Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 14 J'aime
  • 2 Commentaires

Souvenir d'une enfance heureuse tome2

Chapitre 5

Voyeur / Exhibition
chapitre 5: De retour à Montalivet.
« voilà c’est fini... »; Comme le disait la chanson. Nous passions nos dernières journées sur mon île adorée. Ma mère, son amie et moi préparions nos affaires pour le départ.Même si je ressentais une certaine peine à quitter ce paradis. Je me réconfortais avec le fait que j’allais finir mes vacances scolaires chez ma tante et mon oncle à Montalivet. J’allais retrouver Catherine et ses tailleurs moulants. J’espérais pouvoir profiter une fois encore de la vision de son corps pulpeux et surtout de sa poitrine généreuse.
Durant ce temps de rangement, je pus à ma guise contempler le charme de Murielle (l’amie de ma mère). Comme à son habitude, elle ne portait qu’un petit débardeur noir et un fuseau vert fluo. Cette tenue pratique pour le sport, lui en était tout autant pour les tâches fastidieuses de cette journée. Mais surtout, elle lui moulait à la perfection ses formes.
Murielle n’ était pas dupe de l’effet qu’elle me faisait. Elle en profitait même pour prendre des poses suggestives. Ainsi, elle se baissait juste devant moi pour que mon regard soit juste au niveau de ses fesses fuselées et musclées. Elle prit aussi un malin plaisir à monter sur un escabeau tout en me demandant de le tenir pour ne pas qu’ elle tombe. Cette position me troubla au plus haut au point. Mon visage et plus particulièrement mes lèvres se retrouvèrent à quelques centimètres de son endroit le plus intime juste caché par cette étoffe verte.
Ce qui devait arriver arriva. Après quelques minutes de ce supplice, je sentis mon sexe se tendre dans mon short. La bosse était flagrante. Et Murielle l’a certainement vue. Je m’éclipsais rapidement tout en prétextant le rangement de ma tente. Je m’y engouffrai. Rangeai un peu; me masturbant surtout.Allongé sur mon matelas gonflable les jambes écartées, je tenais dans ma main droite mon sexe bien dur et bien raide. J’allais et venais d’un rythme rapide. J’avais fermé les yeux pour me rappeler le corps de Murielle. Quand tout à coup, j’entendis le zip de l’entrée.
Là, je vis Murielle passer la tête et me regarder. N’ayant pas eu le temps de me couvrir, je m’offrais à ses yeux dans mon plus simple appareil.Elle sourit. Avant que je dise quoi que ce soit et que je me confonde en excuse, elle m’expliqua qu’on se retrouvait seul car ma mère était partie faire des courses pour la longue route.Sans me demander, elle entra dans mon antre. Elle s’installa à genoux juste devant moi. Et d’un air coquin elle me fit signe de continuer ce que j’étais entrain de faire.
Tout doucement je repris mes caresses. Ma bite n’avait pas eu le temps de mollir. Elle ne lâchait pas du regard mes lents va et vient. Dans la tente un climat de luxure s’installait progressivement. D’ailleurs, je pouvais sentir dans ses yeux une certaine envie et convoitise résultant de ma masturbation. Moi aussi, je la regardais. Sous son débardeur je voyais se dresser ses tétons trahissant son désir. Ceci me rassura et me fit accélérer le mouvement.Je n’ étais plus qu’un simple voyeur, je devenais exhibitionniste. Cette situation me plaisait. Elle décupla même mon excitation.Murielle commençait elle aussi à être toute chose. Elle frottait ses cuisses l’une contre l’autre. Elle m’expliqua que cela lui massait le clitoris. Qu’elle le faisait souvent et qu’elle adorait ça.Pour ma part, du haut de mes 15ans et demi, je me retrouvais avec une femme proche de la quarantaine, superbement bien conservée par le sport (et qui plus est meilleure amie de ma mère) en mode « chaudasse ». Je n’en revenais pas.
