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Souvenir d'une enfance heureuse tome2

Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Chapitre 3 : L’amie de ma mère.
Comme je le disais dans le premier chapitre, une amie de ma mère nous accompagnait cet été là. Elle s’appelait Murielle. Elles s’étaient rencontrées dans une salle de gym. Elles y allaient pour suivre des cours de body step. Pour ma mère le but était de se changer les idées. Pour son amie, s’était essentiellement pour entretenir son corps. En effet, âgée de 35 ans, Murielle était très athlétique. Blonde aux yeux bleu, elle mesurait environ 1m70. Elle était fine mais musclée. Sur son ventre se dessinait de jolis abdominaux et ses bras arboraient fièrement des muscles saillants. La voyant souvent en tenue de sport (fuseau et petit top), je devinais des fesses bien dures et fermes. Sa poitrine ni trop grosse, ni trop petite semblait elle aussi avoir beaucoup de galbe. Un jour, en fouillant dans son sac après un entraînement, j’ai pu lire sur une de ses brassières qu’elle mettait du 85 bonnet c. C’était une très belle femme qui prenait soin d’elle. Toujours maquillée et habillé avec goût, elle avait beaucoup de classe. Son comportement très guilleret lui rajoutait encore plus de charme avec son sourire et ses bons mots. D’ailleurs, sa bonne humeur se véhiculait à ma mère. Lorsqu’elle passait du temps avec Murielle son visage s’éclairait et souvent des larmes de joies remplaçaient celles de tristesses des suites de la mort de mon père.
Isabelle (ma mère) à la différence de son amie avait beaucoup de courbes. C’était une femme ronde avec des hanches importantes et de nombreux kilos en trop. Son visage fin tranchait avec sa morphologie. Cependant, avec ses cheveux bruns courts et ses yeux en amandes, elle avait du charme. Mais, son atout principal pour détourner les regards sur son passage se trouvait dans sa poitrine extrêmement généreuse. Elle se plaignait souvent de sa grosseur qui lui donnait mal au dos. Elle faisait c’est vrai du 100 bonnet E ce qui pèse son poids.Dès qu’elle portait un haut un peu échancré, son décolleté devenait tout de suite très pigeonnant. Ce qui attirait inexorablement les convoitises de la gente masculine.
Murielle et Isabelle étaient très complices. Elles passaient beaucoup de temps ensemble. Et, ma mère s’était réjouit de la venue de son amie pendant les vacances.
C’était amusant de les voir toutes les deux. D’un caractère totalement différent, l’une s’amusait de l’autre et vice versa. Par exemple, sur la plage, ma mère portait des maillots une pièce de couleurs neutres et ne lâchait jamais son paréo ainsi que son parasol. Murielle, elle, préférait les bikinis minimalistes de couleurs vives . Elle s’allongeait toujours au soleil et n’avait aucune gène à faire du monokini. Une fois, elle s’était même promenée sur tout le long de la plage les seins nus avec juste une culotte de maillot tanga. Je pus, comme tout les autres d’ailleurs, admirer son petit cul bien musclé et sa poitrine ronde et maintenue. Ses seins plutôt en forme de pommes étaient bronzés avec de petites auréoles plus sombres et des tétons dressés.
L’ amie de ma mère m’attirait. Elle m’excitait. N’étant guère pudique, il était facile d’apercevoir des parties de son corps. Mais, un matin, ce que je vis dépassa toute mes espérances.
Ce jour là, Gwenaël, ma petite amie, était partie à sa leçon de voile et ma mère sur le continent pour faire des courses. Je me retrouvais donc seul avec Murielle.De mon côté, je réparais mon vélo en dessous de la fenêtre de sa couchette. De temps en temps, je laissais mes yeux s’égarer au travers de la vitre en plexiglas. Je l’espionnais entrain de dormir puisqu’elle n’avait pas fermé les rideaux.Au moment où elle se réveilla, je ne pus m’empêcher de la regarder. Je fus troublé par sa nudité.Lorsqu’elle se dirigea vers la petite salle d’eau de la caravane, je vis son dos musclé et son délicieux fessier. Elle ouvrit la porte, prit une tunique blanche en lin et l’enfila.
