Me revoilà de retour à Montalivet; Je venais de passer un mois riche en voyeurisme sur mon île de vacances( lire chapitres précédents). Maintenant me revoici chez ma Tante et mon Oncle. Un joli couple de la quarantaine qui aime le sexe et les exhibitions ( lire chapitre précédent et aussi le tome 1). Mes seize ans vont arriver et j’espère y devenir un homme. Mais pour l’instant, mon côté voyeur et pervers va encore s’ accroître.
Chapitre 6: une plage déserte... Un bon moment... Une tante toujours aussi affectueuse. Le lendemain matin, après un petit déjeuner en famille, j’embrassais ma mère et Murielle; Elles repartaient me laissant sous la protection de Mon Oncle et ma Tante.Suite à la soirée de la veille, je n’avais qu’une hâte: me retrouver seul avec eux. Pouvoir contempler ma Catherine; les entendre faire l’amour et les espionner durant les moments charnels; je n’attendais que cela.Malheureusement pour moi, Bernard m’annonçait qu’il devait s’absenter toute la semaine. Il ne rentrera que le samedi suivant tard dans la soirée.Il me restait quand même ma tante. Mais comme une nouvelle n’arrive jamais seule. Elle m’expliqua qu’elle était passée...... De ce fait, dorénavant, elle partait plus tôt le matin et rentrait à une heure avancée le soir. De plus, elle ne pouvait plus bénéficier de son vendredi après-midi. Je fut extrêmement déçu.Cette nouvelle me chagrina au plus haut point. Catherine le vit immédiatement à mon regard. Et tout naturellement sans aucune arrière pensée elle me serra fort dans ses bras pour me réconforter. Je sentais à nouveau son corps contre le mien. Ça me fit un bien fou. Je posai alors ma tête contre sa poitrine, fermai les yeux et inhala son parfum. Je me sentis vraiment heureux un court instant.Par la suite, elle se retira, mit sa veste noir de tailleur, pris son sac et ses lunettes, m’embrassa tendrement sur le front et alla à son travail. Une nouvelle fois, je me retrouvais seul dans cette grande maison. Enfin, je n’était pas trop à plaindre. Car même si j’allais passer moins de temps avec eux. Il me restait la plage à proximité, le soleil et l’océan. Mes vacances avaient bien commencées. Je me devais de les finir en apothéose. Comme il faisait beau, Je décidai d’aller profiter de la plage. Comme à mon habitude je pris mes jumelles, ma serviette et une bouteille d’eau.Je commençais mon repérage par la grande plage. Trouvant un coin discret dans les dunes, je scrutais le sable de gauche à droite. Le spectacle était toujours aussi intéressant. Ainsi, je tombais sur de belles femmes de tout âge en bikini. Mais, aussi de sensuelles créature en monokini. Je pus donc pendant un long moment mater de grosses poitrines lourdes, des plus petites bien tenues. Il y en avait en forme de poire; de pommes, de mandarines et même certaines à des melons voir des pastèques. Enfin, je me rinçais allègrement l’œil.Ma fin de mâtiné se termina par l’observation toute particulière d’une femme de trente ans environ ne portant qu’une culotte de maillot tanga. Athlétique, elle avait un ventre plat et de belles fesses fermes. Sa poitrine bien proportionnée et symétrique tenait haut. Elle se finissait par deux tétons foncés assez gros et fièrement dressés. Son teint mat, ses cheveux brun et longs ainsi que ses yeux en amande en faisait une ravissante créature, sexy et glamour.Avec mes jumelles, je la regardais quand elle s’enduisit le corps de crème solaire. Ce moment me troubla intensément. Ses mains parcourant ses formes, se caressant la poitrine et massant son ventre me donnèrent chaud et mon sexe tout naturellement durcissait.Je ne la quittait pas des yeux non plus durant tout ses déplacements (baignade, achat de beignets...). Lorsqu’elle marchait son déhanché très prononcée montrait au combien son corps était entretenue. Mais, cela accentuait aussi son coté désirable et sexy. Tout les hommes qu’elle croisait d’ailleurs ne pouvait pas faire autrement que de la reluquer de la tête au pied. Ah vraiment, elle était particulièrement bonne! Au bout d’une heure, commençant a sentir l’envie de me masturber de plus en plus présente, je décidai à regret d’arrêter de l’espionner pour me diriger vers les dunes. Dans mes souvenirs à côté