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La spirale infernale

Chapitre 2

Gay
J’étais bien décidé à reprendre le contrôle de ma vie. Et je me jurais de ne plus utiliser cette application, ni d’aller sur quelque forum que ce soit.Seulement, entre temps, ma boite mail s’était garnie de nouveaux messages et de nouvelles photos. La curiosité était trop forte.Et par un soir de solitude, j’entrepris de lire ces mystérieux messages accompagnés de leurs précieuses pièces jointes. Une belle collection de queues s’offrait à moi et rapidement mon excitation revint. Je ne saurais dire pourquoi, l’une d’elles en particulier attira mon attention : Sur la photo, la queue paraissait plus épaisse, un énorme gland luisant la finissait, les couilles étaient recouvertes de poils et on devinait un ventre rebondi de sexagénaire.Tout le contraire de mes précédents candidats. Je me sentais de plus en plus chienne, et la perspective d’une vieille grosse queue puant la pisse me faisait bander comme un fou. Galvanisé par l’excitation, j’envoyai une réponse. Il répondit aussitôt et après quelques banalités :_ Voyons-nous maintenant ? _ Ok  Marié lui aussi, et sa femme étant absente, il m’invitait directement chez lui. A trente minutes de chez moi. Dans la conversation, il me confia être un vieux cochon. Ni une ni deux, la queue raide comme une baguette de tambour, je sautais dans ma voiture direction papy cochon.
J’arrivais dans une zone pavillonnaire endormie, et m’arrêtais à l’adresse qu’il m’avait indiquée. Par une fenêtre la lumière du néon laissait deviner un intérieur rustique et vieillot.J’hésitais un instant, mais l’excitation était décidemment trop forte. Je sortais de ma voiture. La sonnette raisonna.La porte s’ouvrit. L’homme, souriant, m’invita à entrer. Il avait un fort accent rustique, ses mains étaient énormes et calleuses. De vraies mains d’ouvrier. Il faisait à peu près ma taille, il arborait un ventre proéminent. Il n’avait presque plus de cheveux et une barbe rousse encadrait son visage buriné et couperosé .Alors que mon précédent partenaire exhalait des fragrances de savon et de parfum, je percevais chez mon hôte une odeur de sueur et de tabac froid, ainsi qu’un relent de vin rouge. Il m’invita à le suivre et nous pénétrâmes dans la salle à manger qui semblait être la pièce principale.La télé, surmontée d’une poupée espagnole sur napperon au crochet, ronronnait dans un coin, une toile ciré aux motifs bariolés s’étalait sur la table rustique, et la lumière blafarde du néon au plafond, rendait l’endroit particulièrement sordide. Il m’invita à m’assoir. Je m’exécutais. Il resta debout à quelques mètre et me demanda si c’était vraiment ma première fois. J’acquiesçais sans un mot alors qu’il ouvrait sa braguette. Il planta sa main dans son pantalon et commença à se caresser doucement en me regardant avec lubricité. Je me sentais très mal à l’aise, et dégouté par l’hygiène douteuse du bonhomme, je me demandais comment j’allais pouvoir m’extirper de ce mauvais pas._ Tu veux jouer à un petit jeu ? demanda t’il._ Faut voir. Répondis-je à peine._ Mets-toi à genoux.Ces mots eurent un effet inattendu sur moi. Mon excitation repris de plus belle, mon sexe durcit. Je me sentais humilié et salope.Je quittais ma chaise et me retrouvais à genou sur le carrelage froid._ Fermes les yeux et ouvre la bouche. Tremblant, j’obtempérais en parfait soumis.J’entendis le cliquetis de son pantalon chutant sur le sol. Puis il s’avança vers moi en silence. Il s’arrêta tout près. Une forte odeur d’urine emplie mes narines. Il commença par frotter son gland sur tout mon visage. Le recouvrant de liquide chaud et poisseux. L’odeur écœurante était de plus en plus forte. Tout comme mon dégout et mon érection. Machinalement, je passais ma langue sur mes lèvres, récoltant par la même un peu de semence. C’était fort mais pas si désagréable.Alors que je m’attendais à recevoir son gland, c’est ses couilles poilues qu’il fourra dans ma bouche._ Bouffes !Je m’appliquais à lécher comme une chienne ses grosses boules duveteuses pendant qu’il me les rentrait et sortait de la bouche au gré de sa fantaisie. Il saisit l’arrière de ma tête et vint ma plaquer sous ses couilles qui, à présent, me recouvraient les yeux. _ Lèche bien mon cul !Je m’efforçais de sortir ma langue au maximum et je fouillais son entrejambe moite et musqué.Il se retourna et écrasa son anus sur ma bouche._ Vas y, roule-moi une pelle ! T’aime ça hein ? Sorts donc ta pine que je vois si t’aime ça !Encore une fois j’obtempérais pendant que ma langue s’insinuait un peu plus dans sa rondelle épicée.Ça sentait la merde, la sueur, le chaud et ma queue était prête à exploser sur le carrelage. Mon visage disparaissait entre ses globes de chair molle. Je me sentais sale, humilié, dominé, et putain, j’adorais ça !Il relâcha son étreinte et me refis face. Cette fois ci j’allais la prendre sa grosse queue.Sans ménagement il me la fourra dans la bouche. Il alla si loin dans ma gorge que je fus pris d’un haut-le cœur. _ T’as pas intérêt à dégueuler sur ma bite. Me dit-il. D’ailleurs si tu dégueule, je t’encule, ok ?Je n’eu pas le loisir de répondre, qu’il me mis un deuxième coup de rein plus fort que le premier. Et deuxième haut le cœur. Il commença à me baiser la bouche avec frénésie. Je commençais à me dire qu’en réalité il en avait après mon cul. Il me besognait la bouche dans l’espoir que je dégueule . Hors de question de lui faire cet honneur. Je tins bon. Jusqu’au bout. Après plusieurs minutes de violent coup de bites, il me plaqua la tête contre son bide et ne bougea plus. Le temps s’arrêta. Un bref instant tout devint calme et paisible. Un long gémissement émana crescendo de la gorge de mon bourreau et son sperme déferla … J’avalais les premiers jets, le reste s’échappant de ma bouche et tombant sur le sol. Son sperme était très différent de mon précédent amant ; Très salé, très épais et très abondant.J’étais écœuré par une telle profusion. Je jouis à mon tour sur la carrelage, le corps parcouru de spasmes et la bite de mon hôte qui continuait de déverser sa jute. Je la nettoyais consciencieusement comme un bon petit soumis. Puis me redressai._ Il y en a encore… par terre… lâcha t’ilC’était l’humiliation totale. A quatre pattes, le cul en l’air, je lapais nos spermes mélangés à même le carrelage._ C’est bien… suce encore et refais-moi bander.Cela n’allait donc jamais finir ! Il s’assit sur la chaise près de moi et me présenta sa bite toute molle, d’où perlait encore une grosse goutte de sperme.Comme je demeurai immobile, il prit doucement ma tête entre ses énormes mains et me rapprocha de ses cuisses.J’ouvrais la bouche et repris son sexe musqué et encore enduit de sperme. Je le suçais très doucement maintenant. Enroulant ma langue avec précaution. D’une main je malaxais ses couilles. Sous mes bons soins, le dragon ne tarda pas à se réveiller. Lentement son sexe se durcit et occupa bientôt toute ma bouche. Je n’étais pas très emballé à l’idée de recevoir une autre rasade de foutre, mais mon excitation revenue je fermai les yeux et le suçai avec délectation. _ Regarde comme tu me fais bander, me dit-il. Je vais m’occuper de toi maintenant.
La suite plus tard...
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