Durant quelques secondes, je contemplai sa belle poitrine, ses abdominaux apparent, mais surtout son endroit intime. Il était dénoué de tout poil pubien mais agrémenté d’un petit tatouage représentant une rose rouge.Quand elle sortis prendre son petit-déjeuner dans le haut vent, je m’y engouffrai aussi. On se fit la bise et tout en tartinant ma tranche de pain je la regardai prendre son café. Sans sous-vêtement, on devinait ses formes au travers de l’étoffe. Je sentais une bosse poindre dans mon bermuda. Cette dernière n’était guère calmée par la vision de ses jambes musclées et bronzées. Une fois son café englouti, elle m’informa qu’elle allait prendre sa douche. Je la regardais partir sans décoller mon regard de son petit cul.
Mais j’en voulais plus ; toujours plus...
Les sanitaires du camping étaient vétuste. Et, à des endroits bien placés, il existait des petits trous qui permettaient de mater les personnes sous la douche. Aussi, en espérant qu’elle soit dans dans une des ces cabines, je me dirigeai vers le bloc. Heureusement pour moi, l’endroit était désert. Seul une douche coulait. Ma conclusion fut que Murielle s’y trouvait. Ma chance ne s’arrêta pas là. En effet, elle se douchait justement dans une où l’espionnage était possible.Je rentrai discrètement dans la douche d’à côté. Je fermai la porte à clef pour ne pas être dérangé et je collai un œil au judas artisanal.Je voyais tout et surtout Murielle dans son plus simple appareil. Elle avait vraiment un corps magnifique. Je la contemplais entrain de se savonner. Voir ses mains parcourir ses courbes pour les enduire de gel douche m’excitèrent davantage. Elle massait sa poitrine ; passant bien dessous, dessus, en n’oubliant pas les extrémités qui pointaient fièrement. Puis, elle descendit ses mains sur son ventre plat et s’engouffra entre ses cuisses. Je voyais davantage son tatouage. Mais ce qui me troublait le plus fut ses doigts frôler et glisser entre ses lèvres.Étant vraiment à l’étroit dans mon short, je le retirai ainsi que mon boxer. Machinalement, je commençais à me masturber tout en gardant mon œil collé à la fente. Elle se retourna, se cambra et passa sa main entre ses fesses. J’étais aux anges. Je n’allais pas trop vite dans mes caresses pour ne pas jouir trop rapidement.Enfin, vint le moment de se rincer. Au fur et à mesure que l’eau coulait, le savon disparaissait. Mais, je fus surpris de voir que ses mains continuaient à parcourir son corps.Murielle massait chacun son tour ses seins avec sa main gauche tandis que la droite effleurait sa vulve. Elle s’était adossée au mur et du coup je la voyais bien de face. Les jambes écartées, le regard évasif, à chaque fois qu’un de ses doigts rentrait et sortait de son vagin, elle ne pouvait ré freiner ses petits gémissements.A un moment, elle accéléra le mouvement. Elle n’effleurait plus sa rose. Au contraire, elle appuyait ses caresses sur son bouton . Elle haletait de plaisir.Moi aussi, j’étais dans un état second. Tout comme elle, j’accélérai mes caresses sur mon sexe bandé.Par la suite, elle commença à se pénétrer deux doigts bien profondément en elle. Ses gémissements se transformaient progressivement en petits cris d’extase.Je la voyais distinctement prendre du plaisir. Elle avait du mal à tenir sur ses jambes. Elle mettait beaucoup d’application à rentrer ses doigts au maximum dans son petit minou détrempée. A chaque aller et retour sa paume de main claquait sur son clitoris. Ce qui avait pour effet de la faire encore plus gémir.Elle s’assit alors par terre tout en gardant les jambes bien écartée en face du trou par lequel je la regardais. Puis, ce ne fut plus deux doigts mais toute la main qu’elle fit entrer en elle. Là, ses râles se firent plus forts. Elle avait les yeux fermés, mais son attitude trahissait la jouissance qui la parcourait. Elle se pénétrait violemment et rapidement tout en criant.Je ne tenais plus. Moi aussi j’allais jouir. Et tout comme elle