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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Le studio

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je n?étais pas peu fier lorsque j?eus décroché mon bac, une nouvelle vie allait s?ouvrir à moi : la vie estudiantine. Je savais que le droit n?était pas à prendre à la rigolade, comme toute étude d?ailleurs, mais bien que ’ bosseur ’ je savais aussi que je pourrais m?offrir quelques distractions, histoire de rompre avec le sérieux des études. Et puis, à 19 ans, on a des appétits qu?il faut bien satisfaire. Bien sûr, comme ’ tous les garçons et les filles de mon âge... ’ je me satisfaisais seul faute de mieux. Il faut dire que mon expérience sexuelle à deux se résumait à un dépucelage par une femme de 42 ans, alors que je n?en avais que 17, et une histoire amoureuse avec une copine de 16 quelques temps après. Cela dura un an. Là s?arrêtaient mes aventures en matière de sexe. J?avais donc un certain retard à rattraper.
Première joie en arrivant à Paris, le studio que j?allais habiter durant mes études et que mes parents avaient loué à mon intention. Je n?allais pas profiter seul d?un tel bijou me dis-je en prenant possession de mon nouveau logis. Dès le premier soir je sortis, les cours ne commençant qu?une semaine plus tard. Mes pas me menèrent devant un sex-shop. Je n?étais jamais entré dans ce genre de magasin. J?écartais le rideau et pénétrai dans cet antre du plaisir où il y avait déjà plusieurs personnes. Les revues, les jaquettes des K7, les projections sur un petit écran, tout cela me provoqua une érection immédiate.
Négligemment je feuilletais des revues, regardais le descriptif des films au dos des K7 tandis que des soupirs et autres vagissements de plaisirs se faisaient entendre, venant des cabines de projection. Mon studio n?était pas loin, je m?y précipitai non sans avoir acheté une revue de ’ tinys ’, ou prétendues telles. Je me mis nu, allongé sur le côté ; je me voyais dans le miroir fixé au mur, sexe dressé, hyper tendu. La revue était luxueuse, les filles jolies et la vue de leurs chatounes m?excitait. Je m?attardais longuement sur une brunette aux seins aussi petits que mignons et bien faits, sur l?une des pages on pouvait la voir en petite culotte transparente, il y avait plusieurs photos et sur l?une d?elle on la voyait tirer sur le fin tissus pour faire pénétrer le fond du slip entre ses lèvres verticales. Je n?en pouvais plus, à peine pris je mon sexe en main que mon plaisir jaillit en plusieurs jets qui s?écrasèrent sur les images de la jolie brunette. Après cette masturbation délicieuse je me dis que je n?allais pas continuer à me contenter de ça. Eventuellement quitte à avoir recours à la branlette autant que ce soit fait par une main féminine, mais je n?envisageais cela que comme un pis aller, espérant mieux.
Le jour J arrivé, une fois les formalités accomplies, j?entrai dans l?amphi et m?installai dans une travée encore libre, en plein milieu. Quelques minutes plus tard je bavardais avec une jolie méridionale à l?accent chantant venue s?installer à côté de moi. Elle avait pris l?initiative de se présenter en s?asseyant : moi c?est Delphine, annonça-t-elle. Et moi Cédric, lui répondis-je en répondant par un sourire au sien. Je passe sur le cours... En sortant je lui demandai où elle déjeunait. ’ sais pas ’ répondit-elle en fronçant son adorable petit bout de nez. Je profitai de l?occasion pour lui proposer d?aller ensemble au restau u et c?est face à face que nous prîmes notre premier repas ensemble.
— J?ai pas de chance ’, me dit-elle, je suis chez une vieille dans une chambre de son appart?, c?est pas la joie ! elle est ronchon, ça sent la pisse de chat et le graillon chez elle, mais j?ai pas le choix vu le prix que je peux mettre.