Sentant la chaleur montée et surtout pour accentuer mon désir, elle ôta son haut. Je vis ses beaux seins bien fermes et ronds. De taille modeste, sa poitrine revêtait beaucoup de charme. Elle était pourvue de deux excroissances bien dures au bout.Murielle massa ses seins tout en continuant son petit jeu avec ses cuisses. Elle pinçait ses tétons. Tirait dessus. Moi, devant se spectacle je me branlais encore plus fort. Je sentais que j’allais bientôt jouir. Je l’en informais. Elle me répondit alors qu’ elle aussi; Qu’elle voulait voir mon sexe d’adolescent en rut déverser sa semence.Je ne me fis pas prié et déchargea mon sperme sur mon torse nu. En regardant mes longs jets atterrir sur mon corps, elle étouffa trois petits cris puis redescendit son débardeur. Elle s’avança vers moi, prit entre ses doigts un filet de sperme et le goûta. S’ensuivit un « hum » de satisfaction et elle vint placer ses lèvres contre les miennes pour y déposer un baiser.Ce fut un vrai moment de bonheur. Elle embrassait si bien. Ces douces lèvres, sa langue s’entremêlant avec la mienne; ce doux moment me laissa dans un état second.Elle sortit de ma tente aussi vite qu’elle était entrée. Elle me laissa seul, nu et dégoulinant de sperme.
Le soir, je fis mes adieux à ma petite amie. Nous passâmes la soirée sur la plage à s’embrasser, se peloter. Gwenaëlle me suça deux fois. Ce qui me ravit. Je déchargeai une fois sur sa grosse poitrine remplie de taches de rousseur et l’autre sur une crêpe qu’elle avait ramené. Comme toute bretonne, elle aimait les crêpes et la mangea avec gourmandise. Pour la remercier je fis de même et lui lécha sa chatte rousse détrempée jusqu’à la plonger dans des spasmes d’extases.Vers minuit, je la raccompagnais en bas de sa location. Nous nous embrassâmes une dernière fois. Nos adieux ne furent pas trop déchirant puisqu’elle devait prochainement me rejoindre à Montalivet. Ainsi nous pourrions passer quelques jours ensemble avant de reprendre les cours.
Le lendemain nous primes la route. Il faisait chaud. Ce voyage me paraissait très long. Mais le fait de retrouver ma Catherine et Bernard me permit de tenir le coup. Nous arrivâmes en début de soirée.
Catherine était là pour nous accueillir. Elle n’avait guère changé en deux ans. Toujours élégante et malgré ses 48ans, elle restait très élancée et soignée. Son maquillage mettait en valeur ses lèvres pulpeuses et son regard en amande. Ses Lunettes ajoutées à son carré plongeant lui donnait toujours un air de secrétaire coquine ou de maîtresse femme selon les goûts de chacun. Son tailleur rose pale avec sa chemisette blanche ajoutait encore plus de charme à sa beauté. Je remarquais tout de suite qu’au niveau de ses hanches elle ne semblait pas avoir pris un gramme et que sa poitrine toujours aussi généreuse semblait se porter à merveille.
