétrer son anus. Elle sentait fort mais je m’appliquais à lécher sa raie des fesses puis je retournais vers son petit trou. Elle jouit ainsi, se trémoussant sur ma figure, me maculant de son plaisir. Elle se leva et j’entendis des tintements de verres. Chacun reprenait des forces, en silence. On me donna une main à lécher. On me guida vers une gamelle dont je lapais goulument l’eau. Cela produisait un grand bruit qui fit rire l’assemblée. J’étais ridicule et en jouissais encore. la soirée continua ainsi. On m’utilisa de toutes les façons. Je ne dis rien, les rares fois où j’ai regimbais, une paire de claques, un coup de cravache, me remettais en place. Peu à peu, il me semblait que moins de monde se pressait autour de moi. Ivre de plaisir, je réagis à peine quand celui qui me dirigeait depuis le début enleva le loup sur mes yeux. Nous étions seuls. Il prit la laisse et m’emmena, toujours à quatre pattes, vers une petite cour intérieure. Je restais sur le glacis pendant qu’il prenait un tuyau d’arrosage. Il recula un peu avant d’asperger mon corps, sous toutes les coutures, si j’ose dire. Il me lança un morceau de savon. Je l’attrapai et commençai à me frotter. L’eau fraiche et la friction que je m’imposais me firent du bien. J’étais couverte de mousse, à genou face à lui et je me doutais bien que je devais commencer à l’exciter… Caresse-toi, fais-toi du bien, tu l’as bien mérité.Ainsi, il me récompensait. J’étais fière. Mon Maître allait certainement savoir que j’avais été obéissante. Sous la mousse, la caresse était douce. Mon autre main était sur une mamelle. Je fermais les yeux et revivais les sensations de l’après-midi. Le plaisir montait en moi. C’est à ce moment que l’eau me gifla. Il avait remis la pression et je devais me protéger. Il agissait comme avec un chien à qui on lance un seau d’eau pour le calmer. J’en pleurais de rage et d’humiliation. Je l’entendais rire de la farce qu’il venait de me jouer. Je le haïssais. Il arrêta l’eau et me jeta dessus une méchante serviette. Il me frotta, me maintenant à terre. Il me fit rouler pour atteindre mon entrejambe. Une fois sèche et calmée, il reprit ma laisse et me dirigea vers la maison. J’étais de nouveau domptée. Il se servit un verre d’alcool avant de s’installer dans un fauteuil. Je me couchais à ses pieds, frétillant de contentement quand il passait une main sur mes reins. un long moment passa ainsi. Quand on entendit la sonnette, il secoua mon épaule de sa chaussure : Va ouvrir !Sans réfléchir au fait que j’étais nue, j’allai à la porte d’entrée, me levai et ouvris. Mon Maître était de retour ! Je me jetai à ses pieds, baisai ses chaussures. J’étais heureuse. Dans le secret de notre lit, mon Maître voulut savoir tout ce que j’avais ressenti. Je lui décrivais tous les moments vécus et quelles questions venaient alors à mon cerveau. Décrire les actions, les paroles, les faits et gestes était relativement facile, mais j’avais plus de mal à faire le point de mes pensées. Une question me taraudait : Qui était là, cet après midi ? Tu ne le sauras jamais. C’était vraiment des gens que je connais ?Oui Des proches ? Oui Mais il faut que je saches. Comment pourrai-je me comporter avec tous sans savoir ? RéfléchisJ’hésitais un instant puis repris : C’était étrange, je me comparais à une prostituée, sauf qu’elle, elle sait avec qui elle est, elle voit. Elle sait pourquoi elle est là, pourquoi elle écarte ses cuisses. Alors que moi, je ne sais pas qui était là, je sais que parmi les gens que nous fréquentons certains étaient là, m’ont baisé, gratuitement. Je ne vois pas maintenant pourquoi je refermerais mes cuisses à quiconque, puisque je ne sais pas à qui je les ai ouvertes. Mon amour se retourna vers moi. Il m’embrassa tendrement sur le front. Je sentais son souffle sur moi. Je voyais ses yeux graves qui me fixaient. Ne change rien à tes pensées. Tu es exactement comme je le souhaitais. Tu es domptée, dressée pour accueillir chaque homme, chaque femme, qui en manifestera le désir. Au plus profond de toi, un verrou à sauter, de par ma volonté. Il m’aurait été facile, par jeu, de te prostituer. Cela ne m’intéressait pas, je veux plus pour toi. J’ai voulu faire de toi une femme publique, ma femme publique. Je parle, fixant le micro, mais je ne sens que mon cul qui me brûle. Je sens encore son sexe au plus profond de mes secrets. Plusieurs centaines de personnes, d’universitaires et chercheurs, écoutent mon discours. Je sais que je les captive, je sais que je suis forte dans cet exercice. Mais mon esprit est ailleurs. Ce matin, Il s’est introduit dans ma chambre d’hôtel. Avec tout son charme, Il a convaincu la réceptionniste qu’Il était bien mon mari (ce qui est vrai) et qu’Il fallait le laisser me surprendre avec son énorme