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Souvenirs juvéniles

Chapitre 1

Inceste
Dans les années soixante, j’avais une douzaine d’années, je fantasmais énormément sur ma mère, je cherchais toujours à la voir nue, ce qui arrivait quelques fois en rentrant volontairement dans sa chambre sachant qu’elle s’habillait ou changeait de vêtements, j’en sortais avec une forte réprimande. Le jour où j’ai eu les oreillons, j’ai gardé le lit pendant quelques jours, ma mère était souvent près de moi, elle avait peur des problèmes qui pouvaient en découdre sur mon appareil génital, elle touchait mon sexe pour voir je ne sais quel gonflement éventuel. Les doigts de maman qui palpaient ma petite verge et mes deux boules ressemblaient à des caresses, c’était sublime pour moi, c’est depuis ce jour que mon réel fantasme sur le corps de ma mère, est né, j’ai bien regretté la fin de cette maladie.
Quelques années plus tard, j’étais en apprentissage chez un artisan local quand un copain de travail m’a donné une ou deux revues interdites où l’on voyait des femmes nues de l’âge de ma mère dans diverses poses, je me masturbais sur ces magazines chaque fois que j’étais sûr d’être seul à la maison en imaginant que c’était maman.Je faisais bien gaffe que la maison soit vide de mes parents, en général, c’était le jeudi ou j’allais passer la journée dans une école professionnelle, je revenais plus tôt et pourtant un jour mon père m’est tombé dessus, j’étais cramoisi, extrêmement gêné, j’ai remonté mon futal et déguerpi en vitesse.
Le soir au moment de dîner, je m’attendais à un sermon des plus sévères, il n’en était rien, mon père expliqua à ma mère ce qu’il a vu puis ils se posèrent la question a savoir ce qu’ils vont faire maintenant. Je m’aperçois que je soulève un problème familial, ce qui me gène encore plus. J’entretiens avec mon père des relations excellentes, nous sommes comme de vrais copains, quand nous sortons ensemble, il n’hésite pas à faire des commentaires sur les filles dans la rue.
Maman me demande un peu bêtement :
« Pourquoi tu fais ça Alain ? »
Sur le moment je ne sais que dire, c’est mon père qui répond :
« C’est normal, je faisais la même chose à son âge »
« Mais ces femmes dans ces revues ne sont pas très jeunes, elles ont mon âge, c’est normal ça ? » demande maman.
Je ne sais pas ce qu’il me prend, mes parents ont l’air modérés, surtout mon père, alors je vide mon sac :
« Parce que je pense à toi maman. »
« Comment ça tu penses à moi, que me racontes-tu là ? »
« Ce n’est pas de ma faute, quand je vois ces femmes nues, je pense à toi et j’ai envie de me caresser, ça me fait beaucoup de bien. »

« Tu entends ça Jean, il s’excite en pensant à moi………. En regardant ces putes à poils…. Je rêve ! »
« Si maman, même que tu es beaucoup plus belle que ces femmes des magazines, j’ai toujours envie de tes caresses, tu es si douce maman »
Je sens que ma mère est touchée par ma déclaration spontanée, mon père reste muet avec un petit sourire en coin.
« Ben Jean, tu dis rien, c’est moi qui l’excite, tu crois que c’est normal ? Tu as déjà vu ça en quelque part ?»
« Il est comme moi ma chérie, répond papa, tu es belle, je suis bien obligé de le comprendre. »
« Mais je suis sa mère enfin ! Il faut faire quelque chose. »
« Ha oui……. Et quoi ? » Demande mon père.
Je vois que mon père est de mon côté,
« Plutôt que de le laisser faire ça en cachette, ce qui n’est pas aisé pour lui, ce serait mieux qu’il le fasse dans sa chambre tranquillement quand il en a envie. » Ajoute mon père.
« Oui c’est vrai, tu as peut-être raison. » Dit ma mère.
Voyant mes parents s’apitoyer sur mon sort, j’ose demander un petit plus d’une voix timide et riante :
« Ce serait bien si maman voulait remplacer ces femmes de Paris-Hollywood»
C’est fait, j’ai dit une connerie. Mon père me sourit en me donnant un coup d’œil.
« Mais c’est vrai ça, qu’en penses-tu chérie ? »
Décidément mon père me surprend, il ajoute :
« Ca te gêne de te mettre à poil devant Alain ? »
« Non, ce n’est pas la question, surtout que c’est lui qui ne se gêne pas, il ne manque pas une occasion pour essayer de me voir nue, n’est ce pas Alain ? »
On en est resté là, je suis allé me coucher quelques instants plus tard, comme d’habitude, je bouquine un peu, quand quelques coups à la porte de ma chambre qui s’ouvre poussée par mon père suivi de ma mère en peignoir tous les deux. Mon père se met derrière ma mère, il ouvre et retire le peignoir de maman qui est nue, mon père me dit en allant s’asseoir sur mon siège de bureau :
« Aller, caresse-toi maintenant ! »
Ahuri, je demande d’un air bête.