de la plage naturiste, on retrouvait quelques personnes adeptes de l’exhibition. J’avais en tête de trouver une ou deux personnes et de m’adonner avec eux à la joie du plaisir solitaire.Quelle ne fut pas ma surprise et surtout ma déconvenue, lorsque je ne vis personne. Aucun voyeur, aucun pervers, et pas un couple libertin, Aussi, dans l’attente des arrivées j’allai m’installer sur une portion de la plage naturiste un petit peu à l’écart pour profiter au maximum de la zénitude des lieux. Une fois nu, je m’allongeai sur ma serviette. Par la suite je scrutais les alentours. Il n’y avait pas grand monde: une famille tout au fond, quelques hommes seuls profitant des joies d’une baignade... Je sentais que finalement ma journée allait rester monotone. Quand soudain, un couple de sexagénaire vint s’installer à 5mêtre et bien en face de moi. malheureusement pour eux c’est en les espionnant que j’allais me caresser.
Faut de merles... Une chose est sur c’est qu’à première vue ils n’étaient guère attirant.L’homme, plutôt petit, arborait un ventre bien gros et rond qui par sa taille cachait ostensiblement son pénis. Chauve, il n’avait rien pour lui, hormis ses tatouages. D’ailleurs, sur toute la surface de son dos se dessinait un dragon de toute beauté.Sa femme, c’était l’inverse. Elle était grande (1m85) et relativement fine. Le poids des années pesait sur son corps. La gravité lui donnait des fesses flasques. Et sa poitrine qui jadis devait être bien pulpeuse pendait comme des gants de toilettes. Elle aussi tatouée, on retrouvait sur ses fesses un petit diablotin, ainsi qu’un tribal sur sa chute de reins. Sa poitrine quand à elle se retrouvait tachetée par quatre petites pattes de chats. Pour finir, sa chevelure blonde oxydée et sa chatte totalement épilée ajoutaient à son look une style plus vulgaire qu’attirant.Cependant, étant excité par mes visions du matin, je commençais à me caresser doucement en les regardant jouer aux raquettes.Pour tout vous dire, ce qu’il faut retenir de ce jeu de plage, c’est que ça ballottait pas mal autant chez la femme que l’homme. En les matant, je me disais que plus jeune ils devaient être de belles personnes. Car même si leur physiques ne ressemblaient pas aux standards de beautés, il dégageait quand même d’eux une sensualité et du sexappeal. En d’autres termes, malgré tout ils me faisaient bander.Bien allongé sur le dos, la tête relevée par mon sac, je n’en ratais pas une miette. Et, ma verge commençait à prendre des proportions inintéressantes. Par la suite, ils partirent ensemble se baigner. Ils semblaient aimer les vagues. Le fait d’être remuer par elles les amusaient grandement. Ça avait un côté excitant. La femme avait du mal à se retenir et souvent chavirait sous la force du courant. Son mari, comme un sauveur l’aidait à se redresser non sans laisser ses mains peloter ce corps flétri par les années. Mon regard se portais plus particulièrement sur les seins de madame. Même si cette poitrine pendait, elle semblait grosse. Ses tétons se dressaient fièrement grâce au jeu habille des mains de son mari et le contact de l’eau. Je remarquai aussi qu’à plusieurs reprises il laissait traîner ses mains sur le vagin de sa belle. Elle était réceptive car sous ce genre de caresses intimes, elle se cambrait légèrement et l’embrassait langoureusement. Après un bon quart d’heure de ce régime, ils sortirent de l’eau. Une fois revenus à leur serviette, ils commencèrent à s’essuyer. Je dois avouer que la vue de ce type de frottement après un bain me rend dingue. Voir le tissus parcourir et s’attarder sur les zones érogènes me fit de nouveau bien durcir.Alors tout naturellement je me caressais en les regardant.Ce fut l’homme qui me vit le premier. Ce qui ne m’empêcha pas de continuer. Il se pencha vers sa femme. Elle me tournait le dos et me montrait ses fesses tatouées. Elle pivota brusquement. Son regard me fixa. Ses yeux s’attardèrent sur mon entre jambe bien bandée.Après un bref sourire de sa part en mon encontre et une réponse similaire de ma part, ils s’allongèrent juste en face de moi pour bronzer. Tout deux sur le dos, la tête vers l’océan, les jambes légèrement relevées et bien écartées, ils me donnaient une