8 juin 1906. Les travaux avancent bien. Tout sera opérationnel d’ici quelques semaines. Les hommes travaillent bien. Diego et John me conseillent, même si ce dernier a parfois une vision esclavagiste que je n’apprécie pas. Diego continue de m’apprendre la vie, comme il dit. Tous les soirs, et presque tous les matins, nous faisons l’amour. Je commence à avoir une certaine expérience. J’ai encore beaucoup à apprendre toutefois. J’ai toutefois trouvé un traité de sexologie. Bien qu’il parle de sexe entre homme et femme, il me donne des idées. Hier, lorsque je suis rentré, Diego se masturbait. Il m’accueillit avec un sourire. Lorsqu’il s’approcha de moi, je le repoussai. Ma conscience me déchirait. Ce que nous faisions était-il contre nature ? Il sourit, un magnifique sourire. Il passa un pantalon et m’invita à la suivre. Près du camp où nous mangions, deux des hommes étaient restés pour laver et ranger. Je regardais Diego, interrogateur. Il s’approcha de mon oreille, et chuchota d’attendre quelques minutes. Quelques instants plus tard, les deux hommes regardèrent autour d’eux. Il s’agissait de Douglas, 18 ans, afro-américain et Byron, 34 ans, afro-américain également. Byron dégrafa son pantalon, et laissa s’échapper un sexe bandé qui me parut d’une taille inhumaine. Douglas s’en empara et le suça voracement. Il commença à se masturber à travers ses vêtements. Lorsque Byron fut suffisamment excité, Douglas se retourna et se déculotta. Byron se positionna derrière lui et enfonça son membre d’un trait. Ils faisaient ça en silence, ne laissant échapper que quelques soupirs. Aucun sentiment ne suintait de cette union. Juste un accouplement. Je sentais Diego contre moi. L’excitation me gagnait. Diego passa sa main sous mes vêtement et commença à me caresser le sexe. Il se plaqua à moi et senti son sexe contre mes fesses. Il chuchota à nouveau que je pouvais me rassurer. Nous étions normaux, mais les gens préféraient cacher leurs meilleurs plaisirs.Le va et vient de Byron s’accélérait. Ses fesses se contractèrent et il laissa échapper un râle de plaisir. Il retira son pénis, se rhabilla et laissa Douglas seul. Il se masturba, tout en introduisant un des ses doigt dans son anus. Il resserra sa main autour de son gland et jouit. Il lécha son jus,se rhabilla et partit à son tour. L’excitation nous avait gagné. Nous regagnèrent notre logement. Nous nous retrouvèrent nus. Pour la première fois, je pris le temps d’examiner le corps de mon amant. Je l’embrassai goulument, tout en le masturbant doucement. Son pénis me paraissait plus dur et gonflé que jamais. je caressai ses fesses poilues. Il commença à me sucer doucement. N’y tenant plus, je m’allongeai sur le dos et m’offrit totalement à lui. Il me pénétra vite, comme à son habitude. Je ne ressentais plus de douleur, juste du plaisir. Je jouis sans même toucher mon sexe. Lui vint quelques minutes plus tard, me remplissant de son jus chaud et d’un sentiment de bien être incroyable. Il se retira et commença à m’embrasser fougueusement. Il vint se coucher près de moi et nous nous endormirent. Je n’ai jamais été aussi heureux...