bouquet de fleurs. Il faisait chaud et je dormais nue sur le drap. Il a délicatement lié mes poignets et chevilles aux montants du lit puis m’a réveillée en tirant les sangles d’un coup sec. J’étais alors immobilisée, sur le ventre, bras et jambes écartés. D’instinct, j’avais relevé la tête pour comprendre. Il en avait profité pour me bâillonner fermement. La réceptionniste n’avait pas examiné de très près le bouquet, sinon, elle aurait remarqué ces longues tiges souples qu’il tenait maintenant et faisait siffler dans l’air. Il passa doucement sa main sur la cambrure de mes reins. Un doigt suivit le sillon entre mes fesses, puis se retira. Le premier coup vint très vite. Je n’avais pas encore repris ma respiration qu’il était suivi pas un deuxième, puis un troisième. Comme un métronome, son bras se relevait dans un geste souple, puis s’abattait violemment dans mon dos. Je tirais sur mes liens de toutes mes forces, je ruais, mais ne m’offrais que mieux en spectacle. Le fouet improvisé continuait son travail méthodiquement. A ce moment me revint en tête ces images de vieux westerns, quand le cowboy monte le pur-sang sauvage. Il vire, chavire, se cabre, enchaîne les ruades pour se dégager de son passager, puis se calme, vaincu, et accepte cette domination. Cette pensée s’imposait à moi quand, fatiguée, je renonçais à me battre. Les larmes inondaient mon visage. J’acceptais mon sort, je le méritais même certainement. Il était le Maître et donc seul apte à juger. Quand Il cessa, je léchais avidement ses doigts pour le remercier. Je l’entendis poser son pantalon. Il s’installa derrière moi, toujours attachée. D’une main, il attrapa ma hanche. De l’autre, il se positionna sur mon œillet. Il poussa d’un coup, sans autre préparation. Bien sur, Il ne tint aucun compte de mes hurlements étouffés par le bâillon. Il m’enculait fermement, prenait toute sa place. Il allait et venait, dans de longs mouvements puissants, entre mes reins. Une dernière fois, Il s’enfonça au plus profond de moi. Je sentis sa semence chaude m’inonder. Il resta alors sans bouger, appuyé sur mon dos. Quand Il se dégagea, je savais pourquoi. Il commença par défaire mes liens : je me retournai pour qu’Il m’enlève le bâillon. Puis je m’affairai à le nettoyer de ma langue. Je savais qu’Il attendait cela de ma part. Il m’avait durement dressée pour que je ne l’oublie pas. Je m’appliquais, de la langue, à récupérer les gouttes perlant. Comme toujours, je me régalais de son odeur. Quand Il partit, je réalisais qu’Il avait tout minuté. Il ne me restait que peu de temps pour me préparer et rejoindre l’amphithéâtre où je devais intervenir ce matin. Sans déjeuner, je passais rapidement sous la douche et me maquillais. Au moment de choisir mes vêtement, je découvris… que je n’avais plus le choix. Il avait tout emmené, me laissant un tailleur sage, mais aucun sous-vêtement. Le cul en feu, je finis ma communication. Je ne pris pas le risque de m’assoir, au moment de répondre aux questions. Je craignais de réveiller la douleur sur mes reins. Ainsi debout, j’entretenais une proximité avec le public qui contribua à l’ovation dont je fis l’objet, une fois la dernière question épuisée. Chacun mit sur le compte d’une timidité naturelle ma précipitation à redescendre dans la salle, me blottir dans le fauteuil moelleux. S’ils avaient su qu’en fait, je jouissais ! Depuis mon réveil, je n’avais pas eu une minute à moi, et pour cause ! Maintenant, l’intervention terminée, les applaudissements avaient ouvert des vannes secrètes. Mon cerveau s’emplissait d’une foule d’émotions. C’est exactement dans ces moments là, d’une exquise extase, que je réalise tout le bien que me procure mon Maître. Il avait tout prévu, Il savait que l’équation : discours en public + chaleur au cul, aurait pour résultat de tremper mon entrejambe épilée. Un vague sourire aux lèvres, j’écoutais distraitement l’intervenant suivant. Je gardais ma veste sur mes cuisses et pouvais ainsi, en tout discrétion, caresser mon sexe à travers le tissu du tailleur. C’était bon. Délicatement bon. A la fin de la matinée, je rejoignais un des restaurants de cette université quand je vis mon Maître. Il m’attendait sur le parvis. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine et je rosis légèrement. J’étais heureuse quand il me surprenait ainsi. Je me fichais du monde autour de nous. J’attrapais sa main et la léchais pour le remercier de ce qu’il venait de me faire vivre. Fier, il passa un bras sur mes épaules et m’entraîna vers sa voiture. Le parking était désert et je dû enlever mon tailleur. Mon Maître put ainsi constater le feu sur mes fesses. Il me flatta la croupe et m’ouvrit la portière pour que je m’installe.
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