vue imprenable sur leurs parties génitales.Dans cette position, l’homme avait finalement un sexe d’une taille honnête et surtout très gros. Sa femme, dépourvue de poil pubien, avait les lèvres un peu tombantes. Mais sa chatte semblait gonflée et appelait au cunnilingus. Il restèrent comme cela un moment. Puis, l’homme se redressa. Il prit appuie sur ses coudes et me regarda. Comme je continuais à me masturber en le fixant. Il se pencha légèrement vers sa femme et posa un main sur son ventre. Il l’a caressait légèrement. Ses doigts alternais entre des mouvements lent d’avant en arrière et des caresses circulaires. Il lui frôlait le bas ventre. Mais, il n’oubliait pas aussi de s’occuper de sa poitrine. Très vite, ses caresses devenaient un pelotage bien intense des seins lourds et réactifs de sa femme.Il fit ses gestes à plusieurs reprises. A chaque fois, il me regardait et me souriait. La situation l’amusait et l’excitait. Sa grosse verge commençait à prendre du volume.Plus ça allait, plus il accentuait le rythme. Maintenant sa main descendait très nettement entre les cuisses de la femme. Il jouait avec les lèvres. Il Passait son doigts à l’intérieur; les écartait et appuyait sur le clitoris.Elle aimait cela. Elle avait du mal à rester immobile sur sa serviette. Elle gesticulait et commençait à être parcourue par des spasmes.Pour ma part, je bandais comme un ânes et ma branlette devenait plus rapide.L’homme avec sa main libre, se caressait aussi le sexe. Vu la grosseur, il n’arrivait pas y faire le tour. Son regard faisait des allers et retours entre le corps de sa femme et le mien. Plus le temps passait plus son envie se décuplait. Maintenant il doigtait frénétiquement sa femme. Ses deux doigts bien entrée jusqu’à la garde pistonnaient furieusement sa belle qui poussait des cris de joie.Lorsqu’il y entra un troisième doigt, elle poussa un grand cris et se redressa. Maintenant assise en face de moi, les jambes bien écartées et doigté par son mari, elle me fixait elle aussi. Je fis de même.La voyant prise de désir, proche de l’extase, je commençait à la trouver vraiment charmante. Sa vulgarité laissait place à une forte envie de la baiser. Ils s’embrassèrent amoureusement. Puis, la femme se pencha vers le ventre de son mari. Avec sa langue elle parcourra sa bedaine et descendit jusqu’à son sexe bien dur. Elle le goba littéralement. Malgré son diamètre, la prise en bouche ne lui fut aucunement difficile. Commença alors une pipe d’enfer. Elle l’avala jusqu’à la garde. Manquant de s’étouffer,elle remonta et laissa sortir ce montre. Puis, elle suça juste le gland violacé et prédominant. Elle s’appliquait. Elle était bonne suceuse. Elle redescendit entièrement et resta plus longtemps. Et, elle remonta. Elles fit cela 5 fois. Cette gorge profonde me mettait dans tout mes états. Je commençait à soupirer de plaisir devant ce spectacle. Sentant la jouissance proche je ralentissais ma masturbation.Pendant qu’elle le suçait lui me regardait. Elle aussi vérifiait par moment que ce qu’elle me faisait me plaisait. Tout les trois nous nous mations. C’était bon. Après quelques minutes la femme se redressa. Elle s’installa sur la tête de son homme et descendit son visage vers sa verge. Quel joli 69. Les deux adoraient la bouche de l’autre et chacun mangeais le sexe de son conjoint. J’en profitais pour me lever et m’approcher d’eux.Lorsqu’ils virent cela. Il ne me dirent rien. Au contraire, ils sourirent. J’étais maintenant à quelques centimètres d’eux, toujours entrain de m’astiquer.Je ne sais pas si c’était le fait de m’approcher, ou l’excitation due à la bouche experte de sa femme, mais l’homme d’un seul coup poussa violemment sa femme. Il se redressa et la positionna à quatre pattes. Avec son gros sexe bien dur à la main, il vint s’installer juste derrière elle et d’un seul coup, presque brutalement, il la pénétra. Il s’appuyait sur son dos. Du coup, elle avait les fesses bien relevées et adoptait une position de soumise. Moi de mon côté, je n’en ratais rien et je me branlais frénétiquement.Il la pilonnait sans ménagement tout en poussant des cris et vociférant son plaisir. Âpres quelques minutes de ce régime, il déchargea toute sa semence