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Stéphanie

Chapitre 2

Révélation au travail

Travesti / Trans
Mon maitre, je m’en rends compte aujourd’hui, à su me laisser venir à lui très progressivement. Je ne pensais pas devenir femelle, et uniquement femelle, mais c’était sans doute inexorable et tant mieux. Je suis si heureuse maintenant, à ses cotés.
C’est moi qui ai abordé Jean, mon maitre, sur un forum dédié à la féminisation. Nous avons parlé pendant plusieurs mois, durant lesquelles il n’a jamais caché qu’il était à la recherche d’un soumis à féminiser. Il était toujours si sûr de lui, si rassurant, que je me suis confiée à lui. J’habitais alors à 150km de chez lui, et l’idée de le rencontrer, d’être son jouet sur tous les plans a donc fait son chemin d’autant plus facilement que la rencontre était possible.
Un soir de janvier, peu après nouvel an, nous avons décidé de concrétiser notre relation. Il m’avait persuadée qu’il serait bienveillant avec moi, et ne me rencontrerait que si je le voulais. Il a donc commencé à me donner des instructions, et mon vrai prénom, Stéphanie. J’adorais ce prénom et il le savait. Nous avons brièvement abordé ensemble les limites que je voulais fixer dans le cadre de notre relation de maitre à sousmise, mais c’est moi qui la première n’en ai pas voulu. Je lui faisais confiance et je voulais me donner entièrement à lui, sans limite. Sans d’ailleurs savoir vers quoi j’allais exactement. Je ne l’ai jamais regretté...
L’une de ses premières exigences a été d’avoir une photographie de tous mes vêtements, d’homme ou de femme, afin de décider de mes tenues quotidiennes. Il n’a pas exigé que je les porte, sauf les culottes et strings, et de dos seulement. Quel incroyable plaisir de me photographier et d’envoyer à mon maître la vue de mon cul bombé et parfaitement épilé dans un string ou une culotte ! Sans même parler de la présence du rosebud...Il avait numéroté les photographies et m’envoyait chaque soir une liste de numéros, qui augmenta au fur et à mesure de mes achats... et des siens. Il avait fallu que je lui donne mon nom et mon adresse pour la réception des colis. Ce fut l’étape de non retour, mais j’étais beaucoup plus excitée qu’effrayée.
J’allais toujours au bureau habillé en homme, et cela devenait de plus en plus pénible. Je prenais confiance, et j’avais aussi de plus en plus envie de m’assumer. Le cabinet dans lequel je travaillais était alors composé de 4 personnes, 3 avocats, tous des hommes, et une secrétaire, une femme qui a évidemment été la première à commencer à se douter que je changeais. Je prenais pourtant soin d’effacer toute trace de maquillage le matin, mais ça devait se voir quand même.
Début février, j’étais habillée comme mon maître me l’avait demandé. Je portais un jean, des mocassins et des chaussettes noires, un polo manches longues noir et un pull plus léger. En dessous, mes jambes étaient gainées dans des bas coutures blancs, retenus par les 8 attaches de mon porte jaretelles vintage (une catégorie de vêtements que j’affectionne tout particulièrement). Par dessus, je portais un string blanc, et évidemment un soutien gorge à petit bonnet, sans baleines. Ceux que je réservais pour mes tenues "de ville". La tenue n’aurait pas été complète sans un plug du genre Rosebud, mais plus léger et très confortable. Séverine, la secrétaire du cabinet avait son bureau à quelque mètres du mien, un peu en biais. Elle ne me voyait pas vraiment, ce qui m’arrangait car je pouvais me caresser l’entre jambe de temps à autre. Séverine est une jeune femme d’une trentaine d’années, plutôt jolie et pleine de vie, mais éternelle célibataire. On s’entendait à merveille.