Elle me serra dans ses bras et m’embrassa sur les deux joues avec énormément d’affection. Le fait de ressentir de nouveau ses seins contre moi entraîna un début d’érection. Elle le remarqua et me fit un petit sourire en coin avec un clin d’œil.Ma Mère et son ex belle sœur s’embrassèrent amicalement Par la suite, Murielle se présenta à son tour.Catherine expliqua que mon oncle n’allait pas tarder à rentrer et qu’en attendant elle allait nous montrer nos quartier.Comme ma mère et son amie ne restait qu’un soir, elles était installées dans la même pièce au deuxième étage. Sous les combles, c’était un grande pièce avec un lit deux places et un autre plus petit. Pour ne pas trop déranger elles décidèrent de dormir dans le même et choisirent le plus petit. Ceci me surpris quelque peu et me plongea dans un égarement érotique.Mais ma tante me fit reprendre mes esprits lorsqu’elle m’ agrippa par le bras pour me montrer ma chambre.J’avais la même que la dernière fois; juste à côté de la suite parentale. J’en était ravi et le fit savoir à Catherine. Elle me sourit davantage. J’allais pouvoir de nouveau les entendre pendant leurs ébats. Elle n’en était pas dupe la maligne!Comme mon lit n’était pas fait elle se proposa de le faire avec moi. Elle retira sa veste. Juste en chemisette et jupette, elle se mit en face de moi et avec beaucoup de soin elle m’aida. Lorsqu’elle se pencha je ne pouvais pas m’empêcher de loucher dans son décolleté. Je voyais très clairement ses seins difficilement retenue par son soutien-gorge blanc. Puis, elle se retourna pour ramasser les oreillers. Là, toujours en se penchant sa jupe se releva et je vit ses jambes gainées de leurs bas couleur chaire et son string blanc . La vision de son cul toujours aussi ferme et rebondi me fit bander comme un âne. Je ne pus m’empêcher de sortir mon sexe et de commencer à le branler. Elle vit ce que je faisais mais ne me dit rien. Au contraire, elle fit descendre son string, m’offrant sa chatte bien entretenue. Puis, elle me jeta son bout d’étoffe et redescendit sa jupe. Elle me sourit tout en regardant mon sexe bien dressé et me dit:«  Hummm mon cher neveu toujours aussi coquin... Tu as grandi depuis deux ans. Çà devient une vrai belle et grosse bite. Je te laisse mon string si tu veux te soulager avant l’apéro. »Puis elle fit volte face et s’en alla. A la porte elle se retourna une dernière fois et se lécha les babines.Moi tout excité, je pris son string, l’enroulai sur ma verge et me masturbai jusqu’à jouir dedans.
Pendant ce temps là, Ma mère et Murielle se rafraichissaient dans la salle de bain, ma tante alla se changer et Bernard arriva.
Vint l’heure de l’apéritif. Lorsque je descendis, je fus surpris des tenues soignées des dames présentes.Ma mère avait enfilé une longue robe de soirée noire en satin qui affinait ses hanches, masquait son ventre, mais mettait en valeur sa grosse poitrine et ses épaules nues.Ma tante avait opté pour une jupe écossaise mi-cuisse et un chemisier noir qui moulait ses formes outrageusement. Elle n’avait point fermé les trois boutons du haut. Ça nous laissait apercevoir très nettement ses sous-vêtements noirs. La compression de ses seins par son haut donnait vraiment l’impression qu’ils voulaient sortir. Ça avait pour effet de me faire grave bloquer dessus.Enfin, Murielle avec son corps sculpté et musclé, avait choisi une robe blanche moulante avec un décolleté dans le dos. Cette ouverture allait jusqu’à la limite de ses fesses et laissait entrevoir le haut de sa raie. Je pus constater qu’elle ne portait aucun sous-vêtements. Son corps parfait mis en valeur par sa tenue ( le bas s’arrêtant juste en dessous des fesses et haut laissant apparaître son dos et le pointement de ses tétons) me donna tout de suite chaud. Je n’était pas le seul. Bernard qui venait de se présenter à elle ne la lâchait pas du regard et semblait être à l’étroit dans son pantalon de costume. Pour résumer, toute les trois chaussées de talons aiguilles étaient à la fois très élégantes et désirables. Avec mon oncle nous nous fîmes d’ailleurs la réflexions tout en masquant nos entre-jambes pour ne pas montrer nos émois.
Nous primes l’apéritif. Pour l’occasion Bernard avait sabré le champagne et je pus comme les adultes boire une coupe; puis deux. Les discussions allaient bon train. Chacun racontant des anecdotes ou des souvenirs de jeunesse. Nous parlâmes aussi de mon année scolaire. Tout le monde me félicita alors pour mon brevet et mon entrée au lycée. J’eus même le droit à une troisième coupe sur la deuxième bouteille. Je commençais à être quelque peu émèche. A cet âge, je ne tenais pas très bien l’alcool. Mais, je n’étais pas le seul dans cette état. Je voyais très clairement que ma mère avait elle aussi du mal à tenir la cadence. Malgré cela, j’en profitais quand même pour mater outrageusement ces belles dames qui m’entouraient: le décolleté de ma mère si plongeant, la raie des fesses de Murielle lorsqu’elle se leva pour aller au toilette et surtout les croisements et décroissements de jambes de ma tante assise juste en face de moi. A chaque fois que cela se produisait, j’avais une vu imprenable sur l’intérieur de ses cuisses et son string noir. Bien sur mon érection reprit de plus belle. Je n’avais qu’une envie sortir ma queue et me branler sauvagement.