dans le vagin de sa femme. Cette dernière se cabra et cria de plaisir. Les deux venaient de jouir ensemble. J’allais d’ailleurs pas tarder à exploser moi aussi. Tout en accélérant le rythme je vins me positionner juste à leur hauteur et d’un seul coup de longues giclées de sperme sortirent de mon sexe. Elles tombèrent sur la poitrine de la femme et alla jusqu’à son visage. Je m’excusais aussitôt. Mais, l’homme comme la femme me sourirent et s’embrassèrent tout en goûtant mon jus.Nous nous dîmes au revoir. L’homme me donna sa carte de visite. La femme m’embrassa sur la bouche. Un baiser si délicieux que je m’en souviens encore aujourd’hui. Ils partirent se baigner et moi je rentrais à la villa. Une fois rentré, je pris une douche. Étant un peu fatigué par ce que je venais de vivre, je m’installai sur le sofa dans la véranda et m’endormis. Ce fut ma Tante qui me réveilla.Délicatement, elle passait sa main dans mes cheveux. J’ouvris doucement les yeux. Ma première vision fut Murielle assise juste à côté de moi. Elle s’était mise à l’aise. Elle arborait une longue tunique noir fine en lin légèrement transparente et fendu au niveau du décolleté. Avec ses Lunettes et sans maquillage, elle était vraiment très belle. Lorsque je la vis je souris immédiatement.Tout en continuant son massage capillaire, elle me demanda si j’avais passé une bonne journée. Ma réponse fut affirmative. Je lui épargnais les détails. Lui disant seulement que j’avais été sur la plage naturiste. Elle eu un petit regard coquin et souligna le fait que oui j’avais du passer une belle journée. Puis, elle m’annonça que le repas était près. Je me redressais et l’accompagnait à la cuisine. Sur le chemin, mes yeux ne pouvaient se détacher de sa croupe. Elle devait le sentir car accentuait exagérément son déhanché.Nous mangeâmes dans une ambiance feutrée. Nos conversations n’avaient guère de profondeur. Elles étaient entrecoupées de silences où juste nous nous sourions affectueusement. Et de regard furtif vers sa poitrine si pulpeuse et nettement à ma vue avec le jeu de transparence.A la fin, j’aidais ma tante à débarrasser. Puis, elle se mit à la vaisselle. Je regardais alors ses belles fesses juste recouverte d’une petite étoffe. Je distinguais clairement les formes, la couleur et la raie de ce fessier enivrant. Je ne pouvais plus résister. Et d’un seul coup, je me leva et vint me positionner juste derrière Catherine.Une fois bien installé contre elle, mon sexe contre ses fesses , je passai mes mains sur son ventre et remontai rapidement pour empoigner ses seins. "- Oh !!! petit coquin... Vu tes regards à table je me demandais si tu allais résister longtemps... Je vois que tu es toujours attiré par ta vieille tante._ Tu sais Catherine, je ne fais que de penser à toi.. Je suis trop content de te revoir._Oui je le sens... Ta queue est elle aussi très contente de me retrouver..._Je ne suis plus un enfant tata ! J’ai envie de devenir un homme avec toi !" A la fin de ma phrase, je me rendis comte de ce que je venais de dire. Je me sentais honteux. Comment allait-elle réagir. Mais, je continuais à lui caresser ses gros seins. L’une de mes mains était passé sous sa tunique pour mieux jouer avec ses tétons si réactifs. " Ola mon neveu !! C’est gentil ce que tu me dis là... Mais tu sais ce n’est pas mon rôle de de te voler ton pucelage....._Oui mais..j’ai trop envie de...Elle me coupa la parole à son tour._J’aime te montrer les joie de la vie et deu plaisir... Nos caresses et notre désir en commun sont déjà de très bon moment...._J’en veux plus ma tata...._Ecoute, je veux t’aider dans ton envie mon chou, mais soit patient et fait moi confiance. Tu me fais confiance ? _Oui bien sur, je te fais confiance." Elle retira mes mains de son corps et me fit reculer légèrement. Sans se retourner, elle retira sa tunique. Je l’imitai. J’ôtais mon tee shirt, mon jogging et mon boxer. Mon sexe était déjà dur et dressé fièrement.Toujours adossée à l’évier, ma tante attrapa mon bras et me fis me ré-avancer. Je me collais à elle. Je sentais son corps nu contre le mien. Cette sensation m’excitait au plus haut point.Elle était vraiment belle. Bronzée avec ses fesses rebondies et pulpeuses. Son odeur