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Stéphanie

Chapitre 5

Concrétisation

Travesti / Trans
Une fois rentrée, je pris le temps d’enfiler une petite jupe rose très courte à volants, en gardant mes bas, le string et le plug. Je ne pouvais évidemment pas m’empêcher de mettre les faux seins et ma perruque, de prendre l’apparence féminine que je souhaitais. Je pris toute la soirée pour ranger et nettoyer impecablement mon appartement. Ce n’est que vers 23h que mon maitre m’envoya un mail.
Bonsoir Stéphanie,Je serai devant ta porte à 18h demain. Tu porteras ta jupe blanche évasée, la 48, le top noir à col 55 et la veste noire 59. Choisis des chaussures, à talon évidemment. Je te veux aussi femme que tu l’es déjà, pour mon plaisir. Ne me déçoit pas. Tu porteras des bas coutures noirs, un porte jaretelle de ton choix, un string noir et évidemment le même plug qu’aujourd’hui, que tu garderas cette nuit et demain toute la journée. Tu peux mettre des vêtements masculins en lieu et place de la robe et du haut pour aller au travail, à toi de voir...Fais évidemment un lavement, comme d’habitude.Jean
Oh. Je m’imaginais au travail dans cette tenue... J’en avais envie, mais c’était évidemment impossible. Si seulement les hommes n’avaient pas été là... Mais ils seraient présents demain. Dommage. J’étais excitée et je n’avais pas l’autorisation de me masturber. C’était atroce, d’autant que je repensais au gout de mon sperme... Comment est-ce que je pourrais tenir jusqu’au lendemain soir ?Ce fut oh combien difficile. J’avais pris soin de choisir des vêtements masculins qui couvraient totalement mes dessous et la journée se passe sans encombre, en l’absence de Stéphanie. Je pus quitter le bureau à 15h et faire une course rapide pour pouvoir faire à manger à mon maitre. Je me changeai rapidement en rentrant. L’effet du plug porté depuis maintenant presque 36 heures était à la hauteur du plug lui-même. J’étais dilatée à souhait, et en poussant un peu, même debout, je pouvais le sentir ressortir de mes fesses. Je pris le temps de peaufiner ma tenue et mon maquillage. J’étais prête, j’étais femme, mais une boule me serrait le ventre. J’allais découvrir mon maitre, et porter ma soumission à un niveau que je souhaitais depuis longtemps. Je voulais tout à la fois le servir au quotidien et être son jouet sexuel. L’heure qui restait mit une éternité à passer pendant que je marchais d’un bout à l’autre dans mon appartement. Comme ça au moins, je pu constater à quel point j’étais maintenant à l’aise avec des talons de 8cm !
A 18h02, j’entendis la porte d’entrée du bâtiment s’ouvrir, puis on frappa à ma porte. J’ouvris sans hésiter, la tête vide, sans pensées, et découvris enfin mon maitre. Il ne dit rien pendant plusieurs secondes qui me parurent une éternité, chacun observant l’autre. Jean était légèrement plus grand que moi, très costaud apparemment, avait les cheveux courts et grisonnants. Son visage, agréable, était paisible et respirait la sérénité. Prenant cette voix de femme que j’aimais et que j’employais lors de mes séances vidéos avec lui, je le saluai d’un simple mot :— Maitre...— Bonjour Stéphanie.— Voulez-vous entrer ?— Pas maintenant non. Suis moi. Ajouta-t-il en tournant le dos et en se dirigenant vers le hall.J’étais déjà tremblante, et sa demande me surprit encore davatange. Je m’attendais à l’acceuillir chez moi, et voilà qu’il me demandait de le suivre dans cette tenue. J’étais certes aussi féminine que possible, en tout cas pour cette époque de ma vie, mais je n’avais jamais franchi le seuil de ma porte habillée comme la femme que je devenais. La colle des faux seins allait-elle tenir ? Ne verrait-on pas mon sexe malgré le string ultra serré ? Et le top qui était transparent... Il perçut mon hésitation, se retourna et dit sévèrement :— Dois-je me répéter ?— Euh, non Maitre, c’est que je... je dois emmener quelque chose ?