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Stéphanie, chirurgienne et salope

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Stéphanie a passé une nuit un peu agité remplie de rêves, qu’hier encore, elle n’aurait pas soupçonnés.
Les paroles d’Anthony à propos d’une relation avec ses deux patrons ont fait tourner son subconscient et sa nuit a été peuplée de rêves érotiques où elle se voyait faire l’amour avec son chef de service et son adjoint. C’est donc un peu troublée qu’elle se réveille alors que son mari a déjà quitté le lit conjugal. Elle descend à la cuisine où Anthony s’est chargé de lui préparer son petit déjeuner. Encore endormi, elle l’embrasse tendrement et le remercie de cette gentille intention. Le cerveau encore embrumé, Anthony lui demande si sa valise est bouclée et si elle veut qu’il lui descende dans l’entrée. Elle lui répond que ce serait très gentil et son mari s’éclipse vers leur chambre. Quelques minutes plus tard, il redescend avec sa valise et l’embrasse avec passion avant de lui souhaiter un bon séjour à Tours.
Il quitte la maison pour se rendre au travail en laissant la valise de Stéphanie dans le hall d’entrée. Elle n’a plus qu’une demi-heure avant l’arrivée de Pierre qui passe la récupérer pour partir au travail et elle se hâte donc à prendre une douche et à s’habiller. Aujourd’hui pour ne pas tenter le diable, elle portera un jean et un petit chemisier tout ce qu’il y a de plus classique. Elle en est à se demander si elle ne s’est pas fait des idées hier sur les réelles intentions de son boss vis-à-vis d’elle quand la sonnette de la porte d’entrée retentit. Elle va ouvrir. Pierre se tient derrière la porte. Il arbore un large sourire en la voyant et l’embrasse avec naturel sur les deux joues. Il lui demande si elle est prête et avec galanterie s’empare de la valise de Stéphanie pour la placer dans le coffre de la voiture. Puis il ouvre la porte coté passager comme il l’avait fait la veille et Stéphanie prend place dans la voiture. Le trajet vers l’hôpital est calme et il parle de choses et d’autres. Pierre lui annonce qu’ils passeront la matinée à l’hôpital et qu’ils feront route après avoir déjeuné ensemble ce midi.
Arrivée dans son bureau, Stéphanie a un peu de mal à se concentrer sur les quelques dossiers qu’elle a à traiter. Ce matin Pierre s’est comporté comme à son habitude et elle se demande vraiment si elle ne s’est pas fait des idées sur ses véritables intentions. Elle en vient même à penser que s’est son propre trouble d’hier qui l’a amenée à penser que Pierre pourrait avoir des vues sur elle. C’est avec cette pensée en tête qu’elle retrouve son chef de service et son adjoint pour déjeuner. Le repas se passe dans la bonne humeur et vers 14 heures ils embarquent dans la voiture de Pierre pour se rendre à Tours. Cette fois, Stéphanie a insisté pour monter à l’arrière et elle passe une bonne partie du voyage à somnoler car sa dernière nuit n’a pas été des plus reposante.
Il est 18 heures lorsqu’ils arrivent devant leur hôtel. Ils prennent chacun leur chambre et Pierre demande à Stéphanie de se tenir prête pour 19 heures car ils doivent rejoindre d’autres collègues pour dîner dans un restaurant situé à l’autre bout de la ville. Après une bonne douche, Stéphanie déboucle sa valise afin de choisir une tenue pour la soirée. En ouvrant son bagage, elle découvre un petit paquet placé au dessus de son linge. Intriguée, elle l’ouvre et découvre deux godes de belles dimensions accompagnés par un petit mot de son mari : « j’attendais une occasion pour te les offrir et je pense que c’est le bon jour. Appelle-moi ce soir et nous pourrons jouer un peu. Je t’aime ». Ces quelques mots la font sourire et elle saisit son portable pour envoyer un sms à Anthony : « Merci pour ce petit cadeau. Je dois partir avec Pierre et Franck rejoindre d’autres collègues dans un resto mais je te rappelle dès mon retour. Je t’aime ».
La réponse ne se fait pas attendre car quelques dizaines de secondes plus tard Stéphanie reçoit : « D’accord ma chérie. J’ai hâte d’être à ce soir ! ». Elle lui répond : « Moi aussi mon chérie mais maintenant il faut que je me prépare. Je t’aime ». Encore un bip sur son portable : « ok, soit sage mais pas trop quand même !!! ». Elle lui répond par un simple « je t’aime » et plonge le nez dans sa valise pour choisir une tenue. Pour ce soir ce sera une jolie petite robe noire qui lui arrive à mi-cuisses décolletée juste ce qu’il faut pour ne pas paraître vulgaire. Elle complète sa tenue par un string et un soutien-gorge en dentelle rouge et gaine ses jambes de bas clip noir. Lorsqu’elle enfile sa robe par-dessus ses sous-vêtements elle s’aperçoit que son soutien-gorge fait des marques disgracieuses en dessous de sa robe et le retire prestement en se disant que de toute façon sa poitrine n’a aucunement besoin de ce genre d’artifice. Elle choisit de compléter sa tenue par de jolis petits escarpins rouges aux talons aiguilles d’une dizaine de centimètre.
Elle a tout juste terminé de se coiffer et de se maquiller lorsque l’on frappe à la porte de sa chambre. Elle ouvre et découvre Pierre et Franck qui sont venu la chercher pour aller au restaurant. Les deux hommes la complimentent sur sa tenue ce qui la fait rougir. Elle attrape son sac à main et tous trois se dirigent vers la voiture. Pierre lui ouvre la porte passager et cette fois elle n’a pas envie de se prendre la tête pour ne pas monter à l’avant de la voiture. Elle prend donc place sur le siège en cuir de la berline en adressant un généreux sourire à son boss.