« Là devant vous ? »
« Pourquoi, demande maman, je ne suis pas belle ce soir ? »
Je comprends que mon pater à sérieusement discuté avec ma mère.
« Ho si maman, je n’ai jamais rien vu de si beau, tu es la plus belle du monde. »
Mon père reprend d’un air sournois :
« Alors vas-y, fais-nous voir ce que tu fabriques en cachette, tu vois que nous sommes très gentils avec toi, ta mère est là comme tu l’as voulu. »
Pour voir, je vois que c’est bien mon père qui a eu cette idée, je ne peux me défiler, je regarde maman, c’est tellement beau ce corps nu. Je pousse mon bouquin et touche ma bistouquette sous le drap en admirant ce corps extraordinaire, des seins moins gros que ceux des femmes de Paris-Hollywood, mais plus mignons, le triangle noir très fourni qui cache le plus important pour moi.
« Alors Alain, on est moins exigeant maintenant ! Tu as peur de moi, tu peux me regarder sans te cacher et faire ce que tu as envie. »
En lâchant ces quelques mots ma mère fait un tour sur elle même et s’assoit sur le lit à côté de moi, puis tire le drap d’un seul coup :
« Voyons un peu ce que tu nous caches. »
N’ayant pas eu le temps de retenir le drap, je suis un peu honteux de ma position avec ma main dans mon slip. Ma mère tire mon slip vers mes pieds pour le sortir, je me laisse faire comme si j’étais handicapé, je regarde papa qui manipule sa verge grossissante, je l’ai vu plusieurs fois à poil, mais jamais j’ai vu son sexe en érection. C’est fou ce que maman est belle, son odeur, le contact de ses mains me rend dingue.J’entame une masturbation d’une main, ma verge se raidit rapidement, je pose l’autre main sur le bras de maman sur lequel elle s’est appuyée, bien qu’étant habitué à toucher ma mère, ce soir c’est complètement différent, la douceur de sa peau m’envahit, je deviens moite.Jamais, je n’ai eu d’attouchements avec une fille, à cette époque, les mœurs n’étaient pas ce qu’ils sont aujourd’hui, mes parents le savent bien.
Ma mère s’adresse à mon père :
« Tu as vu chéri, notre Alain est un vrai homme, regarde comme il bande ! »
Je regarde papa qui fait comme moi, je suis surpris par la grosseur de sa verge et des roustons qui reposent sur le siège, son sourire me réconforte et m’enlève toute timidité envers mes parents. Incapable de résister au désir, je tente de caresser un sein, ma mère repousse ma main.
« Non Alain ce n’est pas possible. » Dit-elle sans trop de conviction.
Je reviens à la charge quelques secondes après, maman regarde papa qui sourit ; elle ne s’oppose plus, je caresse cette peau d’une douceur incomparable, un long frisson lui parcourt le corps, je lui demande si elle a froid.
« Non mon grand……… Je suis bouleversée. »
Je m’approche de maman pour la soutenir comme lorsque je viens me faire consoler, mon visage tombe à la hauteur de sa poitrine. Je frotte ma joue sur la peau tendre en cherchant le mamelon grumeleux que je prends dans ma bouche pour le téter de mon mieux.
« Oh, mon petit chéri… Que fais-tu à ta maman ? » Dit-elle la gorge nouée en passant sa main dans mes cheveux.
