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Souvenirs de famille

Chapitre 1

Inceste
En faisant de l’ordre dans une vieille malle, j’ai découvert un carnet jauni par le temps. D’après les quelques pages que j’ai feuilletées je devine que sont des souvenirs coquins de mon grand père Jean. J’avais dix ans quand lui et sa femme sont morts, victimes d’un accident d’auto. Je me souviens très bien deux qui nous adoraient moi et leurs autres petits enfants. En lisant ces lignes je comprends mieux l’éducation que m’ont donnée mes parents. Voici retranscrites ses quelques pages :
« Je me présente, Jean, cadre dirigeant d’une société de travaux public. Mon épouse Marie, professeur, a deux ans de moins que moi, soit la petite quarantaine. Nous nous sommes mariés très jeunes (nos parents disaient trop tôt) et avons eu tout de suite des enfants, des jumelles d’abord, Annie et Chantal, puis un garçon Alain. Ils ont respectivement 21 et 19 ans. Ce sont de jeunes adultes dont nous sommes fiers. La pudibonderie n’a pas cour chez nous. Nous ne nous sommes jamais cachés devant nos enfants qui ont souvent surpris nos ébats. Dés qu’ils ont atteint la majorité sexuelle, Annie et Chantal d’abord, Alain deux ans après, nous les avons associés à nos jeux amoureux, leur faisant découvrir le plaisir. Il faut dire que l’invention récente de la pilule a grandement facilité les choses. J’ai eu l’honneur de dépuceler mes filles lors de leur seizième anniversaire au cours d’une soirée mémorable. Ma femme a eu moins de chance que moi. Quand deux ans plus tard elle a voulu déniaiser notre fils elle a découvert que les jumelles s’étaient chargées de son « éducation » sans nous le dire. Cela nous a chagrinés, ma femme en particulier qui se faisait une joie « d’étrenner » son fils. Nous le leur avons reproché. Le garçon a tenté de se dédouaner en mettant tout sur le dos de ses sœurs, déclenchant une vive réaction de celles-ci ! Je les ai rassurés en affirmant qu’on ne leur en tenait pas rigueur. La fête a duré toute la nuit, la première où toute la famille participait. Tout le monde a baisé tout le monde, parents avec enfants, garçon avec filles, hommes et femmes entre eux. Nous avons terminé moi faisant l’amour à mon épouse tout en étant câlinés par nos rejetons. J’ai, en cette occasion ainsi que mon fils, découvert le bonheur d’être enculé par un être cher. Depuis régulièrement nous organisons des soirées où nous avons plaisir de nous retrouver en plus des rencontres fortuites entre membres de la famille. D’aucun pourraient nous accuser d’inceste, moi je dis que tant qu’il n’y a pas de descendance consanguine, prendre du bon temps n’est pas un pêché. Nous ne sommes pas repliés sur nous même et avons encouragé nos enfants à agrandir le cercle de leurs relations amoureuses. Ma femme et moi avons aussi veillé à ce que cela n’influe pas sur leur scolarité et de ce coté nous pouvons dire que nous avons réussi puisque les jumelles terminent leur professorat à la faculté et que le garçon vient d’intégrer une grande école d’où il ne revient que pour les vacances. Je relate ici les événements qui ont eu lieu avant et pendant les vacances de Pâques de l’année 1970
Mercredi 4 marsAnnie et Chantal nous présentent leurs fiancés. Ma femme et moi les soupçonnons de s’être entendues en secret pour les dévoiler ensemble. Le copain d’Annie se nomme Daniel, jeune chercheur en pharmacie et celui de Chantal s’appelle Michel c’est comme moi un ingénieur. Ils font partis de la même bande de copains et ont sympathisé. Ma femme objecte qu’elles sont bien jeunes pour s’engager, les jumelles répliquent qu’à leur âge elle était déjà enceinte ! Je m’inquiète : savent-ils comment fonctionne notre famille ? Les garçons m’assurent que Chantal et Annie ne leur ont rien caché et que cela n’a pas modifié leurs sentiments. Michel avoue même qu’avec sa sœur