Vint le repas. Nous passâmes tous à table. Bernard présidait et en face de lui se trouvait Catherine.Ma mère et Murielle se mirent l’une à coté de l’autre en face de moi.Les plats certes simples étaient fort bien réalisés. Et tout le monde mangeait de bon appétit. Pour accompagner cela, mon oncle avait débouché deux bouteilles de bordeaux. Les adultes buvèrent avec allégresse et de bon cœur. Du coup en arrivant au fromage , les discussions étaient plus bruyantes et les éclats de rire important.Je remarquais aussi que les regards avaient changés. Je distinguais très clairement que chacun en regardant l’autre avait les idées un peu trouble. Il commençait à régner dans l’air une atmosphère charnelle. Les femmes en jouaient. Elles prenaient un soin particulier à mettre de la volupté et de l’envie dans tout leur geste. Je ne savais pas qu’on pouvait manger ou boire aussi sensuellement.
A la fin du dessert ( un magnifique foret noire), ma mère poussa un petit cris qu’elle étouffa dans sa serviette et devint toute rouge. Cela me surprit et je fis tomber la mienne. Me baissant pour la ramasser, je vit sous la table que la robe maternelle était retroussée jusqu’à sa taille et que Murielle avait plongé sa main au plus profond des ses cuisses. Je compris alors le pourquoi du comment de ce cris. Voir ma mère je faire caresser par son amie, juste en face de moi, relança immédiatement mon érection. Je me relevais et fixais Murielle. Elle, sachant que je venais de tout voir me sourit et me fit un clin d’œil complice.
Par la suite, ils allèrent tous s’installer au salon pour le digestif. Catherine alla dans la cuisine préparer le café. Elle me demanda de l’accompagner pour l’aider un peu. Une fois seul avec elle, alors qu’elle me tournait le dos, je vins m’installer juste derrière elle et lui agrippai ses seins tout en l’embrassant dans le cou.« Mais que fais-tu? Tu es fou XXX!!! »_ J’en avais tellement envie; lui répondis-je. Ta tenue est tellement sexe. Tu sens comme je suis excité._Hum, oui c’est vrai que j’ai quelque chose de bien dur contre mes fesses... Mais là je ne peux pas t’aider. Ta mère est là. Je suis désolée. Allez! Laisse moi. »Tristement je relâchais mon étreinte. J’allais repartir au salon avec les tasses lorsque Catherine m’interpella«  Tiens mon neveu pour que tu puisses penser à moi ce soir »Et là, elle me lança son string; je lui souris et l’humai. Il était humide et sentait fort la mouille. Je remerciai ma tante en l’embrassant généreusement sur ses deux joues et sur ses deux seins.
Après avoir déposé les tasses sur la table basse. Je m’excusais auprès de tous; Prétextant un état de fatigue avancé, j’allais dans ma chambre pour me branler avec mon nouveau trophée.Cela fut rapide et je jouissais avec tellement d’envie que je m’en mis partout. Discrètement, je sortis alors de mon antre pour aller me rincer à la salle de bain. Ma toilette terminée, alors que je retournais me coucher, j’entendis des gémissements venant du salon. Mon côté pervers m’incita à aller voir.
Une fois l’escalier descendu sur la pointe des pieds, je me mis à couvert contre le mur qui retenais la porte du salon. En tournant la tête je voyais tout sans être vu. Et là vous pouvez me croire quel beau spectacle.
Je vis littéralement ma mère allongée sur la table basse. Sa robe était relevée et elle avait les jambes bien écartées. Malheureusement je ne pouvais pas voir son sanctuaire. Car la tête de Murielle était justement entre ses cuisses. Cette dernière avait passé une main dans les cheveux blonds de son amie et semblait lui appuyer la tête. Des petits cris sortaient de la bouche d’ Isabelle.
