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Souvenirs érotiques et cochons d'un érotomane

Chapitre 1

Prologue et masturbation

Voyeur / Exhibition
Petit prologue

Je vis le jour une nuit de février 1948 dans le modeste hôtel de montagne dont mes parents étaient propriétaires. À cette époque et dans cette région œuvrait encore la sage-femme, une clinique étant un luxe distant de 60 kilomètres, pratiquement inaccessible en hiver.Un hôtel ! Est-il endroit plus propice pour être entouré de femmes à longueur de journée ?Les clientes et les employées de l‘hôtel, les amies et connaissances de mes parents, mes tantes et leurs amies. Dames d‘âge mûr aux parfums capiteux, qui me serraient contre leur opulente poitrine en me faisant la bise. Jeunes femmes qui sentaient bon, qui taquinaient le “petit monsieur“ - j‘étais tout de même le fils du patron ! - en lui disant qu‘il était beau gosse et le faisaient rougir. Toutes ces créatures alimentaient mes fantasmes érotiques et mes masturbations de puceau timide. Les "plaisirs de la chair", les "jeux interdits" comme on les appelait à l’époque, je les découvrais par ouï-dire, par personne interposée, lorsqu’un couple occupant la chambre attenante à la mienne faisait l‘amour.Étant affligé d’une timidité que je considérais comme étant incurable, j’avais largement dépassé ma dix-neuvième année lorsque je les connus enfin, ces fameux "plaisirs " !Tante Cécile ! Sa culotte ! Mon fétichisme ! La grande villa sur les hauteurs de Nice où nous passions, mes cousins et cousinent et moi les vacances d’été !Tante Cécile fut la seconde épouse de mon oncle Jean. Et très peu de temps après leur mariage, les gens se mirent à jaser. Et dans la famille, on chuchotait qu’elle avait le feu au cul, qu’elle ne pouvait pas rester plus de cinq minutes près d‘un homme sans lui grimper dessus, qu’elle changeait d’amant comme de culotte. Peu nous importait. Tante Cécile nous gavant de sucreries, oncle Jean passant en coup de vent entre deux voyages d’affaires, les bras chargés de cadeaux ; ces mois de soleil et de liberté me faisaient oublier les neuf mois de froid, de grisaille et de punitions de l’internat.Leur union dura deux ans. Oncle Jean se tua sur la Grande Corniche au volant de sa Bugatti, laissant à sa femme une belle fortune et la villa sur la Côte. C’est ainsi que, durant les années qui suivirent tante Cécile nous présentait chaque été, selon l‘âge du monsieur, un nouvel “oncle Paul“ ou un nouveau “tonton Albert“.Cet été-là, l’été de ma dix-neuvième année, tout commença le jour où je surpris tante Cécile et son amant accouplés comme des bêtes et se termina le lendemain par une divine branlette.Pour je ne sais plus quelle raison j‘étais rentré ce jour-là plus tôt que d‘habitude de la plage. En traversant le vestibule, j‘entendis des bruits venant de la cuisine, puis la voix de ma tante : "Non… Alors vite… Le garçon… Il pourrait…! ". Par le jardin, je me glissai sous la fenêtre de la cuisine. Courbée en avant, les seins écrasés sur une table, sa culotte baissée sur ses cuisses largement écartées, ses fesses offertes, elle se faisait prendre par le livreur qui nous apportait chaque semaine ses fruits et légumes. Les couilles de l‘homme balançaient, tapaient sa chatte et elle poussait des plaintes de femelle prise. Parfois, il se retirait et sa queue tendue, luisante, balançait comme le sexe du mâle devant le sexe de la femelle. Puis il la reprenait, la besognait encore et encore et elle couinait comme un petit animal. Le mâle gicla en râlant, couché sur le dos de sa femelle et ils restèrent ainsi écroulés. Il se retira, à genoux derrière elle, il lécha, nettoya la chatte de tante Cécile qui se reculotta et il se rebraguetta. Pour ma part, j’avais éjaculé dans mon slip sans même me toucher…Le lendemain. Jour du "retour en taule". C’est-à-dire retour à l’internat pour y terminer ma dernière année. Comme tous les matins, je me masturbais devant le miroir de la salle de bain. J’aimais me voir jouir et me regarder gicler décuplait mon plaisir... Et ce matin fatidique ayant oublié de fermer la porte à clé, tante Cécile me prit sur le fait. Elle ne s’en offusqua pas, bien au contraire :— Voyez-moi ce petit cochon ! Mais je vais te montrer quelque chose de bien meilleur.Elle passa ses mains sous sa jupe, fit glisser sa culotte et me la fourra sous le nez :— Elle sent bon. Je la porte depuis ce matin.Elle se colla contre mon dos, drapa sa culotte autour de ma queue et de mes couilles, et commença une lente masturbation. — C’est bon ? C’est meilleur que de le faire tout seul, non ?Je sentais ses tétons frotter contre mon dos, son bas-ventre bouger contre mes fesses. Je nous voyais dans la glace et par le truchement du miroir elle me regardait dans les yeux en m’encourageant : — Regarde-toi. Tu vas bien juter dans ma culotte.Elle emprisonna ma jambe entre ses cuisses, je sentis sa main se glisser entre mes fesses, me peloter les couilles. C’était divin ! Je m’entendais gémir, et quand son doigt pénétra mon trou du cul, mes gémissements se transformèrent en râles et je lâchai tout mon jus à grandes giclées. Tout le temps que dura mon orgasme, elle garda son doigt dans mon cul et ma bite bien serrée dans sa culotte, me chuintant à l’oreille :— Oui, comme ça, mon petit vicieux… Gicle bien tout ton jus de garçon dans la culotte de ta tante…Elle remit sa culotte et resta un moment immobile, s’appuyant au lavabo. Elle avait le feu aux joues, je voyais son derrière bouger et elle frottait ses cuisses l’une contre l’autre. Elle se relâcha enfin avec un long soupir, me fit la bise.— Mon petit cochon, je crois que je vais te faire connaître un tas de bonnes choses… Elle tint parole. Elle se chargea de mon "éducation sentimentale", et je découvris la vraie nature de tante Cécile : une femme aimant la bite, qui en avait besoin. Une femelle à qui il fallait des mâles, beaucoup, le plus souvent possible. Bref, elle était cochonne, vicieuse, perverse, obscène.Je devins son "petit cochon", puis son "bouc" et son amant et elle fut ma maitresse pendant deux ans.Dès lors, toutes mes amantes ou maitresses devront me laisser leur culotte.Et aujourd’hui encore, je m’arrête toujours devant la vitrine d’une lingerie. Toutes ces culottes ! Je les imagine sur les clientes et les vendeuses du magasin. Mes doigts se glisser pour les effleurer, les décoller de leur fente. Ma bouche se poser là. Ce parfum de chatte déjà humide.
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