si les circonstances avaient été propices… Il n’en dit pas plus mais fait comprendre que si cela n’avait tenu qu’à lui, il se serait laissé aller. Les jeunes nous informent de leur intention de vivre ensemble et les jumelles nous demandent s’ils peuvent s’installer ici, la maison étant assez grande. Après avoir consulté mon épouse nous donnons notre accord à condition que cela n’affecte pas notre mode de vie. Les deux jeunes gens nous remercient mais sont un peu époustouflés lorsque je leur précise les règles à respecter : ne pas obliger le partenaire du moment à faire ce qu’il refuse et ne pas concevoir d’enfant avec une autre que celle qu’ils veulent épouser. Hormis cela, tout est permis en matière de plaisir. Après un instant d’hésitation ils acceptent avec enthousiasme et demandent s’ils peuvent emménager le lendemain. Une fois seuls j’informe ma femme qu’elle aura un travail supplémentaire : — Tu devras contrôler que ces deux soupirants sont des amants acceptables pour nos filles. — Oh ! Tu veux que je…— Oui, il ne faudrait pas qu’elles tombent sur n’importe qui.— Vu comme ça…
Samedi 28 févrierNous traînons ma femme et moi, elle en déshabillé moi en robe de chambre. Nous tombons sur Michel en train de préparer seul son petit déjeuner. En réponse à notre étonnement il nous dit que Chantal étant sortie faire des courses elle l’a laissé seul. J’incite Marie à sauter sur l’occasion et la laisse en sa compagnie. Passant devant la chambre d’Annie, j’entends un couinement reconnaissable. Ma fille serait-elle entrain de baiser avec Daniel ? J’ouvre doucement la porte, je ne me suis pas trompé ! Ils sont là, nus sur le lit, en pleine étreinte. Qu’ils sont beaux ! Daniel a l’air d’être à la hauteur car elle prend visiblement son pied croisant les talons sur le postérieur de son amant ! Elle m’aperçoit et me sourit. Son copain, surpris, veut se dégager mais elle l’en empêche. Elle m’explique doctement que ne sachant que faire en ce début de week-end ils s’occupent comme ils peuvent ! Le garçon n’en mène pas large et si Annie ne le maintenait pas serré contre elle il s’enfuirait. Je m’assois à leur coté et tout en caressant les seins de ma fille je m’adresse à Daniel. Je lui dis qu’ici on ne se cache pas pour faire l’amour et que la présence de témoins, surtout pour un si joli spectacle, est inévitable. S’il compte rester parmi nous, il faudra qu’il s’y habitue. Constatant que je ne lui veux aucun mal, il se rassure. Il reprend ses coups de rein, timidement d’abord puis plus franchement. Ma fille ravie exprime à voix haute sa satisfaction. Le garçon a oublié ma présence ou cela ne le gène plus ! Son postérieur danse devant mes yeux. Si j’osais… Pourquoi pas ? Je pose la main sur une fesse. Daniel n’interrompt pas sa chevauchée. Je caresse autour de l’anus. Toujours pas de réaction. Est-ce que ça lui plairait ? Malgré les mouvements j’arrive à enfoncer un doigt puis un autre. Ses grognements accompagnent les gémissements d’Annie. Il est donc comme mon fils et moi qui adorons être enculé quand nous faisons l’amour ! Il comprend quand je lui demande de ne plus bouger. Ma queue remplace mes doigts. Je cale mes coups de rein sur ceux du garçon et mêle ma voix aux borborygmes du couple… La première Annie jouit. Daniel et moi la suivons de près. Nous mettons plusieurs secondes à reprendre notre souffle. Le garçon me remercie vivement et m’avoue que c’est la première fois. Je m’interroge, est-ce la première fois qu’il expérimente la sodomie ou la première fois qu’il est enculé tout en baisant ? Je penche pour la seconde solution vu la facilité avec laquelle il m’a accepté. Il me le confirme en révélant qu’il a déjà connu des garçons mais pas comme ça. Je les abandonne et m’enferme dans mon bureau pour travailler… Avant le déjeuner je rencontre Marie dans le couloir. Je la questionne sur ce qui s’est passé avec