« Hum, oh oui... c’est bon... continue Murielle... Hum... vas- y oui bouffe moi bien comme tu sais le faire... »Murielle avait totalement ôté sa robe. Elle était nue et accroupie. Je voyais bien se dessiner ses muscles saillants du dos. Sa tête bougeait et montrait son application à sucer les lèvres humides de ma génitrice. Elle avait aussi une main qui descendait vers son vagin. Sans vraiment voir ce qu’elle y faisait, je me doutais qu’elle se caressait en même temps.
Ce spectacle était franchement beau. Voir ma mère se donner du plaisir avec sa meilleure amie jamais je ne l’aurai cru. Mais, je n’étais pas le seul à en profiter.
Mon oncle et ma tante n’en rataient pas une miette. Bernard, assis sur le canapé avait lui aussi retiré ses vêtements. Il avait toujours son corps de sportif et des abdominaux bien dessinés.Catherine était allongée à côté de lui en chien de fusil. D’après ses mouvements de tête de haut en bas, elle lui dispensait une fellation de qualité. Son chemisier ouvert laissait apparaître sa poitrine qui sortait de son soutien-gorge. J’aimais voir ses deux gros seins pendre. Elle était excitée. Ses tétons sombres pointaient fièrement. Mon oncle avait l’air d’apprécier ce moment. Il n’arrêtait pas de soupirer et de gémir; penchant sa tête en arrière et fermant les yeux de temps en temps.Sa verge bien raide et dure avec ses veines ressortantes attirait mon regard.. Je pus bien la contempler lorsque ma tante la sortie de sa bouche pour la lécher à plusieurs reprises sur tout son long. Puis, elle passait sa langue juste sur le gland ce qui donnait des petit soubresauts à Bernard. Un vrai régal!
Je commençais a sentir mon sexe se durcir de nouveau. Machinalement, j’amenai ma main vers mon entre-jambes et commençai à me masturber doucement.
Après quelques minutes de ce régime. Ma tante se redressa et fit tomber sa jupe et son haut. Mon oncle fut surpris de l’absence de culotte. Mais, il ne demanda pas où son string était passé. Son corps était toujours aussi galbé. Elle avait un joli bronzage uniforme. Sa Chatte soignée et taillée me faisait envie J’aurai aimé caresser ses fesses rebondies. Ses seins lourds et pulpeux n’avaient guère changés depuis deux ans. Elle était toujours aussi excitante.Catherine s’approcha de Murielle. Elle lui caressa son dos et la fis se relever. Elles s’embrassèrent à pleine bouche. Elle s’enlacèrent. C’était fort agréable de voir le corps tout en forme de ma tante se mélanger avec celui tout en muscle de Murielle. Ensemble, elles semblaient vraiment apprécier leur étreinte et les mains respectives de chacune parcouraient le corps de l’autre. Elles se massaient les fesses; s’effleuraient le dos et se pelotaient les seins.Enfin ,tout en restant l’une contre l’autre elle se laissèrent tomber sur le tapis. Ma tante s’allongea et Murielle vint se mettre sur elle en 69. Elles se mangèrent mutuellement. S’aidant des mains, chacune imitait ce que l’autre lui faisait. Ainsi, elle se léchèrent le clitoris, puis se pénétrèrent un doigts; suivis du deuxième et enfin trois. La scène était de toute beauté. On les entendait étouffer leurs cris dans le con de le l’autre.
Pour ma part en voyant cela je me branlais de plus en plus fort. Cependant, je m’efforçais à rester silencieux.
Pendant ce temps là, Mon oncle et ma mère s’étaient rapprochés. Bernard lui avait retiré sa robe. La grosse poitrine de ma mère déballée; il ne put s’empêcher de les sucer avidement . Je voyais aussi sa toison bien fournie en poils noir se faire fouiller par la main droite de mon oncle. Ma mère s’abandonnait totalement aux jeux érotiques. Le regard dans le vagues, elle ne gémissait plus mais criait tout le bien qu’on lui faisait. Sentant que Isabelle était prête, mon oncle l’installa à genoux sur le canapé et une fois protégé il lui rentra sa verge d’un seul coup dans sa chatte détrempée.« OHHH!!!! OUI C’EST TROP BON BERNARD!!! OUIIII PREND MOI FORT!!! ».

