Récit d’une histoire vraie qui aura, sans doute, marquée une grande partie de ma vie. J’ai maintenant 58 ans, marié, 3 enfants. Peu après ma naissance, mes parents se sont séparés pour différentes raisons, j’ai été adopté par ma grand-mère maternelle qui avait 47 années de plus que moi. Une femme qui, je dois le reconnaître, a su sacrifier toute sa vie pour moi. Je n’ai jamais connu d’homme à la maison, ma grand mère ayant été veuve deux années avant mon arrivée chez elle. J’ai le souvenir de bien belles années, très aimé, très protégé, trop sans doute, nous passions toutes les fêtes et les vacances scolaires tous les deux, bien peu de camarades, d’amis, de famille.Jusqu’à l’âge de 9 ans, j’ai partagé la chambre avec ma grand-mère, ceci dû à la configuration d’une bien petite demeure. Je me rappelle encore, alors que j’étais couché, elle faisait l’obscurité dans cette chambre commune afin de se déshabiller pour la nuit. Chaque soir, elle me contait des histoires tout en me caressant les cheveux, c’était le bon temps. Les années avançant, on avait pu libérer une pièce face à la chambre afin que je puisse m’y installer. Nous avions alors décidé de laisser les portes ouvertes...je dois avouer que, très vite, j’ai observé ma grand-mère se déshabillant tous les soirs, et j’ai rapidement découvert ses formes avec plaisir. Je ne saurai jamais si elle avait découvert mon manège. Vers les 17 ans, alors que ma grand-mère atteignait les 65 ans. la vision ses formes ne manquait pas de me troubler, voir plus...elle avait une longue chevelure blonde, les seins lourds et abondants, des fesses épanouies, une toison fournie, mais surtout une très belle et large raie des fesses. J’ai passé des heures à l’observer tous les soirs, le matin au réveil, parfois la nuit, à la lueur de la lune pendant les chaudes nuits d’été, alors qu’elle se découvrait pendant son sommeil. Alors que j’avais 19 ans environ, une nuit, je me suis levé et me suis approché très lentement du lit de ma grand-mère. Elle dormais profondément, découverte, sur le coté, les jambes repliées. Je dois préciser que, toute sa vie, elle a pris un petit cachet le soir afin de mieux dormir. Je me suis glissé derrière elle dans le lit, mon cœur battant, inquiet et ne pouvant plus résister. J’ai osé toucher son corps, la courbe de ses reins, j’ai embrassé sa nuque, je redoutais le pire, mais j’ai senti son souffle s’accélérer. Le désir me tenaillant, j’ai collé mon bas ventre contre ses fesses, et, sans bouger, j’ai pris mon premier plaisir d’homme au bout de quelques minutes d’intense émotion et de craintes d’être surpris. J’ai éjaculé dans mes mains, j’ai ensuite rejoint mon lit, heureux, apaisé, plein de reconnaissance. Je crois comprendre, maintenant, qu’elle n’avait pas le sommeil si profond et que sa tendresse pour moi avait pris le dessus.