Michel. Elle m’assure que mes craintes étaient vaines. Elle ne veut pas m’en dire plus se réservant pour la sieste. Elle ne consent à m’éclairer qu’une fois arrivée dans notre chambre. — Quand tu nous as laissé seuls, Michel était emprunté et ne savait comment se comporter avec moi. Pour le détendre je l’ai interrogé sur ses relations avec sa sœur. Il hésitait à m’en parler mais à force de le questionner j’ai appris qu’ils se caressaient en cachette mais, m’a-t-il affirmé, n’ont jamais fait l’amour. J’ai insisté, il m’a avoué qu’il serait passé à l’acte comme il dit, si, à cause du divorce de ses parents, sa sœur n’était pas partie à l’étranger avec sa mère. Il se rappelle toujours avec émotion comment elle lui caressait le sexe. « Comme ça ? » lui ai-je demandé en ouvrant sa braguette et en prenant sa verge à pleines mains. Il n’a pas été long à comprendre… Il a profité de ma tenue… Nous avons fait sauvagement l’amour sur la table de la cuisine… Comme je t’ai dit, tu n’as aucun souci à te faire pour l’avenir de ta fille, c’est un très bon amant… Mais la prochaine fois j’irai dans une chambre, c’est plus confortable !
Pendant qu’elle parle ma main fouille entre ses cuisses. Son récit terminé elle se jette sur moi et me viole presque ! — Tu n’as pas à rougir de la comparaison mon chéri. Quelle jouissance !— Je me surpasse toujours entre tes bras. Elle m’interroge ensuite sur ce que j’avais fait. Je lui raconte en détail ma visite chez Annie et Daniel. Nous reconnaissons que ces jeunes gens ne déparent pas notre famille et que dans peu de temps ils seront comme nous.
Lundi 2 marsDeux jours plus tard je surprends Daniel sortant en se réajustant de la chambre de Chantal. Sous mon regard ironique il rougit violemment et m’implore de ne pas en informer Annie. Je lui rétorque que je ne lui cache rien mais qu’il se rassure, elle ne lui en voudra pas. Nous la rencontrons dans le couloir avec Chantal et Michel. Mise au courant elle s’étonne en riant qu’il ait mis si longtemps ! Du coup, Michel contemple ses souliers sous l’œil hilare de Chantal !
Jeudi 19 marsLes tâtonnements des premiers jours passés, la cohabitation s’organise. Le soir en rentrant du travail quand je vais embrasser ma femme ou mes filles il arrive souvent qu’elles soient occupées avec un garçon. Si c’est Daniel, il m’invite à partager leurs jeux pour que je l’encule pendant qu’il fait l’amour ou le contraire car il a vite compris que moi aussi j’aimais jouer à l’homme sandwich. Je n’ai pas la même chance avec Michel qui reste obstinément hétérosexuel. Ma femme et mes filles ne s’en plaignent pas…
Vendredi 20 MarsCe soir Alain revient pour les vacances. Daniel et Michel sont un peu inquiets : ils craignent la venue d’un concurrent. Je les rassure en affirmant que mon fils n’exige pas l’exclusivité avec ses sœurs. Mais rien dans ses courriers ne le laissait présager la surprise qu’il nous faite : il débarque avec une ravissante demoiselle, Martine, qu’il nous présente (lui aussi) comme sa fiancée à qui il fait connaître la famille. Elle est mignonne comme un cœur et si elle baise aussi bien qu’elle est jolie c’est une bonne recrue pour la famille ! Je dois déchanter. Laissant Annie et Chantal conduire la jeune fille à sa chambre Alain me prend à part. Il m’explique qu’il n’a pas caché à Martine notre mode de vie mais qu’elle ne tient pas à le partager. J’ai du lui promettre que je n’importunerai pas sa dulcinée mais je ne me porte pas garant pour Michel et Daniel. A lui de les convaincre.Je me traite d’hypocrite car je compte bien sur mes filles pour dévergonder la donzelle. Avoir un jeune tendron à sa disposition et ne pas pouvoir en profiter, ce n’est pas humain ça ! En cachette de leur frère je les briffe. Elles sont tout de suite d’accord. — Pour qui se prend-elle cette morveuse pour nous donner des leçons de conduite ! Résume Chantal.
