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Stargate Sg1 The Sexe-Fiction

Chapitre 2

Hétéro
Dans une petite bourgade à quelques kilomètres de la base de Cheyenne Mountain, un véhicule militaire se gare. En descendent deux officiers de l’Air Force. Ils font le tour d’une charmante petite.
« - Major, il y a une échelle là-bas. »
Le plus gradé des deux officiers monte à l’échelle et une fois sur le toit-terrasse de la petite maison il y découvre un homme. Un gaillard musclé avec une longue chevelure. Pas très réglementaire il faut l’avouer pour l’armée. Il scrute le ciel étoilé à l’aide de son télescope.
« - Colonel Jack O’Neill ?    - À la retraite.    - Je suis le major Samuels.    Armée de l’Air ?    - Oui, colonel.     Je suis l’officier d’ordonnance du général.
Le colonel O’Neill pense à Daniel son amis le petit pervers, et à Skara un Abydossien plutôt voyeur qu’il considère comme un super ami. D’ailleurs il lui fait étrangement penser à son fils décédé il y a longtemps dans des circonstances tristes.
  - Vous voulez un petit conseil, Major ?    Faites-vous affecter à la NASA.    C’est là-haut qu’il y aura de l’action.  - Là-haut.    J’ai ordre de vous conduire au général Hammond, Colonel.  - Je n’ai jamais entendu parler de lui.  - Il a remplacé le général West.    Il dit que c’est important.    Ça concerne la Porte des étoiles.  - Très bien je vous suis alors.
    Juste le temps de prendre quelques affaires et je serais opérationnel. »
Les trois hommes montent dans le véhicule et partent en direction de la base secrète. Une fois arrivée, et après les contrôles d’identités réglementaires ils entrent dans un ascenseur qui descend jusqu’au niveau moins onze.
« - Il faut prendre un second ascenseur pour continuer.     C’est tout en bas.    - Oui, je sais.    Je suis déjà venu ici.    - Bien sûr. »
Et ils montent dans le second ascenseur qui les mène au niveau le plus bas de la base. Lorsque les portes s’ouvrent l’officier le mène au bureau du général.
« - Par ici, Colonel.    - Entrez.    - Général Hammond, voici le Colonel Jack O’Neill.
Puis l’officier de liaison sort du bureau en fermant la porte derrière lui.
    - À la retraite.    - Je le vois.    - Moi-même, je suis en fin de carrière.    Il est temps de rassembler mes esprits.    Peut-être écrire un livre.    Vous n’envisagez jamais d’écrire un livre sur vos exploits dans le service ?    - J’y ai pensé, mais alors je devrais abattre tous ceux qui le lisent.    C’est une plaisanterie, Général.    La majeure partie de mes activités, ces dix dernières années sont confidentielles.  - Oui, bien sûr.  - Le major Samuels a mentionné la Porte des étoiles.    On parle affaires.  - Ça me convient.     Par ici.
Le général mène O’Neill vers l’infirmerie, où il y découvre le corps des jaffas.
  - Ça vous dit quelque chose, Colonel ?  - Ils ne sont pas humains.    Vous pensez ?    Pour autant qu’on puisse le dire, ces fentes sont semblables à celles qu’on trouve sur un marsupial.- Comme un kangourou.- On n’a pas encore fait d’autopsie.    Ces gens, extraterrestres, ou n’importe comment qu’on les appelle, sont arrivés.    Ils ont tué trois soldats, kidnappé une autre, en utilisant des armes avancées.- Des armes, Général ?
Le général présente l’arme au colonel.
- On ne comprend pas comment ça marche.    Vous avez déjà vu ça, je pense.
O’Neill déclenche l’arme qui s’active. Puis l’éteint.