Aussitôt je lui parlai de mon studio en disant
— c?est dommage que je ne sois pas une fille, je t?aurais proposé de venir avec moi, on aurait installé un matelas sur la moquette  ;
parce que tu crois que c?est un obstacle ? euh... ça ne te gênerait pas ? c?est quand même un partage d?intimité non ? Tu te vois déambuler dans la chambre en petite culotte devant moi ? Et alors ? t?apprécierais pas ? Bien sûr que si... mais je ne suis pas de bois ! On est du même âge, et tu ne vas pas me dire que tu as des préjugés... arrivera ce qui doit arriver, en tout cas ça vaut le coup d?être tenté non ? Je ne demande pas mieux... quand veux-tu visiter ? Après l?exposé de cet après-midi si tu es d?accord.Après lui avoir répondu par l?affirmative, elle se leva, déposa un léger bécot sur mes lèvres et partit, son plateau à la main, pour aller le déposer sur un chariot.
J?étais ébahi... et je bandais, autant à cause de ce que tout ce qui se passait dans ma tête que pour le léger baiser qu?elle m?avait donné. ’ Vivement ce soir ’ me dis-je.
L?heure tant attendue arriva. Quatre stations de métro et nous voilà au pied de l?immeuble. Je logeais au second. Lorsqu?elle découvrit mon ’ home ’ elle émit un petit sifflement.
Mais c?est un palace ! Et c?est grand !En fait la pièce était effectivement grande, jouxtée d?un kitchenette et d?un espace douche - cabinet de toilette et entre les deux le ’ petit coin ’.
Oublie ce que j?ai dit Cédric, je ne veux pas t?imposer ma présence.Je la rassurai, elle s?approcha de moi, m?entoura le cou de ses deux bras et me donna un baiser qui n?avait rien à voir avec le petit bisou de ce midi. Sa langue était très agile, sa bouche suave était collée à la mienne. Mes bras serraient sa taille que je fis ployer jusqu?à ce que son corps soit collé au mien, totalement. Elle sentit la dureté de mon sexe et se mit à onduler,. A présent mes mains étaient sur sa croupe. Elle avait un ’ petit cul ’ superbe, pour autant que j?avais pu en juger grâce à son jean extra moulant.
Sa bouche quitta la mienne, je sentis tout à coup son souffle sur mon oreille et je l?entendis murmurer ’ tu veux ’.
Si je veux ? tu ne sens pas la raideur de mon désir ? Cependant Delphine, je ne veux pas que tu te sentes obligée. C?est vrai j?ai une envie folle de toi, mais ne te crois pas tenue à une quelconque reconnaissance. Me prendrais-tu pour une pute qui s?acquitte d?une dette à sa manière ? Ce n?est pas ce que j?ai voulu dire ! Alors sache que j?ai eu envie de toi dès nos premiers mots et le studio n?y est donc pour rien. Tu vas penser que je suis une rapide, mais je viens, je crois, de découvrir ce qu?est un coup de foudre car dès ce matin mon coeur a battu en te voyant pour la première fois.Ivre de bonheur et de désir je la repris dans mes bras et nous avons basculé sur le lit (à deux places !) laissant nos mains explorer le corps de l?autre. Je découvris ainsi la chaleur que le jean laissait passer entre ses cuisses et ma main s?insinua de façon à caresser son sexe à travers le tissus rugueux.
C?est gênant ces vêtements, lui dis-je. Entièrement d?accord.Je la vis se mettre debout et se déshabiller sans précipitation. Lorsqu?elle fut en soutien-gorge et petite culotte je reçus comme un coup à l?estomac. Bon sang qu?elle était belle. J?avais rarement vu un corps aussi joliment proportionné, seins haut placés, ventre plat, pubis renflé et garni d?une toison qui me paraissait épaisse malgré le slip. Quant à la taille elle était d?une finesse idéale. Le ’ petit cul ’ était encore plus joli que je ne l?avais imaginé, bien rond, dodu, aguichant, avec une peau douce et dorée... les vacances n?étaient pas si loin.
Dis donc, t?es tellement occupé à mater que tu ne t?es même pas déshabillé, me dit-elle en constatant que j?étais toujours vêtu.Après m?avoir dit qu?elle allait remédier à ça elle entreprit de déboutonner ma chemise qui, une fois ouverte, lui permit de promener ses lèvres sur mon torse, tandis que ses mains s?attaquaient à ma ceinture, puis au zip du pantalon qui se retrouva sur mes chevilles. Elle plongea enfin une main dans mon slip... je ressentis comme un vertige.