— Rien. C’est de moi dont tu as besoin. Uniquement de moi. Avance mainteant.J’aimais son ton autoritaire. Je franchis le seuil de la porte et la refermai sans réfléchir au fait qu’elle se serait pas verrouillée. Seule m’obsédait l’idée que j’allais sortir ainsi. Mon maitre se dirigea vers la porte de l’immeuble, l’ouvrit en me disant :— Va vers la berline grise de l’autre coté de la rue.Je constatai avec soulagement qu’il faisait nuit. Les lampadaires éclairaient la rue, sans excès. Il faisait frais, et je sentais pour la première fois l’air pénétrer sous ma jupe et flirter avec le haut dénudé de mes cuisses et de mes fesses. Mes talons claquèrent sur le bitume du trottoir, puis sur celui de la route. Le quartier était heureusement calme, il n’y avait personne dans la rue. Arrivée de l’autre côté, j’attendis sur le trottoir au niveau de la voiture. Il avançait vers moi lentement, les mains dans les poches de son long manteau noir. Arrivé devant moi, il me caressa délicatement le visage du dos de la main.— Tu as vraiment un cul splendide Stéphanie. Il remue très joliment...Je rougis en baissant les yeux, mais j’étais très fière de mes fesses, mises en valeur et cambrées par le port des talons hauts. Il ouvrit la porte arrière coté conducteur, contre le trottoir.— Il y a un sac à main pour femme sur les sièges arrières. C’est un cadeau. Tu vas le mériter ce cadeau. Appuie toi sur le montant de la portière, salope ! Sa phrase se terminait par une forte exclamation, et le mot "salope" ajouté au fait que je m’appuyais maintenant sur la voiture, le cul naturellement tendu, m’excitait. J’avais une érection que le string retenait difficilement. L’humiliation me comblait. Le plug me comblait. Ma tenue également, c’était parfait. Pourtant, je n’avais pas vu venir la suite.
— Ta croupe. Tend là. Et détend toi... Il joignit le geste à la parole, me prit la taille par les mains et fit reculer mes fesses au niveau de son sexe. Il souleva ma jupe, caressa mes fesses lentement, l’une après l’autre, écarta le string et prit le Rosebud entre ses mains. Je me détendis autant que faire se peut, mais mon anus avait été longuement dilaté, et il n’eut aucun mal à l’enlever. Il le jeta sur les sièges arrière et me pénétra d’un seul coup, m’arrachant un cri. Un cri de femme. En un instant, je sentais déjà ses testicules contre ma peau. Mon cul était comblé, et je me sentais enfin vraiment femelle, pour la première fois. J’avais déjà oublié que nous étions en pleine rue. Mon maitre me pilonna pendant environs deux minutes. J’entendais et je sentais le claquement de sa peau contre celle de mes fesses. Je poussais des petits cris, sentant en moi monter un immense plaisir. Mais telle n’était pas la volonté de mon maitre. Il éjacula juste avant que je puisse atteindre l’orgasme, sans doute guidé par l’augmentation de l’intensité de mes cris. C’était un choix délibéré. Je sentis mon fondement se remplir de son sperme. La sensation était magnifique. Lorsqu’il eut achevé son éjaculation, il se retira, reprit le plug et le remit en place entre mes fesses.— Tu me sers bien, ma belle. Assis-toi à l’arrière maintenant. Les fesses sur le siège évidemment. Mais s’il est sale, tu nettoieras avec ta langue.Je ne répondis même pas. Mes jambes flageolaient, mon corps tout entier n’était que chaleur. Je parvins à ajuster le plug sans y toucher, jouant de différents mouvements, avant de m’asseoir sur le siège central à l’arrière, les fesses à même le siège.— Mets toi à droite. Serre quelques boutons de ta veste, et ajuste ton maquillage si nécessaire. Soit présentable.— Oui maitre.Il avait pensé à tout, le sac contenant tout ce qu’il fallait. J’ouvris un petit miroir qui portait mon prénom "Stéphanie". Je constatai avec soulagement que mon maquillage était intact ou presque. Après quelques retouches, et une fois la ceinture mise, Jean démarra.— Merci Maitre, pour le sac.— C’est un plaisir. Mon plaisir, comme tu as pu le remarquer. Tu dois bien comprendre que ton plaisir dépend entièrement de moi. Tu ne jouieras que si je l’ai souhaité. Est-ce clair ?— Oui, Maitre.— J’étais inquiète à l’idée de salir les sièges de sa voiture, mais le plug devait pouvoir l’éviter. Cette sensation de chaleur me quittait doucement... introduisant clairement un manque. Je voulais ressentir cette sensation. Jamais je n’aurais imaginé ressentir un tel plaisir par la pénétration anale.Nous roulames quelques minutes, et Jean stoppa la voiture juste à coté d’un restaurant, devant lequel j’étais déjà passé, mais dans lequel je n’étais jamais rentrée. Il semblait n’y avoir que peu de monde, sans doute à cause de l’heure. Tant mieux, car je devinais que mon maitre allait m’y emmener.