Lundi 23 marsAnnie m’annonce triomphalement que Martine s’est convertie aux coutumes familiales. Elle m’explique qu’elles ont réussi avec l’aide involontaire d’Alain. — Je devais me débrouiller pour que Martine surprenne son frère baisant avec Chantal, raconte ma fille. Le résultat a dépassé nos espérances. Sans déranger le couple, je l’ai tout de suite emmené dans ma chambre. Elle se lamentait. « Il m’avait promis de cesser » disait-elle. Profitant de son désarroi, je l’ai embrassé. Surprise elle s’est laissé faire. Je l’ai caressé et de fil en aiguille nous avons fait l’amour. Ce fut pour elle une révélation. « Je ne pensais pas qu’on puisse jouir autant entre filles » m’avoua-t-elle lorsqu’elle a émergé des vapes. Sans lui laisser le temps de se reprendre j’ai appelé Daniel. « Tu vois » ai-je dis à Martine, « Daniel est mon petit ami, pourtant j’accepte qu’il te donne du plaisir, tu ne vas pas refuser ? » Encore dans les brumes de la jouissance elle n’était pas capable de le repousser. Je dois reconnaître qu’il a été à la hauteur et l’a fait jouir comme c’est pas permis. J’ai demandé si après ces deux séances elle en aimait moins mon frère. Elle est partie toute pensive. Ce matin elle m’a confié qu’Alain et elle avaient longuement parlé. « Je ne l’empêcherais plus de prendre du bon temps avec les autres membres de la famille » m’a-t-elle déclaré. Si tu veux mon avis cela veut dire qu’elle est à point. J’ai rendez-vous avec elle dans ma chambre tout à l’heure et ai invité Chantal. Elle a un potentiel sexuel énorme qui ne demande qu’à s’épanouir, cette fille ! Je suis sceptique et doute de la sincérité de la donzelle. Annie propose de m’en assurer par moi-même. Je n’aurais qu’à passer par là par hasard. Je suis tenté mais me revient en mémoire la promesse faite à mon fils de ne pas baiser Martine. Annie rétorque si c’est elle qui fait la demande je ne pourrais être tenu pour responsable. On convient que je leur laisse quelques minutes avant d’intervenir…Je regarde par la porte entrouverte. Sur le lit, les trois filles sont déjà déshabillées et se bécotent tendrement. Le spectacle est charmant mais je ne suis pas venu pour ça. Chantal m’aperçoit et me propose de participer à leurs jeux. Réaction indignée de Martine mais Annie lui reproche de ne pas savoir ce qu’elle veut. Je comprends qu’avant mon arrivée elles ont parlé de mon éventuelle venue. Après un conciliabule à voix basse entre filles, Martine m’invite à entrer. Comme c’est elle qui prend l’initiative je n’ai pas de scrupules à obéir. L’une des jumelles ôte ma chemise pendant que l’autre me débarrasse du pantalon et du slip. Je ne reste pas inactif. Mes mains fouillent leur vulve. Martine nous regarde faire l’œil brillant, sans bouger. Annie se penche dépose un bécot sur ma queue qui hoquette et la propose à sa nouvelle amie. Des doigts gourmands s’en emparent. Que sa main est douce ! Elle décline l’invitation à l’embrasser, la dirige tout de suite vers son sexe et frotte le gland contre son clitoris. Cette fille a hâte de baiser ! Je me retrouve entre ses cuisses écartées. Placé comme je suis je n’aurais qu’à pousser pour m’enfoncer dans sa chatte. Je n’ose croire à ma chance, Martine dissipe mes scrupules en m’attirant en elle. Elle devait être drôlement excitée car il m’a suffit de quelques coups de rein pour la faire venir. Je