accélérait le rythme je fis de même. En la fixant par l’œilleton, j’éjaculai en même temps qu’elle lâcha son dernier cri de plaisir. Après ses caresses, elle s’effondra par terre en chien de fusil. L’eau de la douche coulait sur tout son corps inerte. Quelques minutes plus tard, après avoir reprit son souffle et ses esprits. Elle se sécha et enfila son maillot de bain deux pièces blanc à rayures rouges et une petite robe d’été blanche également. Elle sortit et disparue de mon champs de vision.J’attendis quelques minutes après son départ et me lavai rapidement. Je me rhabillai et retournai à la caravane.Arrivé sur le campement, je retrouvais Murielle assise en plein soleil. Elle me sourit. Elle s’amusa de voir que moi aussi j’avais été prendre une douche. Elle me demanda même si ça m’avait fait du bien avec un ton ironique. Tout en rougissant un peu je lui avait répondu que oui.Enfin, elle prit son sac et une serviette, elle avait décidé d’aller à la plage. lorsqu’elle passa à côté de moi, elle se baissa et me murmura à l’oreille qu’elle savait que je l’avais mater sous sa douche et qu’elle espérait que le spectacle m’avait plu. Je rougis vivement. Je ne savais plus où me mettre. Je voulus m’engouffrer sous ma tente. Mais elle m’a retenu par le bras et me demanda de l’accompagner. Elle avait besoin qu’on lui mette de la crème solaire dans le dos.
Nous arrivâmes sur le sable. Elle ôta sa robe et déplia sa serviette. Puis, bien en face de moi elle dégrafa son haut et le rangea dans son sac. Elle vit mon émoi et rigola. Elle s’allongea sur le ventre et me tendit le flacon de crème. Je m’agenouillais alors et sans vraiment oser la toucher je commençais à lui enduire le dos. Elle soupira. Je m’arrêtai. Elle me fit signe de continuer et me rassura sur ses soupirs.Alors, j’y allais plus franchement et je palpais tout son dos musclé. Mes mains passaient sur ses trapèzes, puis ses dorsaux et enfin,arrivèrent sur sa chute de reins. Comme elle fermait les yeux, je m’amusais à passer mes doigts sous le haut de sa culotte de bain. Et après avoir pris ma respiration, je les plaquais carrément sur ses fesses. Je lui disais que c’était pour éviter les coup de soleil. Je n’en revenais pas d’oser la peloter. Mais elle s’en amusa et me laissa lui masser son délicat fessier.Puis, elle se retourna et me demanda de lui en mettre aussi sur sa poitrine. Ce que je fis immédiatement. Mes mains malaxaient avidement ses globes bien ronds. Je sentais sous mes paumes ses tétons dressés. J’adorais ce moment. Elle aussi et me le faisait savoir en passant délicatement le bout de sa langue sur sa bouche.Mon sexe se tendait de nouveau. J’avais envie qu’elle me touche aussi. La situation si excitante commençait vraiment à m’inspirer. Mais malheureusement, je vis au loin Gwenaël qui rentrait. Je ne pouvais pas faire autrement que de la rejoindre. Je m’excusai auprès de Murielle et partis en courant en direction de ma petite amie.
Arrivée à sa hauteur, je l’embrassai goulûment. Nos langues s’entremêlèrent de longues minutes. Après ce baiser endiablé, je l’invitai à venir sous ma tente. On s’y engouffra. Étant toujours aussi excité, je lui demandais gentiment, tout en lui dégrafant son chemisier, si elle pouvait me faire une petite gâterie. Elle en fut ravie et sortit mon sexe. Elle le goba d’une traite. Habilement elle le fit coulisser dans sa bouche. Elle m’avalait complètement, passant sa langue sur tout le long de ma verge et me caressant les couilles avec ses doigts délicats. Je jouis très rapidement dans sa bouche lorsqu’elle accéléra le rythme. Elle avala ma semence d’une traite. Puis, nous nous sommes allongés, enlacés l’un contre l’autre.
Je venais de passer une mâtiné inoubliable. Malgré le fait que mon massage sur Murielle fut écourté par l’arrivée de Gwenaël. Sa pipe majestueuse avait quelque peu atténuée mes regrets.Je passais vraiment de très bonnes vacances.
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