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Stupéfaction

Chapitre 2

Zoophilie
Quelques mois ont passé depuis ma première stupéfaction et je dois dire que cela m’a troublé plus d’une fois si bien que j’ai voulu en savoir plus sur le comportement de mes voisines !Cela fait quelques fois que je voyais ma voisine (la fille) faire monter son Lassie dans sa voiture et rentrer 3 à 4 heures plus tard ! Donc un jour la voyant faire monter son chien dans la voiture, l’envie et la curiosité me pris et je la suivi.Quelques kilomètres plus loin, elle gara sa voiture sur un petit terreplein le long d’un chemin forestier. Je me gara également à deux trois cents mètre d’elle pour ne pas attirer l’attention et la vit pénétrer dans la forêt. Elle alla de long en large dans cette foret et bientôt atteignit un petit ruisseau, elle le longea quelques instants puis arriva à l’orée d’une jeune sapinière assez danse qui se dressai de part et d’autre du ruisseau. Elle y pénétra et disparu.M’approchant de l’endroit où elle avait disparu, je m’arrêtai, m’accroupi et me mis à écouter. La voisine était à une cinquantaine de mètres et je l’entendais ;— Viens mon chien viens, regarde on va s’assoir ici, il fait bien vert, il y a du soleil et en plus avec l’eau on sera bien viens assis couché.Ma curiosité se faisant plus grande, je m’approchai le plus près possible de façons à la voir elle et son chien et quelques instants plus tard, je l’aperçu assise son chien couché sur ses genoux. Elle était dans une bien jolie clairière de trente à quarante mètre carrée ou le soleil luisait ce qui avait permis à un tapis vert de pousser dans cette grande sapinière. Un avantage pour moi était le ruissèlement de l’eau qui couvrait mes bruits indélicats.Je m’installai plus confortablement sachant que je pouvais rester là un certain temps.Elle était là, elle murmurait à son chien, elle le caressait, se roulais avec lui, jouait comme un enfant jouerait avec une peluche, puis elle s’arrêtât, elle scruta les alentours, je cru être découvert, mais non, elle sorti une fine couverture de son petit sac à dos, l’étendit sur l’herbe et là, mes yeux commencer à s’étinceler.Elle commença à se déshabiller, elle hotta sont tee shirt, elle n’avait pas de soutien-gorge, elle était magnifique avec ses petit seins en forme de poire et avec cette peau brunie par le soleil. Elle continua et enleva sont short en jean’s puis sa petite culotte ; extrêmement délicieuse, d’où j’étais, je pouvais apercevoir sont entrejambe rasé, nus comme un abricot. Après avoir hôtes un drap de son petit sac, elle y rangea ses vêtements ; maniaque la fillette.Puis elle commença à nouveau à jouer avec son chien, allonger avec lui se roulant de gauche à droite, je dois dire qu’avec les poils du chien et les rayons du soleil, elle devais avoir bien chaud.Tout en continuant ses roulades couché l’un contre l’autre elle commença à le caresser de tous son long puis se faisant plus insistante coté bas ventre avec ses caresses, elle provoqua chez le chien une réaction, son sexe commença à apparaitre et commença à gonfler. Je dois dire que l’excitation de la vision qui s’offrait à moi m’avait déjà fait bander et j’avais déjà sortis mon sexe de mon short.Elle n’arrêtait pas de lui parler ; — Hein mon chien qu’on est bien, oh oui on est bien , il est gentil le chien chien et qu’est ce qui fait le chien chien, mais qu’est-ce qu’il a là le chien chien , ho mon gros salaut, mais qu’est-ce que je vois là hein, il est bien prêt de sa maitresse, oh oui il est bien, hummm et sa c’est pour la maitresse, oui tu veux bien, oh oui il veut bien , hein oui qu’il veut bien ce bon chien chien, qu’il a envie de sa maitresse ce bon chien chien. Et tout en continuant à lui parler, une main continuait à caresser ses longs poils, tandis que l’autre commençais à lui masser le sexe qui maintenant était complètement sorti.Je sentais la chaleur monter et des picotements m’envahir le bas du ventre une de mes main caressais déjà mon sexe dur comme un réglisse.Elle cracha dans sa main et continua à masturber cette grosse queue, puis se déplaça de façon à atteindre ce sexe avec la bouche. Elle était presque en position de 69, elle cambra un peu les fesses, tendis une jambe de façon à dégager son entre-jambe et le rapprocha du museau du chien et comme en parfaite harmonie, ils commencèrent à se lécher l’un l’autre lui avec ses bruits de coups de langue, elle avec des hummmms de plaisir.Je dois dire qu’à ce moment-là, je me mis à jouir comme si j’étais au plus profond d’elle, tellement le spectacle de c’est deux amants était des plus érotique. Je crois que je n’ai jamais vu un couple aussi bien unis dans l’acte du 69 que dans tous les films porno que j’ai déjà pu voir.Elle se releva, son bassin oscillant, elle se laissa encore lécher pendant quelques minutes puis se mis à quatre pattes, elle donna deux-trois claques sur ces fesses et déjà le chien était les deux pattes sur son dos cherchant l’entrée de sa grotte intime. Après quelques coups de butoir, il s’enfonça au plus profond d’elle et commença un vas et vient qui ne la laissa pas sans reste, car elle commença à gémir. Je me remis à frissonner et arrivais à une seconde éjaculation qui étant plus forte que la première me fit lâcher quelques gémissements. A ce moment-là je la vit redresser la tête et scruter les alentours, le chien continuait ses vas et vient la fillette les yeux mis fermé, la bouche ouverte continuais ses gémissement.Le chien accéléra sa cadence, la fille lâchais des petits cris, puis il s’arrêta, elle commença à gigoter en criant, gémissant sans retenue (on aurai pu l’entendre à plus de cinq cent mètres) , son corps était en trance tellement la décharge chaude et intense du chien luis faisais le plus grand bien. Elle s’arrêta, puis quelques minutes plus tard, le chien se retira. La fille étais là affalée sur sa couverture les jambes écartés laissant le mélange de sa siprine et le liquide canin ruisseler de son entre intime. Toujours assommée part son intense jouissance, elle laissa le chien la lécher, lui nettoyer sa grotte.Elle resta comme ça pendant plus d’un quart d’heure, étendue, caressé par le soleil, câlinée par le chien ; comme endormie.Elle se rhabilla et repris le chemin de sa voiture et rentra chez elle.Quand à mon tour je rentrai, sa voiture était là devant sa porte, et là, je compris que je devais faire quelque chose, je devais l’accoster, lui parler, faire plus ample connaissance avec cette coquine de voisine.…………………lire la suite !
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