suis étonné par cet orgasme rapide qui me laisse un peu insatisfait. Annie sourit devant mon désarroi et pour me consoler, prend ma verge en bouche. Je la remercie car j’adore me faire pomper par mes filles et éjaculer dans leur palais ! Pendant que nous nous reposons nous sommes surpris par Alain. Il n’en revient pas de voir sa copine nue en notre compagnie et me reproche vertement d’avoir failli à ma promesse. Martine se porte à mon secours en lui affirmant qu’elle seule est à blâmer. Ne lui a-t-il pas affirmé que prendre du plaisir ne tuait pas l’affection ? Argumente-t-elle. Alain se calme et accepte de nous rejoindre. Les filles le déshabillent et Martine lui demande de lui faire l’amour. Les jumelles et moi voulons les laisser. Il nous retient. — Papa, supplie-t-il, tu voudrais pas… Il ne termine pas sa phrase mais j’ai compris, il désire que je l’encule pendant qu’il baise sa fiancée. Je suis évidement d’accord. Il pénètre Martine et présente ses fesses. Chantal les écarte pour me faciliter l’introduction. Ooh qu’il est serré ! Sûr qu’il n’a pas pratiqué ce sport depuis les dernières vacances !
Dimanche 5 avrilMartine s’est totalement intégrée à la famille et c’est avec un plaisir toujours renouvelé que je profite de ses faveurs. Je n’en oublie pas ma femme et mes filles, sans compter les garçons. Mais tout a une fin. Aujourd’hui Alain rejoint son école et la jeune fille ses parents. Ils ne reviendront qu’aux grandes vacances. Je suis un peu triste et pour me consoler je rends visite à Annie dans sa chambre. Elle est avec Daniel, ils finissent de faire l’amour. Je veux m’éclipser mais le garçon m’en dissuade : — Je dois m’en aller, restez avec votre fille. Une fois qu’il est sorti elle me tend un préservatif. Je m’étonne car ce n’est pas dans nos usages. Elle me rétorque que Chantal et elle veulent un enfant et comme j’ai édicté que seuls leurs fiancés pouvaient les engrosser, si je voulais les baiser je devais me protéger ! Je suis piégé et dois m’exécuter !…
Trois mois ! Trois longs mois j’ai du subir les capotes ! Et deux mois supplémentaire avec Chantal car elle tardait à tomber enceinte ! Heureusement qu’il y avait ma femme et mes… J’allais écrire mes gendres… »
Ces deux dernières lignes ont visiblement été écrites postérieurement. Je fais attention aux dates, mais c’est ça ! C’est de ma conception dont mon grand-père parle puisque ma mère répond au doux nom d’Annie ! Je montre ce carnet à ma femme Nathalie et à mes jumeaux Nicolas et Laura qui le lisent avec curiosité. — J’aurais bien aimé connaître ton grand-père. D’après ce qu’il écrit ce devait être un chaud lapin, remarque ma femme. — Je comprends d’où vient le mode de vie que tu nous as imposé, se moque ma fille. — Je n’ai rien imposé du tout ! J’applique les préceptes que mes parents m’ont inculqué qui je le voie à la lecture de ce carnet étaient ceux de mon grand-père ! — Je sais : en matière de plaisir tout est permis si on respecte le partenaire et qu’on évite les grossesses consanguines. — Ah tu voies !— Je te taquine. Embrasse-moi pour montrer que tu me pardonnes. Un coup d’œil me confirme que Nicolas se rapproche de sa mère. J’enlace ma fille pour un baiser passionné… Quelques minutes après je goûte sa liqueur intime pendant que Nathalie suce la verge de son fils…
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