de parfum charnellisait l’instant. Sa poitrine généreuse en forme de poire et bien maintenue appelait aux caresses.Elle passa une main sous sa chatte, et habillement elle prit ma bite entre ses doigts. Elle commença à la branler délicatement. J’appréciais ce régime de faveur et je commençais à gémir doucement. Puis, elle ramena ma verge vers elle, la fit passer sous ses fesses et la logea juste entre les lèvres de son vagin sans pour autant m’y faire pénétrer. Enfin, elle resserra ses jambes comme pour fixer le moment.En même temps, elle me demanda de la tenir fermement par la hanche gauche et avec l’autre main de continuer à lui caresser les seins. Ce que je fis sans me faire prier. Cette position était quelque peu étrange pour moi, mais tres excitante. Je n’avais jamais touché avec mon sexe le sexe d’une femme. Je sentais a la fois la douceur de la peau de ses lèvres et la rudesse de quelques poils pubiens. Je n’attendais qu’une chose qu’elle me donne le signal pour la pénétrer. C’est alors qu’elle me parla. "Alors mon chou, aimes-tu être comme ça ?_Oh oui Cathy ! j’adore te sentir contre ma queue.. Et j’aime caresser ta belle poitrine. Tu es si gentille avec moi._Humm oui, c’est bon XXX, tu es bien dur et c’est vrai que tu n’es plus un enfant ! Mais comme je te le disais tout à l’heure, ce n’est pas ce soir que tu deviendra un homme._Pourquoi Tata ? _ Parce que je l’ai décidé. Et tu n’es pas encore prêt...humm... Mais ça va s’arranger et tu va aimé...Fait moi confiance.. hummm.. tu vas t’entraîner... Vas y mon doux neveu.. fais comme si tu me pénétrais... tout d’abord étonné, mais sentant le désir monter chez ma tante et moi même, je commençais à faire de légers va-et-vient contre la parois intime de Catherine. Je sentais mon sexe glisser entre ses lèvres. Voulant entrer mais toujours empêché par ses jambes.Même si j’étais frustré, j’appréciais l’instant. C’était très agréable. Ma Tante aussi aimait. Elle commençait à haleter. Il faut dire que je continuais à lui triturer les tétons tout en imprégnant un rythme régulier et soutenu de ma verge contre sa vulve. Par moment mon gland rentrais en elle mais que légèrement et subrectissement. c’était si bon et si dur de ne pas pouvoir aller jusqu’au fond.Au bout de quelques minutes, moi aussi je manifestais mon plaisir par des gémissements. J’avais accéléré le mouvement. Ma tante, Criait de plaisir. Ma queue compressant et titillant son clitoris, cela la mettais dans un état de transe. L’orgasme n’était pas loin ni pour elle ni pour moi. "Oh oui vas y XXX.. C’est bon je sens ton sexe bien dur contre moi.. humm oui vas -y tu..Oui vas y plus fort tu fais jouiiiirrrrr TATA !!!!!-Oui, c’est trop bon..... Cathy OH OUIII..... MOI AUSSI JE JOUI !!!!!!!!!!!!!!!!!Ma tante fut pris de spasmes lorsque j’éjaculai tout mon foutre contre son vagin. Ce fut tellement puissant que les premiers jets se sont logés dans l’évier, puis sur sa petite touffe entretenue et contre ses lèvres intimes.Elle se dégagea de mon étreinte ; se retourna ; remit sa tunique sans se nettoyer, et m’embrassa délicatement sur la bouche. Quel baiser enivrant ; Quel bon moment. Je la remerciai en lui souriant. "Bah dit donc!XXX ce fut excellent. Tu sera un bon amant, j’en suis sur. As tu apprécier cette branlette particulière._Oui Cathy c’était trop bon. Je t’adore. Tu es exceptionnelle._Merci mon délicieux neveu. Ne t’inquiète pas... très bientôt j’en suis sur que tu pourras enfin aller jusqu’au bout. Un long silence s’installa. Où tout les deux nous nous regardions sans oser parler."Allez, il est tard, je suis fatiguée maintenant, Je vais aller me coucher._Bonne nuit Tata_Bonne nuit XXX. Au fait demain ,il y la femme de ménage qui vient. Ne soit pas étonné si tu entends du bruit. Et puis, tu verra. Ça te plaira. Sur ce bisous. On s’embrassa alors tout d’abord sur les joue puis un dernier baiser sur la bouche. Je la regardais s’éloigner et monter les escalier. Toujours nu , j’enfilai mon caleçon et allai me poser dans le canapé pour regarder la télé. Je repensais à sa dernière phrase ; Que voulait-elle dire ? Qu’est ce qui me plaira ? Puis je repensais à cette belle et très agréable journée. Je m’endormis devant les clips.