Jean vint m’ouvrir la porte. Je sortis, prenant mon nouveau sac à main avec moi. — Tu es une belle jeune femme accompagnant au restaurant un homme plus âgé que toi. Ne prend pas de mauvaise habitudes. Les égards auxquels tu auras parfois droit en public ne sont que passagers. Est-ce bien clair ?— Oui Maitre.— En présence d’autres personnes, tu devras m’appeler par mon prénom. Pour le moment...— Bien Maitre... Euh...— Cela ne me dérange pas, mais c’est pour toi Stéphanie. Tu n’es qu’au début de ton apprentissage.— Oui... Jean.— Suis moi.Il me guida jusqu’à l’entrée, ouvrit la porte et me laissa passer.— Quel cul...Je me retournai intimidée, rougissant, plusieurs employés se trouvant à quelques mètres de nous. Je ne savais pas s’ils avaient entendu. Jusqu’ici, j’avais presque oublié que je paraissais pour la première fois en public ainsi vêtue et appretée. Je craignais soudain les réactions s’ils découvraient qu’un homme se cachait sous cette apparence... ce qui ne fut pas le cas. Les mois d’expérience et un visage vraiment pas viril du tout avaient porté leurs fruits.Jean prit une table et nous allames nous asseoir. L’ambiance était tamisée, avec très peu de lumière, et cela ne pouvait alors que me rassurer. Nous eumes une conversation anodine, et j’étais à l’aise. C’était d’autant plus simple que le restaurant était presque vide. Seul un couple dans la trentaine était arrivé vers 20h. Je demandai discrètement à Jean si je pouvais aller aux toilettes.— Oui. Ne te trompe pas de porte...Je souris. Je pris un réel plaisir à marcher en talons le cul bien en arrière, sentant le regard du couple se poser sur ma tenue. Je n’avais pas poussé le vice et j’avais tout de même gardé ma veste, qui laissait pourtant poindre un magnifique décolleté, suffisament trompeur.Nous quittames le restaurant vers 20h30, et Jean me conduisit devant l’un des deux cinémas de la ville, le moins fréquenté. Il n’était vraiment pas terrible, car trop vieux. Je compris en voyant le choix de la séance que mon maitre avait bien d’autres idées en tête que le visionnage d’un film... Je ne me souviens pas du film, qui devait d’ailleurs être un reportage sur un autre pays.Alors que nous allions nous asseoir, il me regarda, prit mon viage d’un main, approcha le sien et m’embrasse fougueusement. Je succombai, totalement surprise. Notre baiser dura de longues secondes. Je sentais sa langue fouiller ma bouche, à mon plus grand plaisir, entrainant immédiatement une érection. Je n’avais guère envisagé cela, je dois l’avouer. Que m’arrivait-il. Je me savais ne pas être gay, mais là, c’était différend.Aucun de nous ne dit quoi que ce soit. Je regardai autour de moi, il n’y avait personne, et les publicités commençaient. Jean s’était déjà assis. Alors que j’allais m’asseoir à coté de lui, il me surprit à nouveau, profita de ma position pour soulever ma jupe, prit le rosebud et l’enleva. Il sortit un objet dans sa veste, cracha dessus, et me l’inséra rapidement dans l’anus. Je n’avais pas vu ce dont il s’agissait mais je sentis une sorte de ficelle entre mes fesses. Ajoutant à ma suprise, il remit en place le rosebud sans difficulté.— Assied toi maintenant. Les fesses sur le siège.J’otai ma veste, soulevai ma jupe et m’assis sur le siège dont le cuir était froid, sentant mon conduit anal encore plus rempli qu’avec le rosebud. Je lui aurais bien posé la question de savoir ce qu’il avait mis, mais s’il n’avait pas jugé bon de me le dire, il était sans doute malvenu que je pose la question.Nous étions seuls dans la salle. La projection avait débutée quand je sentis soudain une vibration, d’abord douce puis de plus en plus importante. Mon maitre m’avait enfilé un oeuf vibrant. Et sans doute de bonne taille vu les sensations. Tout mon fessier vibrait. Jean joua ainsi pendant au moins 20 minutes, changeant le ryhtme des vibrations, et commença à caresser doucement mes jambes, remontant sous la jupe et dévoilant le haut des bas et les jaretelles. Peu à peu, la chaleur m’envahissait. Je sentais la raie de mes fesses couler sur le