Je m’appelle Hervé, j’ai 21 ans et je suis étudiant. J’habite au troisième étage d’un immeuble, dans un petit appartement. Il y a six mois, alors que je dormais peinard, j’ai entendu tambouriner à ma porte. Complètement naze, j’ai regardé mon réveil (une heure du mat’), je me suis levé, ai enfilé un caleçon et suis allé voir. En regardant par le judas, je vis Stella, la fille des voisins du quatrième. Elle était en pleurs, elle suppliait "Papa! Laisse moi entrée!". Il est clair qu’elle avait un coup dans le nez. J’ouvris, et je lui dis qu’elle s’est gourée d’étage. Elle a eu un rire idiot, et elle m’a demandé si elle pouvait utiliser mes toilettes. Si j’avais pas été fatigué, je lui aurais dit qu’elle n’avait qu’un étage à monter. Mais là, j’étais dans les vapes et je lui ai donné mon feu vert. Et il faut dire que Stella est une très belle fille. Dix-sept ans. Rousse, avec de longs cheveux lisses. Un visage d’ange avec de magnifiques yeux bleus. Grande et avec de jolies formes. Bref une fille de rêve. J’ai profité qu’elle était au toilette pour me servir un verre d’eau et grignoter quelque chose. Quand je suis retourné dans mon salon, j’ai eu un choc. Stella était sur mon canapé. Et je sus alors qu’elle était une vraie rousse, parce qu’elle était entièrement nue. Mon regard ne pouvait quitter ses jolis seins en poire, et le triangle de poils oranges au dessus de sa chatte. Finalement, j’ai mis une couverture sur elle, et je suis allé me coucher... Avec une sacrée érection. Le lendemain matin, je me suis levé, et même si j’ai essayé d’être discret, je l’ai réveillée. Elle était complètement perdue et me demanda ce qu’elle faisait sur mon canapé. Je lui rappelais alors les événements de la veille.- Mince. Heureusement que c’est chez toi que j’ai frappé.- Ouais. Le pervers d’en face n’aurait pas été aussi gentil que moi.- Je veux surtout dire que si j’étais rentrée bourrée, mon père m’aurait tuée.- Il sait pas que tu sors?- Si. Mais il sait pas que je picole.- Je vois.- Comment je pourrais te remercier? Je lui dis qu’elle n’avait pas à me remercier. Qu’après tout, si un jour j’avais besoin d’un coup de main, je viendrais vers elle. Mais elle me répondit qu’elle préférait payer ses dettes immédiatement... D’un geste, elle vira la couverture qui était sur elle, et me dévoila son corps de rouquine. Sans me laisser le temps de dire un mot, elle commença à caresser délicatement sa toison de poils. Je sentis ma queue remuer dans mon caleçon. Je pense qu’elle s’en était rendue compte. Sa main glissa vers sa fente, et elle commença à se masturber. Je voyais ses doigts caresser ses lèvres vaginales, qui mouillaient de plus en plus.- Ca te plaît Hervé?- Oui.- Tu bandes mon cochon?- Oui.- Tu veux que je te suce?- Oh que oui. Elle me sourit, et descendit du canapé... Elle se mit à genoux devant moi, et baissa mon caleçon d’un coup. Ma bite lui sauta à la figure. - J’ai connu des garçons mieux membrés que toi. Même si c’était vrai, c’était vache de sa part. Et l’effet fut immédiat. Ma bite diminua de volume. Stella eu un grand sourire et commença à la lécher sur toute sa longueur. Elle m’avoua plus tard qu’elle avait dit ça précisément pour me faire perdre du volume et jouer plus longtemps avec ma queue. Elle la lécha, s’attardant longtemps sur mon gland. Quand ma bite reprit sa taille maximum, Stella la prit en bouche et commença à me sucer. Elle y mit beaucoup d’énergie, avalant totalement ma queue. Je voyais qu’elle suçait de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Je sentais mon plaisir monter très vite. Je ne lui ai rien dit. Pourtant, alors que mon plaisir était à son maximum, Stella s’arrêta. Elle plaça son visage face à moi, et me branla avec beaucoup de vigueur. Je ne pus me retenir, et j’éjaculais sur son visage. Elle se releva, et nous sommes allés prendre une douche ensemble. J’ai alors pu la pénétrer. Depuis, elle me suce chaque fois que l’un ou l’autre en a envie. Mais nous ne baisons que rarement, car elle a un mec et elle préfère "rester fraîche pour lui". Mais ça, je m’en fiche bien, tant qu’elle me fait profiter de sa bouche.