- Oui, Général.    Mais il n’y a pas de créatures semblables sur Abydos.    Ces gens étaient humains.    Ils venaient de la Terre.    Râ les a conduits là-bas il y a des milliers d’années.- Je sais tout ça.    Mais votre rapport disait que Râ était un extraterrestre dans un corps humain.- Oui, ses yeux flamboyaient.  Ce fut notre premier indice.- Vous êtes sûr qu’il est mort, Colonel ?    À moins qu’il ait survécu à l’explosion d’une ogive nucléaire en plein visage je suis positif.    Pourquoi ?- Colonel, ces gens, ou qui qu’ils soient. Ils protégeaient un autre homme qui a traversé la Porte.    J’ai pu parfaitement voir ses yeux, Colonel.    Ils flamboyaient.- Parlez-moi de Daniel Jackson, Colonel.- Daniel Jackson ?- Vous avez lu le rapport ?- Oui.- Tout y est.- Vraiment ?- Vous n’aimiez pas Jackson, pas vrai ?- Daniel était un scientifique et un pervers.    Il se masturbait beaucoup et dès qu’une jolie femme était proche de lui, il lui doigtait le sexe.    Fondamentalement, c’était un obsédé de branleur intello, général.- Vous n’aviez guère de temps pour lui.- Je n’ai pas dit ça.    Il m’a aussi sauvé la vie, il a retrouvé le chemin du retour, avec mes hommes.    De petites choses comme ça vous font apprécier une personne.- D’après le dossier de la mission vos ordres étaient de traverser la Porte pour détecter toute menace possible.     Et si vous en trouviez une de faire exploser une arme nucléaire pour détruire la Porte de l’autre côté.- Oui.- Mais ce n’est pas ce que vous avez fait, n’est-ce pas ?- Les forces de Râ ont maîtrisé mon groupe et volé la bombe avant que je l’arme.- Mais avec l’aide du Dr Jackson, vous avez enfin repris le contrôle et vous avez fait exploser l’arme nucléaire.- Oui.- Alors, pour autant que vous le sachiez Jackson et ceux que vous connaissiez sur Abydos sont morts, correct ?- C’est correct.- Bon. Alors ça ne vous ennuiera pas si je donne le feu vert à notre plan.
Le général mène O’Neill à la salle d’embarquement. Il y découvre avec terreur un engin de destruction massive prêt à être envoyé sur Abydos.
- Oh, mon Dieu.    Vous envoyez une autre bombe ?- Niveau 5, cette fois.    Si ces créatures ont rouvert la Porte d’Abydos, on va la refermer pour de bon.- Général, vous ne pouvez pas faire ça.- Le compte à rebours a déjà commencé à moins que vous ayez quelque chose à ajouter.- Général Hammond.    J’ai le regret de vous informer que mon rapport n’était pas tout à fait correct.- Vous n’avez pas fait exploser la bombe.- Si, j’ai fait exploser la bombe.    Sur le vaisseau spatial de Râ. Il a été tué, éliminant le risque pour la Terre.- Cependant ?- Cependant le vaisseau de Râ était alors en orbite autour de la planète.    Ni la Porte, ni rien d’autre sur la planète n’a été détruit.    Daniel Jackson est vivant, et vit parmi le peuple d’Abydos.- Vous avez désobéi à des ordres directs.     Pourquoi ?- Le peuple d’Abydos ne nous menace pas.    Ils méritent d’être laissés en paix.- Ce n’est pas à vous de décider.- Avec tout mon respect, Général si j’étais revenu en disant que la Porte de l’autre côté était encore intacte.    On aurait envoyé une autre bombe, juste comme vous allez le faire.    Il n’était pas nécessaire de faire mourir ces gens.    La menace de Râ n’existait plus.- Et la sonde qu’on a envoyée ?    Elle s’est écrasée instantanément.- Après qu’on soit rentrés, Daniel a enseveli la Porte sous des rochers.    Rendant mon retour ou le retour de qui que ce soit impossible.- Ces quatre corps étendus dans l’infirmerie en disent autrement.- On enverra la bombe comme prévu.- Général, vous ne pouvez pas faire ça !- Oh, je ne peux pas ?- Il y a là-bas des innocents.- Il y a ici des innocents !    J’ai aussi mes ordres, Colonel.    J’obéis aux miens.     Emmenez le Colonel O’Neill à la salle de détention.    Donnons-lui un peu le temps de réfléchir avant que je décide quoi en faire. »
Un sergent emmène O’Neill en détention. Où il va attendre plusieurs heures jusqu’à ce que le général revienne pour l’interroger.
« - Vous avez dit qu’il y a combien de gens, sur Abydos ?    - Qu’on ait vu peut-être 5000.    Cela veut-il dire que vous réexaminez l’envoi de la bombe, général ?    - Ça veut dire que je suis ouvert aux suggestions.    - Donnez-moi un peloton pour traverser.    On verra qui sont ces extraterrestres.    - Kavalsky et moi y sommes déjà allés.    On connaît le pays, les gens.    - Vous le pensez. Jackson pourrait être mort.     - Vous savez pas ce qui vous attend.    - général, il y a moyen de savoir.    - C’est vrai ?    - Général, on n’a pas besoin de cette sonde.    - Vraiment ?    - Non. Ceci fera l’affaire.
Il présente alors au général une boîte de mouchoirs en papier.
— Vous voudriez m’expliquer le concept ?— Jackson aime se branler et doigter les femmes.  Il aura donc la joie de s’essuyer les mains avec ensuite.— Je comprends. »
Répond le général avec un petit sourire en coin.
Il imagine cet homme se branlant énergiquement, et le produit de ses couilles se répandre sur ses doigts.Il faut dire que le général est un homme aux penchants troubles. Il aime autant les femmes que les hommes.
