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Stupéfaction

Chapitre 1

Zoophilie
Bonjour,Cette histoire s’est déroulée l’année dernière à ma plus grande stupéfaction.On est au mois de juillet, il fait chaud, comme à mon habitude, je trie des papiers dans mon bureau.C’était dans le courant de l’après-midi, je ne sais pourquoi, mon regard s’égarât par la fenêtre côté jardin. Mon bureau est à l’arrière de la maison coté voisin et une haie fraîchement plantée de +- 1 mètre séparé mon jardin de celui de la voisine. Oui, mes voisins sont en fait une femme la quarantaine et sa fille de 21 ans vraiment deux jolie pièces toutes en chaire.Donc suivant mon regard, je vis par la fenêtre que la fille de la voisine était allongée sur un transat face vers terre ne lui restant qu’un léger maillot si petit qu’il lui rentrait dans les fesses. Elle avait laissé tomber le haut pour éviter les marques du soleil.Au vu de ce spectacle, je décidai de laisser tomber le classement de mes papiers et de profiter du panorama qui s’offrait à moi et du coin de l’embrasure de la fenêtre, je commençai à contempler ce petit corps déjà bien formé sans me révéler.C’est plus ou moins un quart d’heure plus tard que je tombais sur les genoux ; en effet, son chien un lassie venait de faire son apparition et après deux tours de la petite pelouse, il vint près de la fille et commença à la renifler. Est-ce la chaleur faisant, mais le lassie en passant près du derrière de la fille s’arrêta et commença à renifler et avec son museau donner des coups sur les fesses de la jeune fille, ce qui la réveilla. Elle se retourna laissant dévoiler une superbe poitrine avec les tentons qui pointaient légèrement vers le haut (des seins en formes de poire comme on dit) et s’asseya au bord de son transat pour jouer et caresser son chien. Tout en se laissant caresser, le chien commença à sentir l’entrejambe de la fille qui à mon grand étonnement se laissa faire allant même jusqu’à écarter un peu plus ses cuisses. Le chien dont l’interdiction ne lui avait pas été soumise commença à lécher la prune de la jeunette qui avait arrêtée de caresser la bête, mais qui avait pris une position un peux plus relaxante tout en offrant sont intimité totalement au chien. Celui-ci ne se faisant pas prier léchait de plus en plus la belle qui entretemps avait tombé ce petit slip qui de toute façon ne lui cachait pas grand-chose. Au grès des coups de langue de sa bête, la belle se déhanchait de plus belle et je pus entendre par ma fenêtre entre-ouverte des petits râlements oh combien existant, tellement existant que je me mis à me caresser le sexe déjà dure depuis un certain temps.Ces petit cris devenaient de plus en plus fort que je crois que dans cette liesse, elle ne se rendait même pas conte que quelqu’un pourrai l’entendre ; elle était dans son monde, dans son extase. Mon bas ventre frissonnait, picotait, je commençais à transpirer, il faisait chaud.Après un long gémissement qui me fit frémir de hummmmm, je ne saurais expliquer tellement j’étais en extase tout en me caressant le sexe brulant et gonflé à bloc, j’en tremblais tout de désir.A ce moment-là, je la vis quitter sont transat pour se placer à quatre pattes dans l’herbe le derrière bien haut au trois quart vers mois tandis que le chien sans se faire prier ce plaça directement derrière elle et comme si il connaissait déjà le truc, monta sur le dos de sa maitresse pour l’enfiler en deux temps trois mouvement au moment de la pénétration elle eut un gémissement qui m’enflamma de plus belle et comme le chien entama des va et vient affirmé, je largua ma semence en trois ou quatre longs jets fermes dans le drap que j’avais préparé pour la cause, en poussant des gémissements étranglés pour ne pas me faire repérer mais tellement bon que je tremblai comme une feuille. Je n’avais jamais joui comme ça en me branlant seul. Reprenant mes esprits, j’entendais la voisine gémir de plus en plus, le chien l’assaillait toujours de coups de reins saccadés jusqu’à ce cri qui, mais un cri de délivrance, d’extrême jouissance, d’extase qui me donna une chaleur indescriptible, mais qui me fit rebander d’un seul coup. Je vis le chien se retirer, la fille tomba étendue dans l’herbe, la respiration haletante et le corps trempé de sueur et de bave, exténuée tandis que le chien lui léchait les sécrétions qui s’échappaient de ses cuisses.Puis d’un geste de la main écarta son Lassie et celui-ci alla se coucher à l’ombre en dessous du cerisier.La belle resta encore comme cela quelques minutes puis envelopper dans son drap de plage disparu dans la maison.Je me masturba une seconde fois puis alla prendre une douche pour me rafraichir et me remettre de mes émotionsLe reste de l’été, j’ai surpris quelque fois ma jeune voisine dans le jardin, jouer avec le chien, mais rien ne fus plus intense que cette foi- là.Je n’ai jamais non plus fait allusion de quoi que ce soit à ma jeune voisine ; je rate peut-être le coche, mais…..
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