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Stanley

Chapitre 2

Gay
2 juin 1906 (soir).
Enfin arrivé. Les ouvriers avaient construit un dortoir d’une vingtaine de lit, et un pavillon séparé pour moi. Diego tranche : il allait dormir dans mon pavillon pour assurer ma protection. Après avoir mangé, je me retirai dans mon pavillon. Diego me suivit. Diego se déshabilla et se coucha sur la paillasse à côté du lit. Il avait décidé de dormir nu. Ce manque de pudeur me paraissait choquant. Vu la chaleur, j’avais juste gardé mon caleçon. La chaleur, lourde et porteuse d’orage, nous empêchait de dormir. Diego commença à me parler. Il avait 25 ans. Sa mère était morte en couche et il avait toujours travaillé avec son père. Depuis l’âge d’onze ans, il travaillait au champ. Il avait toujours été entouré d’hommes, Je continuai. J’avais 18 ans, une pneumonie avait failli me terrasser à l’âge de 12 ans, et avait occasionné un retard de mon développement. J’avais quatre sœurs, qui s’étaient amusées à m’habiller comme elles quand j’étais petit. J’avais toujours été surprotégé par une nourrice qui ne me laissait jamais cinq minutes seul.
Il s’était redressé. Il me demanda si je m’étais déjà habillé comme une femme. Je répondis que oui. La lumière de la lampe à pétrole n’était pas suffisante et il ne vit pas que j’étais rouge sang en avouant ce péché. Car j’avais aimé ça.
Il m’expliqua à son tour que les hommes lui avaient appris ce qu’étais le sexe. Il avait souffert, mais aimé le contact masculin. Je ne comprenais pas de quoi il me parlait lorsqu’il me parlait d’homme qui le prenait, y compris son propre père. Je sentais que mon sexe se durcissait à nouveau. Il commençait à se mouiller.
Diego se releva, et me déclara d’un air grave que mon père m’avait demandé de m’apprendre la vie. Ce qui comprenait le sexe. Il était nu, et son sexe avait pris une taille impressionnante. Il me demanda de me pousser et vint se coucher à côté de moi. Nos corps s’emboitèrent à la perfection. Je sentais une nouvelle fois sa chaleur, son sexe énorme plaqué contre mes fesses. Il me racontait qu’à douze ans, un homme lui avait demandé de lui sucer le sexe, comment il avait régit quand ce même sexe lui avait envoyé du "sperme" dans la bouche. Comment quelques semaines plus tard, il lui avait introduit ce même sexe dans l’anus, comme il avait eu mal. Mais combien il avait aimé ça.
Une de grosses mains s’étaient enroulées autour de mon propres pénis. Il faisait ces mouvement de va et vient et caressait mon gland. Il me demanda de me coucher sur le dos. Il disparut sous les draps de lit et gobe mon sexe. Mon corps frissonnait de plaisir. Je ne tardai pas à jouir dans sa bouche. Il semblait apprécier car lorsque je jouis, il gémit en avalant cette sécrétion qui sortait de mon pénis.
Il me présenta alors le sien, me demandant de lui rendre ce qu’il m’avait donné. Devant ce gland brunâtre, j’hésitai. Il sentait l’urine et une odeur de mâle. L’excitation l’emporta et j’engouffrai ce membre dans ma bouche. Je ne résistai pas à caresser ses fesses ainsi que ses jambes, lorsqu’il se raidit et qu’un liquide amer me remplit la bouche. Il semblait heureux.
Il se blottit contre moi et s’endormit rapidement. Quant à moi, je repensais à cette folle journée. Ces nouvelles sensations. Cet ouvrier avec qui je partageais un secret. Mon pénis durcit à nouveau. Mais dans les bras de mon protecteur, je ne fis rien. Et finit par m’endormir.
3 juin 1906, matin.
Diego me réveilla de bonne heure. Son sexe était à nouveau dur comme un roc. Contre mes fesses, cela m’avait donné un nouveau frisson. Je me réveillai. Diego jouait avec mon sexe. Sans ménagement, il me fit m’allonger sur le ventre. Il me lécha l’anus, ce qui était extrêmement agréable. Je tressaillis toutefois car un de ses doigts venaient de s’enfoncer dans mon orifice. Malgré la sensation de brulure, je ne dis rien. Il me chuchota à l’oreille de me taire. Ses mains puissantes m’empêchaient de bouger. Il s’allongea de ton son poids sur moi et commença à frotter son sexe sur mon cul. Cela m’excitait, jusqu’au moment où je sentis son gland se positionner sur mon anus. Il le frotta puis tenta de le rentrer. Cela ne marchait visiblement pas.Il agrippa mes hanches remonta mon postérieur. Il m’assura que cela irait mieux. J’avais peur. Son gland se frotta à nouveau sur mon cul, et cette fois, força le passage. Je hurlai de douleur mais il me mit une main sur la bouche. Une fois son gland pénétré, il donna quelques minutes à mon cul pour s’élargir. Des larmes de douleurs coulaient de mes yeux. Il commença à enfoncer son pénis plus profondément. La douleur était horrible mais une autre sensation commençait à se faire sentir. Après quelques minutes de va et viens de plus en plus rapide, il éjacula en moi. Mes entrailles se remplirent d’un liquide chaud. Il se retira. Même si, au final, la sensation n’avait pas été si désagréable, je lui en voulais de m’avoir fait si mal. Il me demanda de me coucher sur le dos et commença à me sucer. Je jouis quelques instants plus tard, dans sa bouche. Il se coucha alors de tout son poids sur moi et m’embrassa à pleine bouche. Son corps moite de sueur, son odeur... Le tout m’envoutait. Il s’excusa de m’avoir fait mal et me certifia que la prochaine fois, je ne sentirais plus rien, sauf du plaisir.
Il se leva, et comme s’il ne s’était rien passé, me dit qu’il était temps d’aller se laver. Dans le point d’eau, il me frictionna, et me demanda d’en faire de même. Puis une fois habillé, nous nous sommes rendus au dortoir afin de réveiller les hommes. Une belle journée commençait.
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