Je veux mettre fin à ce sentiment coupable, mes mains se posent sur la poitrine avec délicatesse, je suis pris d’une étrange sensation avec mon sexe qui durcit de plus en plus. Maman s’ouvre à mes caresses, ma bouche ne quitte pas le mamelon, c’est trop bon et puis je n’ose plus regarder mes parents. Je ne suis plus moi-même, c’est tellement différent, ma bouche glisse vers l’autre sein, toujours aucune résistance, au bout d’un moment maman prend mon visage dans ses mains, je vois une merveilleuse bouche aux lèvres charnues, elle approche son visage et colle ses lèvres sur les miennes. Sa langue essaie de pénétrer ma bouche et là, commence un manège inconnu pour moi, je sens que ma tige va éclater. Tout s’enchaîne, les mains douces de maman se promènent sur mon corps, me caressent la poitrine puis ses doigts agiles s’emparent de ma verge qu’elle manipule exactement comme il faut, c’est inattendu, je n’aurais jamais imaginé un tel bonheur, je ne tiens plus, je jouis dans la main de maman c’est trop fort pour moi. Elle ne quitte pas ma bouche, elle est prise de secousses, je sens qu’il se passe quelque chose, maman remue beaucoup, elle se dégage de ma bouche en poussant de petits gémissements. J’ouvre les yeux pour sortir de ce rêve, je vois papa, la tête entre les cuisses de maman faire je ne sais quoi mais sûrement pas du mal. J’ai rapidement compris ce qu’il se passait entre la bouche de mon père et la chatte de ma mère qui prend un pied terrible et certainement un peu grâce à moi, sur le moment j’en suis fier. La tête posée sur mon oreiller, maman semble vidée je ne peux pas rester comme ça, je pose ma main sur sa joue, dépose un baiser sur le coin de ses lèvres et colle passionnément ma bouche à la sienne avant de descendre sur ses épaules que j’embrasse un peu partout. Mon père se retire un peu et attire mon visage vers cette forêt noire, il me pousse légèrement la nuque et me dit doucement à l’oreille :
« Embrasse ta maman ici avec ta langue, suce-la bien mon grand. »
Pour la première fois je découvre la vraie femme, médusée, je laisse mon regard s’attarder sur la beauté des hanches un peu rembourrées et la luxuriante toison qui forme un triangle parfait sur des cuisses largement écartées par les bienfaits de papa. L’accès à la longue fente ruisselante est ouvert, terriblement ému, mon désir augmente à très grande vitesse. Ses murmures incompréhensibles me font comprendre de continuer le travail de papa, j’avance ma bouche vers l’entrée mystérieuse, mon visage s’incruste entre les cuisses charnues, une forte odeur m’envahit. Plongé dans les chairs écarlates, j’enfonce ma langue dans la cavité léchant avec gourmandise les parois gorgées de suc.Immédiatement maman se cambre sur le lit en agitant son bassin. Les cuisses refermées autour de mon visage, je broute maladroitement la chatte, maman s’abandonne sans pudeur au cunnilingus que je lui prodigue généreusement. Papa m’encourage par des caresses allant de ma nuque jusqu’au bas de mes reins, je me suis remis à bander assez vigoureusement. La main de mon père s’attarde sur mes fesses qu’il pousse pour que je m’emboîte sur la jambe de maman, ma quéquette bandée sur sa cuisse me fait faire un va et vient. Un doigt s’insinue entre mes fesses sans forcer pour aller sur mes boules. Il les taquine pour me stimuler davantage, je connais papa, il n’est jamais le dernier dans les bons coups, sur le moment je prends ses gestes pour un amusement, ce n’est qu’après que j’ai compris qu’il y prenait du plaisir.
Mon père prend à son tour ma bistouquette coincée entre mon ventre et la jambe de ma mère, je me laisse faire dans l’euphorie du moment en oubliant un peu maman, il commence une douce masturbation, j’éprouve à nouveau le bonheur, ma mère s’est redressée sur le lit pour me demander :
« Tu aimes ? »
« Ho oui maman, c’est trop bon, merci. »
« C’est mieux que quand tu te caresses tout seul ? » Ajoute mon père.
J’en profite pour me retourner, à demi allongé et adossé contre la poitrine de maman assis entre ses jambes, je n’ai pas pu donner de réponse à papa étant donné la circonstance. Maman caresse ma poitrine, papa met tout son art dans ses manipulations, une main sur ma tige, de l’autre il triture mes roustons. Ses caresses deviennent de plus en plus précises lorsque je sens que ça vient, la bouche de ma mère vient remplacer la main de mon père, j’ai tout lâché dans sa gorge.
Après quelques instants de répit, maman me regarde en s’essuyant la bouche d’un revers de main :
« Bravo mon grand, tu reprends vite des forces et ton père te connaît tout entier maintenant. »
Sur le moment je n’ai pas réalisé ce que voulait dire ma mère, mes pensées appréciaient ces instants sublimes. Les seuls mots qui sont sortis de ma bouche :
« Je vous aime, je vous aime. »
Je répétais plusieurs fois cette phrase, je m’allonge sur le lit, mes parents disparaissent de la chambre en me laissant distiller mon plaisir dans mes rêves.
Nous n’avons pas reparlé de cette expérience tout de suite, ce n’est qu’un soir après le dîner en regardant la télé que mon père s’est branché sur le sujet en me recommandant d’être surtout très discret sur ce que nous avons fait, que cela doit rester uniquement entre nous. Je profite de cette occasion unique pour poser une question qui me tient depuis cette fameuse soirée :
« Dis papa, dis maman, on pourra recommencer à faire le même jeu ? »
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