Je me délectais de voir ma mère se faire baiser. J’adorais l’entendre extériorisé son plaisir. Mais, de voir Catherine et Murielle se prodigué de sexuelles caresses m’excitait tout autant. Je sentais venir en moi la jouissance. Je dus tout naturellement ralentir ma masturbation pour continuer à profiter du spectacle.
Mon oncle pilonna franchement ma mère durant de longues minutes. Il l’amena jusqu’à la jouissance. Tellement qu’elle criait fort, les deux autres avaient cessé leur agissement pour venir près elle pour profiter de ce moment. Ainsi, Murielle et Catherine s’étaient toute les deux mises de chaque cotés et léchèrent l’opulente poitrine de ma mère.Une fois que ma très chère maman fut rassasié. Mon oncle sortit son sexe encore bien bandé. Il demanda alors à sa belle cousine et sa femme s’il pouvait profiter un peu de Murielle. Cette dernière n’attendit pas la réponse des deux autres et vint se présenter devant lui. Elle soupesa la queue de Bernard et l’astiqua un peu pour ne pas qu’elle débande. Puis tout en s’embrassant sur la bouche mon oncle la souleva et la fit s’empaler sur son membre. Murielle allait de haut en bas et elle aussi ne pu réfréner ses cris.« Wah!!! ELLE EST TROP BONNE ET BIEN GROSSE TA QUEUE VAS-Y BEBE FAIT MOI JOUIR!!! »
Ma mère et ma tante regardait le spectacle. Catherine se caressait et titillait son clitoris au rythme des coups de boutoir de son mari. Ma mère quand elle semblait ne pas s’être remise de sa jouissance et ne faisait qu’efflorer sa poitrine et son ventre. Qu’est ce que j’aurai aimé être entre les deux sur le canapé et profiter du spectacle.
Par la suite mon oncle s’allongea sur la table basse et Murielle s’installa sur lui mais de dos. Elle voulais voir et montrer au deux autres femmes son plaisir. Maintenant s’était elle qui menait la danse. Elle imprimait le rythme: parfois lent, parfois très rapide. Elle s’empalait au plus profond. Elle se léchait les babines de bonheur et caressait ses tétons de plaisir.Mon oncle sentait qu’il allait bientôt décharger. Il en fit part à l’assistance. Ma tante, tout en regardant Murielle, se fistait le vagin; lorsqu’elle entendit son mari elle se leva précipitamment et rapprocha sa bouche de la chatte totalement épilée de Murielle. Elle attendait la jouissance des deux.Murielle vint la première et poussa de long râle de plaisir. Juste après mon Oncle sentit sa sève monté. Il se retira de la vulve béate et présenta sa queue à la bouche de Catherine. Cette dernière retira très vite le préservatif et goba ce sexe dressé jusqu’à la garde. Mon oncle éjacula dans la bouche de sa femme. Cette dernière ne laissa même pas une goutte déborder.
Pour ma part, là-dessus, je ne pu m’empêcher de jouir à mon tour. Mon sperme vint se loger sur le mur blanc du couloir. J’essuyais rapidement avec mes mains.A cet instant, Catherine prit la parole.« Bah dit donc mes cochons, c’était bon! J’ai vu Isabelle jouir comme jamais et mon mari prendre plaisir avec notre invitée. Mais moi qui va m’apporter l’extase? »
C’est alors que ma mère, qui avait retrouvé ses esprits, lui répondit :« Ne t’inquiètes pas on va te donner du plaisir. Montons dans une chambre. Nous allons tout les trois nous occuper de toi ».
Pris de panique je me précipitais à l’étage de peur d’être démasqué. Je me planquais dans ma chambre.Malheureusement pour moi je ne pu en voir davantage ce soir là. Mais ce fut l’un de mes meilleurs moments de voyeur.
Diffuse en direct !
Regarder son live