Tout en bavardant de chose et d’autre, la voiture file à bonne allure vers le lieu de rendez-vous. Stéphanie remarque toutefois que Pierre pose régulièrement son regard sur ses cuisses et en baissant les yeux elle s’aperçoit que sa robe est remonté jusqu’à la lisière de ses bas surement lorsqu’elle à pris place dans la voiture. Gênée, elle n’ose cependant pas faire redescendre sa robe de peur que Pierre remarque qu’elle avait surpris ses regards sur ses cuisses. Tout en parlant, Pierre pose une main sur sa cuisse à la frontière de la robe et de ses bas en lui disant qu’ils vont passer une excellente soirée. Puis il retire rapidement sa main comme si ce geste était naturel et purement affectueux. Il n’en est pas de même pour Stéphanie.
Comme hier, ce geste l’a électrisée et elle ressent cette même chaleur dans son ventre comme la veille. Elle repense à ses ébats avec son mari et à la façon qu’il a eu de lui faire imaginer qu’elle baisait avec ses deux patrons. Elle sent une douce moiteur se former entre ses cuisses et s’empresse de penser à autre chose pour ne pas montrer son trouble. Ils arrivent enfin devant le restaurant et retrouvent un homme d’une soixantaine d’année accompagné d’une femme d’une bonne quarantaine d’année et d’une autre qui semble avoir le même âge que Stéphanie. Il s’agit du docteur Charles B. , grand professeur à Lyon, de Murielle son adjoint et de Sandrine chirurgienne en orthopédie comme elle. Stéphanie se sent soulagée de ne pas être la seule femme car elle ne savait pas qui ils allaient rencontrer ce soir.
Ils entrent tous ensemble dans le restaurant à l’ambiance tamisée et se dirige vers une table que le professeur B. a réservé dans un coin plus sombre au fond du restaurant. La table est encadrée de deux banquettes en cuir où ils prennent place. Stéphanie se retrouve entre Pierre et Franck alors que Charles de place en face d’elle, encadré par Murielle et Sandrine. Ils prennent un apéritif et les plats se succèdent arrosés de bon vin alors que les discussions vont bon train. Ils parlent de tout et de rien mais surtout ils n’abordent pas les questions de travail. Au fil du repas, Stéphanie s’aperçoit que les mains du professeur B. disparaissent alternativement sous la table et qu’à chaque fois chacune des femmes se trémousse imperceptiblement sur leur banquette. Elle croit deviner ce qui se passe sous la table et les pensées érotiques qu’elle a depuis hier reviennent au grand galop. Ses petits tétons se mettent immédiatement à durcir et pointent maintenant avec arrogance à travers la fin tissue de sa robe. Elle tente de se soustraire à ce spectacle en regardant ailleurs mais elle croise le regard de Pierre qui semble avoir remarqué son trouble.
Stéphanie plonge alors son regard dans son assiette et, contre toute attende, sent la main de Pierre se poser sur sa cuisse. Elle voudrait réagir et retirer cette main mais en redressant la tête elle voit le professeur B. lui adresser un large sourire et n’ose pas faire un quelconque scandale devant cette homme d’âge mur. La main de l’homme semble s’activer sur ou entre les cuisses de Sandrine et cette dernière n’a pas l’air de trouver ça désagréable. Cette vision exacerbe sa libido et sans trop s’en rendre compte elle écarte un peu les cuisses pour faciliter la progression de la main de Pierre. Ce dernier sentant ce léger relâchement en profite pour monter sa main plus haut et arrive maintenant sur la peau nue au dessus des bas de Stéphanie. Pierre ne l’avait jamais touché à même la peau et ce contact est encore plus excitant que ce qu’elle avait pu ressentir jusqu’à présent.
Stéphanie ne se reconnait plus. Elle a envie que cette main la touche, elle en ressent même le besoin. Elle glisse légèrement sur la banquette ce qui a pour effet de faire remonter sa petite robe. Pierre qui a compris l’invitation remonte sa main jusqu’à l’entrejambe offerte et caresse doucement sa vulve à travers la fine étoffe de son string. Stéphanie est maintenant très excitée et fixe le professeur B. droit dans les yeux, un peu provocatrice, afin de lui faire comprendre qu’il n’est pas le seul à faire des cochonneries sous la table. Après lui avoir caressé la vulve pendant quelques minutes, Pierre retire sa main pour resservir un peu de vin.
Stéphanie est un peu frustrée mais contre toute attente, elle sent la main de Franck se poser sur sa cuisse et remonter directement là où se trouvait celle de son patron juste avant. Cette main est encore plus douce que la première et Stéphanie s’abandonne à la caresse qu’elle lui prodigue. Pierre repose sa main sur sa cuisse et tire doucement pour qu’elle les écarte plus. Dans un état second, Stéphanie se laisse faire et se retrouve maintenant avec deux mains à caresser sa vulve à travers son string. Stéphanie constate que le bras de Charles s’active de plus en plus vite du coté de Sandrine et cette dernière laisse échapper un petit cri entre ses lèvres en fermant les yeux. Le professeur B. retire sa main et annonce qu’ils feraient peut-être bien d’aller de coucher car la journée qui les attendait allait être longue.
Ils sortent tous du restaurant et se retrouvent près des voitures. Tout le monde s’embrasse pour se dire au revoir et au moment d’embrasser Sandrine, cette dernière lui glisse à l’oreille : « passe une bonne fin de soirée ma belle ! ». 
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