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Le stage infirmier

Chapitre 2

Lesbienne
LundiAujourd’hui Clémentine rencontre une nouvelle infirmière, elle s’appelle Aurore. Aurore a 30 ans, blonde à lunette, l’air sympa mais déjà blasée par ce métier à la maison de retraite, par sa vie à la campagne. « J’ai voulu suivre mon mari qui travaille en Suisse, je n’ai trouvé que ça au départ, et puis la routine s’est installée et je n’ai pas cherché ailleurs. Je rêve de travailler en réa ou dans un service de chirurgie… ». Clémentine lui parle alors de ses stages à l’hôpital, de ce qu’elle voudrait faire plus tard. Le courant passe bien et Aurore l’encadre bien, lui montrant et la laissant faire tous les soins. A la fin de la journée, les deux femmes sont ravies « Tu bosses bien ! C’est pourtant pas super intéressant. Mais rencontrer des étudiantes comme toi, ca met du baume au cœur ».
Le lendemain, c’est encore Aurore qui l’encadre. La journée se passe bien, elles blaguent sur les collègues, plus vieilles, plus aigries. « Ca te dirait d’aller boire un verre après le service ? _ Oh oui beaucoup ! ». Les deux infirmières se changent ensemble au vestiaire. Clémentine ne manque pas de regarder lorsqu’Aurore enlève son pantalon blanc difforme. Elle y trouve des jambes fines et galbées, et une petite culotte affriolante. Elle la trouve belle. Enfin habillées normalement elles se rendent dans le troquet du coin. Quelques hommes s’y trouvent, à siroter une bière en regardant le match de rugby. Les deux femmes s’installent au calme et commandent toutes deux un Monaco. « C’est bien une boisson de gonzesse ça ! » leur lance le patron, vieux rustre à la bedaine imposante. Elles rient, elles se fichent de ce que pensent cet homme, elles sont bien ensemble. Elles ne se connaissent guère mais quelque chose se passent entre elles. Elles parlent de leurs rêves, de leur vision du métier, des relations avec les médecins, de leurs vies de femmes, de leurs hommes. « Il m’ennuie, confie Aurore, même au lit il m’ennuie. Je suis folle de te parler comme ça, comment vas tu me voir maintenant ?! _ Ne t’inquiète pas, je sais faire la part des choses ». Tout en lui disant cela, Clémentine vient poser sa main sur le genou de sa tutrice. Elle ne la bouge pas, attendant une réaction. Aurore fait mine de ne pas y prêter attention et la discussion reprend. Clémentine, tout en papotant, caresse doucement la cuisse d’Aurore, remontant imperceptiblement vers son entrejambe. Aurore écarte de plus en plus les cuisses, Clémentine reçoit le message, toutes deux ont envie d’aller plus loin, de lâcher la pression de ce boulot de merde. Aurore appose sa main sur celle de Clémentine et la guide vers son pubis. A travers les collants, Clémentine sent l’humidité de sa chatte, la sienne est également inondée.

« Mes parents ne sont pas là, ça te dirait de venir chez moi ? » dit Clémentine. C’est ainsi que les voilà parties, en silence, des questions et des envies plein la tête. Une fois arrivées, Aurore rompt ce silence de plomb « J’ai très envie de toi, mais je ne sais pas si c’est bien, je ne devrais pas ». « Cela ne changera rien, nous sommes professionnelles non, on ne mélangera pas privé et pro ». Aurore se précipite alors sur les lèvres charnues de son élève. Clémentine lui rend ce baiser fougueux. Les deux femmes s’entre déshabillent sans se lâcher les lèvres. Une fois nues, c’est d’autres lèvres que rencontrent celles de Clémentine. Aurore est allongée sur le canapé, son étudiante est à quatre pattes entre ses cuisses. Clémentine commence à embrasser cette vulve offerte. Elle écarte les grandes lèvres pour y découvrir une jolie chatte humide. Sa langue se perd d’abord sur le clitoris de la trentenaire. Elle le lèche doucement, le décapuchonne délicatement. Elle vient ensuite le sucer, l’aspirer, le mordiller. Ses doigts caressent l’entrée du vagin, y recueillent de la délicieuse mouille, et viennent s’enfoncer dans le fondement de sa tutrice. Elle commence avec deux doigts qui s’activent, fouillent ce fourreau de chair. Elle accélère le mouvement et en insère un troisième. C’est au quatrième qu’Aurore explose. Un jet de cyprine jaillit de cette chatte béante, Clémentine est surprise et recule, son visage est aspergée par ce flux de jouissance. « J’aurais du te prévenir, je suis une femme fontaine, hoquette Aurore ». Sur ces mots Clémentine se lèche le pourtour des lèvres et vient partager le précieux nectar avec son infirmière adorée.
« A mon tour de te faire du bien » lance Aurore en retournant Clémentine sur le dos. « Oh tu es déjà toute trempée, tant mieux, cela va beaucoup m’aider pour ce que je vais te faire ». Elle commence à la caresser sur tout le corps, rependant de la cyprine sur ses seins, faisant tournoyer les tétons à une vitesse folle. Elle retourne sur sa vulve, et insère deux doigts dans son vagin. Son pouce vient chercher sa rosette. Elle la titille doucement, appuyant de plus en plus fermement. Les allers-retours dans sa chatte sont rapides, Clémentine halète. Puis Aurore appuie plus fort avec son pouce sur l’anus qui cède sous la pression. Clémentine joui puissamment sous cet effet de surprise, son corps est pris de spasmes qui la secouent violemment.
Les deux femmes se sourient, pour une première expérience lesbienne, c’est une réussite. « Je ne sais pas si je vais réussir à t’encadrer sans avoir des idées salaces cette fois. Mais rien ne nous empêche de prendre sur nos temps de pause pour nous faire du bien… »
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