Ce jour là, en fin de matinée, alors qu’on regardait le planning des avocats, j’ai fait tomber mon téléphone. Séverine, qui était debout à coté de moi, appuyée contre le bureau, s’est mise accroupie pour ramasser mon téléphone qui avait glissé sous le bureau. — "Attend, je le récupère— D’ac, merci."Soudain, Séverine, ne bougea plus. Du tout. Et ne disait rien. Ce que je n’avais pas prévu, c’est que mes chaussettes étaient descendues, mon jean étant un peu relevé car j’étais assise, et cela laissait apparaitre mes bas blancs. Ce n’était pas le première fois que ça arrivait, et je compris immédiatement la raison de son silence.— "Je... euh... je l’ai trouvé...— Ah... merci. Bafouillais-je."Séverine se redressa. Posa le téléphone sans précautions, me jeta un bref regard puis se retourna vers l’écran.— "Que... Qu’est-ce qu’on...?— Heu, la convocation de monsieur... euh, lequel déjà ?"Nous étions toutes les deux complètement perdues.— "Tu... euh..."Elle ne termina pas sa phrase et alla s’asseoir.
Je restais moi aussi sur ma chaise, incapable de dire quoi que ce soit de plus. Mais le midi, comme d’habitude, nous devions aller manger ensemble dans un petit resto proche. A midi trente, m’en pouvant plus de ce silence, j’ai brisé la glace :— "On mange ensemble ?— Ben... oui.— Tu es sûre ?— Ben tu vois, je ne sais pas de quoi je suis sûre, maintenant.— Séverine...— Tu n’as rien à me dire ?— Tu as vu...?— Des bas coutures blancs. Qu’est-ce que je dois penser ?— Que, euh..."Je ne savais pas ou me mettre. Séverine était devenue une amie, mais je ne pensais certaintement pas devoir en arriver là. Le temps passant, même si j’avais pris confiance, je n’étais pas vraiment prête à me faire "attraper" dans une tenue féminine, et certainement pas au boulot.— "Séverine, je ne sais pas quoi dire...— Hé bien ne dis rien ! Allons manger, j’ai faim."Lorsque je me levai pour la suivre, elle me déshabilla du regard, me mettant encore plus mal à l’aise. Le comble fut lorsque je me penchai pour remonter mes chaussettes. En me redressant, je vis que Séverine avait un léger sourire. Je souris également, mal à l’aise mais finalement assez contente de voir qu’elle ne boudait pas.Arrivées au restaurant, devant notre table habituelle, Séverine eut un moment d’arrêt puis dit :— "Je suppose que comme d’habitude tu vas vouloir les fauteuils au fond, pas la chaise dos à la lumère de la fenêtre. Je comprendrais que tu ne veuille pas qu’on voit tes "chaussettes"’...— Séverine, je... c’est comme tu veux, mais...— Vas-y, vas-y !"Je m’assis sur le fauteuil. Séverine me rergardait droit dans les yeux, sans rien dire. J’avais honte. Je croisais les jambes et je ne pu m’empêcher de jeter un regard vers mes pieds. Elle le vit, sen pencha et me dit :— Ah, ça va pour le moment, mais ne croise pas trop souvent les jambes...— Oui... euh... tu sais...— Je sais que?— C’est la première fois, et je...— Ben voyons ! Me coupa-t-elle. Tu m’expliques ce que tu veux, mais tu ne me prends pas pour une idiote !"Passa un long moment, durant lequel je me résignais. J’étais partagée entre la honte et une forme de soulagement. Autant que ça tombe sur Séverine, elle au moins garderait-elle peut-être le secret.— "Bon... oui, je l’ai déjà fait.— Oui j’imagine. Dit-elle. Tu es comme ça tous les jours, en fait ? C’était davantage une affirmation qu’une question.— ... euh... oui..."Séverine ne répondit rien. Elle me regardait fixement. Je n’osais pas relever les yeux. Au bout d’un moment interminable, elle dit :— "Parlons d’autre chose, je ne veux pas te mettre encore plus mal à l’aise. Je ne te juge pas."Je parvins à bégayer un "Merci..."Nous parlâmes d’autre chose, et le reste du repas se déroula normalement. L’après-midi aussi, sans aborder ce délicat sujet...Le soir, j’en parlai à Jean, qui su trouver les mots pour me rassurer. Alors que j’exprimais des réserves sur ma possible tenue du lendemain, il trancha sans plus attendre avec simplement 5 chiffres. Et quels chiffres...
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