siège en cuir. Je ne pouvais m’empêcher de remuer mes fesses afin d’aumgenter ce plaisir. Jean restait étonnamment calme alors que je m’agitais de plus en plus sur le siège. Il ouvrit lentement sa braguette, et me regarda. Il n’eut rien à dire. Je savais ce que je devais faire et je dois avouer que j’aurais fait nimporte quoi pour le combler. J’étais habillée comme j’aimais, au milieu d’une salle de cinéma, le cul bien rempli, en route vers la jouissance...Mon sexe était certes en érection, mais le plaisir ne venait clairement pas de là...Je me levai à moitié, me mis à genoux devant mon maitre, et sorti lentement son sexe du boxer. Jean était en semi érection, et son sexe présentait déjà une taille conséquente. Je compris les sensations de toute à l’heure, dans le rue. Je masturbai mon maitre à l’aide de mes mains, puis me penchai doucement vers son sexe tendu. Je posai mes lèvres sur sa verge, et commençai ma première fellation. Je m’appliquais, et je n’osais pas regarder le visage de mon maitre, de peur de deviner chez lui une déception. Je souhaitais tant son plaisir, mais je ne parvenais à le prendre en entier dans ma bouche. Il mesurait 18cm, ce que je sus plus tard.Je fus rassuré par les tressautements que je commençais à sentir dans son corps, et je redoublais d’intensité, commençant à sentir, après plusieurs minutes, que je manquais de résistance dans la bouche.Jean m’interrompit brutalement. Il me releva la tête, me retourna, tira sur mes hanches et retira sans ménagement le plug puis l’oeuf. Ma raie était bouillante et trempée. Il m’assis sur lui, me pénérant de toutes ses forces avec son énorme sexe, en commençant les va et viens. Le claquement de mes fesses sur lui était particulièrement sonore, mais j’étais toute entière emplit de sensations extraordinaires. J’eus rapidement mon premier orgasme anal. Je ne m’en rendis pas compte sur le moment, mais je hurlai mon plaisir dans la salle pendant quelques secondes. Mon maitre éjacula en ralant un instant après, stoppant ses va et viens à mon plus grand soulagement, car je ne tenais plus mon corps devenu fébrile. Je sentis de longs jets chauds me remplir. Il me prit par la taille, me serra un instant contre lui, puis me releva de force et introduisit à nouveau le rosebud, qui ne tenait plus vraiment. Il me retourna et m’embrassa à nouveau.Je m’assis ensuite sur mon siège, tentant de resserer les muscles autour du rosebud, sans réellement y parvenir. J’étais toujours en érection et mon sexe était maintenant sorti du string. Jean se leva, me demanda de le suivre. Nous ne croisâmes personne, les séances étant en cours. Je serrais mes fesses autour du plug, ce qui induisait un mouvement très bizarre de mes fesses lorsque je marchais. Arrivés à sa voiture, Jean ouvrit le coffre, me demandant de m’asseoir, sortit un préservatif de sa poche et me le tendit. Je l’enfilai sans un mot.— Masturbe toi devant moi.— Tout ce que vous voulez, Maitre.Je fermai les yeux, et ne mis pas longtemps à jouir, remplissant le réservoir du préservatif. Jean me demandant de l’enlever et de lui donner, ce que je fis.— Mets toi accroupie, je veux voir ton cul bien en arrière. Je ne pu que difficilement me conformer aux ordres de mon maitre, tant j’étais maintenant épuisée.Il ôta le rosebud et le mit dans mon sac à main.— Garde la position, tient toi au coffre.Je sentis alors couler de mon anus tout le sperme accumulé depuis la première éjactulation de mon maitre. Cela dura une trentaine de secondes.— Debout. Devant moi petite salope !— Je descendis du coffre, me plantai devant lui.— Ouvre la bouche.Mon maitre déversa alors le contenu, conséquent, du préservatif dans ma bouche.— Avale.Ce simple mot provoqua en moi un vif sentiment de honte et de plaisir, et je m’appliquai à tout avaler en plusieurs gorgées tout en fixant mon maitre dans les yeux. Le gout était celui du sperme mais pas seulement. C’était indescriptible. C’était pour moi le celui de la soumission à mon maitre, enfin concrétisée.
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