« - Il saura que ça vient de moi, et pas de quelqu’un avec tout mon respect Général.    Pas de quelqu’un comme vous. »
Sur l’ordre du général la porte des étoiles est activée. Après la stabilisation du vortex, O’Neill se rend dans la salle d’embarquement et lance à travers la porte la boîte de kleenex.
« - L’objet devrait atteindre sa destination finale dans cinq secondes général.    L’objet devrait maintenant avoir passé la Porte d’Abydos.
Dit l’officier technicien de la porte.
- Et maintenant O’Neill?- Maintenant, on attend mon général.    Si Daniel est encore vivant, il saura ce que signifie ce message.- Et si ce sont les extraterrestres qui le reçoivent ?- Eh bien, il se pourrait qu’ils soient en train de se moucher ou même de se branler à l’instant même.    Général, ça pourrait prendre quelque temps. - Veuillez conduire le colonel dans les quartiers des invités en attendant.
Un sergent mène le Colonel hors de la salle de contrôle en direction des appartements invités.
- Quand à moi je serais dans mon bureau en attendant.    Envoyez-moi l’officier responsable de la sécurité à mon bureau.    Rompez ! »
Plus tard dans son Bureau le général est assis et imagine le docteur Jackson pelotant des sexes masculins ou même féminins. Ce qui lui donne une érection. Il se caresse par-dessus la toile de son pantalon. Quand on frappe à sa porte.
« - Entrez !
La porte s’ouvre et une femme officier entre puis referme derrière elle la porte. C’est une charmante rousse qui plus l’air d’une prostituée que d’une militaire. Elle porte une tenue militaire de terrain trop court. Ce qui lui moule un décolleté à réveiller un mort.
    - Officier Magalie Roussière à vos ordres mon général !    - Repos Roussière !    J’ai besoin de votre aide Officier.    - Bien mon général.    - Vous aurez en charge la sécurité des niveaux supérieurs de la base.    Et vous me servirez pour me décontracter.    - Très bien je serais votre pute mon général. »
En effet dans cette base comme nous avons plus déjà le remarquer le sexe est libre. Tout le monde fornique avec tout le monde. Mais par contre le travail avant tout. Ensuite seulement les moments de débauches peuvent avoir lieu.
« - Veuillez commencer maintenant !    Comme vous pouvez le voir j’ai le sexe tendu.    Passez sous mon bureau et officier charmante officier.    - Oui mon général. »
Magalie Roussière avec son regard pervers se met à quatre pattes et telle une chienne en chaleur elle remue son cul de salope en avançant. Le général commence à grave être en émoi devant ce spectacle et laisse passer sous le bureau la jeune femme. Puis le général assis sur son fauteuil ouvre sa braguette et sort son sexe. Il appuie sur la tête de son officier totalement salope et dévouer.
« - Maintenant tu vas me sucer grosse chienne ! ! !    - Bien mon général. »
Et elle gobe directe le sexe tendu du vieux saligot de général.Il adorait sa bouche chaude, et sa langue lovant langoureusement son gland.Le général perdait pied et se décide à se lâcher.Ce n’était plus elle qui le suçait mais bien lui qui baisait sa petite bouche de pute. Enfin le général d’un coup appuie sur sa tête ce qui l’oblige à réaliser une gorge. Obliger est un bien grand mot car cette salope de Magalie adore ce traitement et n’en est pas à sa première expérience. Elle est d’ailleurs sous le bureau du général le gland de celui-ci fiché au fond de sa gorge, et la main dans la culotte entrain de se cajoler le clitoris.Au bout d’un moment le général crache quelques jets de sperme au fond du gosier de Magalie. Elle avale tout comme une parfaite petite pute. Elle sort le sexe de sa bouche perverse et lèche les restes de semence perlant dans les poils. Une fois cette toilette terminée le général remet son sexe dans son pantalon. Et Magalie sort de sous le bureau et se lèche les doigts couverts de sa mouille.
« - Très bien officier Magalie vous pouvez disposer.    - Oui mon général. »
C’est à cet instant que l’alarme retenti dans la base. Une activation extérieure de la porte des étoiles est en cours. Le général arrive dans la salle de commande de la porte suivi de peu par O’Neill.Le Stargate s’active dans un brouhaha et des secousses. Le vortex se déclenche puis se stabilise. Et une boîte passe à travers le vortex. Enfin la porte se désactive. O’Neill va dans la salle d’embarquement et récupère la boite et la présente la face où se trouve le message au général qui lui aussi entre dans la salle.
Le général lit :
« - Merci.     Envoyez-en d’autres.    - Permission de faire passer un peloton par la porte des étoiles, Général ?    - En supposant que j’ai l’autorisation du Président le briefing de la mission se tiendra à 8 heures.    Considérez-vous rappelé au service actif, Colonel.    Et aller vous faire couper les cheveux !    Rompez.    - À vos ordres mon général ! »
Répond heureux le Colonel Jack O’Neill.
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