Ben dis donc, t?es pas un petit gabarit mon vieux ! c?est au moins du 20 cm ce truc non ? Gagné... et le tour en fait 15. Eh bien ça promet ! Bonjour la dilatation, dit-elle en éclatant de rire !Bientôt mes doigts se trouvèrent dans la moiteur de sa petite culotte dont le fond était détrempé.
Dis donc Delphine, j?ai l?impression qu?il ne faut pas t?en promettre si j?en juge par l?état des lieux !Elle rit de bon coeur avant de se baisser et de s?agenouiller. Elle descendit mon slip et je sentis alors la douceur exaltante de ses lèvres et la chaleur de sa bouche tandis qu?elle appuyait fortement sur mes fesses pour m?obliger à pousser en avant, plus avant dans cette bouche exquise.
Je la suppliai d?arrêter car j?étais sur le point de décharger. Nous primes place sur le lit, nus, jambes mêlées, lèvres soudées. Elle passa sa main entre nos ventres et se saisit de ma hampe, puis, se mettant à bonne hauteur, se caressa la vulve avec mon gland turgescent. Elle était tellement humide que ce contact glissant faisait un petit bruit. Tant bien que mal je me dégageai afin d?aller rendre hommage à son chaton joli. Bonheur ! enfin une fille qui ne se rasait pas, sa touffe était épaisse et débordait à peine sur les aines et le creux du haut des cuisses. Mes doigts écartèrent les nymphes ruisselantes du désir de Delphine et ma bouche vint se poser sur ce coquillage aux subtiles senteurs. C?est à ce moment que je sentis à nouveau sa bouche se saisir de mon mât orgueilleusement dressé, gonflé d?un désir extrême. Nous sommes restés un moment à nous goûter l?un l?autre d?une langue alerte et d?une bouche gourmande.
Nous n?en pouvions plus de désir et c?est sans attendre que je pris possession de son corps, je n?eus aucune difficulté à la pénétrer tant elle était mouillée. Je m?introduisis en douceur, millimètre par millimètre jusqu?à buter tout au fond d?elle au moment même où nos deux pubis entraient en contact.
Je m?arrêtai un instant, goûtant le plaisir d?être totalement en elle. Elle ronronnait et me murmurait des mots doux et fous. N?y tenant plus je me mis en mouvement, elle m?enserra la taille de ses deux cuisses, pieds superposés dans mon dos. Je pris une allure plutôt calme mais régulière, allant et venant dans ce délicieux conduit lubrifié à souhait. Tout à coup elle hurla presque ’ vas-y, je n?en peux plus... donne, donne moi tout... tout toi... toute ta sève accélère, je t?en prie ’... je lui donnai satisfaction en allant à une allure vive, le haut de mes cuisses claquait sur ses fesses relevées en raison de la position. Puis, tout en continuant à ce rythme fou, je pénétrai son petit orifice d?un doigt agissant. A ce moment précis elle jouit comme je ne pensais pas que ça puisse exister, on aurait dit tout aussi bien des cris de frayeur que des sanglots. Sa jouissance ne semblait pas devoir finir. Alors, pressentant que c?était ce qu?elle attendait, dans une dernière accélération je me répandis en elle ce qui provoqua de sa part un regain de feulements et de soupirs enamourés.
J?étais épuisé mais comblé, heureux, ivre de bonheur. Elle prit alors mon visage à deux mains, déposa un tendre baiser sur mes lèvres puis me murmura à l?oreille ’ mon amour... oh mon amour, mon amant... je crois que je t?aime. C?est la première fois que je ressens un tel plaisir, une telle jouissance en même temps qu?un doux sentiment envers celui qui m?a si bien fait l?amour ’.
Moi aussi Delphine, je crois bien que je t?aime... ce serait bête que tu n?habites pas ici avec moi... tu veux bien ? Evidemment que je veux bien, et j?espère bien que tu me donneras encore autant de tendresse et d?amour... toi... mon doux amant.Un dîner fut vite expédié avant de nous retrouver au lit, pas seulement pour dormir, vous vous en doutez bien. Si la couette pouvait parler... ! ! !
Jules Deurban
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